La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 438)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°437 - Une séquestration acceptée - (1/2) -
Penaud, la queue encagée entre les jambes, à quatre pattes, les lombes bien cambrées, le regard droit, compelled MDE nen menait pas large. Il avait été amené ici par Madame Marie. Il était là, devant le Maître silencieux qui le dévisageait longuement dun regard Dominateur qui en disait long sur latmosphère ambiante dans cette petite pièce aux murs gris et vide de tout meuble, à lexception dun simple bureau et dune modeste chaise. Quand Monsieur le Marquis le jugea opportun après ce long silence pesant, il daigna prendre la parole :
- Debout chien ! lui ordonna le Maître
Il se mit instantanément en posture dattente.
- Regarde-moi, espèce de chien à dresser !
compelled MDE, par crainte hésita, une demi seconde puis releva son regard. Il vit les yeux du Maître posé sur lui : Un regard bleu et Dominant, déterminé, intelligent, captivant sinon hypnotisant, mais peut-être aussi, paradoxalement, compatissant, empathique, bref un regard quon noublie pas. Pendant un long moment, (interminable pour le chien), le Maître resta silencieux encore, toisant son esclave à Ses pieds, la tête haute mais le visage détendu, bras croisés, immobile, son fessier à peine posé sur le bureau, ses jambes allongées, ses pieds croisés. Ce long moment silencieux et humiliant excitait le soumis pour preuve, sa nouille comprimée et opprimée tentait de remuer, un vrai branle-bas de combat dans cette cage de chasteté. Le Maître eut un petit sourire au coin des lèvres, lorsquil porta son regard sur lentre cuisses de Son esclave et quil vit ce remue-ménage et ces soubresauts. Voilà qui lui plaisait de sentir Son chien excité mais
frustré !
- Jai à te parler avant de tenfermer, te séquestrer pendant quarante-huit heures, comme je lai décidé, afin de bien te rappeler qui tu es, ce que tu es et donc pourquoi tu es et surtout pour qui tu es un esclave-soumis-chien.
Le ton était ferme mais sans la moindre agressivité, ce qui rassura compelled MDE.
- Mais sais-tu pourquoi exactement je veux tenfermer ici ?
- Oui Maître, vous mavez puni, parce que jai fauté
- Cest exact, tu as désobéi, et à chaque fois quun esclave désobéi, il doit être puni. Tu es bien daccord avec ce principe ?
- Oui Maître !
- Je ne punis jamais, pour le plaisir de punir à tort et à travers, mais toujours pour sanctionner un manquement, une faute. Je punis uniquement pour faire progresser lesclave, pour léduquer plus vite encore, pour lui apprendre les règles de vie dans ce Château, mais aussi et surtout pour lui éviter la récidive, une punition doit être utile et pas gratuite, comprends-tu ce principe ?
- Oui Maître, je le comprends et lapprouve même.
- Cest bien, japprécie ! Le Maître se tut un moment, puis calmement reprit :
- Tu vas vivre un long moment pénible ici, mais au-delà de la punition que je timpose, puisque tu las mérité, jaimerai compelled MDE, que tu mettes ce temps à profit pour bien réfléchir, bien méditer, bien penser à ton devenir en ce Château. Jaimerai que tu ressortes de ce cachot, plus fort, plus déterminé, plus sûr de tes convictions, que lorsque tu y es entré. Je voudrais que tu comprennes bien que Ma volonté sincère et véritable est de te conduire vers lépanouissement, la jubilation, la perfection, mais aussi la plénitude. Là est ce que je veux pour toi, là est Ma volonté, là sont Mes choix
Les mots étaient forts, convaincants, puissamment choisis, ils résonnaient dans le crâne de compelled MDE. Il neut aucun doute sur les volontés intimes du Maître, il voyait bien chez Lui, de la sincérité, de la vérité, de lauthenticité dans ces propos.
- Une chose encore Mon chien, avant de te mettre à lépreuve, je veux être sûr que tu acceptes cette longue séquestration. Tu connais le principe ici, aucun esclave est retenu de force dans mon Château, chacun peut repartir tel quil est venu.
Sans une once dhésitation le soumis répondit
- Oui Maître, je le veux de tout mon être !
- Bien compelled MDE, je vois ta détermination, jy suis sensible. Je sens vraiment que je vais faire de toi un bien bel esclave MDE.
Le chien reçut quelques caresses sur son crâne et ces derniers propos comme un véritable cadeau du Maître
Toutefois, depuis le matin, compelled MDE était tracassé :
- Maître mautoriseriez-vous à vous poser une question ?
- Je técoute Mon chien !
- Maître Vénéré, depuis ce matin je minquiète pour mon activité professionnelle, mon travail, je nai pas prévenu mon employeur de mon absence.
- compelled MDE, libère ton esprit de toutes ses tracasseries si tu veux grandir et tépanouir
Tout est réglé avec ton employeur. Nest aucune inquiétude, lâche prise, libère-toi si tu veux être un bon chien obéissant, à Mes pieds. Tu as ce privilège de mappartenir, ce nest pas anodin, cest un privilège, jai une confiance absolue en toi, en ton obéissance ! Ne tinquiète pas non plus pour tes proches, ta famille, tes amis. Tu auras la possibilité de prendre contact avec eux, par téléphone, dici quelques jours.
- Bien Maître, mille mercis Maître, dit lesclave la tête touchant presque le sol.
Le Maître se releva, sapprocha du soumis, passa derrière lui. Il caressa la poitrine de Son chien, son autre main glissa sur son dos, puis entre ses fesses meurtries, lui attrapa les couilles par derrière. compelled MDE contraint écarta un peu plus les jambes, se pencha en avant parce que ses couilles tenues fermement et remontées vers son cul ne lui donnait aucune possibilité de faire autrement.
- Allez suis-moi chien, lheure est venue pour toi de te séquestrer
compelled MDE dût marcher à reculons, heureusement par très longtemps, les cachots de lAuguste Demeure du Maître étaient tout à côté.
- Bonjour et mes respects Monsieur le Marquis, que puis-je pour vous ?
- Je te confie celui-ci pour quarante-huit heures. A partir de maintenant, il est à ta disposition. Je te demande de suivre précisément les instructions que je tai transmises toute à lheure, pas de zèle de ta part, tu entends !
- Oui Monsieur le Marquis, pas de problème.
A ce moment précis, un cri se fit entendre, le cri dune femme, une petite seconde de silence puis elle cria encore mais ce nétait pas des cris de souffrance, cétait plutôt des cris de jouissance !
Le gardien black se mit à rire, un rire gras, vicieux, un rire qui dévoila sa parfaite dentition dun blanc éclatant, contrastant avec sa peau débène.
- Cest la salope que vous nous avez confié hier Monsieur le Marquis, elle est en train de se faire tringler par tous les trous.
- Bien, se contenta de dire le Maître, cest parfait ! Je vous lai offerte pour 2 jours en pâture et comme je lui ai donné lautorisation de jouir à souhait, je suis heureux dentendre crier sa jouissance
. Bon
sur ce, je te le laisse ! En désignant dun index directif compelled MDE
Et le Maître partit sans porter un regard supplémentaire sur le chien. Le gardien noir, dun rien, souleva compelled MDE, le hissa et le prit sur lune de ses robustes épaules et le transporta ainsi dans un lieu reculé et beaucoup plus sombre, plus austère encore. Il sagissait dune cellule dune taille moyenne, avec une porte faite de lourds barreaux en métal. Au centre, une table à bondage, quelque peu rembourrée et recouverte dun simili cuir. Le soumis-chien y fut déposé assis. Le gardien le laissa là quelques instant seulement, il revint avec un sac contenant du matériel. Il louvrit et la première chose quil sortit fut un bandeau quil posa sur les yeux de compelled MDE. Ensuite il glissa dans les oreilles du soumis immobile, des bouchons anti bruit lempêchant dentendre. Plus la vue ni louïe pour lesclave, il se sentit glisser doucement mais sûrement vers une forme de dépendance et dasservissement très prégnant, jamais vécue jusquici
mais provoquant chez lui encore et toujours de lexcitation, plutôt mentale que physique, cette fois-ci
Il aimait se sentir à la merci, de nêtre rien quune simple chose ou un simple objet. Sans se presser, le gardien retira du sac une camisole de force en cuir épais mais souple. compelled MDE y fut enfermé, bras croisés sur son abdomen, manches attachées solidement dans le dos. Plus la vue, plus louïe, plus le mouvement
Pour compléter la panoplie et un isolement parfait, le gardien installa un bâillon boule dans la bouche du soumis , une cagoule de cuir sur sa tête mais aussi des fers à ses chevilles, reliés à une barre décartement lui maintenant les cuisses largement ouverte. Ensuite, compelled MDE dut se coucher sur la table à plat le dos.
Le gardien laida à se hisser et à sinstaller de tout son long puis il glissa un lien dans un anneau fixé sur le haut de la cagoule de compelled MDE et lattacha à la table de bondage. La tête était tenue en extension, impossible de la remuer. Une double chaine partant dun palan fixé sur rail au plafond de la cellule se fixa par des mousquetons à la barre décartement. Enfin, un fin cordage sentoura autour des couilles du chien et fut nouer à la barre décartement. Le travail du gardien était terminé maintenant, ou presque ! Juste avant de sortir de la cellule, il appuya sur un boitier qui fit actionner et reculer le palan. Compelled MDE sentit alors ses jambes se soulever légèrement, se tendre. Ses couilles suivirent le mouvement suite à une tension sur la corde, elles sétirèrent, sallongèrent inévitablement. Dans lobscurité totale, dans un silence profond, dans une immobilité parfaite, nu et tenu en extension, les premières minutes furent très difficiles pour le soumis, mais malgré les difficultés ressenties, les épreuves endurées, il se sentait fort mentalement pour ne pas craquer. Il savait quen lui, depuis toujours, il était doté dune grande pugnacité et dune forte opiniâtreté. Oui compelled MDE était un vainqueur, il naimait pas perdre et aujourdhui encore cette rage de vaincre lanimait toujours. Il resta ainsi, longtemps, très longtemps, se demandant même sil serait maintenu dans cette douloureuse position pendant tout le temps de cette punition. Comme le lui avait demandé le Maître, il prit le temps de réfléchir, de beaucoup penser, de se questionner
et dans son questionnement les mots du Maître lui revinrent en tête :
afin de bien te rappeler qui tu es, ce que tu es et donc pourquoi tu es et surtout pour qui tu es un esclave-soumis-chien
Oui, voila les bonnes questions lesquelles compelled MDE méditait à juste titre : Qui était-il ?
Un simple homme devenu un véritable esclave mais... Quétait-il ? Donc pourquoi était-il devenu un esclave ?
Et pour qui était-il ?
Pour le Maître bien entendu, et cest surtout cette dernière question qui lui était le plus aisé de répondre
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!