La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 442)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode précédent N°441 -
Il sattaque ensuite au ventre de Dosile, jouant de plus en plus des couleurs aux tonalités variées et franches cette fois, en laissant tomber de petites gouttes telles les touches de peinture dun tableau de peintre impressionniste. Il se complait de voir le corps de sa soumise qui frétille à chaque goutte et sursaute dans un vrai plaisir stimulant qui lui chauffe la peau mais aussi lâme, car elle halète de plus belle avec un vrai sourire aux coins des lèvres framboises du haut et avec de plus en plus donctuosité visible sur ses lèvres rosacées du bas gonflées.
Dosile nest pas masochiste au sens propre du terme, ne cherchant pas la douleur et encore moins lhumiliation comme catalyseur de sa jouissance physique, mais elle apprécie les plaisirs D/s même intenses qui mettent son âme en émoi, quils sagissent de plaisirs cinglants ou de plaisirs chauffants, qui stimulent le corps, mais aussi lesprit maintenu en éveil dans la soumission et le don de soi à un Autre. Elle prend aussi beaucoup de plaisir personnel à satisfaire les plaisirs du Maître auquel elle appartient et elle apprécie tous les jeux et pratiques quil choisit de lui infliger pour partager ensemble dans une grande complicité leur passion commune D/s, chacun ayant besoin de lA/autre pour pouvoir vivre leurs pulsions personnelles de Domination pour lUn et de soumission pour lautre. Elle aime offrir son corps, sabandonner totalement entre les mains du Maître, être capable de lui montrer la force de sa dévotion, de sa soumission, de son abnégation, de sa vénération, et ce de toutes les manières possibles, dans le cadre dune appartenance espérée et désirée fortement qui lui permet de supporter tout ce quil lui impose et dobéir à tout ce quil exige delle. Elle lui a abandonné son corps tout entier, mais également sa pudeur, sa réserve, ses craintes, ses doutes, ses peurs, ses émotions, son passé, son avenir, les méandres de son moi intime, son jardin secret, pour nêtre plus que Sienne, celle quil connait si bien et dont il peut tout exiger, tout en sachant très bien quil nexigera jamais que ce qui correspond à un plaisir quil sait être partagé et désiré, même sil cherche sans cesse à faire en sorte quelle puisse à ses pieds encore plus saméliorer, sépanouir, découvrir de nouvelles sensations de plus en plus intenses, et repousser ses limites physiques ou psychiques.
Sir Senav, sentant lexcitation monter dans le corps de son esclave, insère dans son anus un godemichet et dans sa chatte un uf quil glisse profondément à lintérieur du vagin, les deux objets étant vibrants, il les règle à la puissance maximale mais veillant à ne pas mettre la même fréquence de vibration sur les deux appareils pour varier plus intensément la cacophonie des sensations qui vont lui dévorer le bas-ventre. La respiration de Dosile est devenue encore plus intense, elle se retient pour ne pas se laisser aller à crier, ou tout du moins à exprimer à haute voix les émotions de plaisirs charnels et sensuels qui semparent de son corps, en ébullition, tant de lintérieur que de lextérieur. Le Dominant att quatre pinces clips quil fixe sur les grandes lèvres intimes de Dosile de part et dautre et quil attache aux autres liens fixés autour de la table, de manière à écarteler la chatte humide de son esclave excitée, qui se trouve encore plus mise à nue et exhibée aux yeux de tous, même si sous son bandeau, elle est incapable de savoir si quelquun la regarde ou non, à cet instant même et dailleurs tout à lécoute de ses propres ressentis, elle na guère le temps de se préoccuper de savoir si elle joue dans lexhibitionnisme contraint.
Maniant le geste à la créativité artistique, le Maître se déchaine tel un chef dorchestre qui battrait la mesure en cadence mais qui en guise de baguette aurait un filet de cire liquide qui changerait régulièrement de couleur, et qui viendrait déposer sur le corps qui lui tient lieu de toile de plus longues coulées qui serpentent en suivant les courbes et les rondeurs du corps étoffé, qui a au moins lavantage doffrir plus de centimètres carrées pour le chef duvre du Dominant devenu peintre à la bougie.
Sir Senav sent que la montée en puissance sapproche et après avoir dessiné sur son ventre arrondi une toile de « Maître » (d'artiste en peinture), ses gestes se rapprochent de plus en plus des lèvres intimes qui sont maintenues grandes ouvertes. Dosile ne peut sempêcher de réprimer de petits cris, lorsque la cire liquide vient poindre sur son pubis et son entrecuisse à la peau plus tendre, mais il est bien difficile à ce moment là de savoir si cela correspond à des cris de plaisirs ou de déplaisirs, tant la consonance en est proche. Pour éviter de prendre des risques avec une trop grande douleur sur ces zones plus sensibles à la chaleur, le Dominant laisse couler la cire de plus haut afin dadapter ses gestes aux réactions de celle qui nest plus quun pantin sensitif entre ses mains, avec la possibilité de réduire encore limpact en séloignant ou linverse si l'effet ressenti diminue. Depuis quelques minutes, Monsieur le Marquis dEvans regarde son ami à luvre.
Epuisée de retenir sa jouissance et la montée du plaisir, Dosile se lâche dans des cris stridents de jouissance féminine lorsque Sir Senav lui dit juste dun seul mot « maintenant » au moment même où il renverse sur son clitoris décapuchonné et gonflé une bonne coulée de cire rouge. Dosile se tord dans tous les sens dans ses liens, prise par un orgasme dune puissance fulgurante, qui est entretenu longuement car le Dominant continue de projeter des petites goutes de cire sur les lèvres intimes ouvertes de son esclave ce qui augmentent dautant les cris de jouissance dans cet acmé de douceur mêlée de douleurs-plaisirs.
Le Marquis dEvans sapproche au moment où Dosile commence un peu à reprendre son souffle, en applaudissant à pleines mains, repris aussi sec par dautres personnes autour, qui trouvent de bon goût de suivre le Maître des Lieux dans ses gestes dacclamation, même sil nest pas évident quils aient la même approche artistique et une capacité de jugement de la qualité picturale du dessin corporel fait à la bougie. Mais déjà sur un simple plan D/s, la prestation réalisée sur la soumise immobile qui est couverte de bougie colorée sur une grande partie du corps et en particulier au niveau de ses zones érogènes est en soi déjà un petit exploit tant pour le Maître qui a officié, que pour lesclave qui a enduré mais également apprécié ces ré-jouissances.
- Très beau chef-duvre, Sir Senav. Je ne vous connaissais pas ces talents de peintre impressionniste.
- Très Cher Marquis, ne plaisantez pas avec moi même si je connais vos habitudes facétieuses tout en restant respectueuses, je finirai bien par croire ce que Vous me dites et par me prendre pour un Cézanne de la bougie, ou pire un nouveau Van Gogh, mais qui nauraient pas vraiment lintention de se couper loreille car jaime tout particulièrement lorsque mon épouse vient me lécher lintérieur de loreille et les lobes, le soir devant la télé. A moins que Vous nayez songé à avoir vu en moi un nouveau Rembrant, ou un autre Soutine, qui aurait pris ma soumise Docile en guise de modèle à la place dun buf dépecé et écorché sur des crochets de boucherie.
- Cher Sir Senav, non point de cela dans mon esprit, surtout pas. Vous connaissez mes gouts en matière de peinture, sans parler des peintres que jaffectionne au même titre que vous. Et sur le plan de la BDSM, vous savez fort bien combien je tiens à des rapports D/s de qualité, respectueux en tout premier lieu des dominés qui viennent à nos pieds de Dominant, et qui sont sous notre responsabilité et notre protection. Dailleurs, je napprécie pas spécialement ces images dégradantes que lon aperçoit parfois sur le net, où la soumise ou le soumis sont présentés comme de la simple chair fraîche à utiliser sans ménagement. Javais en tête, en vous parlant, des peintres plus colorés en relation poétique avec le corps sublime de votre soumise que vous avez rendu bigarré et étincelant de plaisirs charnels dont nous avons tous pu savourer la tonalité de ses cris de femelle en jouissance.
En entendant la voix de Monsieur le Marquis dEvans que Dosile a reconnu, mais également les bruits de plusieurs salves dapplaudissement, lesclave-soumise qui reprend à peine ses esprits sest mise à rougir intensément, se rendant compte que Sir Senav et même elle, en tant que corps dénudé et offert, mis à la disposition du Dominant, sont le centre dintérêt de lassistance quelle ne peut apercevoir mais qui doivent tous la dévisager ou reluquer dans son entrecuisse inondé de cyprine autant que de cire fondue. Une part delle voudrait ressentir la honte de se voir ainsi exhibée nue au vu de tous, contrainte par les liens à rester un pantin écartelé ayant perdu la vue et la mobilité, astreinte à nêtre plus quun morceau de chair recouvert de cire fondue qui sert de terrain de jeux D/s. Mais la partie la plus profondément soumise qui habite son moi intérieur et toutes ses pensées ressent un immense bonheur et presque de la fierté à être devenue lesclave de Sir Senav, qui ne cherche quà lui obéir et le satisfaire en tous points. Elle nignore pas limmense plaisir jouissif qui vient de la transcender alors que les sensations chauffantes de la cire fondue avaient mis son corps et son cur en ébullition. Sir Senav se retourne vers le Châtelain. Mais lexcitation ayant commencé à retomber, la tension musculaire commence à se faire sentir dans le corps écartelé de la soumise qui jusque là navait rien ressenti, mais qui commence à trouver longue chaque seconde supplémentaire dans ses muscles tétanisés et épuisés.
Sir Senav qui connait bien les réactions tout autant que les silences et autres petits gestes de son esclave-soumise qui est en train de se mordre les lèvres pour supporter la position qui est devenue insoutenable sadresse au Marquis dEvans.
- Très Cher Marquis, permettez-moi sil vous plait de maffairer quelques instants pour détacher ma soumise Dosile qui doit sérieusement commencer à peiner ainsi écartelée depuis de fort longues minutes, surtout quelle na pas la souplesse des frêles danseuses acrobates et que je me doute que la position que je lui ai imposé contraint son corps et ses muscles de manière importante.
- Cher Sir Senav, je vous en prie, faites ce que vous avez à faire. Je vais dailleurs devoir vous laisser pour poursuivre le tour de mes invités. Jespère que vous navez pas pris mal, ce que je vous ai dit juste précédemment en vous comparant à un peintre impressionniste car cela partait dun bon sentiment, sans la moindre arrière-pensée. Je trouve très artistique ce que vous êtes arrivé à dessiner sur le corps plantureux de votre belle Dosile au teint si clair. Mais les gouttes de cire multicolores ressemblent plus à des touches de style impressionnistes quà ces magnifiques uvres de nus aux formes généreuses que nous ont laissé les merveilleux peintres dune autre époque que sont Rubens et Renoir et que je sais que vous affectionnez particulièrement. Ce sera au plaisir de nos prochaines discussions. Je crois bien que mes obligations professionnelles vont me conduire pas très loin de chez vous prochainement, si vous êtes disponible nous pourrions envisager un déjeuner en toute amitié, avec ou sans dominé(e)s à votre convenance.
- Très cher Marquis dEvans, ce serait avec la plus grande joie de pouvoir passer un moment en Votre compagnie dans les jours ou semaines à venir.
Le Châtelain séloigne après avoir dun geste amical sur la main et le coude salué Sir Senav. Le Dominant sapproche alors de la table.
- Tout doux ma très belle esclave, je vais te détacher sans tarder. Ne bouge pas encore. Tu as été merveilleuse, je suis très fier de toi. Je dois te dire que je te trouve très belle ainsi décorée, je pense que nous recommencerons souvent, car jadore te voir frissonner ainsi.
Après avoir détaché ses jambes et ses bras, il la fait se plier un peu plus les jambes vers lavant pour la courber. Il dégrafe son pantalon, ouvre la braguette et
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(A suivre
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