Suite De L'Éducation

Pour notre 3éme soirée sur le signe de sa domination elle a décidé d’aller encore plus loin ou plutôt plus en profondeur …
Elle a démarré classiquement pour moi avec mon string en cuir cachant très peu mon anatomie entièrement rasée. Je me tiens raide comme un piquet à l’entrée de la chambre. J’ai au préalable chauffé la pièce, installé les bougies et préparé la table de massage.
J’attends la montée de ma femme ou plutôt ma maitresse pour ce soir. La voici sublime dans son déshabillé en soie noire relevé de pointe d’argent. Elle me toise m’intimant l’ordre de me mettre à 4 pattes. Je la précède pour ouvrir les portes et la guider vers la table. Je sais qu’elle matte mes fesses et le string qui me serre. Cela l’excite elle me l’a déjà confié.
La voici qui prend position et j’entame un long massage bienfaisant. J’ai pris des cours pour me perfectionner et je sens que cela lui plait. A la fin de cette période calme et sensuelle elle se déplace légèrement sur la table de massage et en guise de remerciement entrouvre ses jambes pour me laisser me délecter de son fruit défendu. Je lui lèche avec gourmandise, titillant son clitoris, écartant ses grandes lèvres, la pénétrant un peu avec ma langue et prenant de grandes lampées de son nectar. Au fur et à mesure de la montée de son excitation elle me tire vers elle de plus en plus fort resserrant également ses cuisses autour de ma tête. Ne voulant pas jouir de cette façon elle me repousse d’un geste et me remet à 4 pattes. Je l’accompagne jusqu’au lit où elle me fait grimper. Je me retrouve donc à quatre pattes sur le lit dans une position qui je le sais est propice à certains sévices. Cela ne tarde pas d’ailleurs, une deux puis quatre belles fessées viennent rougir mes fesses. Elle a pris une belle assurance et une belle pratique en quelques semaines. Ces clauses sont fortes, assurées et bien placées, le bruit sec et net l’inspire et la pousse à continuer et c’est une nouvelle volée qui s’abt sur mes fesses.

La douleur est bien perceptible mais c’est bien l’excitation qui domine. Le string devient vraiment une prison pour ma verge qui est gonflée de plaisir.
- Voilà, il faut bien attendrir les choses pour ce qui vient maintenant.
Elle écarte la ficelle du string et la place sur une de mes fesses. J’avoue attendre la suite avec une légère appréhension mais aussi une grande impatience. Elle ouvre un flacon que je reconnais au bruit : le lubrifiant dont on se servait les rares fois où l’on a essayé la sodomie. Avant que je n’ai le temps de réaliser, je sens le liquide froid s’immiscer entre mes fesses et ses doigts l’étaler près de ma rondelle. J’ai un mouvement de recul réflexe et la sentence ne se fait pas attendre, deux fessées monumentales viennent calmer mes idées de fuite.
- On fait moins le malin maintenant, mais ne t’inquiètes pas ça va rentrer tout seul, ça ne fait pas mal, tu te souviens c’est ce que tu me disais à chaque fois. Allez penches toi en avant et écarte tes fesses.
Et me voilà donc la tête dans l’oreiller et les deux mains en train d’écarter au maximum mes fesses pour me faire sodomiser par ma propre femme. Je ne sais quel gode elle a choisie, j’espère que son calibre sera acceptable pour cette première fois.
- Ne t’inquiètes pas j’en ai choisi un correct pour cette première fois, je ne vais pas te casser le cul tout de suite, on va prendre son temps.
Je n’ai même pas le temps de me rendre compte de sa grossièreté inhabituelle avant que le plastique ne se présente contre mon fondement. Celui-ci à ma grande surprise s’ouvre sans mal. Je sens le gode me pénétrer sans difficulté et me remplir doucement l’anus. Elle rentre une bonne dizaine de centimètre facilement mais la base s’élargissant je sens mes chairs s’écarter de plus en plus et ça commence à frotter d’autant qu’il est maintenant bien en profondeur.
Et bien pour une première c’est une réussite, on dirait que tu es fait pour ça, on va voir si tu tiens la cadence maintenant.


Et elle commence alors un petit va et vient, ramenant le gode juste à l’entrée de mon petit trou avant de le remettre bien au fond. Au début chaque centimètre dans un sens ou dans l’autre me fait la sensation d’une brulure mais plus ça avance et plus je le veux au fond de moi, j’anticipe même ses mouvements en reculant mes fesses vers elle. Elle doit s’en rendre compte car elle accélère le mouvement et va toujours plus loin. Quand il est au fond mon anus doit être écartelé car il est très gros à cet endroit.
- Je ne fais pas ça pour ton plaisir je te signale remplace moi maintenant. Fais-toi jouir pendant que tu t’occupes de moi. Et elle m’abandonne la main sur le gode qui est au fond de moi et vient placer sa chatte devant ma bouche.
Je reprends mon travail de lèche un peu perdu avec un gode qui me pénètre. Elle est trempée d’excitation et monte très vite, elle ondule du bassin se servant de mon visage comme d’un simple sextoy m’inondant de sa mouille. Elle relâche la pression pour changer de position. Elle vient comme elle aime terminer nos relations me chevaucher pour diriger les débats. J’ai réussi à conserver le gode en moi, je le sens pendant qu’elle coulisse sur moi montant et descendant de plus en plus vite. A chaque contact je sens ses fesses rebondir sur mon corps, ses seins virevoltent et quand elle jouit c’est un long cri rauque qui s’échappe de sa gorge. Je la rejoins instantanément en libérant tout mon plaisir par de nombreux jets chauds au fond d’elle. C’est une vrai délivrance qui semble durer une éternité, nous nous effondrons alors l’un et l’autre repu de ce plaisir particulier.

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