L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 42) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Clytia baisée sur la scène
L'éphèbe docile promenait servilement et profondément sa langue dans les chairs intimes de La Belle Hélène, qui serrait ses cuisses afin de le contraindre à demeurer ainsi plongé en elle, le visage collé à Elle... La Femme aux cheveux dor en cascade se tenait alanguie dans son siège confortable, jouissant de la caresse buccale de lesclave, autant que du spectacle qui s'offrait à Elle depuis la scène, où Thaïs avait lancé les enchères visant à la vente, éphémère, de Clytia à tous ceux qui auraient les moyens de payer afin d'assouvir sur elle et sous le regard de tous les clients avides, leurs désirs et leurs pulsions les plus pervers... Habitués aux putains de l'établissement, les clients se déchaînaient dans l'espoir de pouvoir jouir, ne fut-ce qu'un court moment et même publiquement, d'une telle beauté. C'est que Clytia était resplendissante, son corps toiletté était mis en valeur par les positions les plus impudiques que Thaïs lui ordonnait d'adopter, afin que nulle parcelle de son anatomie ne peut échapper aux regards... Et la putain devenue tenancière avait une formidable imagination pour imposer à l'esclave les poses lascives qui offraient aux hommes du public le plus excitant des spectacles.
- Ces brutes ne méritent pas l'honneur de baiser ma chienne, se disait Hélène
Elle pensait cela tout en contemplant la horde hirsute et vociférant des mâles en rut qui se disputaient le droit de monter sur scène pour user de Clytia... Pourtant, malgré ces réticences, Hélène tenait à infliger cet avilissement à Son esclave... Il s'agissait d'abord de montrer à la jeune femme d'origine aristocratique, combien elle était désormais au plus bas... Pouvant être ainsi exhibée et vendue pour subir le traitement le plus avilissant qui soit. C'était aussi une épreuve que La Belle avait voulu, afin de juger de la capacité de Son esclave à Lui obéir sans jamais reculer, avec un abandon total.
Sous les vivats et les applaudissements, l'homme monta les quelques marches menant à la scène... Thaïs avait saisi les bras de Clytia, qu'elle maintenait fermement et attendit l'arrivée de la brute précédée par son odeur rance de sueur. Il tendit une main large et épaisse, et Thaïs poussa l'esclave vers lui. Il s'en saisit et la tira contre lui. Docile, Clytia n'eut aucun mouvement de recul et se cambra, frottant ses seins lourds et fermes contre le torse large et velu. Tandis que Thaïs reculait, abandonnant la scène au "couple" ainsi formé, le colosse fort excité saisissait déjà Clytia par les hanches et la soulevait... La salle hurla tandis que l'homme soulevait Clytia à bout de bras et que l'esclave écartait largement ses cuisses en équerre. Il la fit tourner un peu, puis la lâcha, avant de la rattr dans ses bras, obtenant une nouvelle salve d'applaudissements. Thaïs venait de rejoindre Hélène et lui montrait le contenu de la bourse :
- Incroyable ! Cette brute a sacrifié tout ce qu'il possédait ici, pour acheter Votre esclave ! Et ce n'est que le premier !.
Hélène eut un rictus méprisant envers largent :
- Peu m'importe cet argent, je ne suis pas tenancière de bordel comme toi !
Elle dit cela avec dédain tout en y mettant dans ses mots assez de venin pour que Thaïs les reçut comme un gifle qui lui rappelait quelle était sa place, puis elle rajouta :
- Cela te sera utile pour l'avenir, ainsi que les sommes qui viendront s'y ajouter. Je ne prélèverai que quelques pièces afin de poursuivre Mon voyage, le reste est pour toi, catin, poursuivit Hélène en congédiant la belle femme brune d'un geste négligeant...
Sur la scène, c'en était fini des préliminaires. S'étant saisi de Clytia en la tenant sous les aisselles, la brute l'avait soulevée, avant de l'empaler d'un geste vif et précis sur son énorme verge dressée. Clytia avait retenu son souffle au moment d'être pénétrée par l'énorme sexe sur laquelle la brute la faisait maintenant aller et venir. Le colosse ne tarda pas à jouir, inondant les entrailles de l'esclave d'un flot épais de son jus abondant dans un râle qui tenait plutôt du rugissement. Dans l'instant, Thaïs vint rejoindre le couple :
- Suffit ! lança-t-elle, maintenant que tu as eu ce que tu voulais, rejoins les autres, ordonna la tenancière aux yeux sombres animés par un éclair de colère. La brute hésitait, gardant Clytia plantée sur son pieu qui restait imposant bien que moins tendu qu'auparavant. Thaïs fit claquer son fouet par deux fois sur le sol, tout près de lui
- Lâche-la ! Et descends de là !, ordonna-t-elle sèchement.
La brute hésitait donc, inassouvi malgré sa jouissance rapide. Il sentait le corps palpitant de Clytia entre ses mains, sentait monter à nouveau le désir dans sa bite... Il eut un regard mauvais ... quand claqua le fouet pour la troisième fois.
La brute avait quitté la scène, Thaïs rejoignit Clytia, la saisit par la nuque et attira son visage vers le sien pour l'embraser goulûment, obtenant un soupir d'extase de la salle bondée. Les deux femmes se tenaient collées l'une à l'autre... s'embrassaient, se pelotaient... Puis soudain, ayant passé son fouet autour du cou de l'esclave, Thaïs la repoussa et tendant son instrument de cuir, la contraignit à se mettre à quatre pattes... La tenancière adressa un regard provocateur au public...
- Je n'entends plus rien ! Avez-vous donc déjà tous vidé vos petites couilles ! N'y avait-il qu'un seul homme ce soir pour venir baiser cette chienne !? Alors ! Qui la veut ? Qui veut enculer cette chienne ? Voyez comme son cul est beau ! Voyez cette croupe ferme, ces fesses rondes, ce trou sombre et lisse ! Avez-vous déjà vu un tel cul ! ? (Une clameur lui répondit négativement) .
Nouvelle clameur ! Chacun annonçait une somme de plus en plus conséquente. Les chiffres grimpaient en flèche ! Prosternée en direction dHélène, dont elle devinait la présence dans l'obscurité des coulisses, Clytia se tenait avec le visage plaquée sur le sol dans la poussière, les épaules basses, les reins creusés, cambrée, faisant saillir sa croupe et offrant son cul aux yeux de tous les hommes qui hurlaient tels de mâles en rut. L'esclave voulait, par cette offrande avilissante, montrer à La Belle Hélène combien elle Lui appartenait, à quel point elle pouvait tout accepter, tout subir, jusqu'où elle pouvait s'avilir dans le seul, l'unique but de La satisfaire ! Thaïs désignait d'un geste ferme le meilleur enchérisseur, puis le suivant, car pour ce cul qu'on leur présentait si complaisamment, ils étaient prêts à sacrifier leurs maigres fortunes... Le prix payé par la brute avait déjà doublé et les propositions montaient encore, la fortune souriait à Thaïs, qui aurait pourtant tout donné pour mériter de suivre Hélène, comme le faisait cette petite catin qu'elle voulait voir subir et subir encore, jusqu'à ce son si beau petit corps ne soit plus qu'un chiffon épuisé, souillé, avili... Oh oui, se disait Thaïs dans ses pensées perverses et mercantiles :
- La vente et la nuit ne font que commencer ! Tu n'en as pas fini, belle petite putain de chienne !...
(A suivre
)
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