Olga, Elodie Et Philippe - 14- Un Dimanche Après-Midi Bien Chaud.
AVERTISSEMENT
Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et Olga T, est la suite de ceux parus depuis le 14 octobre 2020 sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais sinspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun, auquel Philippe a contribué, à la demande des auteures. Deux derniers chapitres sont à venir et seront le point dorgue de plusieurs mois décriture.
Bonne lecture et merci pour vos commentaires!
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir sentraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari, un candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. Létudiante, qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée, dévoile son vrai visage de petite salope.
Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga nautorise pas (encore) Elodie à faire lamour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.
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Philippe venait de sodomiser Elodie à la demande dOlga. Lépouse avait finalement consenti du bout des lèvres à une relation entre ces deux-là, mais seulement par la voie arrière. Lhypersexuelle sétait faite jouir en les regardant, pour être en harmonie avec les orgasmes de son chéri et de sa petite amoureuse. Après ses derniers spasmes, Elodie avait vite retiré les pinces à seins qui lui faisaient désormais plus de mal que de bien.
- Allez hop, tout le monde à la salle de bain!
Olga prit son époux par la main, laissant à distance létudiante les suivre. Toute seule, celle-ci se trouvait comme une conne. Olga voulait la rabaisser au statut de pièce rapportée, alors quElodie était devenue si importante aux yeux de Philippe. Lépouse envoya son mari sous la douche et Elodie dans la baignoire, comme pour bien les séparer et les éloigner lun de lautre. Il ne fallait pas que leur union perdure à ses yeux.
Le regard que Philippe adressa alors à Elodie navait pas seulement pour but de rassurer la jeune fille. Sans quil soit besoin de dire les choses, il envoyait plein de tendresse et de promesses. Philippe avait lui aussi envie de faire lamour à Elodie. Il était instruit par des expériences précédentes où il avait cru pouvoir se passer de laccord de son épouse et lhistoire sétait très mal terminée. Non seulement il voulait éviter une scène à cette timide gamine mais surtout il voulait offrir à Elodie un moment heureux dont elle se souviendrait. Il fallait donc que son épouse, si possessive envers lui, consente à cette relation, quelle lui donne son aval, quelle soit le témoin de ces instants de pur bonheur entre lui et la petite. Cela supposait donc de ne pas brusquer les choses et davancer quand ce serait le moment, un peu comme il fallait quElodie avance dans sa vie.
Létudiante, quelque peu confortée par ce qu'elle avait lu dans le regard de Philippe, sassit en position ftale dans la baignoire qui se remplissait. Cette eau chaude et moussante, qui montait lentement et recouvrait progressivement son corps, était délicieuse, après ce quelle venait de vivre. Cependant Elodie narrivait pas à se détendre, se sentant frustrée par sa séparation avec Philippe, après des moments si intenses.
De son côté, Olga avait besoin de retrouver son Philippe. Le prêt de son mari à Elodie était pour elle totalement terminé et elle voulait bien marquer cela une fois pour toute, afin que tout soit clair. Olga adorait trancher et décider. Elle choisit donc pour son couple la grande douche à litalienne, dans laquelle son mari lavait si souvent observé se faire baiser par les amants quil faisait venir pour apaiser son hypersexualité. Cette après-midi, cétait lui qui était avec elle sous la douche, partageant le jet chaud. Olga voulait quil soit à cet instant son amant de passage. Ils se savonnèrent mutuellement, en insistant sur les parties intimes, Olga lembrassait et le caressait plus que de raison.
Elodie était le témoin silencieux et impuissant de lintimité de ce couple qui se retrouvait et se reconstruisait. Sa présence éloignée depuis la baignoire la rendait candauliste et lobligeait à se mettre, quelque part, dans la peau de Philippe. Frustrée, elle devait renoncer pour linstant aux moments quelle venait juste de vivre avec lui.
Elodie les regardait senlacer sous la douche, leurs bouches ne se lâchaient pas, Philippe doigtait Olga, avec force, là où elle ne rêvait que de tendresse. Elle interrompit le baiser, alors que montait son plaisir. Contrairement à Elodie la silencieuse, Olga avait besoin dexprimer de façon vocale ses orgasmes.
- Oh mon chéri, jaime ça. Mets-moi plusieurs doigts. Oui, comme ça, bien au fond!
- Tu es excitée par ce que tu as vu tout à lheure, quand jai sodomisé la petite!
- Cétait magnifique, jai adoré, mon amour, quand tu as enculé cette petite salope!
- Tu me laisseras lui faire lamour, ma putasse?
- Elle en a tant envie et toi aussi, On verra, peut-être. Mais pour le moment tu es à moi et à moi seule. Fais-moi jouir, mon chéri!
- Prends-ça, ma cochonne
- Ohhhhhh!!!!
Olga venait de jouir sous les doigts de son mari. Son plaisir avait été rapide. Olga serra son homme dans ses bras pour quil laisse ses doigts plantés en elle. Puis le couple resta sous la douche, pour se revigorer, après ce nouveau plaisir.
Philippe avait compris ce besoin impérieux dOlga de le récupérer devant Elodie. Mais voir la petite si seule et roulée en boule dans la baignoire lui creva le cur. Il lui fit alors signe de sortir du bain. Il invita son épouse à éponger avec lui létudiante dans un grand drap de bain, puis de la frictionner avec un baume apaisant. Philippe entraina Olga à accompagner cette douce attention par des petits bisous quils posaient sur le corps dElodie, à tour de rôle, dans un trio délicieux.
Létudiante se sentait dorlotée comme un bébé, une . Puis Olga tendit à Elodie le peignoir des amants. Elodie, flottant dans ce peignoir trop grand pour elle, était fière, pas seulement parce que le couple prenait soin delle, mais parce que cette dernière attention avait une signification claire: ce week-end, Elodie avait joué, et de quelle manière, le rôle habituellement dévolu aux amants de passage, consistant à assumer les envies candaulistes de Philippe et les besoins de la libido dOlga.
- Merci de nous avoir donné notre espace, ma chérie
Après ce moment de tendresse, Olga reprit son assurance et le contrôle de la situation
- Ce nest pas tout ça, mais je rappelle à cette jeune fille quelle a une soutenance de thèse demain et donc qu'elle doit s'entraîner!
- Tu as raison, ma chérie. Habillons-nous et je vais à nouveau transformer le salon en salle dexamen.
Olga mit un doigt sous le menton dElodie:
- Je sais comment motiver cette petite salope pour quelle nous fasse une sublime présentation de sa thèse et quelle dépasse toutes ses inhibitions !
Le regard dElodie brilla en espérant quOlga la motive en lui promettant, une fois pour toute, son mari. Cela provoqua immédiatement chez létudiante de lexcitation, qu'elle ressentit entre ses cuisses et ses tétons se durcirent. Philippe eut un regard bienveillant: le défi lui plaisait et il savait quElodie saurait le relever, surtout pour obtenir cette récompense qui lui était promise et qu'elle attendait depuis longtemps. Elodie avait cru quOlga ne voulait plus honorer ses engagements et cela lavait mis en rage. Maintenant elle savait quelle avait encore une chance que cela se fasse, enfin! Mais pour cela elle devait se surpasser. Et létudiante nallait pas laisser passer cette opportunité.
Olga mit un doigt dans la chatte dElodie, puis le porta dans sa bouche.
- Rien que lidée de faire lamour à mon mari texcite, petite garce! Et toi, mon petit cochon, je vois à ton regard que tu as vraiment envie dElodie. Mais pour en arriver là, il va dabord falloir quelle fasse une prestation de soutenance de thèse parfaite!
Elodie soutint le regard dOlga, lair de dire Tu peux compter sur moi et ne t'avise pas de changer encore une fois davis. Elle détestait le mensonge.
Philippe choisit très rapidement un costume sombre, élégant, agrémenté dune chemise blanche et dune cravate bleue. De son côté, Olga, mit une robe rouge courte, très décolletée et, naturellement, sans culotte ni soutien-gorge. Elle prit plus de temps pour trouver ce qui convenait à la petite.
La petite robe noire étant réservée à la soutenance de thèse officielle, Olga prêta à Elodie une robe blanche hyper courte, qui mettait en valeur ses jolies jambes et lécartement entre ses cuisses. Le décolleté était plus sage que ce que mettait habituellement Olga.
Habillée ainsi, Elodie retrouvait une apparence de petite Birkin ingénue qui ne pouvait que plaire à Philippe. Le couple savait désormais que ce nétait quune apparence et que derrière se cachait une petite diablesse.
Olga nen navait pas fini avec Elodie:
- Une soutenance de thèse, cest du sérieux. Tu dois être parfaite. Viens avec moi je vais te coiffer et te maquiller. Mon homme, le Président du jury, doit être fou de désir pour toi, encore plus quil ne lest déjà!
En les voyants aussi complices, on naurait pas cru que, le matin même, Elodie avait brutalisé Olga avec un gode-ceinture monstrueux et quelle lui avait fait subir un fist anal. Cela avait ren la complicité des deux femmes. Plus que jamais, Olga prenait Elodie sous son aile. Bien entendu quau cours du week-end, en bonne hypersexuelle, elle avait dabord pensé à son plaisir. Mais elle avait aussi voulu bousculer cette petite, qu'elle saffirme, quelle se dépasse, qu'elle assume tous ses désirs et quelle connaisse le goût de la victoire. Olga devait reconnaître quelle y était parvenue, au-delà de ses attentes. Elodie était en quelque sorte sortie de sa chrysalide.
De son côté, Elodie avait oublié la colère qui lavait emporté quand Olga avait semblé fermer la porte à une relation entre elle et Philippe. Cétait en partie une provocation pour lobliger à réagir et affirmer son caractère et le but avait été atteint.
Elodie, pourtant de naturel méfiant, se sentait bien avec Olga, qui était un mélange explosif de douceur et de volupté. Elle avait tant appris auprès de ce couple et delle en particulier. Elle avait connu des moments qui resteraient dans sa mémoire. Elodie sétait beaucoup dévoilée, dans tous les sens du terme, avait beaucoup donné de sa personne et avait aussi connu en retour des moments de pur bonheur. Pour être pleinement heureuse, il restait une chose à accomplir. Tous les trois savaient ce que cela signifiait: Elodie voulait faire lamour avec Philippe.
Olga préparait Elodie comme une Princesse, prenant son temps pour la coiffer, la maquiller légèrement, avec un peu de fonds de teint, un fin trait de « gloss » rose sur ses lèvres, un peu de noir pour mettre en valeur ses yeux bleus qui fascinaient Olga et où elle avait pu mesurer, ce matin, toute la détermination que cachait si bien la jeune fille.
- Regarde-toi dans la glace, chaton. Tu es belle comme le jour! Jen connais un qui va être fou quand il te verra. Il faudra que je le calme et que je lui rappelle que dabord on fait des révisions!
Elodie adressa un timide sourire à Olga, en guise de remerciement. Son regard avait aussi un air de supplique, adressé à la jolie quadragénaire.
- Quas-tu à me regarder ainsi? Je sais que tu meurs denvie de faire lamour avec MON Philippe. Je le sais depuis le début, mon instinct me la dit dès que je tai vu car vous formez un joli petit couple damoureux. Jai été tentée à ce moment-là de te mettre à la porte. Et puis je me suis dit que je devais taider à avancer dans ta petite vie, que tu taffirmes, que tu apprennes à gagner et obtenir ce que tu mérites et dont tu as envie, même sil sagit de mon homme.
Ces mots touchèrent Elodie et Olga ladmonesta gentiment:
- Ah non, pas de larmes, petite sotte. Sinon il va falloir que je refasse ton maquillage!
Et elle poursuivit ce qu'elle avait à dire:
- Tu dois comprendre que pour moi, ça nest pas simple. Ca peut paraître curieux, vu toutes les libertés que Philippe maccorde, jai rarement accepté de lui accorder la réciprocité. Cest MON Philippe, je le partage peu.
Elodie la timide, osa une question qui lui brûlait les lèvres
- Philippe ta toujours été fidèle ?
- Bien sûr que non, et quand ça sest passé, il y a eu de très grandes crises. Celles qui osaient, javais envie de leur arracher les yeux. Et, pour lune dentre elles, jai vraiment failli l.
Elodie frissonna, mesurant le chemin parcouru. Olga poursuivit:
- Il y a quelques mois, jai poussé ma compagne, Agun, dans les bras de Philippe. Mais, elle, cest différent. Je voulais quelle connaisse le plaisir dune relation avec un homme. Quand tu es arrivée et que jai compris ce que tu voulais, je voulais dire non mais quelque chose de plus fort, en moi, ma poussé peu à peu à changer de position
- Merci, murmura Elodie
Elodie, qui nétait pas bavarde, ne savait plus quoi dire. Seul son regard exprimait son trouble, son émotion, son bonheur.
- Jai donc une dernière question. Je sais que tu es une fille très sérieuse. Je veux juste savoir si tu nes pas en période dangereuse. Je nai pas envie quil te fasse un !
Olga avait dit cela avec une certaine brutalité, qui avait blessé Elodie. La vérité fait toujours très mal. Elodie se contenta de lui dire non de la tête. Elle nosa pas ajouter quelle le regrettait. Cétait une folie, mais elle aurait rêvé de porter un conçu par cet homme. Olga semblait lavoir deviné
- Retiens les leçons de ce week-end. Surmonte ta timidité et quand tu veux quelque chose, bats-toi pour lobtenir. Y compris quand il sagit dun homme.
Olga ajouta dans un souffle:
- Cest ce matin que tu as fini de me convaincre. Jai vu enfin chez toi quelquun capable dobtenir tout ce qu'elle veut.
Olga prit la main dElodie et elles apparurent ensemble au salon, où Philippe avait réinstallé la salle dexamens, Olga eut confirmation de ce qu'elle pressentait: Philippe dévorait Elodie des yeux, devant le mélange savant de petite birkin ingénue et de femme fatale, si habilement préparée par Olga:
- Alors mon chéri, que penses tu de ma transformation de cette en petite salope? Jimagine que tu veux toujours autant faire lamour à cette dévergondée de sainte nitouche ?
Elodie rougit devant les mots crus employés par Olga, alors quelle aurait dû y être habituée.
On sentait une tension érotique dans latmosphère, chacun étant pressé de passer à la suite. Elodie, parce qu'elle voulait se donner à Philippe. Philippe, parce quil avait une folle envie de faire lamour à la jeune étudiante. Olga avait été maligne de conditionner cette option à la qualité de la présentation de la thèse. Elodie devait surmonter sa timidité maladive et parler une heure devant ce jury infernal.
Elle puisa dans son désir une force insoupçonnée, du moins pour ceux qui sarrêtaient à son apparence timide. Elle commença sa présentation et livra une prestation époustouflante de facilité, de légèreté, sûre d'elle-même. Elle maîtrisait avec brio, non seulement son sujet, mais aussi lart oratoire. Elle était déjà Maître Elodie L., et non plus une petite étudiante effacée et timide.
Philippe et Olga, qui avaient su découvrir, tout au long du week-end, la vraie Elodie, étaient ébahis.
Olga fit monter la tension, comme elle aimait le faire. Elle proposa de passer aux questions du jury. En temps normal, cela aurait tétanisé Elodie, mais elle releva la tête et le défi. Philippe et Olga linterrogèrent sans ménagement, avec une difficulté croissante et les questions les plus déconcertantes et retors possibles. Ce nétait pas étonnant de la part dun spécialiste reconnu du sujet, un peu plus surprenant de la part dOlga, qui montrait ainsi quelle était aussi une intellectuelle qui maîtrisait avec aisance de nombreux sujets. Cette complicité intellectuelle avait construit ce couple si particulier.
Elodie avait passé brillamment cette ultime épreuve initiatique, elle se sentait prête pour le lendemain, mais surtout elle attendait sa récompense et cela se traduisait par lexcitation qui montait en elle et quelle sentait, avec les pointes de ses seins qui étaient dures, presque douloureuses, et sa chatte, où son incontrôlable machine à cyprine sétait remise en route.
Un coup de sonnette suspendit lambiance. Il devait être aux environs de 17h00.
Philippe alla ouvrir:
- Ah Mario, quelle surprise!
- Buona sera amici miei. Sono venuto a portarti i tuoi acquisti, i pacchi per la piccola Principessa (Bonsoir mes amis. Je suis venu vous ramener vos achats, les paquets pour la petite Princesse)
- Cest gentil, il ne fallait pas te déranger
- Non siamo riusciti a prenderli al negozio ieri sera. Siamo arrivati a casa molto tardi. E ho pensato che Elodie potesse averne bisogno. (Nous n'avons pas pu les récupérer au magasin hier soir. Nous sommes rentrés très tard. Et j'ai pensé qu'Elodie pouvait en avoir besoin.)
En réalité, Mario pensait surtout à une chose: avoir une nouvelle occasion de baiser Olga! Il déposa les nombreux paquets dans le salon, puis alla saluer les filles. Il fut sans ambigüité envers Olga, quil embrassa sur la bouche, alors quil posait ostensiblement ses mains sur ses fesses, adressant un clin dil à Philippe:
- Tesoro, sei bellissima, così sexy. Mi ecciti, mi rendi duro (Ma chérie tu es splendide, si sexy. Tu m'excites, tu me fais bander)
- Bonsoir, bel étalon. Je suis ravie de te voir. Tu tombes très bien!
- Penso sempre a ieri. Mi è piaciuto quando sei stato scopato da questi due ragazzi nella sauna. Sei una vera troia, bella Olga. (Jai pensé tout le temps à la journée d'hier. J'ai adoré quand tu t'es faite niquée par ces deux types, au sauna. Tu es une vraie salope, belle Olga.)
Et en effet, Olga sentait contre elle la formidable érection du fantasque commerçant italien. Et montait chez elle son irrésistible libido.
Mario fit un baisemains à Elodie:
- Buonasera, bella Principessa
Elodie essaya de faire bonne figure et de rester courtoise. Une bouffée de désespoir monta en elle. Au moment où allait se produire enfin ce quelle attendait depuis le début du week-end, quelle allait enfin faire lamour avec SON Philippe, voilà que ce macho venait bouleverser ses plans.
Olga avait pitié delle et craignait un peu ses réactions. Elle la rassura par quelques paroles murmurées à son oreille:
- Ne fais pas cette tête, chaton. Ce à quoi tu as droit, tu lauras. En ce qui me concerne, il tombe bien, je suis en feu!
Philippe était allé à la cuisine chercher une bouteille de champagne millésimé. Il revint avec les coupes et demanda à Mario de servir:
- Madonna! Dom Pérignon! Ci vizi. Sei un vero principe! (Madonna! Dom Pérignon! Tu nous gâtes. Tu es un vrai prince! )
- Cest du Brut Dom Pérignon blanc 2004, avec son effervescence éthérée, sa grande finesse de texture, son goût toasté savoureux. Une haute technique nologique est en effet nécessaire pour produire un tel champagne.
Elodie admirait l'élégance et la culture de Philippe, et notamment dans ce domaine. En bon épicurien, Mario appréciait et connaissait le prix dun tel millésime.
- E quale evento stiamo celebrando? (Et quel événement fêtons-nous?)
- Un grand événement pour nous trois va se passer aujourdhui. Et demain, NOTRE Elodie va passer avec brio sa soutenance de thèse.
Elodie avait compris lallusion de Philippe au sujet de lévénement et lassentiment dOlga ne lui avait pas échappé. Quant au succès de sa thèse, Elodie était par nature moins optimiste que Philippe. Mais ça, cétait pour demain. En attendant, elle pensait à une autre chose et quelle voulait depuis longtemps. Les quatre complices trinquèrent à la thèse dElodie et à lévénement du jour. Mario ne savait de quoi il sagissait, mais lui était venu pour Olga. Elle eut soudain une idée:
- Nous avons été des acheteuses compulsives hier et jaimerais revoir sur Elodie toutes ces splendeurs quon trouve dans ta boutique. Chaton, tu veux bien les essayer?
A priori cette demande contrariait encore Elodie, puisque cela retardait cet événement annoncé par Philippe. Mais lidée doffrir à Philippe un défilé de mode, en portant tous ces vêtements sexy quil lui avait offert, lui plut. Ca ne pouvait quaccroître le désir de lhomme pour elle et cest ce que voulait Olga.
Elodie commença à se diriger vers la chambre avec les vêtements pour les passer.
- Mais non! Tu les essaies ici, dans le salon. Nous tavons déjà vu nue, il me semble, y compris notre ami Mario. Et va donc rouvrir ces rideaux, cest le signal que guette notre ami voyeur de limmeuble den face. Quil puisse profiter de ce spectacle et de celui qui va suivre.
Elodie fit tomber la robe blanche qu'elle portait et se retrouvait à nouveau nue. Elle se dirigea vers les fenêtres et ouvrit les rideaux, déclenchant également léclairage à led. Elodie avait compris que cétait le signal pour le voyeur den face quil allait à nouveau se passer des choses intéressantes dans cet appartement bourgeois, où ce couple exhibait ses frasques.
Olga sinstalla dans le canapé, aux côtés de Mario. Celui-ci avait posé sa main sur la cuisse de la quadragénaire, nattendant que loccasion de posséder cette femme incroyable. Philippe avait choisi son fauteuil confortable de candauliste, pour pouvoir suivre lexhibition que faisait à son intention sa Princesse.
Elodie commença par le plus difficile, les Pleaser, ces escarpins vernis rouges avec des talons aiguille de 14 centimètres. Mario avait eu raison de dire quil était très difficile de marcher avec ça. En veillant à marcher lentement, en tortillant du cul, Elodie fit sensation. Sa démarche était incroyablement sensuelle et excitait les autres. Olga posa sa main sur la braguette de Mario, qui bandait comme un cerf, alors que Philippe dévorait Elodie des yeux.
Elodie prit tout son temps pour essayer successivement chacun des vêtements, depuis les collants, en passant par les jupes, les robes, les chemisiers, le tailleur. Elle réalisait combien elle était indécente et le spectacle érotique, lexhibition quelle offrait, tant aux trois autres quau voyeur. Et ce dautant plus quaprès chaque essai elle était dans le plus simple appareil, seulement avec ses chaussures. Ce qui sublimait Elodie était la formidable érection qui déformait le pantalon de Philippe et le regard de désir quil portait sur elle. Elle qui navait jamais fait ça, donnait limpression dêtre un mannequin, une professionnelle. Elodie sentait aussi que lérotisme ambiant, ce spectacle lui-même l'excitait terriblement et avait déclenché chez elle les signes qui ne trompaient pas. Elle était comme une biche qui ne pouvait plus attendre encore bien longtemps la saillie du cerf.
Ne sachant pas trop quelle attitude adopter, Elodie, qui venait de finir son dernier essai et était nue, adressa à Olga un regard qui était comme un signal, afin quelle donne le feu vert pour la délivrance.
Olga comprit et elle non plus ne pouvait plus attendre. Elle fit tomber sa robe, adressa un signe de tête à Philippe, en direction dElodie. Ce geste était lassentiment que la jeune fille et Philippe attendaient depuis si longtemps. Philippe se dirigea vers Elodie et la prit tendrement dans ses bras. Ils joignirent leurs lèvres dans un long baiser, jusquà ce quils soient obligés de respirer. Elodie tremblait de tout son corps, non pas de peur ou de froid, mais de désir.
- Du calme, mon petit oiseau, je vais te rendre heureuse
Olga se mit à genoux devant le canapé, tendant son cul en direction de Mario, qui, de son côté, sétait débarrassé de ses vêtements. Elle lui adressa une supplique en Italien, qui était sans ambiguïtés:
- E tu, bellissimo maschio, mi scoperai come la puttana che sono. Voglio essere coperto! (Et toi, beau mâle, tu vas me baiser comme la putain que je suis. Je veux être saillie! )
Dans cette même pièce, sous les yeux du voyeur qui, ayant sorti sa queue pour se branler, nen ratait pas une et qui avait apprécié lexhibition dElodie, deux couples sapprêtaient à baiser côte à côte. Ou plus exactement, lun, celui dElodie et de Philippe, allait faire lamour, alors quà côté il nétait question que dune brutale fornication, pour apaiser lhypersexualité de lépouse qui avait consenti enfin à offrir son mari à Elodie.
Ce qui se passait marquait une brutale rupture dans les arrangements du couple. Comme cela avait été le cas la veille, Olga attendait dhabitude le feu vert de son mari pour soffrir aux amants quil avait préalablement choisis. Cette fois, parce qu'elle avait donné son assentiment à la relation entre Elodie et Philippe, elle ne demanda rien: elle soffrait, avec une impatience et une impudence absolues.
Philippe lavait compris. Il ne protesta pas car cétait le prix à payer pour le consentement dOlga, pour quil puisse enfin faire lamour à Elodie comme il en avait tant envie. Mais, pour le moment, lun et lautre sinstallèrent sur le grand canapé, Elodie était lovée dans les bras de Philippe. Ils étaient bien décidés à attendre pour être lun à lautre que lhypersexuelle et le macho italien aient fini leur affaire. Elodie voulait de lintimité et savait que Philippe, le candauliste, ne se lassait pas dêtre le témoin des ébats de son épouse
Mario se lâcha alors totalement, disposant dOlga comme il en avait envie. Il avait compris quelle ne voulait pas de préliminaires, de caresses, de baisers. Seulement être baisée et jouir sans entraves.
Il prit Olga en levrette et senfonça demblée au fond de son vagin: Mario se déchaîna et commença le coït, avec une brutalité et presque une animalité. Il était létalon, Olga était la femelle:
- Prendi quello, cagna! Puoi sentirlo? (Prends ça, chienne! Tu la sens bien?)
- Oh oui, vas-y! Pilonne-moi. Mets-la-moi à fond. Démonte-moi!
- Piccola puttana ninfomane! Ti piace farti scopare davanti a tuo marito? (Petite putain nymphomane! Tu aimes ça, te faire baiser devant ton mari?)
- Ouiiii jaime ça! Et lui aussi! Continue, plus fort, plus vite!
Les paroles de Mario, décuplaient le plaisir que ressentait Olga avec ces coups de bite qui la défonçaient.
Le voisin voyeur espionnait le couple depuis des mois. Il en était certain: la belle brune navait jamais été aussi soumise à un mâle.
- Ti piace il mio cazzo? Dillo! (Tu l'aimes, ma bite? Dis-le! )
- Oui jaime ta bite! Baise-moi, défonce-moi!!! Encore!!!
- Adesso sei a mia disposizione. Ti scoperò quando voglio! (Tu es désormais à ma disposition. Je te baiserai quand j'en aurai envie! )
- Ahhhh!!!!
Mario avait résisté longtemps, alors quOlga enchaînait les orgasmes, qui allaient crescendo.
Vint alors le moment où lamant allait à son tour se soulager, donnant un ultime et violent orgasme à la femme:
- Mi svuoto in te. Ti riempio, ti fecondo! (Je me vide en toi. Je te remplis, je te féconde!)
Les cris de plaisir des amants devaient sentendre dans tout limmeuble. Mario envoya dans le vagin dOlga plusieurs giclées de sperme. Il resta un moment effondré sur sa maîtresse, alors que celle-ci était également dans un état second.
Soumise quand elle était sous la loi des mâles, Olga, une fois pris son plaisir, retrouvait rapidement son contrôle. Elle se releva, fit signe à Mario, qui voulait remettre le couvert, quelle était comblée et navait pas envie de poursuivre. Elle redevenait une dame, distante, froide, une autre femme et, devant son regard dur, Mario ninsista pas. Ce macho devait comprendre que son abandon pendant leur coït ne voulait pas dire quelle était à lui. Olga était à Philippe et à lui seul, le passé, où elle était tombée amoureuse de certains de ses amants comme Rachid, Hassan ou N, lui avait servi de leçon.
- Caro Mario, mio marito si fotterà il piccolo, ma non vogliono che tu partecipi. Io, è diverso! È mio marito (Cher Mario, mon mari va baiser la petite, mais ils ne veulent pas que tu assistes. Moi, c'est différent! C'est MON mari)
Mario, grand seigneur, comprit immédiatement ce besoin dintimité dElodie et se leva pour remettre ses vêtements et prendre congé. Il embrassa Olga sur la bouche et inclina la tête pour saluer ladorable petit couple qui se serrait sous le plaid.
Olga ajouta :
- Elodie conta su di te domani per la difesa della sua tesi (Elodie compte sur toi demain pour assister à sa soutenance de thèse)
- Certamente! Con piacere! (Certainement! Avec plaisir!)
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