Ta, Toute Jeune Ta
Quelques jours plus tard, enfin je veux dire quelques nuits solitaires, très solitaires, trop solitaires plus tard, je me suis connecté sur androïde.ca
L'expérience sextoy de l'autre matin m'avait laissé un sacré souvenir impérissable. Le Hubot de ma copine m'avait convaincu, à fond.
Androïde Robot Corporation est devenue en une décennie une entreprise florissante. Mieux que Microsoft, mieux qu'Apple. De façon étonnante elle est implantée, elle-aussi, au coeur de la Silicon Valley.
Bien des gens ont chez eux un Hubot depuis longtemps mais restent discrets. L'appareil remisé dans le placard de la chambre, dans le dressing, n'en sort qu'en intimité, certains soirs de solitude.
Jusqu'à présent je n'avais pas cédé à cette mode.
Mais ce matin je me suis décidé. Enfin, au moins voir, faire un essai pendant quelques jours, quelques semaines.
La procédure est assez simple.
Il faut d'abord se connecter sur leur site. Là, on vous présente plusieurs familles de produits. C'est un peu comme sur Apple-store, il y a les iPod, les iPad, les iPhon, les Mac-air et les Watch.
Chez Androïd Robot Corporation, ils proposent diverses familles de Hubots.
Les ménagers aspirateur et nettoyage, les cuisiniers marché fruits et légumes préparation culinaires service de table, les bricoleurs plomberie électricité jardinage arrosage et même tonte de pelouse...
Mais moi j'ai cliqué sur l'onglet convivialité.
Là j'étais à mon affaire.
D'abord choix de morphologies. Mâles, femelles et même quelques hermaphrodites. Taille, musculature, âge, attributs plus ou moins développés, etc.
Un tableau à entrées multiples permettait de choisir un modèle à sa convenance.
J'ai cliqué sur une fille très jeune plutôt petite et menue mais avec une belle poitrine, des hanches larges et de petites fesses rebondies.
Le modèle avait pour nom ta
Déjà le nom qu'elle avait me plaisait bien.
Ensuite Amazon proposait une application annexe, moyennant un supplément, permettant de modifier à son gré, un jour yeux bleus, un jour chevelure rousse et de multiples autres variantes physiques, ce sans limite en milliers de combinaisons.
Enfin, l'appli la plus importante concernait la psychologie de l'androïde, son niveau d'expérience, sa vivacité, son entrain, son endurance, la chaleur de sa libido.
Diverses formules commerciales permettaient soit de devenir propriétaire de l'androïde, soit de le louer pour une courte période, soit d'être abonné avec renouvellement mensuel du modèle.
La ta qui m'était proposée me plaisait tellement que je me suis engagé pour une location avec option d'achat en fin de contrat.
Je me disais, avec les diverses appli fournies je pourrai modifier à mon gré la brune en blonde ou la fille sage en amoureuse endiablée.
Le tarif était élevé mais pour en juger l'on doit mettre en face du loyer à verser à la société ARC pour le Hublot, les coûts engendrés habituellement par les relations humaines classiques : sorties, clubs de rencontre, associations ; puis invitations à dîner, à boire, en weekend, suivies des cadeaux, fleurs, bijoux. Parfois souvent frais de mise en ménage avec doublon des dépenses. Quelques fois même mariage et tout ce qui en découle de dépenses de divorce, de pension alimentaires et autres déconvenues.
La livraison s'est faite en limousine. ARC a un contrat premium avec Amazon.
Un accompagnant était assis à côté du chauffeur et la ta trônait immobile à l'arrière.
Le jeune accompagnant en uniforme bleu aux armes de Hublot Corporation est descendu impérial de la limousine avec sa casquette IIIème Reich brandissant une zapette comme si c'était un sceptre.
Il me l'a confiée en me montrant le bouton ON.
La fille a bondi vive hors de l'auto. Elle était superbe avec son chemisier blanc plein à craquer et sa jupette ultra courte de gamine.
Ses yeux me regardaient, pleins d'innocence. Moi je bandais déjà.
L'accompagnant a sorti ses papiers, le bon de livraison et un check-up sur lequel il fallait cocher de nombreuses cases pour confirmer le bon état apparent de l'appareil.
Il a appuyé sur le bouton OFF de la zapette et nous avons vérifié ensemble la conformité, l'androïde immobile comme figée devant nous.
Il m'a dit, voilà je vais vous montrer les diverses options là sur la zapette.
Vous devez choisir avant de mettre en route. Il n'est pas possible de changer au cours d'une session.
Par défaut elle est brune aux yeux noisette, elle parle français accent Montréal, elle est douce et calme. Elle est jeune, sans expérience amoureuse encore moins sexuelle.
Je vous recommande de commencer par ces réglages-là, de base.
Il n'y a pas d'effet auto-adaptatif. L'androïde n'apprend pas. C'est à vous de changer de niveau selon votre désir. Vous pouvez parfaitement demain la régler, voyez ce serait ce curseur-là, en fille dépravée ouverte à toutes déviances, sodomie, SM et pire, puis revenir ensuite au réglage standard.
Quelques fonctions sont préprogrammées, F1, F2, F3, etc. pour la pipe, la branlette espagnole, le soixante neuf, l'enculage, ...
Vous trouverez tout seul, le programme est auto-intuitif.
Le gars est reparti après que j'eusse signé sa feuille d'attachement, me laissant seul avec ta.
J'ai mis en route ON et elle m'a suivi jusque chez moi.
Le contraste entre son corps ultra sexy et sa figure d'ange était étonnant.
On voyait bien qu'elle était une toute jeune fille innocente et fraîche, ses yeux me regardaient clairs et purs.
Mais ses nibars 95C qui craquaient le coton blanc avec des tétons roses à peine marqués et ses fesses callipyges qui gonflaient la jupette plissée m'emmenaient, haut, en tourbillons de libido exacerbée.
Elle s'est assise dans le canapé du salon et moi je me disais, c'est rien qu'un sextoy, t'as le droit de la tripoter.
J'ai voulu lui donner la parole, au moins pour voir ce qu'elle pensait, et j'ai pressé sur le bouton voice. Elle m'a dit c'est beau chez toi, fais moi donc tout visiter.
J'ai réglé voix rauque sourde basse sexy. Elle a parlé ainsi et moi j'étais subjugué de la voix de cette gamine comme artificielle, allemande, entre deux guerres cabaret. Gamine treize ans, quatorze pas plus, qui me parlait comme une pro...
Il m'a fallu me retenir, faire effort de volonté, pour ne pas la prendre dans mes bras, l'embrasser, fort, contre moi.
Enfin soyons honnête, disons franchement les choses comme elles étaient en vrai dans ma tête, pour ne pas la culbuter immédiatement, relever sa jupette, écarter son gousset et l'enfiler dare-dare sans préliminaire aucun,
C'est drôle, c'est son statut de machine qui m'a interdit de la prendre, de la violer, de l'aimer...
C'est drôle, faudra réfléchir à ça, plus tard.
J'avais prévu de la recharger dans mon bureau. Le gars accompagnant y avait installé, vissé au mur, le bloc alimentation branché sur EDF. Je lui ai montré le placard où j'allais la remiser connectée pour reprendre des forces, électriques.
J'ai bien vu qu'elle, n'appréciait pas vraiment cette idée-là.
Elle m'a dit, j'ai envie de pipi, montre moi.
Devant la cuvette, sans pudeur elle a levé sa jupette et baissé son slip blanc. Sa touffe noire a éclaté devant mes yeux et j'étais brusquement devenu ado boutonneux amoureux de cette fille qui pissait compissait mes chiottes sans vergogne, exposant ses intimités velues.
Ensuite elle m'a regardé, innocente et jeune
Et moi j'en étais tout bourlebingué.
Je pensais, mais une machine ça ne pisse pas, ça n'a pas besoin de pisser
Là, elle me la fait mystification, esbroufe
Juste opportunité de montrer sa culotte sa fente
Exhibition
Provocation
Coquine, va !
J'ai vu, j'ai compris que la relation homme-machine allait être plus subtile que j'aurais pu croire au départ.
Machine learning, IA, etc.
A ce moment-là, l'affaire a commencé à me plaire
A bien me plaire.
Vous voulez la suite ?
Faudra revenir sur HDS et y pister le chapitre suivant de "ta, l'androïde coquine" par jpj, narrateur.
J'avoue que le narrateur bande fort à la pensée du texte qu'il va vous pondre ... ta fraîche à tripoter de partout et à copieusement troncher.
Et alors les interdits de la charte ? Une machine, un sextoy est-il mineur ?
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