Claude Devient Claudine

Bonjour, je voudrais raconter ici, une histoire qui est réelle au début du récit mais qui se transforme en deuxième partie sur un fantasme occasionné par ce que j’ai vécu.
Première partie :
Amoureux à vingt ans d’une jolie fille de dix-sept, je me suis rapidement retrouvé en couple. Elle était assez ouverte côté sexe et aimait porter de la lingerie mais seulement en privé et jamais en public ce qui m’aurait bien excité. De par mon travail en brigade j’avais énormément de temps libre et en plus ma compagne était assez souvent en déplacement, je me retrouvais assez libre la journée et certaines soirées et nuits. Un après-midi je pris un porte-jarretelles et des bas dans sa commode et me travestis avec. J’éprouvais aussitôt une terrible excitation de me retrouver vêtu ainsi. Je me branlais et la jouissance fût énorme. À partir de ce jour-là via des catalogues spécialisés dans la lingerie (internet n’existant pas en ce temps-là) je m’achetais de la lingerie très sexy ainsi que des chaussures à talons. J’arrivais à marcher avec des talons de 18 cm. J’achetais aussi des robes et des perruques. Un jour je me suis lancé dans la rue. Un porte-jarretelles et des bas sous mes habits d’homme. Une sensation extrême. Pour que ma compagne ne soit pas au courant, j’avais aménagé ma cave pour mettre ma garde-robe, sachant qu’elle n’y allait jamais. Une nuit bien sombre, j’osais la sortie en talons de 16 cm seulement vêtus d’une guêpière, de bas et comme culotte je mettais des shortys qui moulaient bien mon petit cul. J’avais juste mis un long manteau pour cacher tout ça. Je ne vous dis pas dans quel état j’étais. Habitant une banlieue pavillonnaire, je ne croisais personne ce qui me permit de me lancer des défis. Marcher le manteau ouvert puis sans le manteau. J’étais aux anges et me masturbais vivement une fois chez moi.
Deuxième partie :
J’avais pris l’habitude d’enlever mon manteau dans la même ruelle. Elle avait la particularité d’être assez étroite et en sens unique ce qui me permettait de voir arriver les voitures.

Je n’y rencontrais jamais personne ce qui m’encourageait à marcher tout le long de cette ruelle, assez longue, sans manteau juste vêtu d’une guêpière, bas, shorty et hauts talons. Une nuit je déambulais comme à mon habitude. Ce soir-là j’avais des talons de 18 cm. Avec cette hauteur j’étais bien cambré et les jarretelles de mes bas étaient très tendues. Cela m’excitait énormément.
« Bonsoir ».
Je sursautais et me retournais. J’étais face à un homme d’âge mûr. J’essayais de me cacher avec mon manteau mais il me le prit des mains.
« Allons, il ne faut pas se cacher, tu es très sexy habillé ainsi. »
J’étais gène mais je n’avais pas peur. Cet homme m’inspirait de la confiance.
« Viens » me dit-il.
Il me prit par la main et m’entraina au bout de la ruelle. Celle-ci débouchée sur une rue bordée par un petit parc. Nous rentrâmes dans le parc et il me fît assoir sur un banc.
« Comment t’appelles-tu ?
« Claude »
« Tu as quel âge ? »
« Vingt-cinq ans »
« Marié ? »
« Non, mais je vis avec ma compagne »
« Elle est au courant. »
« Non, bien sûr ».
Il me dit qu’il habitait dans la ruelle et qu’il m’avait souvent vu. Il m’avait abordé car il voulait mieux me connaître. Je lui racontais comment j’en étais arrivé à me travestir et à me promener la nuit. Que cela m’excitait beaucoup. A un moment il posa sa main sur ma jambe. Je tressaillis mais je trouvais ce contact très excitant. Sa main commença à me caresser doucement. J’aimais ça.
« Tu as confiance en moi ? »
« Oui »
« Tu connais ce parc ? »
« Oui »
« Tu vas faire le tour du parc par cette allée devant nous. Elle en fait le tour et te ramèneras de ce côté. »
Je me levais. Il en profita pour passer une main sur mon cul.
« Tu as vraiment un beau cul ».
Je rougis et lui tournant le dos je m’engageais dans l’allée, conscient de son regard sur mon cul. Mon excitation était à son comble. L’allée faisait le tour du parc qui n’était pas très grand.
Je revins vers le banc ou m’attendais ce bel inconnu. Il se leva.
« Qu’as-tu ressentis ? »
« De l’excitation et de la fierté »
« Ah oui ? »
« Oui, je suis fier de vous avoir obéi. En espérant que cela vous ai fait plaisir ».
« Tu ne peux pas savoir le plaisir que tu m’as donné »
Je rougis. Il m’expliqua qu’il avait cinquante ans, divorcé. Il s’appelait Alain et malgré les nombreuses femmes qu’il avait connu il n’en avait jamais rencontrée osant se promener dans la rue ainsi vêtue. Il était à la recherche d’une fille soumise, prête à obéir à ses moindres caprices et que je correspondais à ces critères bien qu’étant un garçon. Il me rendit mon manteau.
« J’ai mis dans ta poche mon numéro de téléphone. Si tu as envie d’aller plus loin tu m’appelles. Avant de te quitter je vais faire une chose que je n’avais jamais fait avant ».
Cela dit il mit une de ses mains sur ma hanche et m’attitant vers lui il posa ses lèvres sur les miennes. Instinctivement j’ouvrais les miennes et nous échangeâmes un long baiser.
« Au fait ce n’est pas Claude qui m’appellera mais « Claudine ».
Rentré chez moi je repensais à ce qu’il venait de m’arriver et je ne pus m’empêcher de me masturber en pensant à ce baiser. Je jouis bruyamment d’une jouissance que ne n’avais pas même connue avec ma copine.
Que devais-je faire ? Le rappeler ? J’attends vos conseils ?

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