La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 436)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°435 - Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière – (2/3) -

Compelled MDE ingurgita cette boisson tiède au goût doucement acre et quelque peu salée sans faire d’histoire, il ne fallait pas qu’il en rajoute. Madame Marie se rhabilla, après avoir fait humer longuement sa petite culotte à l’esclave appuyant fortement de sa main son string sous les narines du soumis, afin de l’humilier un peu plus, avant d’en changer en allant prendre une autre toute propre dans un de ses tiroirs, elle enfila aussi une jupe étroite et courte, son chemisier blanc. Devant une glace, elle brossa ses cheveux et les laissa tomber sur ses épaules, passa un stick rouge vif sur les lèvres, s’appliqua un peu de crème sur le visage et refis son contour d’œil avec un crayon noir. Elle se sentait bien, en pleine forme même. Ses yeux vifs et noirs comme la braise, lui donnait un regard plein de vie. Elle regarda avec attention ses ongles, son vernis par endroit s’écaillait, il faudrait qu’une soumise-femelle vienne les lui repeindre… Elle ne s’intéressait plus guère à celui qui lui avait donné tant de plaisir, le laissant mijoter dans ses appréhensions, ses craintes et ses tourments, la culotte de Marie sur le visage, il avait reçu l’ordre de rester ainsi immobile… Il serait puni, sévèrement, tout au long de cette journée afin qu’il comprenne le bien fondé des ordres donnés. Elle quitta la chambre un long moment, laissant sa proie attachée, toujours membres en croix sur cet immense lit… Au bout d’une heure, elle revint, son regard se porta sur compelled MDE et plus particulièrement sur ses attributs mâles. Elle s’approcha de lui, afin de lui ôter la culotte de sous son nez, mais aussi souleva du bout des doigts, comme par dédain sa nouille flasque, puis s’intéressa un tant soit peu à ses couilles avec arrogance.

- Tu sembles calmer ma pute ! lança-t-elle.

compelled MDE ne pipa mot.

Il fermait les yeux, honteux d’avoir désobéi. Madame Marie attrapa dans un des tiroirs d’une commode ancienne, une grande boite qu’elle posa sur le lit. Elle l’ouvrit près de compelled MDE et en sortit une multitude de pinces en tout genre : Des petites, des grosses, des énormes… Elle attrapa la base de la queue de compelled MDE, fit rouler son pouce et son majeur sur la peau fine de cette queue flasque et posa une première pince, puis deux, puis cinq, puis dix tout le long de la hampe du sexe de l’esclave. Pour terminer, elle fit rouler le prépuce sur le gland et le serra avec une pince. compelled MDE serrait les dents, fermait les poings pour retenir ses cris de douleur… Marie la cuisinière reprit d’autres pinces encore et cette fois-ci les plaça sur la peau flétrie des couilles du chien. Elle en mit une bonne dizaine sur chaque couille, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucun espace libre, aucune possibilité de pincer le moindre morceau de peau… elle souleva les couilles du puni, les agita, jusqu’à ce qu’elle entende crier compelled MDE. Le comble est que cette fit bander l’esclave mais cette érection douloureuse à cause de la compression des pinces sur la hampe et le gland accentuait extraordinairement l’excitation du soumis-masochiste.

- C’est par là que tu as péché salope, ce doux traitement va te faire regretter d’avoir pris ton pied chienne !... Mais… ? Mais, tu en bandes, espèce de chienne en chaleur … Attends un peu … Je vais te faire passer l’envie de bander espèce de cabot…

La était donc loin d’être finie… Madame Marie posa encore et toujours des pinces sur ce corps offert, d’abord à l’intérieur des cuisses de compelled MDE, une dizaine de part et d’autre. Ensuite quatre dans l’interstice de ses orteils droits, puis autant sur le pied gauche, elle s’intéressa ensuite aux tétons de compelled MDE, elle mit sur chacun d’eux, deux grosses pinces bien mordantes.

- Aaah…. Aah ! Pitié Madame… haletait compelled MDE
- Pas de pitié pour les chiennes désobéissantes, tu entends salope ! Vociféra-t-elle, tu vas voir comment je m’occupe de ceux qui ne savent pas se retenir quand ils n’ont pas droit à la jouissance … Mais aussi à ceux qui bandent dès qu’ils ont quelques pinces sur leur nouille …

La cuisinière continua encore, plaça des dizaines de pinces de partout, sous les bras de compelled MDE, sur ses oreilles, deux petites sur les sourcils, deux autres un peu plus grosses sur le nez, le tour de la peau du cou du soumis, enfin, elle plaça deux pinces énormes sur ses flans, quand il ne restait enfin plus que trois pinces dans la boîte…

- Et celles-ci où vais-je les mettre ?

Elle souleva sans ménagement les couilles du martyrisé.
compelled MDE hurla et banda de plus belle. Il n’y avait vraiment plus de place, alors elle les agrippa sur le périnée du chien… Puis elle contempla longuement son œuvre tel un artiste peintre après avoir terminé un tableau…

- Bien ! Belles décorations pour notre compelled MDE… dit-elle après avoir pris un peu de distance, puis elle reprit : Je fais te faire voir à quoi tu ressembles chienne ! … Humm ! Tu es magnifique comme ça… Après tout, et bien réfléchi, tu me plais ainsi, j’accorde donc le droit de bander, ça donne finalement une décoration supplémentaire à ton accoutrement, ah ! ah ! ah !, dit Marie en éclatant d’un rire moqueur…

Elle détacha les membres de compelled MDE et lui ordonna de se lever en lui imposant de faire très attention de ne faire tomber aucune pince : Pas une mince affaire, pour lui ! Son corps entier souffrait, bien difficile fut sa démarche jusqu’à ce chevalet installé devant un immense miroir. Les pinces s’entrechoquaient et à chaque fois une douleur intense le terrassait… et le faisait toujours aussi bander. Son gland comprimé par la pince était d’un violacé sombre.

- Pose tes mains sur le chevalet, cambre ton cul de salope et regarde toi, ne te trouves pas tu très mignon ainsi…

Madame Marie avait attrapé une badine très souple et flexible, elle la montra à compelled MDE en lui disant.

- Dix coups sur ton cul, à chaque heure qui passe, voilà ce que tu mérites !

Marie La cuisinière fit cingler l’air, puis le premier coup tomba sur le fessier exposé de compelled MDE. Sans rien qu’il ne lui soit demandé il décompta, remercia à chaque coup reçu, ne bougea pas, se contentant de serrer les mâchoires à sans faire mal aux dents et à tenir fermement le chevalet de ses deux mains. Elle se pencha un peu pour regarder attentivement l’entrejambes du soumis :

- Mon dieu que j’aime voir ça… un joli cul bien strié avec une belle nouille pincée et… bandée… !

compelled MDE avait pu retenir ses plaintes et ses cris mais pas ses larmes.
Madame La cuisinière s’en aperçu, elle fit le tour du chevalet lui redressa la tête, caressa l’une de ses joues, le regarda droit dans les yeux.

- Souffre mon petit chéri, apprend à aimer la douleur, ça doit être facile car je constate comme elle t’excite, espèce de chien-masochiste, fait moi plaisir encore, d’une autre manière, donne-moi tout ton être, je le veux !

Sa voix était douce, étrangement douce, contraste saisissant avec les propos tenus quelques minutes auparavant. Un savant moyen d’encouragement pour compelled MDE.

- Ou… Oui Madame… j’apprécie votre traitement, fut-il douloureux, mon corps tout entier vous appartient ! Et… j’aime ça… j’aime… avoir mal… J’aime souffrir…Ca m’excite…
- Non mon chien, ton corps, ton esprit, ton âme appartiennent au Maître et Seigneur de ces lieux et pas à moi… je te laisse y réfléchir, je te laisse dans ton acceptation, dans ta résignation, ne bouge pas, reste ainsi jusqu’à mon retour, n’oublie pas non plus de bien cambrer ton beau petit cul ! …

Madame Marie caressa une dernière fois la joue de compelled MDE, une main glissa sur ses fesses tendues. Elle quitta la pièce en laissant seul le chien en proie à ses tourments du moment. Oui seul, sans attache, sans lien, sans cordage, libre de ses mouvements, libre, s’il le voulait, d’ôter ces foutues pinces, au moins celles les plus terribles. La perversité de Madame la cuisinière s’affichait au grand jour : Elle voulait voir si compelled MDE était bien dans cet asservissement déclaré, elle voulait tester sa résistance à la douleur et sa volonté d’obéissance, elle voulait être sûre des engagements de ce soumis, elle voulait simplement le voir abdiquer ! Et compelled MDE résigné, volontaire, déterminé, abdiqua. Il ne bougea pas d’un iota, resta tel que pendant près de trois quarts d’heure. Lorsqu’elle réapparut, elle était accompagnée de la soumise-femelle Emeline MDE. Son magnifique corps, elle aussi, était couverte de pinces.
Madame Marie exigea à compelled MDE de se redresser de faire demi-tour, et de se placer face à cette chienne lubrique.

- Vous avez exactement le même nombre de pinces sur vos corps respectifs. Vous allez vous les ôter, une à une, chacun votre tour, mais pas n’importe comment, seulement en utilisant que votre bouche et vos dents ! Vous avez bien compris ce que j’attends de vous : Interdiction d’utiliser vos mains. compelled MDE commencera à enlever une pince sur le corps d’Emeline MDE, puis Emeline MDE à son tour ôtera une pince sur le corps de son congénère et ainsi de suite. Vous avez un quart d’heure seulement. Et qu’aucune pince tombe par mégarde sinon, vous serez châtiés tous les deux sans que je cherche à savoir qui aurait fait tomber la pince à terre…

Madame La Cuisinière s’installa dans un fauteuil face aux deux soumis et donna le top chrono… Sans attendre les deux soumis commencèrent à exécuter les ordres dictés. Exercice bien difficile pour les deux acolytes, certaines pinces beaucoup trop grosses pour que leurs mâchoires les attnt, les ouvrent durent être simplement arrachées avec le bout des dents, d’autres placées sur leurs sexes provoquèrent des douleurs bien difficiles à supporter lorsque l’afflux de sang irriguait de nouveau la zone mise à l’épreuve, mais excitaient visiblement les deux esclaves. Chacun leur tour, ils exprimaient des plaintes, des gémissements, parfois même se mettaient à hurler et se tordre de douleur… et de plaisirs masochiste aussi ! Madame Marie, elle, pendant ce temps, prenait un réel plaisir à voir ses deux pantins se faire souffrir et s’exciter ainsi mutuellement, du vice à l’état pur, du sadomasochisme par excellence, mais quel beau spectacle se disait-elle. Elle avait remonté ostensiblement sa jupe, écarté son string, et largement ses cuisses puis se frottait son sexe avec deux de ses doigts. Sa perversité l’excitait et elle aimait se branler le clitoris devant ce genre de scène. On l’entendait parfois haleter et gémir… Enfin la était terminée, tout au moins celle-ci… Par chance ou grande précaution, aucune pince ne tomba malencontreusement. La Domina se redressa, mit ses doigts trempés dans la bouche de compelled MDE puis dans celle d’Emeline MDE. Elle attrapa le chien par l’anneau de son collier et les fit tenir tous les deux, buste droit et agenouillés, cuisses écartées et mains dans le dos et immobiles ainsi en position d’attente. Il bandait fort. Alors elle le fit mettre à quatre pattes et lui attacha une laisse pour le mener dans le petit cabinet de toilette de la chambre, et lui imposa de se positionner sous la douche. Elle prit le pommeau du robinet et lui passa de l’eau froide sur la nouille, afin de lui faire refroidir ses ardeurs. L’effet physique fut immédiat, il débanda de suite mais Marie intervint rapidement avant qu’il se remettre à bander fortement sachant que la situation l’excitait de nouveau. Alors elle lui réinstalla et fixa au plus vite avec dextérité la cage de chasteté et empoigna de nouveau la laisse au collier de compelled MDE. Puis elle y tira dessus, prenant bien soin de garder cette bride suffisamment proche du sol pour forcer compelled MDE à garder le corps courbé en deux, elle l'entraîna d'un pas rapide vers le pilori posé au sol, ouvert, trônant au milieu de la chambre.

Là, Marie lui força la tête et les mains dans les ouvertures avant de refermer le carcan. Elle poussa ensuite le loquet, et le corps de compelled MDE se retrouva soudain prisonnier de l'appareil, plié en deux, les jambes à la verticale, son torse parallèle au sol, sans aucun espoir d'évasion. Aucun ! La cuisinière savait qu’il était l’heure de la punition. Elle commença à lui chauffer consciencieusement le postérieur cambré à l'aide du martinet dont elle s’était équipée. Elle ne chercha pas cette fois à lui réchauffer progressivement le derme comme par une caresse. Elle fessait avec force dès l'introduction, avec pour but de punir et de faire mal. Elle continua le va-et-vient brûlant sur les fesses de compelled MDE pendant un certain temps. La tête et les mains coincées dans le carcan, celui-ci n'avait aucun repère pour anticiper les coups. Il ne pouvait que subir leur choc arrivant toujours à l'improviste. La douleur de ne pouvoir bander dans la cage accentuait l’excitation mentale. Puis les assauts des lanières de cuir cessèrent…

Madame la Cuisinière, ensuite, approcha un petit appareil électrique muni de deux fils avec deux pinces aux extrémités tel un chargeur de batterie. Alors elle brancha l’appareil et envoya une copieuse décharge en basse tension afin que cela ne soit pas dangereux mais suffisamment douloureux sur le bas de la fesse droite de compelled MDE. Celui-ci poussa un cri et comprît, à la douleur ressentie, la nature de l'instrument. Madame Marie avait saisi la badine, instrument qui avait ses faveurs et qu'elle maniait avec une habileté diabolique. Elle frappait en alternance avec l’appareil électrique sur toute la surface du séant exposée du chien et augmentait l'intensité des coups à mesure que la correction avançait. compelled MDE ne pouvait plus, désormais, retenir un cri à chacun des dix impacts électriques mais sentait sa nouille se comprimer fortement dans la cage tant il en était excité. Les pinces de l’appareil lui envoyaient des décharges électriques jusqu'au fond des os et de ses entrailles. (A défaut de se répéter), il sentit pourtant encore et encore que dans la cage, son sexe en redemandait ! L'organe était uniquement frustré de ne pas être libre. Clairement et contre tous ses instincts primaires, compelled MDE prenait un plaisir incroyable à se faire violemment fesser par cette vicieuse cuisinière.

- Alors la salope tu ne me remercies point, veux-tu que je recommence ?
- Je… Je… vous … vous présente mes plus vifs remerciements Madame Marie, se dépêcha de dire compelled MDE.
- Ton cul est très beau ainsi et surtout très chaud…
Compelled MDE resta ainsi, cherchant à reprendre son souffle. La soumise-femelle Emeline MDE immobile avait assisté au spectacle agenouillée et sans broncher. Madame La Cuisinière l’interpella sitôt la punition de compelled MDE terminée.
- Tire ce fauteuil près de ce chien et vient me vernir les ongles !…

(A suivre…)

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