Silence Dans La Salle
Nous formons enfin un couple avec Clarisse, les mois qui ont suivi notre première fois étaient magiques. Nous navons pas vu filer le temps. Le sexe était incroyable, on faisait ça partout, le plus souvent possible. La fin de lannée est donc arrivé sans que lon sen rende compte, et avec elle les partiels.
C : Réviser à la maison avec Sam ? Cest parfaitement impossible, au bout de 5 minutes sur le canapé et on se saute dessus pour une folle partie de sexe. La bibliothèque de la fac nous sembla donc le choix le plus sérieux. Il fait chaud en ce début de mai, jenfile donc une robe dété, une culotte sage mais pas de soutien-gorge. Après un court trajet en bus, où jai pu apercevoir le regard de quelques hommes sur mes formes, on sinstalle à la bibliothèque devant une pile de livres.
S : Les révisions nont jamais été mon fort, très vite je me déconcentre et jobserve le reste de la bibliothèque, elle est plutôt vide. Mon regard se pose sur Clarisse, son air si sérieux et concentré marrache un sourire. Elle est magnifique dans cette robe qui dévoile ses belles jambes et une partie de ses cuisses. Elle passe sa main sur sa poitrine pour jouer avec son pendentif, se mouvement lui arrache un premier bouton mais elle ne semble pas sen rendre compte. Ca y est la situation mexcite déjà, cette fille me rend vraiment fou. Elle se penche pour rédiger une de ses fiches, jentrçois alors ses seins parfaits.
C : Je sens Sam qui sagite sur sa chaise. Je sais ce qui le perturbe, la situation me fait rire mais je donne le change et continue de jouer les innocentes. Je bascule en arrière sur ma chaise en rentrant les fesses et en relevant les jambes. La gravité fait le reste et dévoile un peu plus le haut de mes cuisses. Sam sagite de plus en plus, son regard est fixé sur mes cuisses. Il faut que jaille plus loin, lair de rien je prends un livre et minstalle en tailleur sur la chaise. Ma robe ne cache plus rien et je regrette alors cette culotte un peu trop sage.
S : Son départ relâche un peu la tension qui monte en moi et je me replonge dans les livres. Elle revient quelques minutes plus tard sans dire un mot. Très vite mon attention se disperse à nouveau. Clarisse a les jambes croisées, sa robe est montée à mi-cuisse, le désir sembrase à nouveau dans mon corps. De temps en temps elle croise et décroise ses jambes, les lève, sa robe tombe inexorablement. Je remarque quelle a également détaché deux autres boutons, maintenant ses seins sont visibles au moindre mouvement. Mon érection me fait mal tellement elle mexcite.
C : Je sais que Sam nen peut plus. Il se tortille sur sa chaise et tente de cacher son érection. Il est temps de lui sortir le grand jeu. Je me recule dans ma chaise et pose mon pied droit sur la chaise, avec mon livre dans la main, la position parait presque sage.
S : Elle vient de machever, ses cuisses sont écartées et son genou se presse contre sa poitrine. Mon regard se bloque sur son entrejambe, mon cur accélère. La culotte sage a disparu et ma copine exhibe son intimité épilée et déjà humide. Je comprends alors que son trajet aux toilettes na été quun prétexte pour enlever sa culotte et pour jouer avec moi. Je relève la tête, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire aguicheur.
C : Lexpression sur son visage est jubilatoire, un mélange détonnement et dexcitation. Il ne pensait pas capable de jouer comme ça. Je pose à présent mes deux pieds contre la chaise et jécarte les cuisses, avec une main je me caresse un sein, lautre joue à effleurer mes lèvres. Je déborde de plaisir, je nai jamais été aussi humide. Je sais que je le tiens sous mon emprise, jai le pouvoir, il suit le trajet de mes doigts mais il nest que le spectateur frustré, je suis lactrice. Lentement jenfonce un doigt et déjà mon souffle saccélère, très vite un autre doigt suit, puis un autre.
S : Je ne veux pas en finir là ! Alors quelle semble mettre fin au jeu, je me lève dun bond et linvite à se lever à son tour et à me suivre. Un tour rapide de la bibliothèque et je marrête dans un rayon désert, à lécart du reste de la bibliothèque. Je lembrasse fougueusement contre le rayon. Ma main se porte directement à son vagin humide.
« Arrête Sam, on peut nous voir !
- Je men fou, je veux plus.
- Non, non, arrête. Elle se mord la lèvre, ses yeux se ferment alors que mes doigts senfoncent en elle »
Ses protestations se changent en encouragement, elle en a autant envie que moi. Je déboutonne mon short et sort ma verge, elle la prend directement en main et la dirige pendant que je la soulève du sol par les cuisses. Je lempoigne fermement et la maintien contre le rayon. Elle place ma queue contre ses lèvres, la dirige pour la pénétration.
C : Il me pénètre facilement, je suis terriblement excitée. Il donne des coups de reins et imprime une cadence rapide, jappuie mes mains contre ses fesses et mord son cou pour méviter de hurler de plaisir. Un orgasme monte, me submerge de plaisir, la chaleur se répand dans tout mon ventre, un frisson me parcours. Mon vagin se contracte et mon cur semballe, je crois mévanouir. Les spasmes sestompent, Sam pousse un râle et éjacule, sa semence, chaude et abondante, remplit mon vagin. Il se retire, membrasse et se rhabille. Je reprends mes esprits et réajuste ma robe, son sperme coule un peu sur mes cuisses mais je nai rien pour lessuyer.
S : Un mélange de joie et dembarra nous envahit, je vois distinctement le petit filet de sperme luisant sur sa cuisse.
C : On sort rapidement du rayon, jallonge la foulée pour éviter de croiser quelquun mais dès le rayon suivant un garçon nous barre la route. Cest celui qui sintéressait à mon petit manège de tout à lheure, je le connais bel et bien, cest François. Sam ne laime pas, en partie parce quil est « arrogant et égoïste » daprès lui et aussi et surtout parce que je ne le laisse pas indifférent.
S : François engage la conversation avec Clarisse et mignore totalement. Je hais ce type. Clarisse lui répond par des banalités, elle est rouge comme une pivoine. Mes yeux restent bloqués sur la trace de sperme sur sa cuisse. Est-ce quil nous a vus ? Il conclut la conversation en invitant Clarisse à une soirée chez lui, elle dit quelle viendra peut-être avec moi. Il enchérit un bien sûr et me lance un grand sourire. Il se colle alors à Clarisse, se penche à son oreille et lui chuchote quelque chose, sa main se pose sur la fesse de ma copine. Mon sang ne fait quun tour mais avant que jintervienne il tourne les talons, un grand sourire aux lèvres, et disparait.
« Tas vu comme il ta touché ? Le salaud je vais lui péter la gueule !
- Cest pas grave ça, il ma dit quil avait adoré le spectacle ! Il nous a vus ! Jai honte mais ça mexcite aussi !
Elle se met à rire et reprend sa route. Je suis choqué, savoir que François nous a observés ménerve et mexcite tout autant. On sarrête aux toilettes où elle nettoie son intimité et on sort du bâtiment. François, debout au milieu de ses amis, leur raconte une histoire, ils affichent tous de larges sourires. Pas la peine de deviner laquelle. On passe devant eux et Clarisse me glisse un « on sen fiche » avant de membrasser pour calmer ma colère. Tous la regardent avec envie alors quon se dirige vers le portail. Pas de doute que de nombreux ragots vont circuler sur son compte
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!