La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 435)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°433 - Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière (1/3) -
Péniblement compelled MDE ouvrit un il, puis lautre. Sa nuit avait été bien agitée. Fatigué, il sétait endormi comme une masse, mais sétait souvent réveillé, dabord par une tentative dérection naturelle survenue dans son sommeil et sévèrement réprimée par sa cage de chasteté. Il eut bien du mal à calmer la fureur qui habitait son pénis comprimé. Habituellement, il se serait bien offert à un peu de plaisir solitaire. Cette nuit-là, entravé par la cage, contraint à labstinence, il navait pu que palper lextérieur de la prison dacier, excité, frustré, soumis. Ensuite, ceux près de lui, trois esclaves-mâles en cours de dressage, avaient eux aussi bien remué. Sans doute eux-aussi, avaient dû connaitre des tumescences péniennes nocturnes. Lun dentre eux sétait levé pour soulager sa vessie, sur une cuvette à disposition dans le fond de la cage. A un autre moment encore, des gémissements de plaisirs dexcitation évidente dans une cage attenante dune esclave-femelle avaient réveillé compelled MDE. Sans doute sétait-elle fait prendre sauvagement par un des gardes du chenil, en rut. Bref, le jour était déjà levé depuis longtemps quand des pas bruyants puis quelques mots fusant le réveillèrent en sursaut.
- Debout là-dedans, allez les chiens, on se bouge !
Cette fois-ci, il fallait bien se lever. Ce nétait pas le moment de flemmarder. Le gardien à lallure sévère, avait ouvert en grand la porte de la cage et attendait, bras croisés, un fouet maintenu dans la pliure sous son bras. Il fit mettre les esclaves lun derrière lautre en file indienne, bras sur les épaules du soumis de devant. Il donna un simple coup de cravache sur le cul du premier pour les faire avancer. Il stoppa la petite colonne devant une autre cage, et exigea aux trois femelles de la cage dà côté de sortir et de sinsérer au milieu des mâles.
- A genoux devant moi, le chien, et mains sur la tête !
Sitôt la posture prise, compelled MDE reçu une volée de coups de cravache sur le dos et surtout sur les fesses.
- Tiens la salope, je vais tapprendre à te concentrer et à marcher droit !
La cravache cingla son corps une vingtaine de fois, des marques rouges simprimèrent sur ses lombes et son fessier. compelled MDE, grimaça, geignit mais ne bougea pas dun iota. Le gardien sapprocha de lui, attrapa la boucle de son collier pour lui faire relever la tête. Si compelled MDE avait pu bander dans sa cage de chasteté, il aurait une forte érection tant la situation lexcitait à se sentir ainsi humilié.
- Ici, les salopes de ton espèce, obéissent et se concentrent sur les ordres données, elles nont rien dautres à faire, tu as bien compris chien de mes deux ! Et si tu nes pas content, tu peux toujours partir, personne ne te retient, ici ce nest pas une prison, on y vient de son plein gré pour y être soumis et obéir
compelled MDE hocha silencieusement de la tête en signe dacceptation de sa situation. Le gardien le dévisageait avec un regard Dominant qui en disant long, plus long que toute conversation. Il se racla la gorge et envoya un gros mollard entre les deux yeux du soumis apeuré.
- Rejoins les rangs la salope et tâche désormais de te concentrer, je tai à lil.
compelled MDE, humilié, souillé regagna sa place. Impuissant, il sentit ce crachat glisser sur son visage, évidemment, il ne sessuya pas dun revers de main, évitant ainsi, sans doute une seconde sanction. Les esclaves furent autorisés à se soulager. Ils saccroupirent tous dans un coin de lenclos, relâchant sans pudeur le contenu de leurs entrailles, sous le regard du vicieux gardien. Peu après, le garde décida de prolonger leur humiliation. Il fit reformer la colonne, ordonna un quart de tour à gauche et imposa aux soumis de plier leur corps en deux, dagripper leurs chevilles avec les mains et décarter les jambes. Il ouvrit le robinet deau froide du tuyau darrosage se trouvant tout près. Il se recula de quelques mètres pour nettoyer les souillures des corps des soumis. Il ne chercha pas à utiliser une pression plus faible que le maximum disponible. Le puissant jet heurta puissamment les orifices exposés ainsi que les testicules et vagins offerts par la même position, leur infligeant de nouvelles et froides douleurs mais aussi de lexcitation. Heureusement lexercice fut vite terminé, les soumis furent laissés là un moment à sécher au soleil. Même si la position était inconfortable, et malgré leur nudité, les esclaves navaient pas du tout froid car la température de cette journée dété était très agréable pour les corps nus et détrempés des soumis désormais propres
Etre lavés ainsi procuraient de nouveau des sensations dexcitation jouissives chez les soumis-esclaves
Marie la sadique et perverse cuisinière était arrivée sur ces entrefaites. Après quelques mots échangés avec le garde linformant quelle venait chercher compelled MDE. Elle accrocha une laisse au collier de celui-ci et lemmena à quatre pattes jusquau Château à travers les pelouses impeccablement entretenues. Bien difficile encore pour compelled MDE de déambuler en quadrupédie derrière cette perverse cuisinière. Il reçut quelques coups douloureux de badine sur son postérieur.
Madame Marie entraina compelled MDE jusquà sa chambre située au rez-de-chaussée, une pièce de grande dimension où trônait un lit à baldaquin de style Régence drapé de tentures de velours rouge. Il est clair que Monsieur le Marquis avait gâté sa cuisinière en lui offrant le meilleur confort possible. Elle le poussa sans ménagement sur le lit. Humblement, presque par réflexe compelled MDE tendit les bras en direction des quatre montants. Il se laissa ensuite faire tandis que Madame la Cuisinière lui attachait fermement chaque extrémité avec des cordes. Une fois sa proie ficelée, elle sen écarta un peu pour allumer quelques bougies disposées sur les meubles près du lit. Puis elle fouilla dans les tiroirs dun chevet et en tira des pinces japonaises et sempressa de les fixer sur les seins du chien offert. compelled MDE grimaçât sans quaucun son ne sorte de sa bouche. La douleur provoqua chez compelled MDE une bandaison bien vite réprimée par la cage de chasteté, toujours installées autour de ses génitaux. Marie, perverse, sen aperçut, elle frustra un peu plus encore lesclave et lui caressant les couilles et les parois externes de la cage. Elle prit un plaisir immense à le frustrer davantage lui qui était maintenant à sa totale disposition. Elle le laissa là quelques secondes à le contempler ainsi avec un sourire sadique, puis sortit dun de ses bonnets de soutien-gorge, un petite clé qui lui servit à déverrouiller la cage de chasteté.
- Tu nas guère intérêt à jouir, ma pute, il ten cuirait !
Madame Marie semblait très excitée par la situation, elle vint sassoir sur le soumis immobilisé. Dans un premier temps, déplaçant son bassin, elle fit frotter son entrecuisse le long de lintimité de compelled MDE. Elle se masturbait indécemment contre le sexe tendu de celui-ci. Après quelques minutes de ce va et vient lancinant, Elle se releva un peu sur ses cuisses et se mit à utiliser le gland du soumis pour stimuler ses zones intimes, sans lui permettre, encore, dentrer en elle.
- Tu mas bien compris, la salope, je tinterdis de jouir, je ne veux pas voir un trace de ton foutre dans ce préservatif. Tu es simplement là pour me donner du plaisir, pas pour en prendre
Elle avait le souffle court, se mordait la lèvre, fermait les yeux, elle semblait se préparer à un orgasme puissant. Enfin, excitée et préparée par ces attouchements, elle inséra le membre de compelled MDE en elle comme une épée dans un fourreau. compelled MDE eut bien du mal à nexprimer aucune marque de plaisir, il contrôla sa respiration, souffla et respira longuement, tenta de penser à autre chose. Madame Marie activa ses mouvements, entreprit de longs va et vient tonics sur le corps de son jouet sexuel captif, le mouvement de ses cuisses faisant plonger profondément le long appendice en elle, puis le repoussant continuellement et ainsi de suite
compelled MDE était prêt à défaillir, son souffle court, ses reins tendus et cambrés, de petits gémissements alertèrent la perverse cuisinière.
- Ne jouis pas ma pute, je te le conseille et lordonne vivement
Quand elle parut au comble de son plaisir, Madame Marie attrapa la chainette reliant les pinces japonaises et tira dun coup sec. Les pinces sarrachèrent des tétons de compelled MDE, il hurla de douleur et paradoxalement un plaisir masochiste lirradiait
Mais sans se laisser conter de ces cris, elle saisit le verre contenant lune des bougies, désormais liquide
Quelques minutes après, alors quelle explosait de plaisir dans son orgasme puissant, totalement endiablée et saisie dune frénésie sadomasochiste, elle versa le contenu brulant de la cire sur les mamelons endoloris de son objet sexuel qui lui-même laissait jaillir sa jouissance à ce moment-là, oui en même temps que sa douleur car son côté maso lui procurait une incroyable et puissante éjaculation de foutre. En effet, lexcitation fut trop forte et il ne put sempêcher de gicler son sperme
- Pi
Pitié Mada
Madame
.Pardon Madame, par
pardonnez-moi !
Je
Je nai pas pu me retenir
Cétait trop
bon
Pitié
- Mais ? Tu as jouis ! Sale chienne en chaleur !
- Oui Madame, je nai pas pu me retenir, pardon, mille fois pardon, répondit compelled MDE les yeux remplis de larmes.
- Je tavais interdit, espèce de cabot !... Tu seras châtié comme jamais tu las été
- Pardon Madame, je
Je vous présente mes plus
. Humbles excuses
Marie La cuisinière se retira de compelled MDE, se redressa debout sur le lit, regarda avec Dominance le soumis, dun regard fixe, sévère qui dura quelques secondes dans un intense et lourd silence puis elle fit volteface et sassit sur le visage de compelled MDE.
- Ta punition viendra à temps voulu, mais en attendant, lèche-moi chienne, avale mes plus intimes sécrétions.
Elle ondula son bassin de bas en haut, laissant la langue de compelled MDE sintroduire dans son vagin. La langue de lesclave sappliquait à son uvre, elle passait et repassait longuement et se délectait des sécrétions de la Domina puis elle lui tendit son anus totalement dépilé pour obtenir encore un peu de plaisir. Il introduit sa langue dans le petit trou de la cuisinière afin de le rendre tout net, là aussi il sappliqua de son mieux sur les parois rectales, ce qui procurait à Marie des gémissements de plaisirs. Elle se leva enfin, compelled MDE au bord de l reprit son souffle.
- Maintenant, il faut que tu nettoies tes cochonneries ! Repris Madame la cuisinière en ôtant le préservatif souillé de son esclave sexuel. Joignant le geste à la parole, elle vint porter la petite poche de la capote remplie de semence aux lèvres ouvertes de compelled MDE. Docile, celui-ci avala lhumiliant liquide sous son regard dominant.
- Tu vas rester à mon service toute la journée, la chienne ! Je vais te faire voir ce qui coûte de jouir quand on ny est pas autorisé, gros porc !
Et ce soir, lorsque je te remettrai entre les mains du Maître, tu auras tout le loisir de lui expliquer pourquoi tes fesses auront viré au bleu dans la journée !
La vicieuse et perverse Cuisinière partit dans son cabinet de toilette attenant à la chambre. Elle prit un verre, revint dans la chambre, saccroupit sans pudeur et le remplit de son urine
Elle sapprocha de compelled MDE toujours attaché, lui souleva la tête et porta le verre près de ses lèvres.
- Tiens voilà ton petit déjeuner !
(A suivre
)
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