Ma Confession

Ma confession.

Mon amant m'a quittée. Je suis dans tous mes états. Dimanche, comme toujours je vais déjeuner chez ma mère, divorcée depuis longtemps, sans amant visible. Quand je lui fais part de mon désarroi, elle me console, comme elle peut. Elle me demande sans pudeur comment je baisais, comment je me faisais mettre. Elle veut plein de détails que je lui donne à contre cœur.
Elle est satisfaite que je sois sensuelle, que j'aime beaucoup de chose, comme elle. Je n'imaginais jamais ma mère se faire baiser, se faire mettre. Elle avoue des choses que je garderais pour moi, elle aime se faire baiser, enculer, sucer, elle aime le sperme dans la bouche, m'envie de ce coté là de pouvoir le faire : elle est seule en ce moment, il lui manque une vraie bite, même si elle se contente avec un gode. J'ose lui demander l'impensable : qu'elle se masturbe devant moi avec le gode. Elle refuse absolument, elle n'est pas faite pour s'exhiber, en plus devant sa fille. Par contre elle me donne un vieux gode, le premier qu'elle a eu de la part de mon père. Elle me montre un ancien machin, enveloppé dans un préservatif. Je lui demande si je ne la prive pas. Non pas du tout, elle a ce qu'il faut. J'imagine en un éclair ma mère couchée les jambes ouvertes, le gode dans son sexe, le faisant aller et venir jusqu'à l'orgasme que je suppose fort.
Dès on retour chez moi, je repense au cadeau de ma mère. Il est dans mon sac. Je le ressorts pour le voir de plus près. Je pense aux orgasmes qu'il a donné à maman. C'est vrai qu'il est à la taille voulue, assez long. J'ai envie de l'essayer pour voir ce qu'il donne comme plaisir. Je reste sur la chaise, je me mets en position : Le gode dans ma main est posé sur le sexe. J'écarte les lèvres pour le mettre.
Je mouille de plus en plus. Il faut que je me baise. Je vais doucement, très doucement pour le mettre. C'est très agréable de le sentir entrer. Je le retire pour recommencer. Je sens ma mouille contre la main qui le tiens.

Je la lèche en dégustant mon jus. Si j'avais une langue là, dessus ! Je rêve d'une langue de fille, moi qui aime les bites. Je me lime le con jusqu'à, l'orgasme. C'est moins bon qu'avec un vrai sexe bien dur et souple. Mais ma mère s'en contentait, non ?
Je verrais ce soir dans un lieu que je connais : il suffit d'y chercher un peu pour trouver une bite et le bonhomme qui la tient.
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C'est fait, j'ai trouvé hier ce qu'il me fallait. Il avait une bite longue, trop pour mon cul. Sa grosseur convenait pour ma bouche. Je me suis régalée deux fois de son sperme. Il me l'a mise plusieurs fois. J'ai pris mon pied mieux qu'avec le gode. Dommage encore pour la sodomie. Il voulait me revoir. Pas question : il ne sait pas où j'habite.
En plus une vieille amie doit venir passer quelques jours en ville. Je sais que nous allons nous aimer comme à chaque fois. J'aime assez ces câlins entre filles, surtout avec elle qui m'a appris comment aimer une copine. Je me passerais d'hommes quelques jours. Elle sait bien comment me contenter tant dans le con que dans le cul, surtout au cul avec sa langue.
Si c'est comme la dernière fois, elle voulais que je la suce et qu'un homme l'encule, je pourrais faire pareil. C'est d'ailleurs bon de se faire lécher un coté et limer de l'autre. En plus j'adore le goût et l'odeur de la cyprine, surtout la sienne.
Ça ne s'est pas passé comme je voulais. Nous n'avons pas eu d'amant. Nous nous sommes contenter entre filles. Si je me suis régalée de la lécher, elle m'en a fait autant. Nous avons usé la position du 69. Nous nous sommes baisées avec les godes. Elle en a un neuf, un vibrant. Ça ajoute au plaisir, allié à sa langue très agile sur le clitoris. Je la contente avec mon gode, que je lui mets dans l'anus. J'aime bien sucer une fille, avaler son bouton, lécher son con et lui mettre un gode dans le cul : même celle qui n'aiment pas les hommes préfèrent ma façon de les enculer.

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