Manon 2
Bonjour à tous, je précise que ce récit est la suite directe de "Laure 1".
Mes vacances d'été se poursuivaient agréablement dans le Gard. Il faisait beau, il faisait chaud, j'étais avec des amis, la bourgade où nous étions comportait une piscine municipale, une boîte de nuit, des centres commerciaux, en gros tout ce dont des jeunes pouvaient avoir besoin pour passer de bonnes vacances. Ajoutez à cela que j'étais en compagnie de 4 belles jeunes filles, et que le soir même de notre arrivée, j'avais couché avec l'une d'entre elles, ma meilleure amie Laure, et vous comprendrez pourquoi ces vacances s'annonçaient si bien...
Le lendemain de notre arrivée, Katherine Margot Laure et Karl décidèrent d'aller au centre commercial. Je décidais de rester à la maison, parce qu'après avoir passé une longue nuit à baiser Laure, j'avais la flemme d'aller au centre commercial dés le matin. Je n'étais d'ailleurs pas le seul à faire défection : Manon la copine de Karl avait décidé de faire la grasse mattinée et restait au lit. Elle se leva vers 10h du matin, et après avoir pris son petit déjeuner s'être habillée et lavée les dents, elle vint me rejoindre devant la télé, où j'étais vautré parresseusement depuis une demi heure. Elle s'assit à côté de moi et me dit en souriant :
"Alors Don Juan t'as du mal à te remettre de tes exploits de cette nuit ?"
"De quoi tu parles ?" Demandai je sans comprendre.
"De Laure et toi, je vous ai entendus gémir toute la nuit, elle avait l'air d'apprécier ce que tu lui faisais... J'ai pas pu dormir de la nuit d'ailleurs !"
"Ah désolé..." dis je un peu gêné. Puis je rajoutais : "Ceci dit toi aussi t'as pris ton pied cette nuit, je t'ai entendue avec Karl..."
"Pff tu parles, je simulais oui ! C'est vraiment un mauvais coup, rien à voir avec toi, et je sais de quoi je parle !"
Cette remarque eut le don de me donner brusquement chaud : Manon et moi avions effectivement couché ensemble 2 mois auparavant, malgré le fait qu'elle soit en couple.
Je me hâtais donc de changer de sujet de conversation, et 5 minutes plus tard, "l'alerte" était passée, nous parlions de choses tout à fait banales, et qui ne risquaient pas de nous donner envie de nous envoyer en l'air. Mais soudain, Manon répéra "par hasard" un objet traînant sur le sol, et en fille serviable, elle se leva et se pencha pour le ramasser... me collant ainsi son magnifique postérieur juste sous le nez... Une vague de chaleur se déversa en moi, et une envie soudaine me prit de saisir Manon et de lui faire l'amour sauvagement. La belle blonde se retourna et vit l'état dans lequel j'étais. Elle sourit et me dit :
"T'es entrain de mâter mes fesses là ?"
"Fais pas ta sainte nitouche, tu me les mets pratiquement sous le nez !" Répliquai je.
"C'est vrai, et ça te met dans un état !" Dit elle en désignant mon pantalon, où l'on pouvait voir une bosse se former.
"C'est pas ma faute si t'as un beau cul quand même !" Dis je pour me défendre.
Manon ne répondit pas, mais se pencha vers moi et m'embrassa langoureusement.
Rapidement, Manon et moi nous séparâmes et fîmes semblant de regarder la télé. Karl, suivi par les filles, il embrassa sa copine sans remarquer qu'elle était assez rouge... Katherine qui suivait Karl observa Manon un instant avant de me regarder d'un air soupçonneux, cependant elle ne fit aucune remarque.
La journée passa lentement, Manon et moi nous nous évitions, de crainte que le désir nous rende fous, cependant je sentais bien qu'une grosse tension sexuelle s'était installée entre nous et qu'elle ne faisait que grandir...
Le soir venu, après le dîner, j'étais dans la salle de bain entrain de prendre ma douche quand tout à coup, j'entendis la porte de la salle de bain se vérouiller. J'ouvris les rideaux de la douche pour découvrir Manon nue en plein milieu de la salle de bain. Elle me sourit et sans un mot me rejoignit sous la douche.
Nous nous embrassâmes immédiatement d'abord doucement, puis de plus en plus sauvagement. Nous étions trempés et collés l'un à l'autre, nous nous caressions le corps, laissant des sillons brûlants derrière nous, l'excitation me prenait de plus en plus, et je finis par craquer et mettre fin aux préliminaires : je retournai Manon, la plaquai contre le mur de la douche et la pris debout en levrette, allant et venant en elle à un rythme aussi élevé que j'étais excité (c'est à dire à un rythme très élevé !), ceinturant son corps d'une main pour la maintenir et mieux la baiser, et de l'autre lui baillonnant la bouche afin qu'elle ne laisse pas de gémissement lui échapper.
Comme Manon était grande, je n'avais pas besoin de la soulever pour la baiser debout, ce qui était plutôt coo. Je pus la pénétrer direct, et reprendre mes vas et viens. Cette fois ci, je pouvais contempler son beau visage décomposé par le plaisir que je lui infligeais, et j'avais également ces magnifiques seins à portée de main, je ne me privais donc pas de les masser, tout en baisant de plus en plus sauvagement Manon. Celle ci m'attira contre elle et nous nous embrassâmes furieusement, jusqu'à ce que soudain la poignée de la porte s'abaissa : quelqu'un cherchait à entrer, mais heureusement, Manon avait fermé la porte. La voix de Karl retentit :
"Ma chérie c'est toi sous la douche ?"
"Oui mon amour ! Répondit Manon."
Amusé par la situation, je repris mes vas et viens, Manon se retint de gémir, et de crainte que je ne trahisse ma présence, elle me mit la main devant la bouche.
"Tu viens bientôt te coucher ? Demanda Karl"
"Oui, oui ! J'arrive ! " dit Manon retenant de justesse un petit cri.
"Tu sais pas où est ton pote ? Laure le cherchait !"
Manon mit du temps à répondre, de peur de lâcher un gémissement.
"Non je sais pas, je crois qu'il voulait aller en ville !"
"Ah ok, il doit vouloir draguer, j'ai entendu dire que c'était un dragueur, et un sacré bon coup ! Dit Karl en riant.
"Bof je crois que c'est exagéré ! Répondit Manon en me jetant un regard moqueur."
Décidé à répondre à sa provocation, j'accélérai brutalement le rythme de mes attaques, et Manon ne put retenir un petit gémissement de plaisir. Heureusement pour elle, Karl semblait être parti discuter avec les filles dans le salon. Je la plaquai contre le mur et l'écrasai de mon corps, la baisant profondément, je lui murmurai à l'oreille tout en lui titillant son clitoris :
"Alors comme ça je suis pas un bon coup ?"
Elle lâcha un nouveau petit gémissement, qui valait toutes les réponses du monde. Sur ma lancée, je me mis à la baiser plus fortement encore, et la pillonnai jusqu'à ce que nous eûmes tous les deux un monstrueux orgasme.
Nous sortîmes discrètement de la salle de bain, ravis de cette baise très intense.
Un peu plus tard dans la soirée, alors que je regardais la télé, Manon m'appela depuis le couloir qui menait aux chambres. Je la rejoignis, curieux.
"Qu'est ce que tu veux ? Lui demandai je."
"Tu sais que Karl est entrain de dormir ? Me répondit elle avec un sourire coquin. Ca te dirait de reccomencer nos... activités ?"
"On risque pas de le réveiller ?"
"Non t'inquiète, je lui ai donné des sominifères il risque pas de se réveiller !"
J'étais sceptique, et m'apprêtais à protester, mais Manon ne m'en laissa pas le temps : elle se plaqua contre moi et m'embrassa furieusement. Je lui rendis immédiatement son baiser, et me laissai entraîner dans la chambre. Manon referma la porte derrière nous, et me plaqua contre la porte, m'embrassant le cou et me massant le sexe.
Je la repoussai et la poussai sur le lit. Elle s'étala de tout son long, tombant sur Karl qui ne se réveilla même pas.
Très excité, je déshabillai Manon, et lui dévorai ses beaux seins, avant de me déshabiller à mon tour. Après quoi, sans plus de préliminaires, je la pénétrai et la baisai en missionaire. J'allai et venai au dessus d'elle, d'avant en arrière, satisfait de la voir se tordre de plaisir et de l'entendre gémir doucement. Je trouvai aussi très excitant de baiser Manon sous les yeux (endormis) de son copain ! Tout en baisant la belle blonde, je l'embrassai langoureusement. Manon m'attirait contre elle, me serrant avec ses bras et ses jambes, désirant visiblement que nous étreignions plus, jusqu'à ce que nous soyons si serrés l'un l'autre que l'on aurait eu du mal à nous différencier l'un de l'autre. Manon voulut ensuite reprendre le dessus, mais je ne la laissai pas faire. Je la maintins de force sous moi, et entrepris de la baiser toujours en missionaire, mais plus sauvagement cette fois ci : je me mis à faire de terribles vas et viens, qui à chaque fois allaient très profondément en elle et lui arrachaient un gémissement de plaisir très excitant qui me poussait à la baiser encore plus fort. Très excitée, Manon se mit à me griffer le dos, et du coup, je lui plaquai les mains contre le matelas, histoire de bien lui montrer qui était le patron. Totalement maître de la situation, j'accélérai encore le rythme de mes vas et viens, et Manon se mit à crier carrément, à hurler "oh ouuiii ! Vas y putain c'est trop BOON !" et malgré ses cris, Karl ne se réveilla pas, il se mit au contraire à ronfler. Je décidai de changer de position, et retournai Manon pour la prendre en levrette.
Manon se mit à 4 pattes au dessus de son copain endormi, et je vins la prendre par derrière. Je la saisis par les hanches, et me mis à la baiser avec force, allant et venant en elle à un rythme très élevé. Manon se mit aussitôt à gémir de plaisir, gémissements qui redoublaient lorsque je lui claquais les fesses pour la stimuler. Je culbutais Manon si fort qu'elle en était ballotée, et que régulièrement elle touchait Karl. Le lit tangait même sous mes coups de reins. De plaisir, Manon tapait le mateals, tandis que moi je sentais le plaisir monter en moi en vagues dévastatrices. Sentant l'orgasme approcher, j'accélérai une dernière fois le rythme, et baisant Manon avec une intensité nouvelle, j'explosais dans un orgasme dévastateur en même temps qu'elle.
Ivres de plaisir, nous nous effondrâmes tous les deux sur le matelas. Puis, je quittai la chambre et allai me coucher dans la mienne. Ces vacances dans le Gard se passaient à merveille, et je sentais bien que ce n'était que le début !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!