Les Culottes De Belle-Maman 2

Il faut que je vous raconte….

Je reviens de Berlin, ou j’ai passé quelques jours avec mon épouse chez mes beaux-parents.

Il y a une quinzaine de jours en rentant du boulot je trouve ma femme très soucieuse, suite à un coup de fil de sa mère. Mon beau père a été emmené d’urgence à l’hôpital suite à un problème intestinal et risque d’y rester quelques temps. Il a eu un accident assez grave quand il était plus jeune et l’ablation de certains organes lui complique par moment, sérieusement la vie.

Les soucis est qu’ils viennent d’entreprendre pas mal de travaux dans leur maison dont principalement le remplacement de plusieurs poutres de la charpente qui était attaquées par des parasites. Avant son accident, mon beau-père était entrepreneur dans le domaine, et a décidé de réaliser par lui-même les travaux. Il a donc recruté des ouvriers qu’il rémunère un peu comme chez nous avec le principe des chèques emploi service.

Du coup il a déposé toutes les tuiles et recouvert la toiture d’une grande bâche. Pas de réel problème si ce n’est l’étage qui est inutilisable pour le moment car il a été complétement vidé du mobilier et les parquets ont étés protégés par des plaques et du polyane.

Ils vivent donc au rez-de-chaussée pour quelques semaines, mais devant l’absence de Fréderic mon beau-Père, la situation risque de s’éterniser car les médecins prévoient de le garder un minimum de 3 mois. Mon beau père a recruté des ouvriers qualifiés, mais ils ne se sentent pas capable de terminer le chantier sans lui. Ma Belle-mère Angéla a contacté plusieurs entreprises et aucune ne peut intervenir avant le mois de septembre.

Inutile de vous préciser l’état dans lequel elle se trouvait quand elle a appelé sa fille ! Elle était complétement paniquée devant cette annonce. Elle et ne se voyait pas camper comme cela pendant plusieurs mois, d’autant qu’ils doivent accueillir un couple d’ami en juillet et ma femme et moi en aout.

Je ne fais que retransmettre la conversation qu’elle a eue avec mon épouse car, pour ma part, je ne trouve pas la situation si terrible. Le rez-de-chaussée est très spacieux. Il suffirait d’aménager provisoirement la bibliothèque en chambre d’ami, et le bureau en leur chambre.

Ce n’est pas une solution qui lui convienne vraiment. Je dois vous préciser qu’Angela, issue d’une famille de la Noblesse Allemande est très BCBG et toujours vêtue élégamment. Elle porte en semaine comme le week-end des tailleurs assez strict un peu sévère et je dois avouer que sa tenue contribue terriblement à la rendre excitante.
Elle n’envisagerait pour rien au monde de vivre dans une petite maison et de mettre une croix sur les réceptions assez grandioses qu’elle organise au moins une fois par mois. Donc vivre sans dressing et qui plus est dans un bureau, même si ce n’est que quelques mois, n’est pas dans ses idées.

Devant son désarroi, j’ai proposé à mon épouse de prendre quelques jours de congé, pour lui venir en aide. De plus, il y a bien longtemps que je n’ai pas humé le bon parfum de ses petites culottes fraichement portées et cela me manque un peu.
C’est ainsi que nous avons pris la route en direction de Berlin.

C’est après 11 h de route que nous sommes arrivés. Angélina est toujours une aussi belle femme. A vrai dire, ce n’est pas qu’elle soit particulièrement jolie, mais elle sait se mette en valeur. Déjà elle est grande et mince, habillée avec classes et surtout elle est séductrice et quand elle m’adresse son petit sourire complice je me mets à imaginer toutes sortes de chose pas très morales.
Pour la maison, elle ne nous a pas menti, c’est un sacré « bordel » ! Le jardin est encombré par plusieurs palettes d’ardoises pour la toiture, des planches et des poutres et même une benne pour les gravats. Un véritable chantier.

La maison, ce n’est pas mieux ! Les meubles de l’étage sont entreposés en partie dans le garage et dans le cellier.
Leur lit a est installé dans la bibliothèque, et on n’aurait du mal à y prendre un ouvrage car des portants couverts de fringues empêchent l’accès aux échelles coulissantes qui supportent elles-mêmes plusieurs tailleurs sur des cintres. Je n’imaginais même pas tout ce qu’elle pouvait avoir comme vêtement.

Par contre, avec deux ou trois costumes et quelques chemises, ce n’est pas mon beau-père qui prend beaucoup de place.
Et donc, j’avais tout faux car le bureau est pour nous. Le mobilier a été poussé sur les côtés pour faire place à un grand lit avec 2 tables de chevet.

Angélina nous fait visiter l’étage qui a subi quelques transformations. La buanderie a été aménagée et une cloison a été installée afin d’isoler la machine à laver et le sèche-linge dans la partie du fond, fermée par une porte. La buanderie complétement transformée en salle d’eau carrelée, avec une cabine douche hydromassante, un lavabo double et un WC. Les étagères et les revues qu’elles supportaient ont été déplacées derrière avec les machines.

Et… mon armoire qui n’a pas changée de place. J’espère qu’elle contient toujours mes petits trésors de tissus mais pas de raison que cela ait changé. J’attends impatiemment le couché pour le vérifier.
Il est tard, nous avons mangé sur la route et Eve tombe de fatigue. Ce soir une petite douche vite fait et au lit.
Pour le moment c’est Angela qui occupe la seule salle de bain qu’il reste pendant les travaux, alors que nous déchargeons les valises avec Eve pour commencer à nous installer.

Je suis passé me laver en dernier, alors que tout le monde était couché. A peine enfermé, j’ouvre le placard magique et sur le panier qui avait conservé sa place, trônait comme un trésor, la culotte du jour d’Angelà. Une mini-culotte noire dentelée posée bien à plat. Je la saisis, la pince entre mes doigts que je frotte l’un contre l’autre comme un tailleur qui vérifie la qualité d’un tissu.

Ahhh… je retrouve ces petites dentelles qui me font tant fantasmer.
Je l’étale sur ma main pour mettre en évidence le petit fond de coton et je suis un peu surpris car il est humide. Tout humide et tout taché. Une tache blanche blanchâtre qui s’étale sur toute la surface de contacte. Aurait-elle mouillée ?

Je commence à m’évader dans mes fantasmes les plus fous et déjà une forte érection me pousse à le porter à mon nez. C’est vraiment une odeur que j’adore. Je pense que ce sont plus quelques gouttes d’urine qui ont mouillé la culotte qu’autre chose. Une remontée de culotte sans s’être essuyée car c’est vraiment trop mouillé pour une excitation. A ce point, elle m’aurait sauté dessus, si tant est que ce soit moi qui l’eut excité, mais revenons sur terre.

Je me délecte et tout en respirant profondément ces émanations, j’ouvre le bac à linge à la recherche d’autres trésors.
J’en ressors 3, dont une particulièrement sale, ou plutôt devrais-je dire maculée. Ce n’est pas possible, elle doit avoir un amant. Comment tâcher autant sa culotte, si ce n’est qu’après avoir fait l’amour.

Après tout, elle n’a plus de relations sexuelles avec son mari, et cela doit lui manquer malgré tout. En plus c’est une femme qui « flash » et beaucoup d’homme se retourne sur son passage. Ce serait tout ce qu’il y a de plus normal qu’elle fasse une petite entaille aux règles du mariage. Je porte également à mes narines mais je ne vois pas la différence avec les autres culottes et retrouve son odeur habituelle.

Et oui, elle a une odeur bien à elle. Toute les femmes ne sentent pas pareil, et je m’en suis rendu compte, force de renifler ses dessous depuis plusieurs années et pas que les siens d’ailleurs. Je suis ce que l’on peut appeler un fétichiste de la culotte usagée et ne manque pas une occasion de me prêter à cette perversion. Dès que l’on est invité quelque part avec mon épouse, je me débrouille pour faire une incursion dans le panier à linge sale qui se trouve généralement dans la salle de bain. Je m’adonne alors à ma passion olfactive et plus si possible.


C’est ainsi que j’ai pu constater cette différence entre les femmes. Il y a bien sur cette odeur d’urine plus ou moins forte suivant les jours ou suivant les femmes, mais c’est toujours une odeur de « pipi » très plaisante au demeurant. Mais en plus, il y a cette odeur de mouille et de pertes qui diffère selon les femmes et je saurais reconnaitre celle de ma belle-mère les yeux bandés sans aucun problème. Et dans ces situations, il n’y a pas que les yeux qui sont bandés.

Je me suis longuement caressé avec ses 4 culottes, emplissant au maximum mes poumons comme pour sentir encore plus à chaque inspiration. Rien de meilleur que ces effluves frais ! J’ai pourtant une collection impressionnante de culottes sales que j’ai dérobées à Angela depuis nombreuses années, et que je renifle assidûment en pensant à elle, mais l’odeur s’estompe avec le temps. En plus, le gros plaisir supplémentaire c’est qu’ici, j’éjacule dedans sachant que le lendemain elle remet cette culotte qu’elle porte toute la journée. Pour comprendre, je conseil à ceux qui ne l’ont pas encore fait, de lire mon premier chapitre avec ma belle-mère.

En temps ordinaire je n’éjacule pas la totalité dans ses dessous mais ce soir je suis trop excité et c’est trop bon. Au moment de jouir, je recouvre complétement mon gland avec sa culotte du jour, une autre collée au nez. Lorsque la sève monte, je ferme les yeux et me laisse aller sans réfléchir. Je décharge tout à l’intérieur! Ensuite, je remets tout en place, reposant sur le couvercle du bac bien déplié comme je l’ai trouvée auparavant, mon larcin tout trempé.

Je m’endors comme un bébé, les narines encore remplies de cet arôme délicieux, qui au petit matin persiste à un tel point, que je dois aller me rincer rapidement de peur que ma femme ne le sente.

Lors du petit déjeuner, j’admire ma belle-mère. C’est vrai qu’elle est séduisante. Même en robe de chambre elle reste classe. J’ai pourtant connu de très belle femme, des super bien foutues, des coquines, des salopes mais Angela me fait bien plus d’effet que toutes les femmes que j’ai rencontré. Je pense que le côté « interdit » de la belle-mère y est pour beaucoup. Se taper sa belle-mère, quand elle est mince et élancée, séduisante et féminine comme la mienne, qui ne fantasmerait pas ? Peut-être vous tous. Peut-être est-ce moi qui suis vraiment pervers, mais j’en doute. Je suis prêt à parier gros que n’importe lequel d’entre vous aurait la même tentation.

Alors que je suis à table, Angela passe derrière moi et tout déposant le paquet de sucre sur la table. Pose une main sur mon épaule. Je suis en tee-shirt et je sens le contact de son sein contre mon dos avec en plus sa main sur moi, ça me donne des frissons pour ne pas dire plus. J’ai l’impression qu’elle est de plus en plus tactile. Déjà la veille en m’embrassant pour me dire bonjour, elle m’a serré très fort contre elle. J’ai sentis vraiment bien sa poitrine bien ferme contre mon torse ce qui était très agréable. En temps ordinaire elle aime beaucoup quand on vient la voir. Je sais qu’elle m’apprécie beaucoup, mais là elle était ravie et c’est la première fois depuis que je connais Eve, qu’elle manifeste aussi fort son enthousiasme. Ce n’est vraiment pas pour me déplaire !

Du coup, je me laisse un peu plus aller. Je tente également quelques contacts mais très légers.
Par exemple, alors qu’elle me dit une chose sur laquelle je ne suis pas d’accord, je l’interromps en posant en même temps ma main sur son avant-bras et maintien ma main durant plusieurs secondes. Ce n’est rien, mais ce contact de ma main sur sa peau et cette complicité du toucher me replonge dans mon adolescence. Les mêmes sensations que les premières dragues et la satisfaction de prendre une fille par la main ou dans les bras sans qu’elle ne dise quoi que ce soit. Comme une première étape de franchie dans la séduction.

Ensuite, avec ma femme on s’est chargé de débarrasser la table et ranger pendant qu’Angela est allée faire sa toilette.
Une fois prête, elle est venue nous voir dans la chambre toute belle vêtue, nous demandant avec un grand sourire : « A qui le tour ? »

Eve range ses affaires, je me rends donc dans la salle de bain et ma première action est d’ouvrir le placard. La culotte a disparue comme je l’espérais et cela m’excite qu’elle remette cette culotte dans laquelle j’ai éjaculé quelque heures avant.
Je suis ensuite sorti voir l’avancée des travaux car cet après-midi, on a prévu de rendre visite à Fréderic à l’hôpital, pour tenter de trouver une solution pour l’avancement du chantier pendant son absence.

Le repas du midi a été l’occasion de contact et de frottement. N’étant que 3, nous avons décidé de manger dans la cuisine ce qui est beaucoup plus pratique et rapide. Le problème est qu’il n’y a pas de table mais un ilot central avec un plan de travail pour une restauration rapide.

Pour ne pas manger alignés les uns à côté des autres comme une brochette, ma belle-mère s’est installée sur le retour ce qui ne laisse plus beaucoup de passage derrière elle. J’en profite chaque fois que je passe, pour me coller à elle, me frottant contre son dos comme si je me faufilais. Je pose en même temps mes mains sur ses épaules ou lui fais une petite caresse très soft sur l’avant-bras.

A chaque fois elle me regarde avec sourire et je me mets à espérer une connivence coquine entre elle et moi.
Nous restons environ 2 heures à l’hôpital. Le pauvre Fred est mal en point. Il a perdu un rein dans son accident il y a quelques années et maintenant c’est le deuxième qui déconne. Il s’est chopé un virus et du coup, a une infection de l’estomac et du duodénum qui en plus s’est étendue au rein. Pas de pot. Ils vont le garder quelques temps.

Pour le chantier, Frédéric m’a donné les coordonnées d’un gars qu’il connait bien pour avoir bosser avec pendant pas mal d’années. C’est un ancien patron d’une boite de BTP qui à présent est à la retraite. Il lui rendra ce service sans aucun problème. Il suffit que je le contacte et lui montre le chantier ainsi que quelques consignes que Frédéric m’a noté sur un papier. Je dois également recontacter les ouvriers ou en trouver d’autre s’ils ne sont plus disponibles.

Angela est ravie, les travaux vont recommencer et elle devrait pouvoir retrouver son dressing dans quelques semaines.
Nous allons nous balader un peu au centre-ville, y faisons quelques achats et allons boire un verre puis rentons à la maison. Je profite d’un moment de quiétude avec Eve pour lui poser la question sur la vie amoureuse de ma belle-mère. Bien sûr je ne lui parle pas de la culotte tachées qui a déclenchée mas doutes, mais insiste un peu en disant que je trouverais ça normal vu les circonstances, surtout que Fred étant à l’hôpital, elle aurait tout le temps. Nous sommes très libre Eve et moi et n’avons aucun tabou sur les relations de couple.

Mais elle est catégorique. Angela n’a pas d’amant. Elles en ont parlé ensemble à plusieurs reprises mais elle reste tout ce qu’il y a de plus fidèle. Fred serait très compréhensif là-dessus et lui a déjà fait savoir. Elle s’est laissé tenter il y a quelques années, mais a laissé tomber très rapidement et n’a jamais voulu recommencer. Dommage, je me serais bien porté volontaire, si c’est pour rendre service ! Je plaisante car je sais pertinemment que ma femme serait sérieusement choquée si elle l’apprenait, car pour elle ce serait comme de l’e.

Pour moi, pas du tout. Je n’ai aucun lien de sang avec elle et je n’y verrai absolument aucune gêne, bien au contraire. Mais connaissant d’avance la réaction de ma femme, je m’abstiens de toute plaisanterie ou allusion, d’autant qu’elle sait que je trouve sa mère canon pour son âge et ne veut surtout pas qu’elle considère les petites attention que j’aie envers elle, comme autre chose que des familiarités. Elle risquerait d’y mettre un terme.

Le repas du soir est un copier/coller du midi. Quelques compliments à ma belle-mère, quelques attouchements très furtifs, fromage, dessert et au lit, mais avant le lit, il y a la salle de bain….

Je laisse passer tout le monde et à mon tour je m’engouffre. J’ai la confirmation qu’elle a bien remis la lingerie que j’avais souillée la veille, avec en plus une porte jarretelle et soutien-gorge assorti. Les bas sont par contre dans le panier. Bien que sa petite culotte sente fort car pleine de foutre séché, elle l’a posée sur le couvercle, comme elle le fait quand elle compte la remettre le lendemain. C’est bien une cochonne quand même ! En tailleur Channel, talons aiguilles et bas avec une culotte sale. Fantasme ou crado ? Je pense de plus en plus qu’elle est parfaitement au courant car ce n’est vraiment pas le genre à être dégueulasse. La meilleure preuve est que les bas qu’elle a mis une journée et qui ne sentent pas au niveau des pieds (j’ai vérifié) elle les a mis au lavage mais pas la culotte.

Du coup, j’en remets une couche et y dépose une nouvelle fois toute ma semence après une bonne branlette, à m’imaginer toutes sortes de cochonnerie avec elle. J’y suis allé peut-être un peu fort. Elle est trempée de chez trempée. Et si je me faisais un film ? Si elle vient faire une machine pour que ça tourne durant la nuit et qu’elle découvre son slip dans cet état. Quelle serait sa réaction ?

Je me pose vraiment la question.
Si elle est au courant et en joue, ça déclencherait peut-être ce que je n’ose espérer, par contre, si ce n’est pas le cas ? Je dois avouer que je ne sais pas du tout comment elle réagirait. Déjà, c’est sûr qu’elle ne se mettrait pas en colère et ne ferait pas de scandale. Pas du tout son genre.

Alors, soit elle en parlerait à ma femme, soit elle m’en ferait le reproche en toute discrétion. Ou dernière solution qui je pense serait celle qu’elle adopterait, elle garderait ça pour elle sans rien dire mais en changeant ses habitude pour ne pas que cela puisse se reproduire.

Je dois avouer que c’est la deuxième solution me conviendrait le mieux. Peut-être réussirais-je à la convaincre de profiter de la vie et tant qu’à faire avec un mec plus jeune, sportif et musclé, qui dort parfois chez elle et pourrait être disponible en toute discrétion pendant la nuit : Moi !

Ne nous emballons pas. Revenons sur terre et une bonne douche avec un gel aux amandes douces histoire de reprendre ses esprits.

Très bien les amandes. Eve à commencer à me câliner une fois au lit et me dit que je sentais bon. Pour ma part je préférais avant la douche mais je ne lui ai pas laissé le choix. Nous faisons l’amour, mais je dois avouer que je suis plus avec sa mère qu’avec elle dans les pensées.

Le lendemain, après m’être assuré qu’Angela a bien remis sa culotte imprégnée de mon amour, je contacte le gars que m’a indiqué mon beau-père et tente de joindre les ouvriers. Le soir même tout le monde est prévenu, j’ai fait le tour du chanter avec l’ex chef d’entreprise en retraite et rendez-vous est pris pour reprendre les travaux le lundi à 8h.

Nous sommes le vendredi, il ne reste plus que le week-end car nous rentrons également lundi, après le lancement du chantier.
Pour la soirée, Angela nous emmène au restaurant pour terminer au piano bar. Hypocritement je la fais boire mais sans attendre quoique ce soit car il y a mon épouse et je sais que rien ne n’est possible en sa présence. A table nous avons pris 2 apéritifs et je lui ai resservi plusieurs fois du vin. Déjà en sortant de table elle me dit être pompette. Je ressens un petit quelque chose car c’est à moi qu’elle dit cela et non à sa fille. Elle me le dit discrètement et c’est un peu une confidence. Je sens une complicité s’installer entre nous. Au piano bar, elle en tient une bonne et se laisse un peu aller. Elle s’appuie contre moi à plusieurs reprises sans s’affaler mais ce ne sont pas les attitudes d’une belle-mère avec son gendre. J’en profite pour passer ma main sur son ventre en lui faisant un compliment sur sa taille, ou la prends dans les bras quand Eve s’absente pour aller aux toilettes ou va commander à boire. Bref l’un comme l’autre nous avons besoin de nous toucher.

Lorsque ma femme revient, elle se ressaisit et se redresse. Comme quoi elle sait pertinemment ce qu’elle fait puisqu’elle ne veut pas que sa fille s’en rende compte. Toute la soirée se passe ainsi et j’ai une érection du début à la fin.

Comme je conduis, je n’ai bu que des cocktails sans alcool. On rentre vers les 4 heures du matin. Eve et Angela sont saoules. Arrivé à la maison, j’aide ma femme à rentrer. Elle s’allonge direct sur le lit. Je retourne chercher ma belle-mère qui tient une sacrée cuite. Je suis obligé de la porter dans les bras et en profite pour maintenir ma main sur son sein pendant le trajet. Je le sens bien, il est dodu et ferme. Il empli ma main, et j’essaye de le caresser et le malaxer discrètement. J’aime ses seins. Elle se tient à mon cou, ou plutôt devrais-je dire m’enlace. Je suis aux anges.

Dommage que ma femme soit avec moi, car c’est l’occasion rêvée de coucher avec elle. Je l’emmène jusqu’à sa chambre. Je suis surpris car elle est assez grande mais toute légère. En la déposant sur son lit, je n’ai pu m’empêcher de déposer un baiser sur ses lèvres. Je ne sais pas si elle s’en est rendu compte, mais j’espère que oui car elle n’a pas réagi. Elle s’est laissé faire, sans participer, mais sans s’y opposer et sans s’offusquer. Je suis sûr qu’elle était consciente car après l’avoir déposé et avoir retiré sa veste, elle m’a demandé de la couvrir et d’éteindre la lumière.

J’aurai aimé la mettre en nuisette, et y ai fortement pensé. Lui laisser ses sous-vêtements quand même car je ne peux décemment pas la mettre à poil, même si j’en meurs d’envie. Ceci dit, ça aurait eu le mérite d’être clair. Au réveil elle se serait posée plein de questions ne se rappelant plus du tout ce qui s’était passé, ou alors parfaitement consciente malgré son état, on aurait certainement été plus loin. Mais voilà, je n’ai pas osé.

J’aide ensuite mon épouse à se mettre en chemise de nuit, lui disant tout de même que sa mère est couchée tout habillée. Ce n’est pas grave, me dit-elle, suivi de bonne nuit.

Donc je passe dans la salle de bain, une petite snifette avec une bonne branlette dans les culottes de belle-maman, une bonne douche et au lit.

Le lendemain c’est la grasse matinée. Au petit déjeuner, quelques mots sur la soirée et les abus d’alcool et des remerciements d’Angela sur cette soirée très agréable qui lui ont fait oublié ses soucis. Est-ce une allusion aux petits débordements ? Du coup, comme elle, tout en sous-entendus, je lui retourne le remerciement, lui disant que ça avait été vraiment très agréable pour moi et que j’étais tout disposé à recommencer quand bon lui semblerait. Elle me regarde avec un sourire qui en dit long.
Elle est au courant, il n’y a plus à en douter !

Après son passage à la douche, je me précipite dans la salle de bain. Sa culotte est dans le panier et dans un état incroyable. Toute tachée ! Vu l’état, je suis sûr que la veille elle était trempée d’excitation et que toute la soirée elle a mouillée. Je suis dans un tel état que je me branle frénétiquement et jouis immédiatement.

La journée est faite de multiples regards complices. Je pose même à un moment mes 2 mains sur sa taille, à moitié sur les fesses. Elle rit et je sais que l’on va faire l’amour. Je ne sais pas où, ni quand, mais je suis sûr que ça va se terminer ainsi.
Le soir comme à mon habitude, je passe dans la salle de bain en dernier et… pas de culotte. Déçus, je me lave et brosse mes dents en me posant tout un tas de questions. Pourquoi ne l’a-t-elle pas posée quand elle a pris sa douche ?

Quand je sors je croise Angelina en nuisette et peignoir douchée depuis pas mal de temps. Je dois avoir un regard de chien battu. Elle me fait un grand sourire et me dis juste : » Ah ah » puis pénètre à son tour dans la pièce d’eau

Je reste un peu dans la cuisine, à boire un café et grignoter des petits gâteaux. C’est alors qu’elle ressort avec un petit rictus au coin des lèvres, et un regard de biais très complice. Je fonce à mon tour car je suis certain qu’elle me taquine et a déposé ma surprise. Je ne me suis pas trompé. Elle est là, sur le dessus du panier. C’est un string noir en dentelle transparent avec un papillon comme motif. Il sent nettement moins que les autres mais il a été déposé pour moi, volontairement et puis ce n’est que le premier jour !

Ceci dit, il ne me reste plus que demain car après demain matin, on prend la route. Je vais me coucher, un peu mélancolique devant ce départ si proche mais tellement ravi de la situation. Je passe une très agréable nuit, pleine de rêves érotiques et me réveille le lendemain avec une pêche d’enfer.

Je croise Angéla et lui baise délicatement la main. Elle me sourit. On doit vraiment avoir l’air bête tous les deux car Eve me demande « tu dragues ma mère ou quoi !!! »

Je rigole mais je me reprends car c’est tout à fait ça. Je fais le joli cœur et la drague comme un gamin. Ma belle-mère, ce n’est pas mieux. Elle glousse comme une ado dès que je lui tourne autour. On se laisse vraiment trop aller car dans l’après-midi Eve qui a du s’en rendre compte, dit quelque chose à sa mère. Elles étaient trop loin pour que j’entende tout et de plus je ne parle pas suffisamment bien l’allemand pour comprendre une phrase ou je n’ai perçu que quelques mots. Je fais comme si de rien étais, mais la journée n’est pas pareil. Angela s’est repris et garde ses distances. On a poussé le bouchon un peu loin et j’ai peu d’avoir tout gâché.

Heureusement le soir avant le couché, je retrouve mon petit string odorant qui m’attends sur la corbeille ainsi qu’un petit sourire discret. Je le dévore ce petit bout de tissus. Je vais l’avaler par les narines tant je le renifle. Le sourire m’est revenu. Je sais que c’est le dernier jour avant le mois d’aout et je veux m’imprégner de cette odeur. J’imprègne mon visage de ce doux parfum, puis dépose dedans plusieurs giclées de foutre. Il est si petit ce string qu’il n’en reste pas la moindre parcelle de sèche.

Pour ma dernière nuit, la mort dans l’âme, je vais me coucher. J’ai pris soin de ne pas me laver le visage et m’endort dans ces effluve de chatte à belle-maman qui me bercent et me renvoie dans mes rêves cochons.

Le réveil est dur le lendemain car je dois accueillir les ouvriers avant mon départ. Je me lève donc discrètement pour ne réveiller personne. Je prends un café vite fait et vais faire ma toilette. J’en profite une dernière fois pour me masturber en flairant les culottes et éjaculer dans le string. Je récupère également un trophée, la plus odorante pour ma collection et la glisse dans ma poche.

Les ouvriers sont là. Nous partageons un café et Doug l’entrepreneur retraité, prend les choses en main. On voit qu’il connait le boulot, les consignes sont claires, il est ferme et ne traine pas pour se mettre au boulot lui aussi.
Pendant ce temps Eve et sa mère se sont lavées et habillées. On prend ensemble le petit dej, tout le monde est un peu triste. Je charge ensuite la voiture, un petit pipi avant la route et…

J’ai jeté un coup d’œil à la corbeille à linge, le string inondé de sperme du matin n’est plus là. Pas possible, elle n’a quand même pas mis le string mouillée ? On dirait bien que si.

Je sors de la salle de bain, elle est là, face à moi et me fais un super sourire coquin qui veut tout dire.
La cochonne !

Dans 3 mois, nous revenons. Je vous raconterais la suite, mais vous comme moi la connaissons déjà !

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