Apprentissage 5

Le Maître me fait mettre à genoux, les mains dans le dos, à coté de son fauteuil. Je suis face à la porte d'entrée et, lorsque son invité arrivera, il posera directement les yeux sur mon corps nu. Cette idée me met mal à l'aise. Le Maître dirait que je suis trop pudique, et qu'il faut arranger ça en m'arrachant l'un de mes vêtements et en m'envoyant faire une course dehors. Alors, je ne dis rien et j'attends. Longtemps. Finalement on sonne à la porte, et le Maître va ouvrir. Une femme apparaît dans l’entrebâillement de la porte. Je ne m'attendais pas à ce que son invité soit une femme. Maître me regarde et me demande pourquoi je suis si mal polie pour ne pas venir saluer et prendre le manteau de son invitée. Je m’exécute donc, maladroitement. En enlevant son manteau, je peux voir une marque sur son poignet : notée S 434. Sur mon collier, l'étiquette indique S 436. Cette femme doit être elle aussi une soumise. Et pourtant, elle n'a pas l'air d'en être une comme moi. Le Maître et son invitée retournent s'asseoir au salon, et je retourne me placer à genoux à coté de mon Maître. Il me gratifie d'une petite tape sur la tête. Gentille fille.
Au bout d'un moment, l'invitée demande si elle peut passer à l'objet de son invitation. Le Maître l'y encourage d'un grand sourire. Alors, elle s'approche de moi, me fait me lever et me fait m'allonger sur le canapé. Je suis sur le dos, jambes écartées, et elle parcourt mon corps de ses doigts minutieux, comme pour l'examiner. Ils s'arrêtent quelques instants sur le plug qui remplit mon cul. Ses doigts caressent le bijou qui en dépasse, et à l'intention de mon Maître, elle dit reconnaître ce plug. Cela le fait sourire. Les mains de cette femme font petit à petit place à ses lèvres. Tout le long de mon corps, elles embrassent, lèchent, mordillent, goûtent ma peau. Les caresses sont agréables, certes, mais je n'arrive pas à m'habi à ce contact. Maître le sait bien, pourtant, que je n' ai jamais eu de relations avec une autre femme.

Cela doit être l'une de ses missions de soumission. Je dois donc me laisser faire. Pendant que je réfléchissais, ses lèvres s'étaient rapprochées de mon intimité et sa langue commençait déjà à explorer. Mon corps en frissonnait de plaisir ! Je suis incapable de résister au plaisir offert par une langue à cet endroit. Cela plut à Maître. Il décida alors de s'approcher de son ancienne soumise, et après quelques baisers placés le long de son corps, il entreprit de la déshabiller. C'était une belle femme, un corps assez fin agrémenté d'une paire de seins ronds qui pointaient odieusement. Il m'est venue une irrépressible envie de goûter à ces seins, de les embrasser comme elle avait embrassé les miens. Comme Maître était encore derrière elle, rien ne pouvait me retenir de le faire et je me suis redressée pour pouvoir y accéder. Le Maître m'a laissé faire au début, mais dès que mes lèvres se sont posées sur son téton déjà dur, il se releva et nous entraîna dans sa chambre. Il nous fit nous agenouiller toutes les deux et se mit debout devant nous. Elle défit les boutons du pantalon du Maître et j'arrachais son caleçon. Sa bite était enfin visible. Elle paraissait déjà très dure, comme si elle savait ce qui allait se passer. La femme repoussa Maître sur le lit, et nous placions à genoux de chaque coté de son corps. Elle fut la première à se saisir de sa bite et la prit en bouche. J'enlevais la chemise de Maître et j'embrassais son corps découvert un peu plus à chaque bouton. Ensuite, je m'approchais de sa bite pour qu'on la lèche ensemble. Elle est devenue si grosse, je ne pensais pas qu'elle pouvait l'être autant. Il se redressa, se leva, attrapa mon cul pour me faire mettre à quatre pattes au bord du lit et entra sa bite d'un coup de rein au plus fond de moi. Qu'est ce que j'aime quand il me baise fort. J'adore sentir toute sa fougue, toute son envie dans chacun des vas et viens qu'il m'offre. Son autre soumise viens se placer devant moi, sur le dos et jambes écartées, me révélant son sexe totalement épilé, déjà un peu mouillé. Maître m'intima l'ordre de m'en occuper. Je commençais avec un doigt, pour faire connaissance avec ces lieux à la fois familiers et inconnus. Je le faisait glisser très délicatement sur son clitoris, puis près de sa petite chatte qui mouillait de plus en plus, guettant chaque signe de plaisir et essayant de reproduire ce qui me plaisait le plus. J'étais totalement concentrée sur ce sexe qui m'était offert que j'en oubliais presque que Maître me baisait, même si un coup de rein particulièrement fort me rappela à lui. A présent mon corps frémissait de plaisir à chacun de ses mouvements, et j'eu un grand mal à me concentrer à nouveau pour reprendre ce que j'avais commencé. Je me mis sur les coudes et j'attirais cette chatte au plus près de moi pour pouvoir y goûter. D'abord je jouais avec son clitoris, je le caressais avec ma langue, alternant délicatesse ou plus vite. Je m'approchais ensuite plus de sa chatte, laissait ma langue glisser tout autour, avant de la pénétrer du bout de ma langue. J'adore cette sensation quand une langue chaude et humide viens à l'entrée de cet endroit encore plus chaud et humide, et je crois que elle aussi. Je dois retenir son corps de mes deux mains pour ne pas qu'elle bouge trop. Son corps se cambre sous l'action de ma langue. Je la relâche alors un instant, pour me laisser envahir du plaisir que Maître est en train de m'offrir. Mon corps s'anime du spasme de ma jouissance. Je croyais qu'il allait la baiser elle maintenant, mais il me demande de préparer son cul à la place. Elle se retourne pour me laisser voir ses magnifiques fesses. Je passe un doigt dans sa chatte dégoulinante de plaisir pour l'humidifier, puis j'entreprends de lubrifier son petit cul. D'abord le tour, puis je commence à faire rentrer un doigt. Elle doit être habituée à ça, car elle en gémis déjà de plaisir. Pendant se temps, Maître est silencieux. Derrière moi, il doit être en train de se délecter de la vue. Il me semble même entendre sa main caresser son puissant engin. Je continue alors cette préparation en faisant entrer un deuxième doigt. Il rentre sans mal et je peux les faire glisser facilement. Comme Maître n'a pas encore dit vouloir rentrer sa bite dans ce cul, je continue avec un troisième doigt, ce qui me me permet de lui arracher un cri de plaisir. Maître décide alors de me remplacer, mais il me demande d'abord de lui faire lécher mes doigts. Et pour me récompenser de mes bonnes actions, j'ai le droit de demander un cunni à cette femme dont il baise le cul avec envie. Et maintenant que je me suis habituée à sa langue, je peux me laisser aller à une jouissance totale.

(à suivre)