La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 437)
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°436 - Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière (3/3) -
Aussitôt dit, aussitôt fait
Madame Marie sasseyait sur ce confortable Voltaire, allongea les jambes et posa ses talons sur le dos de compelled MDE à quatre pattes et positionné en guise de table basse. Encore une belle humiliation pour lui : Il nétait plus quun vulgaire repose-pied ! Il resta ainsi, dans une posture douloureuse, tout le temps quil fallut pour que la sévère et vicieuse Cuisinière soit satisfaite de sa manucure. Une fois son vernis sec, elle se releva et réapparut devant compelled MDE. Lui, les yeux baissés, il lui fut ordonné de se mettre agenouillé et son regard se fixa vers le bassin de Madame la Cuisinière, découvrit un impressionnant gode-harnais jaillissant dans sa direction.
- Allez la salope, remercie-moi encore davoir eu la bonté de te corriger ! Suce-bien cette grosse queue avant quelle ne te défonce ton cul de lopette !
Sans laisser à compelled MDE le temps de répondre, elle avança le gode aux limites des lèvres de lesclave et le poussa sur sa tête pour le forcer à le prendre en bouche. Impuissant, compelled MDE, se résigna à accepter lintroduction de lénorme gode. Il le savait, ce serait pire encore dans quelques minutes, si les prédictions de Madame Marie étaient tenues. Mais tout cela rendait le soumis encore plus excité dans sa cage
- Allez suce bien mon chien, montre-moi que tu aimes ça !
Encore quelques instants de va-et-vient humiliant dans cette bouche défoncée, avec en sus quelques insultes humiliantes, Madame Marie décida quil était temps de passer à autre chose.
- Je vois que tu aimes ça, petite chienne, mais je vais te prendre par le cul maintenant. Mais dabord tu vas me supplier de le faire, je técoute !
Jusquoù Madame la cuisinière voulait elle emmener compelled MDE ? Voulait-elle le voir craquer mentalement ? Et lui, quallait-il dire, comment devait-il le dire ? Il saccorda quelques longues secondes de réflexion :
- Heu
Sil vous plait Madame, je vous en supplie, défoncez moi le cul, prenez-moi, prenez du plaisir à me prendre, à mavilir, enculez-moi sil vous plait !
Marie, sadressant à Emeline MDE, toujours là, près deux :
- Tu as bien entendu toi, ce chien veut être pris, alors je vais lenculer, bien le défoncer, lui élargir sa rondelle.
Elle ricana sadiquement
alors que la soumise-femelle baissait la tête. Derrière lui, compelled MDE sentit le contact des mains de Madame la Cuisinière lui écarter les jambes, puis la raie anale. Il fut rassuré lorsque, sentant la tête de limposant gode entrer en contact avec son trou à bites, il eut une sensation tactile fraîche et gluante. Madame Marie semblait avoir bien lubrifié linstrument. Sans autre forme de procès, Madame Marie força lentrée, sans ménagement, dun coup violent. Le sexe de silicone plongea dans le fondement de compelled MDE. La surprise, la douleur et cette première vague dhumiliation lui arrachèrent des cris étouffés avec une excitation mentale forte puisque physiquement, cette excitation était comprimée. Sans se laisser compter, Madame Marie commença ses allers et retours pénétrant, elle fit lentement coulisser le membre en dehors, puis au-dedans du fourreau quétait désormais compelled MDE, lui laissant bien le temps dapprécier la sensation de pénétration. Rapidement, cependant, elle enchaina sur des à-coups plus rapides et plus puissants, poussant ce gode de son corps à fond en compelled MDE, puis presque totalement en-dehors, en rapides successions, sans laisser le temps au chien de reprendre son souffle. compelled MDE était subjugué par cette pénétration emplie de Domination, il accompagnait, bien malgré lui le mouvement de sa dominatrice, sentant lobjet étranger le remplir, lenvahir, puis le quitter, pour le remplir à nouveau. Il avait mal, était humilié, mais la sensation à un certain niveau lui était également extrêmement agréable. La preuve sa queue se comprimait et se contorsionnait dans la cage, malgré les claques impromptues quil recevait sur ses fesses tuméfiées. Soudain, ce fut fini. Après un profond coup de reins, Madame Marie resta figée en compelled MDE aussi loin que possible pendant quelques secondes en coït profond, puis se retira.
- Je crois que tu as eu ton compte ma salope, On verra plus tard pour le reste.
compelled MDE fut sorti du pilori et enchainé à lun des pieds du lit.
- Repose-toi chien ! Tu le mérites, je tai beaucoup sollicité depuis ce matin et tu as fait preuve dune belle endurance. (Madame Marie regarda sa montre) Et puis dici une petite demi-heure je reviens moccuper de ton cul oui encore e encore, jai dit !
Chose promise, chose due !
La troisième bastonnade eut lieu à lheure dite, compelled MDE la reçut coucher à plat ventre sur le sol, bras et jambes écartées et en croix. Dix coups, seulement dix coups, mais dix coups à le faire hurler et mentalement bander. A chaque heure passée lintensité montait dun cran. Son cul marqué et boursouflé le faisait terriblement souffrir, impossible désormais pour lui de sassoir. La punition terminée, Madame Marie, emmena compelled MDE à quatre pattes au bout de sa laisse à travers les nombreux et luxueux couloirs capitonnés du Château. Décidément, bien difficile pour lui de se repérer ici, dans cette vaste Demeure. Toujours tête basse, il entra dans une pièce qui nétait autre quune vaste salle à manger : Une table immense épaisse en chêne massif était posée sur un fabuleux tapis dorient aux dimensions exceptionnelles. Sur les murs, une collection dassiettes anciennes, des faïences, des porcelaines, mais aussi des pièces rares sans doute en or massif étaient suspendues. Sur un autre pan de mur, des armes très anciennes ornaient lensemble. Un immense bouquet de fleurs, des pivoines dans un vase en cristal, était posé au centre de la table. Tout près de la haute fenêtre, trois petits fauteuils Crapauds étaient installés, dici on pouvait admirer limmense jardin. Sur la table trois couverts étaient posées, des porcelaines fines, des couverts en argent, des verres en cristal ciselé. Monsieur le Marquis dEvans et son Majordome Walter entrèrent dans la pièce au même moment, tirant derrière eux à quatre pattes chacun une soumise-femelle. compelled MDE reconnut la soumise Phrynée MDE mais aussi cette jeune chienne avec qui il avait passé sa première nuit ici.
- Avez-vous passé une bonne matinée ma chère Marie ?
- Très bonne Monsieur le Marquis, et vous-même avez-vous pu terminer vos travaux décriture sur le dernier chapitre de votre magnifique Odyssée de la belle Hélène.
- Non, point encore, je reprendrai mes travaux cette après midi
Monsieur le Marquis sétait installé devant un couvert en bout de table, Madame Marie sasseyait à sa droite, tandis que Monsieur Walter prenait place à sa gauche. La laisse de compelled MDE fut détachée du collier. Assis sur ses talons près de Madame la cuisinière, il se laissait caresser le crâne. Madame Marie linterpella.
- Est-ce que ce chien a dit bonjour à ses congénères.
compelled MDE ne comprenait pas vraiment ce que voulait Madame Marie. Il resta perplexe.
- Il ne comprend pas le chien, il ne sait pas comment les chiens se disent bonjour ? Simplement en se flairant et se léchant le cul, allez va, va dire bonjour à ces deux chiennes !
Et compelled MDE exécuta une nouvelle fois humilié et excité, il sapprocha de la soumise Phrynée MDE, glissa son nez dans sa raie, lui donna quelques coups de langue puis alla vers lautre soumise et la congratula de la même manière. Les deux femelles sétaient laissées faire et à leur tour avait donné de leur langue sur le trou de compelled MDE. Cétait la soumise Emeline MDE qui servit le repas. Hormis son collier autour du coup, elle était entièrement nue sous un petit tablier de soubrette. Elle prit moult précautions pour servir Le Maître et ses Hôtes. Discrète et rigoureuse elle apportait plats après plats, servait le vin dès lors que les verres étaient à moitié vides, changeait les assiettes, présentait la panière de pain frais et lorsque Monsieur le Marquis dialoguait, elle se retirait loin deux pour ne pas les déranger dans leur conversation. Quant à compelled MDE, il était aux pieds de Madame Marie, couché en position ftale, et devait prendre soin dexposer ses génitaux tirés vers larrière, placés entre ses cuisses serrées.
- Chien, monte sur la table et positionne toi en levrette en exposant bien ton cul. Il est lheure pour toi de recevoir ta correction.
Tremblant, sinon apeuré, compelled MDE sexécuta, sous les yeux du Maître
- Non chien, pas dans ce sens, ton cul face à Monsieur le Marquis.
Madame Marie sétait levée également, avait repoussé deux chaises. Elle prit sa badine et asséna dix coups à la volée, en prenant soin que chaque coup porté laissa une trace et marque bien visible sur ses fesses déjà bien meurtries. Il navait pu taire ses plaintes et à deux reprises il avait été contraint de bouger un peu. Heureusement personne navait relevé son manque de concentration. Cul bien relevé, bien exhibé il ne bougea plus. Au dessert, Marie ne put sempêcher de lui enfiler une banane entière dans lanus. Il resta ainsi prosterné, se donnant en spectacle, jusquà la fin du repas. Lorsque Monsieur le Marquis décida quil était temps de prendre le café sur les trois fauteuils près de la fenêtre, il exigea à compelled MDE de venir près deux. A quatre pattes, honteusement compelled sapprocha :
- Non, vient vers moi compelled MDE, lui ordonna le Maître gentiment.
Il attrapa le soumis par le menton, lui fit redresser la tête, et lui demanda de regarder le Maître droit dans les yeux. Bien difficile encore à compelled MDE de soutenir ce regard.
- Dis-moi donc chien, pourquoi cette punition ?
- Heu
Monsi
Monsieur le Marquis
heu !
- Tu ne sembles pas décider à texprimer clairement chien, veux-tu que je te fasse parler distinctement.
La voix du Maître était toujours calme mais déterminée. Compelled MDE comprit quil devait faire vite et bien.
- Maître Vénéré, je nai pas su retenir ma jouissance ce matin et pourtant Madame Marie mavait bien ordonné de ne pas jouir.
- Cest une double désobéissance ma pute, dabord tu désobéis à Marie et plus grave encore tu ne fais cas de Mes prescriptions. Ne t-ai-je pas imposé la frustration sexuelle pour téduquer plus vite encore ?
Le Maître était toujours très calme, trop calme, compelled MDE redoutait cette forme de sérénité. La sentence tomba; dabord deux claques en plein visage et une mise au cachot pendant 48 heures dès cette fin daprès-midi, à partir de dix-sept heures.
- Tu verras ce quest dêtre séquestré avec des gardes toujours en rut ! Je vais tapprendre à obéir coûte que coûte.
Timidement compelled MDE remercia le Maître, il fut tout excité de la sanction car elle venait du Maître en personne et cela le comblait de bonheur. Puis flageolant il suivit Madame Marie qui le conduisit à lextérieur du Château. Dans le parc, dans un coin, il put pisser, puis retrouva deux esclaves mâles charriant des buches de bois sur le plateau dun tracteur. Il se mit à la tâche sous la surveillance de Madame Marie restée là dans un transat en plein soleil à se faire bronzée. A chaque heure sonnée, Madame la cuisinière lappelait, compelled MDE se positionnait à quatre pattes dans lherbe, dressait et tendait son cul, recevait ses dix coups de badine et repartait travailler
(A suivre
)
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