Une Envie Irrésistible
Ça me reprit en rentrant du travail. Encore ce fantasme ! Jeu une pointe dexcitation à lidée de le mettre à exécution.
Javais envie de me sentir femme.
Je savais que dans quelques minutes, jallais passer devant un conteneur de vêtements. Je passais régulièrement devant et javais déjà remarqué que de temps en temps, des sacs sentassaient devant le conteneur trop plein. Jamais je navais osé marrêter mais javais souvent imaginé trouver des vêtements de femme. Peut-être cette fois oserais-je ? Je me sentais plus excité que dhabitude, lappel était plus profond et plus irrésistible que les fois précédentes
Je mapprochai de mon objectif et ralentis. Mon cur saccéléra à la vue des deux sacs posés devant le conteneur. Javais de la chance. Je ralentis encore. Je navais jamais tant hésité à assouvir cette envie. Je me convainquis quil ne me coutait rien de marrêter un moment et je me garai donc tout près des sacs. Je sortis de la voiture et regardai autour de moi, les rues semblaient désertes. Les plusieurs habitations qui jonchaient les environs me rendirent nerveux. Je savais pourtant que le meilleur moyen dêtre discret était dagir le plus normalement du monde, quitte à faire tout le bruit quil fallait.
Une pulsion me saisit, et sans réfléchir davantage, jouvris le coffre de la voiture pour y glisser les deux sacs. Je le refermai aussitôt, rentrai à labri de cet habitacle et démarrai au plus vite. Je tremblais. Je voulais marrêter rapidement pour découvrir quels trésors renfermait mon butin mais je pris mon mal en patience et ne me stoppai quune fois à labri des regards. Jétais sur le côté dune route de campagne très peu fréquentée.
Je me saisi du premier sac et louvris dans la voiture. Je fus vite déçu de ne trouver quune vieille veste, des bottes de jardinage et quelques vêtements de travail en piteux état. En prenant le deuxième sac, javais peur dêtre déçu. Mais mon vu sexhaussa.
Je ny tenais plus, je voulais mhabiller en femme. Je me convainquis que lobscurité de la soirée me protègerait de la vue des autres et jôtai mon t-shirt pour enfiler la robe à fleur. Cela me procura beaucoup de plaisir et je voulu aller plus loin. Jenlevai alors mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon. Je regardai autour de la voiture. Personne. Mon slip était de trop, je men débarrassai. Je fus alors surpris par ma propre queue. Elle était belle et grosse, bien dure. Je la caressai un peu et eu envie de la sucer. Je nétais hélas pas assez souple et narrivai à peine quà la lécher du bout de la langue, ce qui mexcita déjà beaucoup. Je choisis ensuite un beau string rouge à dentelle et lenfilai tout doucement. Je profitai longuement de cette sensation que procura ce bout de tissu entre mes fesses.
Je voulais que ce moment ne sarrête pas et je décidai donc de rouler un peu, habillé en femme. Jécoutai quelques morceaux girly de Beyoncé, Shakira et Britney Speirs en chantant. Je me sentais si bien. Jadorais la sensation de ne porter quun bout de tissu qui ne descendait pas assez bas pour cacher mes jambes. Et le toucher de mes fesses directement sur la robe me donnait un sentiment de liberté. Quil était bon dêtre une femme !
Après quelques kilomètres de plaisir, jeu envie daller plus loin.
Je me détournai donc de la maison et pris la direction du parking, qui était pourtant à presque une demi-heure de chez moi. A chaque intersection, je ralentissais et me demandais si je ne ferais pas demi-tour. Mais je finissais chaque fois par me convaincre daller jusquau prochain carrefour, et je ressentais à chaque fois une petite dose dadrénaline. Lorsque je mengageai enfin sur la nationale, je ne tenais plus. Quétais-je en train de faire ?
La distance qui sépare la bande de lancement que je venais de prendre et le parking ne doit pas dépasser un kilomètre. Elle me parut pourtant beaucoup plus longue. Jétais tellement effrayé de ce que je faisais que je ne roulais quà 70 sur cette route pourtant limitée à 120. Je réussis pourtant à retrouver mon calme et ralentis à lapproche de mon objectif. Jenclenchai le clignotant et me déporté doucement. Je ralentis encore et pénétrai dans le parking, lexcitation me faisant presque perdre tous mes moyens.
Il ny avait personne sur ce parking. Je ressentis dabord un léger soulagement qui fut très vite balayé par un sentiment de déception. Jaurais finalement peut-être voulu être vu faire quelques pas en robe. Je marrêtai quand même et souffler un moment. Je ne voulais pas être venu jusquici pour rien. Jenfilai donc les talons trop petits que javais trouvé plus tôt et sorti faire un tour. Je profitai de laire de pique-nique aménagée et je pris une démarche féminine pour me déplacer.
Mon cur saccéléra à nouveau. Une voiture arrivait de la nationale et ralentissait. Son clignotant indiquait que son conducteur avait lintention de sarrêter ici. Jétais trop loin de la voiture pour y retourner. Je me mis face à un arbre pour uriner. Je pris alors conscience que je pissais debout, habillé en robe. Bien que la situation aurait dû me sembler ridicule, je me sentis excité.
Un homme descendit de la voiture et sapprocha de laire de pique-nique. Je ne le voyais pas mais je sentis son regard se poser sur moi et je ne pus mempêcher de commencer à me toucher. Jétais matée. Il sapprocha de moi tout doucement et je me retournai vers lui. Il devait avoir la quarantaine, avait un petit ventre et il me regardait en se caressant à travers son pantalon.
Je ne saurais pas dire ce quil ma pris à ce moment. Je nétais plus maitre de moi-même. Je mapprochai de lui et commençai à caresser sa queue à travers son jeans. Il prit ma bite en main et je ressentis une pointe de jalousie. Moi aussi je voulais sentir son pénis entre mes doigts. Il maida à le débrailler et je profitai encore dun moment à sentir son organe à travers son slip.
Je ne tenais plus ! Jôtai son slip et pu enfin prendre sa queue en main. Quelle sensation ! Quel plaisir davoir une queue autre que la mienne en main ! Je fis de petit vas et viens avec ma main puis jeu envie de mapprocher de son sexe. Je magenouillai pour profiter. Quelle belle queue il avait ! Je lui caressai les couilles en le branlant. Mais javais envie de plus.
Je ne savais pas ce que cet homme, que je navais jamais vu, et à qui je navais même pas dit bonjour, voulait. Sans poser de question, je décidai de prendre les devants et approchai mes lèvres de son pénis pour y déposer un baiser sensuel. Un très fin filet de bave relia ma bouche à son chibre, ce qui me rendit fou de plaisir. Lhomme ne semblant pas être contraire à mes avances, je mapprochai à nouveau, cette fois pour lécher tout doucement son gland.
Je le suçais de plus en plus profondément et il maida même en tenant ma tête fermement et en basculant frénétiquement son bassin. Son gland au fond de ma gorge métouffait presque mais jen ressentais pourtant un plaisir intense. Je me sentais féminine. Jétais une femme. Jétais sexy. Mais surtout, jétais une salope. Je ne me souciais pas du plaisir que pouvait ressentir cet homme. Jétais focalisé sur mon plaisir, sur cette queue et sur ma perversité. Jétais sa chose, son objet sexuel, sa petite salope prête à tout pour pouvoir jouir de sa queue.
Je le sentis arrivé à lorgasme et bien quil fît un geste pour se retirer afin de ne pas me jouir dessus, je lobligeai à rester en face de moi. Il sachevait à la main pendant que je continuais de lui lécher le gland. Quand enfin il jouit dans un gémissement, je fus surpris par la quantité de sperme quil me déversa dessus. Jen eu plein la bouche, plein les lèvres, et plein la moustache. Cétait délicieux. Je jouai un instant avec ma langue et sa semence.
Il me regarda un instant, affalée au sol comme une trainée, heureuse davoir pu sucer sa belle queue et récolter sa semence. Il me souhaita une bonne soirée, ce qui me surpris et je lui retournai son souhait dune petite voix. Alors quil séloignait vers sa voiture, je commençai à me lécher les babines. Son sperme dégoulinait autour de ma bouche et je me remis à me toucher. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir, excité par tout ce sperme et par ce beau phallus que je venais de sucer.
La jouissance me libéra enfin de mes pulsions et je pu reprendre mes esprits. Que venait-il de se passer ? Moi qui avais pourtant toujours été attiré par les filles, je venais de sucer un mec. Jaurais surement éprouvé de la honte si javais été plus jeune, mais la vie mavait appris quil fallait en profiter et quon navait que le bien quon se faisait. Je souris donc en pensant à ce qui venait de se passer et, même si lexcitation était retombée, je continuai à me lécher les lèvres et à apprécier cette odeur et ce goût de sperme qui, jen étais déjà persuadé, me manquerait bien vite.
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