Le Voyage En Grèce, (Ma Première Fois)
LE VOYAGE EN GRECE
(MA PREMIERE FOIS)
A la fin de cette première année en Grande Bretagne j'étais un peu triste de quitter mes amies. En revanche, j'étais très heureuse de la nouvelle de mon père, à savoir que je partais en Grèce pour quinze jours au mois d'août.
Je prenais le train à Marseille pour rejoindre le groupe à Cannes. Le voyage étant piloté par un Père Jésuite, ami de mes parents, et qui avait organisé ce voyage avec des filles et des garçons de collèges confessionnels d'une ville au-dessus de Cannes.
En face de moi est venu s'asseoir un garçon d'environ vingt ans.
Ses yeux bleus, sa tenue, et de plus le fait qu'il lisait un hebdomadaire américain ont attiré mon attention.
Je me suis rendu compte qu'il parlait l'anglais quand je l'ai vu faire les mots croisés, cela prouvait au moins qu'il le maîtrisait.
Comme il avait posé sur la table un guide sur la Grèce, je me suis hasardée à lui adresser la parole.
- Vous vous intéressez à la Grèce ? Lui dis-je, bêtement, ne sachant comment entamer une conversation.
- Effectivement, car j'y vais faire un voyage organisé par un ami de mes parents et qui amène d'autres étudiants.
- Curieuse coïncidence car moi aussi. L'ami de mes parents s'appelle le Père L. Feriez-vous partie de ce groupe ?
Sa réponse affirmative m'a comblée de joie, car je le trouvais très agréable, et de plus, je ne serai pas la seule intruse dans un groupe où tout le monde devait se connaître.
Je lui ai demandé s'il s'entraînait à l'anglais en lisant une revue américaine.
- Je n'en ai pas besoin, ma mère est américaine et je suis bilingue.
- Je viens de passer un an à Londres et le mien n'est pas trop mauvais, mais grâce à vous, je vais faire encore des progrès ! ! !
Il me troublait et je me sentais gourde ne sachant pas quoi dire d'intéressant.
Il me regardait de ses yeux d'un bleu profond, mais sans curiosité malsaine, simplement pour m'écouter et savoir qui je pouvais être.
C'était la première fois de ma vie, que devant un garçon, j'avais une telle réaction. Je ne me posais pas la question : ai-je envie qu'il me caresse, qu'il me suce, aurais-je plaisir à le sucer ?
Non, j'avais envie qu'il me parle, envie de le regarder, d'admirer ses mains à la fois fines et nerveuses, de me perdre au fond du bleu de ses yeux.
J'étais d'habitude très à l'aise avec les garçons, là je me sentais comme paralysée et timide ce qui ne correspondait pas à mon caractère.
- Puisque nous allons faire un voyage et nous côtoyer pendant près de trois semaines, je vous propose : 1) de nous tutoyer, 2) de décliner nos prénoms, le mien, c'est Michel ou Mike, en fonction du côté de l'atlantique où je me trouve 3) que tu acceptes d'aller boire un verre au bar pour faire plus ample connaissance. Tout cela avec un délicieux sourire naturel.
- Mon Prénom est Florence et j'accepte avec plaisir les deux autres propositions.
En nous acheminement vers le bar, il me prit par le bras pour m'éviter les ballottements du train. Ce contact fit passer dans tout mon corps comme une décharge électrique, sentir sa main sur ma peau me procurait une sensation encore jamais éprouvée et dont j'étais surprise.
Le bar comportait un coin banquette en angle où nous nous installâmes.
Il a commandé les boissons et bien que buvant rarement, j'ai ressenti le besoin d'un gin tonic. Ayant allumé nos cigarettes, j'ai remarqué que comme moi, il fumait des gitanes.
- C'est rare les filles qui fument ce genre de cigarettes ?
- C'est exact, mais je suis un peu garçon manqué dis-je bêtement.
Ses yeux, ses mains, sa manière d'être, sa parfaite courtoisie qui semblait sans équivoque. Il était courtois et bien élevé, mais ne semblait accorder à ma personne aucune attention particulière et je me sentais un peu frustrée. En fait, j'ai su plus tard qu'il n'en était rien.
Vers 16h, nous sommes arrivés à Cannes, où nous devions retrouver le groupe pour prendre le train pour Venise, d'où nous devions embarquer sur un bateau pour la Grèce le lendemain après midi.
Nous avons fait connaissance du groupe, composé de filles et de garçons à part à peu près égales. Comme je m'y attendais l'ambiance était "plutôt coincée" et fît apparaître sur les lèvres de Mike un sourire ironique, il en eut beaucoup d'autres
Une nuit de train de Cannes à Venise, c'est long, Mike et moi avons passé la presque totalité de la nuit à parler dans le couloir. Les membres du groupe ne nous avaient pas séduits, et nous avions décidé de parler anglais entre nous, les autres étant d'un niveau de première ou de terminale c'est-à-dire quasiment nul.
Vers 7/8 heures du matin, nous débarquâmes à Venise. Le Père L. avait l'intention d'aller célébrer une messe, Mike avait une autre idée : aller prendre le petit-déjeuner au "Florian" pour évoquer les heures que Musset et Georges Sand y ont passées.
L'idée me parut bonne et j'y souscrivis.
Dans les premières heures de la matinée la place Sainte Marc était un délice, devant le petit déjeuner je ne cessais de regarder les yeux de Mike et ses mains. J'étais fascinée.
Georges Sand et Musset quelle merveille de la littérature !
Nous étions là, et ses yeux me pénétraient comme des flammes !
Le groupe était parti à une messe, c'était le cadet de nos soucis.
J'étais bien avec lui, j'avais envie de sentir sa main sur la mienne, mais il restait dans une profonde réserve.
Il connaissait Venise et me prenant par la main je l'ai suivi dans des petites ruelles.
Quand il a posé son bras sur mon épaule, un frisson m'a parcouru tout le corps.
Etais-je entrain de devenir amoureuse ?
Sous des apparences très conventionnelles, il me dit qu'il me trouvait très jolie, et qu'il espérait que ce voyage permettrait de mieux nous connaître !
Il dépassait mes espérances et sur un pont vénitien, je me suis arrêtée pour l'embrasser, peu chastement. Baiser qu'il me rendit en ajoutant :
- Florence, tu es très belle et j'aimerais que ce voyage fût une fête pour nous.
Comment allait-il organiser la chose pour que nous soyons jour et nuit ensemble ?
Car j'avais envie de me serrer contre lui, d'être dans ses bras.
En un mot je me sentais amoureuse. Sensation nouvelle pour moi, qui aimais le sexe, mais qui n'avais jamais permis à un garçon de s'enfoncer en moi.
Lui, je le voulais, je voulais lui offrir ma fente, vierge du sexe d'un garçon.
Le soir nous avons embarqué sur le bateau, direction Le Pirée, 2 filles par cabine idem pour les garçons, Mike me dit qu'il allait faire en sorte que les choses s'organisent de façon différente.
..
Le bateau quittait Venise le soir même pour atteindre sa destination le lendemain en fin de journée.
La première nuit, j'ai partagé la cabine avec une des membres du groupe. Elle n'était pas désagréable, et malgré son missel sur sa table de chevet, elle semblait avoir l'esprit assez ouvert. Je pensais que c'était une chance pour moi, car elle accepterait peut-être que le colocataire de Mike vienne prendre ma place ?
Mike dans la soirée n'avait pas perdu son temps en faisant connaissance avec l'un des officiers du navire, ce qui lui avait permis de découvrir des endroits où les passagers n'étaient pas admis, et d'avoir l'autorisation de s'y rendre.
Dès la fin du petit déjeuner nous commençâmes à explorer ces endroits "réservés", où nous étions admis.
C'est ainsi que nous avons passé le canal de Corinthe, impressionnant par ses falaises et où le bateau avait peu de place entre les bords. Nous étions, Mike et moi sur la partie ouverte de la timonerie, serrés l'un contre l'autre, il me tenait par le cou et j'avais posé ma tête sur son épaule.
A chaque fois que sa main descendait sur mon bras nu une décharge électrique se produisait, j'aurais voulu me fondre en lui.
Arrivés au Pirée, nous avions une fin d'après-midi avant de prendre un car pour Delphes. Mike et moi décidâmes de visiter rapidement le centre d'Athènes, où nous devions revenir à la fin de notre périple à Delphes et dans le Péloponnèse.
Je fus fascinée par Athènes, les plaques de rue dans un alphabet inconnu, l'ambiance, le grouillement, etc.
J'étais bien loin de me douter que dix ans plus tard, j'y reviendrai avec mon mari, que j'en parlerai la langue et y aurai une maison dans une île et un appartement à Athènes, mais c'est une autre histoire.
Mike me promenait en me prenant par le cou et en laissant tomber sa main sur mon sein libre de toute entrave sous mon chemisier, je le tenais par la taille en passant ma main sur ses fesses de temps à autre, mais surtout en me blottissant contre lui. J'étais heureuse et amoureuse. Je savais qu'il serait le premier à s'introduire en moi, et à cette idée, je sentais s'humidifier mon slip. Bien qu'il soit très réservé, il me dit dans les jardins de Philopapou, en face de l'Acropole.
- Florence tu es belle et j'aimerais tellement que l'on devienne amants !
- Moi aussi, Mike, j'en ai le désir, mais je dois te faire un aveu.
Il m'a regardée de ses yeux d'un bleu profond pleins d'interrogations.
Sans doute pensait-il, que comme les autres filles du groupe, je tenais à garder ma virginité jusqu'à mon mariage.
J'ai eu de nombreux rapports sexuels, tant avec des filles qu'avec des garçons, mais aucun d'eux ne m'a pénétrée. Je suis vierge en quelque sorte, je voulais ressentir une réelle attirance pour celui à qui je ferai don de s'enfoncer en moi. Et cet homme, c'est toi
Il m'a regardée avec gravité et m'a dit :
- Florence, tu es est une fille remarquable et désirable, j'ai très envie de faire l'amour avec toi ! Mais ce sera où et quand tu voudras.
- Il paraît que Delphes est un site magnifique, lui dis-je. Nous verrons, je souhaite que ce soit un festival dédié à Eros.
Nous sommes arrivés à Delphes en soirée, lorsque le Père L vint me dire :
- Florence, soyez prudente, j'ai deviné ce qu'il se passait entre vous et Mike.
Je faisais peu de cas de sa remarque, tout le monde était au courant, grand bien leur fasse !
J'aimais Mike et ne voulais que vivre une nuit érotique avec mon premier "amour"
Arrivés à l'hôtel, d'autorité Mike a envoyé son partenaire de chambre à ma place.
J'étais donc seule avec lui, complètement seule. Il m'a dit vouloir prendre une douche pendant que je me prélassais sur le grand balcon terrasse, contemplant la forêt d'olivier d'Hithea. Je m'étais mise nue afin de bénéficier de la chaleur de la nuit qui tombait.
J'ai brutalement eu l'envie de le rejoindre sous sa douche, mon corps, mon sexe avaient envie du sien.
Il a marqué un moment de surprise quand je suis arrivée dans la douchière.
- Je ne pensais pas que cela se produirait comme ça dit-il
- J'ai envie de toi Mike, je veux que tu me fasses l'amour.
Tout en disant ces paroles et étant nue, j'ai pris sa verge dans ma main et de l'autre, j'ai guidé sa main vers ma fente dont l'humidité n'avait rien à voir avec la douche.
Mike, m'a embrassée longuement, un baiser profond, plein de tendresse.
- Tu veux vraiment Florence ?
Oui, je le voulais, je voulais sentir le sexe que je tenais en main s'introduire dans ma fente, connaître cette sensation de plénitude dont certaines amies m'avaient parlé.
Mike fut merveilleux, il me prit dans ses bras pour me soulever jusqu'au lit.
Il a commencé à caresser mes petits seins, puis à couvrir mon corps de baisers, au fur et à mesure, j'ai écarté mes jambes pour lui laisser un libre accès au plus profond de mon intimité.
Ses mains étaient un régal, sa bouche sur la pointe de mes seins, très sensibles bien que peu volumineux. Il parcourait mon corps de caresses savantes et je sentais ma fente se mouiller de plus en plus.
Il est descendu sur mes jambes, et parcourant mes cuisses, il est arrivé au "triangle d'or" (façon de parler, car ma minette est brune, et naturellement en ticket de métro).
Sa langue a trouvé une fente ruisselante de cyprine et l'envie était trop forte pour moi ! ! !
Il fallait que je le sente entrer en moi.
J'ai masturbé son sexe pour le sentir durcir, mais je prenais garde à ce que son éjaculation ne se produise pas trop vite.
Il fut très doux, après que j'aie eu pris son sexe dans ma bouche, afin de bien le faire raidir. Il me mit sur lui et guida sa bite pour la faire entrer dans la fente.
Je me suis enfoncée le plus profond possible, Mike râlait et moi-même, je criais de bonheur, son sexe était enfoncé au fond du mien. C'était la première fois que j'avais une telle sensation.
Il déversa son sperme dans ma fente. J'en étais tellement heureuse.
Allongée à ses côtés, je revivais les instants merveilleux que nous venions de passer, et sentant délicieusement, son sperme, mélangé à ma mouille, s'écouler de ma fente pour créer une tache, que je trouvais magique, sur le drap.
Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre. Les premières lueurs de l'aube m'ont réveillée. J'ai longuement regardé son corps nu et j'ai immédiatement été prise de l'envie de l'embrasser de la tête aux pieds, en m'attardant sur son sexe qui m'avait procuré autant de bonheur. Il s'est réveillé, sentant mes caresses qui se faisaient de plus en plus insistantes. J'avais envie, mon besoin, de sentir son sexe entrer de nouveau en moi. Ses mains se faisaient habiles sur tout mon corps. Allongée sur le dos, je l'ai fait venir sur moi, il s'est introduit, avec beaucoup de douceur dans cette fente qui ne désirait que lui, et qui était toute offerte à l'assaut de sa virilité. Ce fut une fois de plus merveilleux, je croisais mes jambes sur ses reins pour qu'il soit enfoncé le plus profond possible dans ma grotte des délices. Il se vida en moi en même temps que j'avais un orgasme d'une intensité inconnue jusqu'alors.
- Debout, "vieux cochon" allons voir si la statue de l'apollon est aussi belle que ton corps.
Nous avons ri et sommes partis, enlacés, vers la découverte des beautés antiques.
Nous avons rejoint le groupe pour la visite du site antique de Delphes. Tous des hellénistes bon teint qui ne se rendaient même pas compte que la Grèce parlait la même langue, même modifiée, que celle de Platon.
De plus, nous avions remarqué être tenus à l'écart du groupe pour deux raisons : nous parlions ensemble en anglais, et de plus tout un chacun avait appris que nous vivions dans le "péché". Nous nous en "foutions du tiers comme du quart". Préférant boire un ouzo dans une taverne sympa que d'arpenter le site des ruines.
En fait dès que nous étions seuls, je n'avais qu'une idée : que Mike me prenne dans ses bras, toute ma peau frissonnait au contact de ses mains et mon slip commençait à absorber ma cyprine, je n'avais qu'une hâte, nous retrouver dans notre chambre, que j'aille sous la douche et qu'il me rejoigne pour caresser mes seins, m'embrasser derrière les oreilles, (découverte pour moi d'un plaisir que j'aime toujours), faire descendre sa main sur mon pubis pour y chercher un clitoris avide de caresses. Prendre dans ma main son sexe durcissant pour filer sur le lit afin qu'il me suce, que je le suce, et qu'enfin son pieu s'introduise dans ma fente, c'était mon plus grand bonheur.
Que son sperme s'épande en moi pour le sucer à nouveau, sperme et cyprine mélangés. Bref, le bonheur à l'état pur.
Ces instants se passaient en fin de journée, mais le soir, à la lumière de la lune, j'allais sur le balcon, nue, et attendais qu'il vienne me rejoindre. Quel bonheur de sentir sa verge se coller à mes fesses, ses mains prendre possession de mes seins, plaisir décuplé par le fait que je savais que sous lui, sur lui ou toutes autres positions, nous irions sur le lit pour que je m'offre à lui et lui à moi.
Le voyage s'est poursuivi avec la visite d'Olympie, d'Epidaure, et départ pour une croisière dans les îles, Mykonos, Délos, Patmos, etc.
Dès que nous fûmes à bord, où nous devions être 4 par cabine, Mike est allé voir un membre d'équipage, et contre un bon billet, il nous a ouvert une cabine rien que pour nous deux.
Même aux escales, nous évitions les visites en groupe, partant enlacés pour des découvertes personnelles, un beau paysage, une taverne non fréquentée par les touristes, les après-midi étaient consacrés à des siestes crapuleuses, soit dans de petites criques isolées, avec pour seule compagnie quelques chèvres que Mike disait être appréciées par les Popes ! Soit à bord où l'étroitesse des couchettes faisait que nous étions encore plus enlacés que dans un grand lit.
Je parcourais tout son corps du bout de la langue à la recherche des endroits les plus sensibles à mes caresses, tout en ayant ma main sur son sexe pour le sentir durcir, en imaginant le plaisir qu'il allait me donner, après avoir lui-même exploré ma "géographie", pour terminer par cette fente ruisselante, cachée au milieu de ma toison, et qu'il aimait parcourir de bas en haut jusqu'à mon clitoris, me provoquant un orgasme sublime, et dont le résultat était que ma fente était une véritable fontaine, où il s'enfonçait en me disant des mots d'amour.
Retour à Athènes, où nous sommes restés deux ou trois jours. Fidèles à notre habitude, nous faisions "cavalier seul", plus intéressés par la découverte de l'Athènes moderne que des Caryatides, (dont l'une est fausse), de l'Erechthéion !
Ces promenades dans des quartiers, qui, des années plus tard, me seront familiers, étaient un enchantement teinté de mélancolie, car je savais que le séjour allait prendre fin. Qu'adviendrait-il ensuite ?
Le retour en train, depuis Venise, après une traversée dédiée à faire l'amour dans notre cabine, fut pour moi un calvaire.
Je savais que Mike nous quitterait à Nice, où il devait prendre un avion pour rejoindre ses parents aux Etats-Unis, et que je rentrerai, le cur gros, dans la maison familiale.
Nous nous sommes quittés, moi en pleurs, lui bien triste sur le quai de la gare de Nice
..
J'ai passé la fin de mes vacances dans la maison familiale, rêvant au bord de la piscine des moments merveilleux que j'avais vécus.
Mike m'a écrit deux ou trois fois, je ne lui ai pas répondu, car dans ses missives je sentais un éloignement qui n'avait rien à faire avec la distance entre l'Europe et l'Amérique, et que d'autre part, je savais que cest bien rare, à 16 ans, que l'on trouve l'homme ou la femme de sa vie
..
Je comptais sur mon année de philo dans mon collège britannique pour me changer de mes idées noires. .
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