Laura 2
Mon premier jour de fac fut absolument délicieux. J'aimerais dire que c'est la qualité des cours, ou l'ambiance qui me laissa ce souvenir merveilleux, mais ce fut en fait toute autre chose.
Alors que je faisais la queue devant le secrétariat pour choisir mes options, je sentis quelqu'un me taper sur l'épaule. Je me retournai et tombai nez à nez avec Laura. C'était une très belle arabe, au visage sensuel avec une belle poitrine et de belles fesses. Elle et moi avions baisé sur la plage l'été dernier, et ça avait été une incroyable partie de jambe en l'air.
"Oh Laura ! Tu vas bien ?"
"Oui et toi ?"
"Ca peut aller !"
Nous discutâmes pendant un bon moment, mais rapidement je sentis qu'elle comme moi voulions autre chose qu'un simple échange de banalités : nous avions follement envie l'un de l'autre.
Un peu après, je passai devant les toilettes, et avec un sourire coquin je lui demandai :
"J'ai envie d'aller aux toilettes, mais je trouverai triste d'y aller seul, tu veux pas m'accompagner défois ?"
J'eus à peine le temps de finir ma phrase que Laura me poussa dans les toilettes, et ferma la porte derrière nous, puis elle me plaqua contre le mur et m'embrassa furieusement. Un sourire avide aux lèvres, elle me baissa le pantalon, puis le caleçon, et entreprit une incroyable fellation. Me prenant en bouche, elle se mit à faire des vas et viens, allant d'en avant en arrière à un rythme tout de suite très élevé, innondant ma verge de sa salive, ne s'arrêtant de me surcer que pour me branler énergiquement, ou pour m'infliger de terribles coups de langue avant de reccomencer à me sucer ses cheveux noirs tombant en cascade devant moi. Je serrais les dents et vibrais de plaisir : c'était sans doute la meilleure fellation qu'on ne m'ait jamais fait, même Katherine (pourtant experte) n'était pas aussi douée en la matière ! Je compris bien vite qu'à ce rythme là je ne tiendrai pas longtemps, aussi criai je :
"Oooh ! Laura arrête stoplait je vais jouir là ! Stooop je veux te baiser !"
Mais Laura ne l'entendait visiblement pas de cette oreille, et ne s'arrêta pas.
Laura se redressa, fière d'elle. Avec son sourire provocateur, et son beau visage barbouillé de mon sperme, elle était odieusement sexy. Elle me dit :
"Alors t'as kiffé ?"
"J'ai A-D-O-R-E ! Dis je détachant chaque syllabe !"
"Et encore ça ne fait que commencer, j'ai prévu de te malmener encore longtemps crois moi ! Viens on va chez moi !"
Elle se débarbouilla dans le lavabo des toilettes, et prenant le train nous allâmes chez elle. Pendant le trajet je me disais qu'elle rêvait : après ce qu'elle venait de me faire je n'avais qu'une seule hâte, la démonter sauvagement, c'était moi qui la malmenerais !
Impatiens tous les deux, nous prîmes le train, direction chez elle. Pendant tout le trajet, cette chaudasse n'arrêta pas de me faire des petits bisous dans le cou, de me sussurer à l'oreille des trucs coquins, de me lancer des regards incendiaires, et même de temps en temps, de furtivement me toucher le sexe comme pour s'assurer qu'il était toujours dur.
Ainsi, une fois arrivés chez elle, j'étais aussi chaud bouillant qu'on pouvait l'être, et sitôt la porte de son appartement refermée, je me jetais sur elle comme une bête affamée. Je la plaquais violemment contre la porte, lui retira sa veste sans ménagement, et l'embrassa furieusement, elle me rendit mon baiser avec passion, m'enlaçant, m'attirant contre elle avec ses bras, et même avec une jambe. Ensuite, je la pris par la ceinture de son jean, et l'entraînai de force dans sa chambre.
Une fois dans la pièce je la jetai sur le lit et vins sur elle.
Je me levai du lit et me débarassai de mon pantalon, je retirai ensuite mon T-shirt. A la vue de mon corps musclé, Laura se leva les yeux avides, et me dévora le torse, léchant et embrassant mes pectoraux. Elle voulut ensuite me pousser sur le lit décidée sans doute à reprendre les choses en main, mais je ne l'entendais pas de cette oreille : je l'arrêtai et la la jetai sur le lit, surprise, elle éclata de rire. Très chaud, je retirai mon caleçon, vins sur le lit, et lui enlevai sa culotte. Ensuite, je la retournai, le mettant à quatre pattes, et la pris en levrette, entammant de puissants vas et viens d'avant en arrière qui me firent grimacer de plaisir tandis que Laura gémissait. J'alternais le rythme, tantôt j'allais lentement, et alors, frutstrée Laura donnait des coups de rein elle aussi afin de me provoquer et de me pousser à accélérer le rythme ; tantôt accédant à ses désirs, j'accélérai le rythme, la bourinnant si sauvagement qu'elle en hurlait carrément de plaisir. Elle perdait tellement les pédales dans ces moments là qu'elle tapait le matelas et qu'elle hurlait "ouiiii vas yyyy baise moi putain !" Je continuais à la limer ainsi jusqu'à me sentir trop proche de l'orgasme : alors je décidai de changer de position.
Je la retournai, la mettant sur le dos, et vins la prendre en missionaire. Je repris mes vas et viens, voulant aller lentement pour rendre Laura folle, mais je compris vite que ça ne serait pas possible : Laura me griffait le dos, me mordait l'épaule me criait de la baiser plus vite : cette lionne magrhébine avait besoin d'être matée, aussi je lui pris les mains et les plaquai contre le matelas pour lui montrer qui était le patron et j'entrepris de la baiser plus sauvagement que jamais, la pilonnnat de vas et viens, allant de bas en haut m'enfonçant en elle à chaque coup.
Une fois remis, je rentrai chez moi en me disant que cette première année de Fac commençait plutôt bien...
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