Belle Maman De Berlin 1
(Nouvelle version de l'histoire)
Bonjour à tous.
Je me prénomme Marc, jai 35 ans et suis marié avec une très jolie allemande que jai rencontré il y a maintenant 12 ans.
Devant tous vos témoignages, jai décidé moi aussi, de vous dévoiler quelques aspects secret de ma vie sexuelle.
Mes amis narrêtent pas de me dire que je ne pense quà ça et que je suis un véritable obsédé sexuel. Il est vrai que le sexe régit ma vie.
Dun milieu très bourgeois, les discussions sur le sujet navaient pas leur place dans notre famille. Il ne me serait pas venu à lidée de poser la moindre question tant le thème était tabou.
Cétait donc pour moi quelque chose de mystérieux et bien sûr défendu. Cela eut pour effet dattiser ma curiosité. Dès mon plus jeune âge, je manifestais une attirance particulière envers les femmes et plus précisément, envers ce petit triangle qui ornait leur entre-jambe.
Cest ainsi, quà lâgé de mes premières masturbations, je me mis à épier ma mère, seule femme quil métait possible dapercevoir nue.
Elle était le personnage principal de mes scenarii pervers et très vite, jagrémentais mes séances avec ses culottes que je récupérais dans la corbeille à linge sale. Cest depuis ces séances de reniflage que je suis ce que lon nomme, un fétichiste de la petite culotte odorante.
Je ne manquais pas une occasion de satisfaire cette perversion. Dès que mes parents memmenaient chez leurs amis, je prétextais le besoin daller aux toilettes ou dans la salle de bain, à la recherche du panier à linge qui sy trouve très souvent, à la quête de sous-vêtements féminins. Je les sortais toutes, choisissant la plus odorante pour porter à mon nez, et me frottant la verge avec les autres.
Je me délectais de cette odeur de femme et me masturbait frénétiquement jusquà léjaculation.
Généralement, la pratique se faisait au-dessus du lavabo pour ne pas tacher le précieux tissus et risquer alors dêtre découvert, mais lorsque la culotte était déjà tachée dans le fond, je nhésitais pas à frotter mon gland sur ce petit carré souillé jusquà léjaculation.
Je remettais ensuite les culottes dans la corbeille et regagnais ma place auprès des autres, quelque peu angoissé que lodeur qui persistait dans mes narines, ne trahisse mes agissements pervers.
Puis vint lâge de mes premières copines. Même activité et mêmes méthodes, mêmes extases.
Mes premiers rapports sexuels se passèrent vraiment très bien. Inconditionnel de lodeur féminine, pas un rapport ne se faisait sans que jaie plongé ma tête dans le sexe de ma partenaire ce qui était très apprécié par mes partenaires féminines. Je les dévorais plus ou moins goulument suivant lodeur qui sen dégageait.
Plus lodeur durine était importante, plus mon excitation létait également. Sans doute cela me remémorait mes premiers émois avec les culottes de ma mère qui mont fait tant de bien.
Je dois à mes parents dêtre beau garçon et je collectionnais les conquêtes féminines. Je perfectionnais mes rapports et mouvrais sans cesses aux nouvelles expériences.
Ma perversion sur les odeurs de pipi, mamenait à lurologie. Lodeur et le gout de lurine fraiche me passionnait également et très vite, je réussissais à faire uriner mes copines en leur titillant la vessie avec les doigts pendant que je leur léchais le clitoris.
Etant très sportif, jai obtenu plusieurs brevet déducateur sportif. Natation et tennis. Cela ma permis de partir plusieurs saisons comme Maitre-Nageur-sauveteur ou prof de tennis dans un club de vacance bien connu, ou le sexe est roi.
Nombreuses expériences, souvent en groupe, mais pas ce quil y avait de plus excitant. Cétait surtout des parties de rigolade et du bon temps avec le soleil, la mer et la décontraction.
Cest lors dune de mes inter-saisons, il y a douze ans, alors que jétais sur Paris, que je rencontrai celle qui par la suite est devenue ma femme, Eve. Cétait et ça lest toujours une très belle femme, qui sest installé en France pour des raisons professionnelles.
Elle est allemande et issue dune famille de la haute bourgeoise.
Physiquement elle ma plu de suite car elle avait un petit air coquin que me fascinait. Il sest vite avéré que ce nétait pas quune façade. Je peux dire quelle est aussi perverse que moi et nous nous entendons à ravir. Il ny a quasiment pas de tabou entre nous et nous permettons toutes sortes dexpériences sexuelles.
Les relations de groupe sont à présent très chaudes car elle se passe dans lamour et la complicité.
Tous nos rapports, et nous faisons lamour tous les jours voir plusieurs fois par jour, se passe systématiquement avec une perversion plus ou moins salace.
Régulièrement nous allons faire lamour avec une autre personne séduite pour loccasion et à notre retour nous nous racontons notre aventure en faisant lamour ensemble. Lun comme lautre nous sommes très excités de récupérer notre conjoint encore imprégné des odeurs de sa folle nuit passée en compagnie de la maitresse ou amant de passage.
Pour ma part, à chaque fois quelle sort, je ne peux mendormir tant je suis excité à lidée de ce quelle est en train de faire et me masturbe toute la nuit à la limite de léjaculation. Au petit matin, lorsquelle rentre au domicile on fonce dans la chambre faire lamour.
Systématiquement, elle a la vulve toute gonflée et je me jette sur elle, pour lui dévorer la chatte encore dégoulinante de cette folle nuit.
Quant à mon épouse, son plaisir ultime est à mon retour de sempaler sur ma verge et me faire jouir dans son antre tout chaud et impatient dune nuit dattente.
Elle est tout excité du fait que jai encore une bonne érection malgré une nuit passée à baiser des femmes plus jolie ou plus cochonnes les unes que les autres.
Nous prenons un pied énorme de savoir que notre partenaire a pris vraiment du plaisir avec un ou une autre et revient partager son excitation avec le conjoint officiel.
Cependant, je conserve un petit secret que je nai pas avoué à ma femme.
Il faut dire que cest une femme dune cinquantaine dannée, quelle porte bien.
Elle est encore assez mince avec des seins assez imposants contrairement à sa fille.
Elle est assez BCBG ce qui lui confère un air un peu sévère. Elle est certes un peu coincée, mais ça lui donne un charme fou et me la fait paraitre extrêmement cochonne.
Jai beaucoup de mal à croire quelle est fidèle à son mari, Frédéric. Il a eu un accident il y a plusieurs année, qui lui a complétement explosé le bas ventre. Force de chirurgie, il a été remis sur pied, mais est resté totalement impuissant. Ils nont donc plus aucune relation sexuelle.
Ma belle-mère en a fait part à ma femme, lui disant quelle sest habituée à la situation et que ça ne lui manque absolument pas.
Depuis que nous nous connaissons avec mon épouse, nous les voyons deux fois par ans car ils résident en Allemagne. Généralement nous passons une dizaine de jours chez eux en été, et pour noël, se sont eux qui viennent chez nous.
Inutile de vous dire que dès ma première rencontre avec ma belle-mère, alors quelle avait une dizaine dannée de moins, jai été charmé et me suis arrangé pour sentir rapidement ses dessous, et depuis, je nai jamais arrêté
Avec Eve, nous étions en couple depuis 2 ans et elle avait tenu à me présenter à ses parents Angela et Frédéric. Nous nous rendîmes donc chez eux en Allemagne, juste après nos vacances dété.
Ils habitaient une luxueuse maison dans le sud de Berlin. Dès le premier jour, jétais à la recherche du bac à linge, impatient de humer la culotte dAngela. Lopération savéra délicate car les chambres possédaient chacune leur salle de bain et je craignais ne pas pouvoir accéder à ce trésor au quelle je faisais une chasse effréné.
Je marrangeais toutefois pour accéder en toute discrétion à sa salle de bain privée, alors que toute la famille se trouvait dans le jardin.
Je descendais alors au RDC, explorant la vaste maison pour enfin me retrouver dans la buanderie qui jouxte la cuisine et qui donne sur le garage.
Là, sur la gauche, des étagères couvertes de bouquins de toutes sortes habillait le mur ; Au fond, la machine à laver le linge et le sèche-linge; Et à droite, un WC et un placard. Nul doute que ce placard cachait lobjet de mes délices.
Je fermais la porte à clé pour ne pas être surpris durant ma fouille et ouvrit enfin ce meuble si prometteur. Des étagères sur la partie hautes remplies de médicaments et en bas, deux bacs à linges en plastique.
Je levais le couvercle de la première et tomba sur les affaires de Frédéric
Beurk. Lautre contenait les affaires dAngela. Ils avaient chacun leur panier, ce qui facilitais ma fouille perverse.
Quelle récompense. Plusieurs culottes assez sexy ainsi que deux strings attendaient leur tour de lessiveuse. Je men emparais pour en inhaler le fumet. Ah ! Quelle merveilleuse odeur, surtout les culottes qui étant plus large, avait une plus importante surface de contact et simprégnait certainement mieux des effluves de ma belle-mère. Je ne mimaginais pas quune femme comme elle, toujours tirée à 4 épingles, puisse sentir aussi fort lurine. Une sacrée érection me vint aussitôt. Le coté pervers du fait que ce soit ma belle-mère mexcitait terriblement. Je pense que même si elle navait pas été aussi sexy, jaurai eu la même réaction.
Jentrepris de me masturber en frottant dune main le visage avec une de ses culottes en la reniflant tout ce que je pouvais et de lautre main le sexe entouré dune autre de ces merveilleux petits morceaux de satin parfumés.
Cétait vraiment très excitant et je déchargeais rapidement dans la cuvette des WC ;
Mon affaire terminé, je me réajustai, remis les dessous dans leur panier et regagnais la table ou tout le monde mattendait.
Je fus un peu gêné car ma femme insistait sur le fait que javais disparu longtemps. Discrètement je lui disais avoir été aux toilettes et avoir pris mon temps en bouquinant un peu car jétais un peu patraque, certainement à cause du Kebab que javais mangé avant darriver. Jajoutais que ce nétait pas sympa de le faire remarquer à tout le monde. Elle sexcusa, me disant que ce nétait pas grave. Ce nétait pas tout le monde, mais ses parents et quils comprenaient parfaitement que je puisse passer un peu de temps aux WC car Frédéric pouvait y passer plus dune heure.
Cela était certainement en raison de ses problèmes digestifs dus à son accident.
Je répétais plusieurs fois par jour mes petites escapades dans les WC de la buanderie sous prétexte que jétais dérangé, me purgeant le nud à chaque fois, dans le plus grand plaisir.
Eve sétonnait que je passe mon temps dans les toilettes de la buanderie, plutôt que dans les toilettes de la salle de bain privée de notre chambre, qui étaient beaucoup plus confortables.
Je lui expliquais que la salle de bain donnait sur notre chambre mais possédait également une sortie sur le palier, ce qui nétait pas idéale sur le plan de la discrétion vu létat gastrique dans lequel jétais.
Cette idée métait venue immédiatement car, dans la matinée javais entendu couler leau du robinet de la salle de bain de mes beaux-parents. Tous les sanitaires privés de la maison, avaient la même configuration. Cette excuse paru satisfaire Eve.
Les quelques premières années se passèrent à lidentique. De fréquentes et intenses séances de masturbation avec ces petites culottes à larôme envoutant agrémentaient mon séjour.
Lorsque cétaient mes beaux-parents qui venaient chez nous, il me suffisait dattendre quEve les emmène se promener ou faire les courses, ce dont ils étaient des inconditionnels, pour que je fouille le placard de la chambre dami mise à leur disposition. A lintérieur, un sac plastique recueillait le linge usagé dAngela. Jai pu constater que lodeur était plus forte que la fois précédente, chez eux à Berlin. Je pensais au début que cela dépendait de lalimentation, mais je découvris quil nen était rien.
Ma belle-mère, navait certainement pas emporté suffisamment de sous-vêtements et du coup portais ses culottes plusieurs jours daffilés car le sac ne se remplissait que tous les 2 ou 3 jours. Il nempêche que plusieurs fois par jour, je visitais ce sac et à chaque fois ma bite tendue au maximum jutait des quantités impressionnantes de sperme. Cétait divin.
Tout se passait de la sorte en toute discrétion jusquen 2011. Cet été là, jétais pressé darriver à Berlin pour fleurer les dessous de belle-maman, ma dernière activité du genre remontant à lhiver.
Malheureusement, dès que nous arrivâmes, les parents dEve nous emmenèrent en sortie. Nous rentrâmes après avoir diné dans un bon restaurant sur le coup des 22h30. Nous montâmes dans notre chambre déballer nos valises et nous préparer. Vers 23h, Angela nous souhaita un petit bonsoir au travers de la porte et alla se coucher.
Pendant quEve terminais de rager ses affaires, jentrepris de descendre aux toilettes du RDC, comme jen avais lhabitude pour une soit disant raison de pudeur et dont tout le monde sétait habitué.
Arrivé en bas, ma verge tendais déjà mon slip. Jétais impatient de retrouver MES petites culottes dAngela. Jouvrais le placard et fut surpris de trouver les sous-vêtements de ma belle-mère, non pas dans le panier, mais sur le panier. Un ensemble culotte/soutient gorge posé sur le couvercle. Je saisis la culotte pour lamener à mon nez et je me rendis compte quelle était humide à lendroit divin. Je sentais, cherchant à memplir les poumons au maximum à chaque inspiration. Cétait la culotte fraichement porté par Angela. Lodeur était différente des autres culottes du bac en raison du port récent de celle-ci.
Je jouais alors un long moment avec lensemble des sous-vêtements avant de finir par une cascade de sperme.
Je remontais repus et, heureusement ma femme étant crevée par le trajet, ninsista pas pour un câlin dont je ne sentais pas capable dans limmédiat tant je métais vidé les bourses.
Cest le lendemain, lors de ma visite matinale au bac à linge dAngela, que je me rendis compte que la culotte de la veille nétait plus là. Elle nétait pas non plus dans le bac. Je me fis plaisir avec les autres qui, elles étaient dans le panier, puis rejoignis ma chambre pour me doucher.
Le soir, au moment du coucher, je répétais le même rituel que la veille. Après le « bonne nuit » dAngela, je me rendis dans les WC du RDC. La culotte de la veille avait réapparu. A nouveau fraichement portée. Angela lavais remise pour la journée, ce qui lui donnait un fumet vraiment très plaisant.
Ce petit jeu se répétait durant trois jours. Angela qui auparavant changeait de dessous tous les jours, les gardaient à présent 3 jours daffilés, prenant soin le soir de les déposer sur le bac et non dedans.
Tout en me tripotant, je commençais à me demander si elle navait pas mis à jour mon petit manège et jouait avec moi. Cette idée mexcitait terriblement et jéjaculai une deuxième fois daffilé.
En fin de compte, je me rendis compte que ma belle-mère se changeait dans la buanderie avant daller se coucher où en se levant le matin. Elle laissait son linge sale le soir dont sa culotte quelle comptait remette. Le matin elle prenait ses affaires dans le dressing qui était à coté et y laissait sa nuisette la journée. Quelle déception ! Javais imaginé tant de choses.
Le soir suivant ce fut une nouvelle culotte, qui elle aussi revenait tous les soirs pendant 3 jours.
Le lendemain nous reprenions la route et jai dérobé la culotte la plus odorante en souvenir. Je nai pas la réponse au fait quelle ne change de culotte que tous les 3 jours, mais ce nest pas pour me déplaire, au contraire.
Leur visite durant lhiver se passa exactement comme lors de lhiver précédent. La fréquence de remplacement de ses dessous navait pas changé et restait à 2 ou 3 jours, suivant létat des culottes je pense.
Cest lété dernier qua commencé le petit jeu entre Angela et moi.
Un soir alors que je descendais comme à mon habitude pour faire ma petite affaire, je fus surpris de croiser Angela, en nuisette et robe de chambre dans la cuisine alors quelle venait de nous dire bonne nuits. Je la regardais, un peu surpris mais surtout avec un irrésistible envie de lui faire lamour.
Jespérais quelle me fasse une ouverture car très délicat de prendre les devants avec sa belle-mère si il y a encore le moindre doute. Jimagine si je me faisais du cinéma, que je tente quelque chose et quelle me retourne une paire de gifle ; sans compter la suite.
Elle est très proche de sa fille et si elle allait lui dire, Eve ne me pardonnerais pas ce genre décart. Nous sommes très ouverts mais les limites ont été définies, et ce comportement est complétement en dehors de ces limites
En fait, une ouverture, Angela men a laissé une, mais avec subtilité, donc le doute persiste.
Le matin javais eu mal au crane en me levant. Aussi alors que jallais entrer dans le WC, Angela me dit que si j'avais encore mal, je pouvais prendre un cachet daspirine qui se trouvait dans la pharmacie. Elle entra dans la buanderie, ouvrit le placard et me montra les cachets sur létagère juste au-dessus du bac à linge sur lequel trônait sa culotte du jour bien en évidence.
Quelle ne fut pas mon érection que je ne cherchais pas à dissimuler. Je ne sais pas si elle sen est aperçue mais jétais à deux doigts me coller à elle contre la porte du meuble et magenouiller pour coller ma bouche contre son sexe, mais me suis retenu car elle ne sest pas arrêter en sortant.
En me remémorant tous les évènements et les différentes conversations que nous avons eues avec Angela, jétais tout de même persuadé quelle était au courant de mes agissements et quelle en jouait. Mais le doute
encore et toujours ce doute
Je me suis masturbé comme un fou avec ses culottes. Cen était trop. Javais trop envie de la prendre, de létreindre, de la lécher pendant que ma femme et son père sont la haut chacun dans leur chambre.
Si prêt de conclure mais personne nose !
La sève montait en moi et jéjaculai avec force. Jamenais sa culotte sur mon gland pour recueillir cette semence. Je regrettais aussitôt car le petit bout de tissus était trempé. Quelle serait la réaction de ma belle-mère si elle sen aperçoit. En plus je ne vois pas comment elle ne sen apercevrait pas. Même si elle sèche pendant la nuit, lodeur
le toucher rêche de cette culotte amidonnée par des flux de sperme séché.
De toute façon, cétait trop tard. Jétalai la culotte un maximum afin quelle puisse sécher et montais dans ma chambre.
Jétais encore très excité par la situation et je fis lamour à Eve avec beaucoup de passion mais également de fantasmes en tête.
Le lendemain matin je me précipitai en bas pour voir si la culotte était sèche et tenter de la ramollir en la frottant un peu tissus contre tissus.
Je menfermais dans les WC et ouvris à toute hâte le placard. Plus de culotte. Ni dessus ni dedans. Elle ne la pas remis tout de même. Ce nest pas possible, elle a dû se rendre compte. Ne serait-elle pas remontée avec lobjet du délit pour en parler avec Eve ou Frédéric ?
Je me précipitais mais en ouvrant la porte, je me trouvai nez à nez avec elle dans la cuisine. Elle me sourit et me lança une petite vanne pas du tout en rapport avec les évènements.
Jétais rassuré, elle nen avait parlé à personne, mais sen était-elle rendu compte ? Je menfermai de nouveau pour me branler avec ses affaires.
Le soir la culotte avait repris sa place sur le panier à linge pour attendre dêtre de nouveau enfilé le lendemain. Je le pris pour le porter à mon nez
Il sentait vraiment fort. Ce mélange de sperme, de cyprine et durine
pas possible quelle ne sache pas. Non pas possible.
Je me branlais encore une fois dedans, exactement comme la veille. On a continué ce petit jeux jusquà notre départ sans jamais aller au-delà. Nous avons repris la route vers la France, et jai pris soin demporter un nouveau souvenir.
Cest le quatrième depuis que je la connais que je lui dérobe, mais jai laissé celui que javais parfumé. Jespère quelle lutilisera comme moi jutilise ceux que je lui ai pris et qui font partie de ma collection privé que je garde bien à labri des regards indiscrets de ma femme, mais pas à labri des narines.
Jespère que lannée prochaine on avancera encore un peu pus, jusquau jour ou lun de nous prendra linitiative.
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