La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 444)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°443 -

Pendant encore un long moment, compelled MDE se fit enculer avec toujours l’exigence du Maître de lui faire ressentir tout sa domination. Contraint et , le soumis MDE s’empalait sur ce sexe turgescent, telle une chienne en chaleur, il masturbait ce membre viril en contractant ses sphincters, en gémissant, se pâmant même à chaque va et vient. Alors résigné, vaincu, dompté, la seule volonté de l’esclave était d’accepter ce don divin. Le Maître jouissait dans ses entrailles, lui inondant les parois rectales par des jets successifs, il le fécondait pour gratifier Son chien de ses réflexions et de ses résolutions. Le Maître se retira de ce cul chaud et ‘’foutr钒, s’affala de tout son long sur le lit, à plat dos et exigea à compelled MDE de lui nettoyer son membre encore semi bandé.

- Seulement avec ta bouche. Ordonna-t-il

Et compelled MDE lécha, suça

- Tu es un bon chien, tu m’as bien jouir, tu vas devenir une vraie salope ici, tu as de belles prédispositions.

Le Maître, d’une main, caressait le crâne de l’esclave, de l’autre ses couilles. Il sentit bien la nouille du clébard frémir dans la cage, il aimait sentir Son chien excité.

- Je te réserve un moment beaucoup plus jouissif qu’une simple branlette, un petit entrainement auquel je veux que tu te plies, un moment intense, éprouvant sans doute. Mais j’exige que tu t’offres encore, que tu acceptes l’épreuve comme un généreux don de ma part… de la part du Maître.

compelled MDE ne comprit pas où voulait en venir le Maître, mais sûr de lui, il se permit d’apporter une réponse.

- Maître, si vous me le permettez, ces temps séquestrés m’ont affranchi de mes doutes et aliénations intimes. Me voici nu devant vous, apaiser, confiant et serein. Mieux encore que je n’aie pu le faire, je souhaite vous servir et persévérer dans la totale satisfaction de Vos exigences.

Plus encore j’accepte de Vous ce dont il Vous plaira. Aujourd’hui Maître, je sais, j’en suis sûr et certain, que, quel que soit le traitement que vous me réservez, qu’il soit doux ou pénible, je prendrai plaisir à Vous satisfaire.

Le ton avait été humble, servile mais toutefois déterminé.

- C’est bien le chien.

Le Maître se leva, son sexe aussi se redressa. Il aimait entendre ses mots, il aimait sentir une volonté sans faille du chien, maintenant à genoux, tête basse devant Lui. Le Maître prit son sexe en main, s’approcha du chien et donna quelques coups de sa verge tendue sur son visage. Puis il héla deux gardes.

- A votre service, Monsieur le Marquis

compelled MDE n’entendit pas ce que dicta le Maître aux deux gardes, il fut attrapé par la taille et transporté sous un bras musclé à travers un long couloir. Il entendit se déverrouiller et grincer une porte, on le coucha par terre, à plat ventre, sur un pavé froid. On lui passa des chevillières de cuir enveloppant ses pieds. Il entendit le cliquetis d’une chaine d’un palan et se sentit ses jambes se soulever, puis tout son corps fut hisser, compelled MDE était complètement suspendu par les pieds. Il laissa pendre ses bras vers le sol.

- Otez-lui son bandeau. Ordonna le Maître.

Drôle de sensation pour compelled MDE, la tête à l’envers, il vit le Maître nu, son sexe toujours érigé, il le lui planta dans la bouche, juste à hauteur. Il se fit sucer, deux minutes seulement, puis se retira et se tourna vers un sac posé au sol. Le Maître en sortit un martinet et un fouet.

- Tu vois ça ?
- Oui Maître
- Ces instruments sont faits pour corriger les salopes de ton espèce, mais pas seulement… Ils peuvent apporter du plaisir au chien-soumis que tu es, et c’est ce que je veux te faire découvrir aujourd’hui.

Compelled MDE était impressionné et quelque peu anxieux. Le Maître caressa le dos de Son esclave et lui glissa :

- Ta peau est douce mon chien

Puis il prit le martinet et déposa les lanières sur l’entrejambes de compelled MDE.
Le chien frissonna à son contact, il sentit son cœur s’emballer, sa respiration se fit bruyante, cet instant le rendit nerveux mais aussi curieux, un mince filet de liquide pré-séminal coulait de sa queue toujours encagée. Le martinet était en cuir noir, le manche recouvert de rivets en laiton avec de longues lanières fines, souples et plutôt légères. L’instrument était parfait pour échauffer la peau, pour lui permettre de s’habi progressivement à une flagellation. Le Maître fit glisser les lanières sur le dos de compelled MDE, ces caresses l’inondèrent de désir : Il se sentit près à être frappé, il le désirait même. Dans un silence incroyable, qui lui parut durer des heures, alors que quelques secondes seulement s’étaient écoulées, les lanières quittèrent le dos de compelled MDE pour revenir à son contact avec un peu plus de vitesse et un bruit d’impact se fit entendre. La caresse avait été plus courte, et puis encore un coup, plus fort, un autre encore plus fort… et puis plus fort encore…

A chaque fois que les coups s’intensifiaient, telle une obsession, compelled MDE si excité jouissait mentalement de la situation et s’offrait plus encore, il voulait plaire au Maître, qu’il soit fier de lui. La séance du martinet dura encore une quinzaine de minutes. Le Maître frappait de plus en plus fort sur le dos, les fesses de Son chien suspendu. Parfois, il lui prodiguait, doucement presque tendrement, une caresse sur son dos rougi.

- Tu es très beau Mon chien
- Merci Maître
- Regarde-moi ! dit le Maître d’un ton plus haut
- Pardon Maître.
- Je vais te dresser Ma salope
- Oui Maître
- Je vais te frapper comme tu le mérites !
- Oui Maître
- Dis-moi que tu le mérites !
- Oui Maître, je le mérite
- Tu dois être dressé et pour cela, tu dois recevoir le fouet
- Oui Maître

Le ton et l’intensité de la voix du Maître surprenait compelled MDE, il n’avait pas peur, au contraire même, il se sentait parfaitement en confiance.
Son excitation se mêlait à ses craintes mais son désir de souffrir pour Lui, rien que pour Lui, ne lui faisait pas peur, au contraire même, il en éprouvait le besoin… un besoin presque vital. Soudainement, un bruit sourd et violent retenti, c’était le fouet qui venait de claquer au sol.

- Bon, nous allons passer aux choses sérieuses.

Le Maître se tut, ne bougea plus, compelled MDE toujours suspendu par les pieds attendait stoïquement. Son excitation était à son comble, les coups de martinet avaient favorisé l’afflux sanguin et avait permis la libération d’endorphines. Les effets de cette préparation l’avait bel et bien excité. Sa queue perlait à grosses gouttes. Un nouveau bruit sourd résonna de nouveau dans la pièce, le fouet venait de claquer encore, puis un nouveau déchirement, un « schlack », un premier coup porté au milieu du dos, fort et cinglant, une sensation de brulure très localisée, compelled MDE serra les dents. Un deuxième coup, un peu plus haut, presque sur les fesses fit gémir le soumis MDE, il se cambra sous l’impact, mais ne cria pas, en tout cas pas tout de suite.

- Je suis fier de toi chien !

Il n’en fallait pas plus pour que compelled MDE se ressaisisse. Un nouveau « schlack », puis un gémissement prolongé, l’esclave souffrait mais avec volonté et ténacité il montrait fièrement sa résistance. Les coups s’enchainèrent, ils furent plus rapides, plus denses, une montée en puissance crescendo. compelled MDE hurlait maintenant, se tordait, mais plus il souffrait, plus il sentait la jouissance gagner du terrain. Sa conscience disparaissait peu à peu, il allait atteindre l’orgasme, un orgasme différent, jamais connu, jamais même entre aperçu. Dans un dernier cri, compelled MDE extériorisait celui-ci soudainement… Les coups de fouet s’arrêtèrent, le Maître caressa le dos de son soumis doucement pour ne plus lui faire de mal…

- Je suis fier de toi, c’est suffisant pour aujourd’hui.

compelled MDE gratifié une seconde fois par le Maître, le remercia infiniment, humblement, respectueusement.


(A suivre…)

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