Joyeux Anniversaire

Cela va bientôt faire un an que je connais Maître A. Durant cette année il y a eu de très bons moments, mais aussi des mauvais. Nous avons tous deux des caractères assez fort et puissants, et il est vrai que je peux être une soumise très indisciplinée par moment et peut-être provocatrice à d’autre.
Afin de fêter notre anniversaire de rencontre j’ai organisé une soirée. Une soirée en son honneur, en l’honneur du seul Etre capable de me faire taire ou de se faire respecter sur un simple regard.
J’aime quand il pose ses yeux noirs, sévères, sur mon corps, d’un coup je me sens me déposséder !
S’était un vendredi soir, lumières tamisées, j’avais cuisiné toute l’après-midi pour lui. Apéro au champagne accompagné de quelques toasts de foie gras, un menu de roi avec du bon vin de Bourgogne et le dessert, moi, servie avec des jouets de toutes sortes, fouet, vibromasseurs, menottes, complètement nue sur mon lit … le grand jeu ! Je voulais le flatter et lui dire par cet acte que j’avais compris.
Il arriva, ponctuel comme à son habitude, le visage fermé, pas de bonsoir - il me perturbe- me prend par le coup, me colle contre le mur et m’embrasse. Il exige que je passe le repas habillée dans une tenue qu’il affectionne, soit un haut en grésilles, un porte jarretelle et des bas, le tout en noir et à ses pieds, comme une chienne … il ne fit même pas attention à la décoration de ma table. Il s’assit sur le canapé, et me demanda de le servir. Préalablement il m’a ordonné de ne pas parler et d’être sa chienne à lui, et pour une fois il aimerait être fière de sa soumise et que je lui obéisse au doigt et à l’œil !! J’avais juste envie de lui convenir, de lui plaire parfaitement le temps d’une soirée …. Alors j’obéis.
Je lui servi, assiettes par assiettes, verres après verres, devant son programme TV favori.
Une fois repu, il exigea une fellation, je n’ai pas eu le temps d’acquiescer que son si beau chibre était déjà dans ma bouche.

Il prit un plaisir sans nom à me pénétrer par la bouche, une fois de plus il s’arrêta brusquement et de son index me montra la chambre et me dit d’une voix douce :
« tu y vas comme une chienne !» Je m’exécute … Arrivés dans la pièce des délices, tous nos jouets étaient alignés sur mon lit.
Il me dit de m’allonger sur le lit (ventre côté du matelas), puis il m’attacha par les poignets avec les menottes, les jambes avec un ruban. Il me caressa avec sa main délicatement, tout le long de mon corps, puis de même avec la cravache. Et je me pris quelques fessées, je ne rechigne pas, je l’ai mérité, il se « venge » de ma désinvolture … Je sens en moi un certain désir monter au fur et à mesure des fessées. Il s’amuse avec moi pendant quelques minutes, à jouer, à alterner entre fessées caresses, insertion de doigts et vibromasseur dans ma petite chatte déjà bien trempée !
Puis viens l’instant de la pénétration, son sexe raide comme un « I » glissa entre mes cuisses et s’inséra dans mon vagin, je le sens, que c’est bon. J’aime sa bite, elle est si belle, si parfaite et elle me fait tellement de bien … Ses coups de reins vont de plus en plus fort, mes poings se serrent, ma mâchoire se crispe, mes yeux deviennent de plus en plus humide, je jouis presque, quelques bruits sorte de ma bouche, je ne peux me contenir : « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH c’est bon ! Vas-y plus fort ! » Criais-je.
A ce moment-là tout s’arrêta !
Il m’annonça : « je n’ai aucun ordre à recevoir d’une chienne désobéissante, comme toi !
Ce sera tout pour ce soir ! »
Il me détache, et parti en claquant la porte !

Me voilà seule, sur mon lit, presque nue, à me poser mille questions sur son départ …