L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 43) -

L'Odyssée de La Belle Hélène – De l’or pour le cul de Clytia -

Les clients, tous pris d’érection qu’aucun d’eux ne cherchaient à cacher, étaient maintenant déchaînés ! Chacun hurlait pour jeter à la face des autres, la somme qu'il était prêt à sacrifier pour gagner le cul sublime de l'esclave qui ondulait de la croupe, sous la direction de Thaïs et des claquements de son fouet. Clytia dansait de la plus impudique des façons, dirigée par la lanière de cuir qui la frôlait et parfois même effleurait sa chair, sans pour autant venir ternir l'élégante harmonie de sa peau si lisse et luisante de sueur... Elle s'appliquait à bien creuser ses reins, à faire saillir sa croupe, n'hésitant pas à écarter ses fesses de ses mains pour laisser l'image de cette grotte sombre et étroite imprégner l'esprit et la bourse des clients surexcités et en rut. Les sommes promises dépassaient tous les espoirs de Thaïs... et amusaient Hélène, toujours alanguie dans son siège, qui avait repoussé son éphèbe et caressait de sa propre main une intimité poisseuse et brûlante. La Belle ancienne Reine de Sparte et épouse du Dieu Apollon se fichait comme d'une guigne de ce que rapporterait la vente des faveurs de Son esclave ... Seule l'épreuve avilissante qu'elle lui faisait endurer Lui importait. Hélène jouissait de voir sa belle Clytia ainsi vendue à d'ignobles individus qui sans doute plus jamais n'auraient l'occasion d'approcher une créature aussi belle, aussi aristocratique... Elle voulait la voir souillée, avilie, traitée comme la plus vile et infâme des créatures, avant de la reprendre sous Son aile, de la consoler et de reprendre leur chemin... Leur Odyssée...

Le vacarme semblait marquer une pause et Hélène abandonna ses pensées et accorda Son Attention à la scène... Une bourse de cuir, lourde et pansue venait d'atterrir au pied de Thaïs qui se penchait pour la ramasser, examinant le contenu avec un air hagard. Elle sortit une pièce dont l'or d'une pureté rare se mit à scintiller dans la lumière des nombreuses torches.

Un murmure admiratif emplit la salle maintenant apaisée... Thaïs s'approcha de Clytia et lui claqua les fesses tout en regardant celui qui avait lancé la bourse...

- Ce cul est pour toi, l'homme !, lança-t-elle en direction d'une personne dans la salle...

Hélène tourna son regard avec curiosité... Un Homme démesurément grand fendait la foule. Il avait le crâne rasé, une musculature fine et une peau bistre. Il n'était vêtu que d'un pagne entièrement constitué de perles fines et son corps était orné de fines chaînes d'or, reliées à diverses parties de son corps par des anneaux directement fixés dans ses chairs. Il s'avançait d'une démarche élégante et très efféminée, suivi par deux esclaves mâles entièrement nus, aux sexes dressés, qu'il tenait en laisse par de fines chaînettes attachées à la base de leurs couilles. Il grimpa sur la scène avec un léger déhanchement, suivi par ses deux mâles, qu'il congédia en leur indiquant un recoin de l'estrade, où ils allèrent s'agenouiller en silence. L'homme à l'aspect si étrange s'approcha de Clytia et Thaïs... Cette dernière lui lança :

- Je ne pensais pas qu'une femelle, aussi sublime soit-elle put t'intéresser…

Ces mots glissés par la tenancière firent naître un mince sourire narquois sur le visage de l'acheteur. Il posa une main sur la nuque de l'esclave et l'attira à lui, la pressant contre sa poitrine tout en passant une main sur sa croupe.

- Un cul est un cul et celui-ci ne manque pas d'attraits, dit-il d'une voix ferme mais aussi délicate que celle d'une jeune fille.
- Alors ce cul est à vous, faites en ce que vous voulez… dit Thaïs en soupesant la bourse pleine de pièces d’or.

Puis à ses mots, Thaïs se retira à reculons en s'inclinant respectueusement face au riche inconnu et la salle entière retenait son souffle. L'homme au corps percé promenait ses mains sur le corps nu et docile de Clytia qui s'abandonnait à ces mouvements dont lui seul décidait lesquels étaient les plus excitants. Tous se taisaient et admiraient ces deux créatures presque irréelles... La belle esclave aux courbes délicieuses et cet homme aux gestes si délicats mais qui semblait animé d'une puissante volonté. La danse lente et gracieuse des deux corps fascinait, hypnotisait presque la foule composée de mâles frustes et de putains lascives, dont certaines parvenaient à glaner quelques piécettes en suçant les queues des hommes qui avaient compris que leurs maigres moyens ne leur permettraient certes pas de s'offrir cette sublime créature qui se tenait maintenant penchée en avant, ses mains touchant le sol, la croupe parfaitement exposée à la saillie. L'étrange homme se tenait derrière elle, la tenant par les hanches, il avait soulevé son pagne de perles, révélant une verge fine mais longue et de lourdes couilles manifestement bien remplies. Un mauvais jeu de mot pourrait dire qu’il avait toutes ses bourses bien remplies ! Il vint donc se coller derrière l'esclave et poussa son gland contre l'anus offert, contractant un peu ses reins avant de s'enfoncer en elle et l'enculer d'un seul coup, vif et rapide. Une sodomie nette jusqu’à la garde et Clytia ne put retenir un bref sursaut, que l'homme sanctionna immédiatement d'une claque sur les fesses, puis ayant obtenu l'immobilité qu'il désirait, il commença à la posséder avec des gestes souples et réguliers...

Tous retenaient leur souffle, tandis qu'il enculait l'esclave qui adaptait avec docilité ses mouvements au rythme qu'il imposait. La Belle et Divine Hélène appréciait ce moment... L'élégance et la souplesse de cet homme étrange exprimaient une noblesse qu'Elle jugeait digne d'Elle. Se réjouissant que le cul de Clytia fut ainsi livré à une créature digne de s'y abandonner. L'homme était d'un calme et d'une sérénité surprenants. Nulle agressivité, nulle hâte dans la façon dont il enculait méthodiquement la femelle dont il venait de s'offrir les faveurs anales pour une somme absolument démesurée ! Hélène observait également les deux esclaves qu'il avait tenus en laisse. Deux hommes beaux, musclés, à l'allure de guerriers, mais aux corps parfaitement lisses, huilés, qui même à genoux ouvraient assez leurs cuisses pour que tous puissent admirer leurs incessantes érections. Hélène pensa qu'il s'agissait de combattants, sans doute vaincus par celui qui était désormais leur Maître et qui étaient devenus ses créatures, ses jouets sexuels, la plus avilissante des situations pour ces deux mâles virils qui à n'en pas douter avaient auparavant occupé de nobles fonctions... La Belle Hélène apprécia. Cet homme éffiminé, cet inconnu à l'étrange allure, qui était en train d'enculer calmement Clytia l'intéressait. Il faudrait qu'Elle en apprenne plus sur lui...

Se détournant des deux esclaves qui n'étaient plus rien, Elle reporta Son Attention vers Son esclave et sur l'homme au pagne de perles qui allait en venait dans le cul maintenant largement ouvert de Clytia. Les chaînettes qui parcouraient le corps de l'inconnu tintaient doucement au gré de ses mouvements. Mais ce doux son fut couvert par un soudain rugissement. Il venait de jouir sa semence accompagnée de râles longs de plaisirs à n’en plus finir, emplissant le cul de l'esclave d'un flot épais de sperme, poussant à fond pour la remplir au maximum. Il donna ainsi quelques rapides coups de reins profonds, poussant son jus dans les entrailles de la femelle avant de se retirer, exhibant un sexe encore tendu, luisant et poisseux... Il fit un geste, claquant discrètement des doigts et l'un de ses deux esclaves mâles vint jusqu'à lui à quatre pattes, s'agenouillant en ouvrant grand la bouche, afin que son Maître y fourre sa queue à nettoyer. Hélène sourit de cette scène... tandis que Thaïs rejoignait le trio sur le devant de la scène sous les applaudissements de la salle. Sans un mot de plus, l'homme reprit ses deux mâles en laisse par la queue et quitta la scène par l'arrière, rejoignant les coulisses où Hélène avait déjà donné des ordres afin de lui servir une savoureuse collation. Son élégance, ses talents et la somme astronomique qu'il avait sacrifiée pour le cul de Clytia méritait bien quelque attention...

A nouveau, Thaïs faisait claquer son fouet et maintenait Clytia dans cette position en levrette cul bien relevé, reins cambrés, tête plaquée au sol et qui mettait ainsi sa croupe et son cul bien rempli en valeur...

- Qui en veut encore !? s'enquit la tenancière, Profitez-en ! J'accorde une pause dans les enchères ! Puisque son cul a été bien rempli, je le vends à bas prix ! Alors qui en veut encore ? Voyez comme il est beau !, criait-elle en tapotant et caressant les fesses de Clytia comme on le fait d'un beau melon sur le marché...

Une clameur accueillit l'annonce et une nuée d'hommes se précipita vers l'escalier menant à l'estrade, difficilement canalisée par les gardes chargés de la sécurité de l'établissement. Faisant voler son fouet au-dessus des têtes, Thaïs parvint à obtenir un peu de calme et à gérer la fureur de la foule. C'est enfin sagement alignés que tous les mâles intéressés se mirent en place, tendant leur poignée de pièces avant de venir prendre position derrière Clytia, toujours maintenue dans son inconfortable (mais si accessible !) position. Chacun à leur tour, ils venaient ainsi enculer la belle esclave, emplissant un peu plus son cul de foutre... Et chaque sodomie était selon la convenance de chacun, c’est à dire soit en levrette, soit l’esclave debout, les jambes droites, la croupe tendue, penchée en avant les mains au sol. Clytia souffrait terriblement des inconfortables tensions imposées à son corps... Naturellement elle subissait ces contraintes avec la plus absolue docilité, soucieuse bien plus de La Satisfaction de sa Divine Maîtresse Hélène que de son insignifiante personne. Pourtant, ses muscles raides étaient douloureux et son anus brûlant, du frottement incessant de ces sexes tendus qui venaient à la chaîne, l’un après l’autre, remplir son cul et l'inonder de leur jouissance. L'esclave sentait le trop plein des semences mêlées qui coulaient de son cul avant de s'écouler lentement le long de l'intérieur de ses cuisses tétanisées... Ils furent ainsi un bon nombre, une cinquantaine de mâles en rut, à pouvoir se vider dans le cul de Clytia, avant que le fouet de Thaïs ne vint mettre fin à ce moment "à bas prix". Les derniers bénéficiaires furent poussés en bas de la scène et Thaïs contraignit Clytia à se redresser...

L'esclave était épuisée, le souffle court, le cul en feu, son corps luisant de transpiration, le sperme dégoulinant de son anus... et pourtant encore si délicatement belle ! Tous étaient fascinés par cette noble élégance qui habitait l'esclave, souvenir connu de La Seule Hélène de ses ascendances aristocratiques, puisqu'elle avait été la fille adulée de l'une des plus nobles familles de Sparte, avant de renoncer à tout pour mériter de devenir l'esclave d’Hélène qu'elle vénérait par dessus tout ! Thaïs souriait perversement de voir l'esclave ainsi souillée. Elle tendit le bras et saisit un téton entre ses doigts, pressant lentement, inexorablement, jusqu'à obtenir que Clytia ne se courbe et se contorsionne... Dans la salle, clients et putains retenaient leur souffle, excités par la situation. Certains profitaient de ce moment pour baiser à même le sol ou dans un recoin de la salle, selon qu'ils étaient plus ou moins pudiques. Relâchant sa pression sur le bout du sein de l'esclave, Thaïs la repoussa et fit signe aux musiciens qui commencèrent une mélopée... La tenancière commença à faire tournoyer son fouet, lentement, puis plus vite... et le fit claquer tout près de Clytia... Elle maniait cette longue lanière de cuir tressé avec une terrible précision et commença à imposer une sorte de danse à l'esclave... Ce qui au début semblait improvisé et presque maladroit s'organisa peu à peu, au rythme des coups de fouet tandis que la musique s'accélérait. Les claquements du fouet agissaient maintenant comme l'instrument dominant de l'orchestre, dirigeant à la fois la mélodie des musiciens et la danse de Clytia... Et toute la salle tapait dans ses mains, en cadence avec les claquements secs du fouet... offrant un étrange et pervers spectacle...

(A suivre …)