Un Premier Pas Dans L'Exhibition

Rappel : Les partiels sont passés ! Les vacances commencent et avec elles les soirées pour faire retomber la pression et fêter les résultats. Comme il fallait s’en douter notre histoire à la bibliothèque a circulé. Suffisamment pour que les regards des étudiants de la promo se fassent plus insistants.
S : J’ai eu du mal à me faire à notre nouvelle petite notoriété, j’ai l’impression que tout le monde nous regarde en soirée. Ma jalousie aussi est mise à rude épreuve, Clarisse est clairement un objet de convoitise pour les autres garçons. Si aucun n’ose faire le premier pas en ma présence, je sais qu’ils se bousculent tous pendant mes absences : Clarisse s’en amuse et me raconte tout.
C : Si je dois être parfaitement franche, cette attention nouvelle autour de ma personne me fait beaucoup rire. Essentiellement parce que la plupart des garçons ne font, heureusement, rien de bien méchant ! Quelques-uns viennent me trouver en soirée pour me parler et essayer de flirter, les plus courageux ou saouls se collent avec un peu trop d’insistance mais la grande majorité reste en retrait se contentant de regards furtifs et de messes basses.
S : Sa franchise est rassurante, je sais qu’elle m’aime et que les autres garçons ne l’attirent pas. Mais je sais que ce jeu lui plait ! Et il commence à me plaire aussi. C’est assez glorifiant d’être aimé d’une femme qui rend fou mon entourage. Et puis finalement, notre histoire n’a plus vraiment fait parler d’elle. L’été est arrivé, la promo s’est dispersée et Clarisse et moi avons travaillé.
C : Nous avons pris une décision pendant l’été, nous allons emménager ensemble. Après avoir épluché les annonces on trouve l’appartement parfait, où l’on emménage avant la rentrée. Notre nouveau nid, au deuxième étage, est grand et lumineux. Les derniers jours d’aout s’écoulent et le beau temps est toujours au rendez-vous. J’en profite pour prendre un bain de soleil sur le balcon.
S : Clarisse passe ses journées en maillot quand elle ne sort pas.

Je l’observe depuis le salon, dieu qu’elle est belle ! Elle est allongée sur le ventre ses fesses rebondies ne sont pas entièrement recouvertes, la crème fait luire son corps et son haut est détaché dans son dos. Alors que je me lève pour la rejoindre une silhouette attire mon regard dans l’immeuble d’en face. Un homme, d’environ une quarantaine d’années, est assis sur son balcon. Il semble lui aussi observer ma belle. Situé à l’étage du dessus et à seulement 15 mètres de notre appartement il a une vue imprenable !
C : Sam s’agenouille à côté de moi et me murmure à l’oreille :
« Tu fais des ravages ma belle..
- Comment ça ?
- Le voisin en face est en train de te mater
- Ah bon ? Et t’es jaloux ?
- Non, bien sûr
- Alors autant lui en donner pour son argent ! »
S : Elle se retourne sur le dos, son haut reste sur la chaise longue. Elle expose sa magnifique poitrine, ses tétons sont dressés vers le ciel.
« Wahou t’as pas froid aux yeux !
- Cette situation m’excite… Tu me passes de la crème ? »
C : Il prend la bouteille et commence son massage. Dans cette position et derrière mes lunettes de soleil je peux, à mon tour, mater mon voyeur. Il est torse nu, il semble grand malgré sa position assise, mais plutôt bedonnant et poilu. Des cheveux grisonnant, des lunettes de vue et une cigarette à la bouche. Je suis un peu déçu, j’aurais préféré un jeune et beau mec ! Sam me masse sensuellement, ses mains glissent lentement sur mon ventre et ma poitrine et s’attardent sur mes seins. La situation l’excite lui aussi ! Il fait rouler ses doigts sur mes tétons qui durcissent et les embrasse avec sa bouche. Le contact de sa langue sur mes seins me rend folle !
S : Je suis étrangement excité, je la sens réceptive à mes caresses et je devine que ses yeux ne quittent pas le voisin. Je m’attaque maintenant à ses jambes, en m’attardant sur ses cuisses. Ma main effleure ses lèvres à travers le tissu. Elle tressaille, je m’arrête et demande si elle veut que je continue, elle répond par un sourire.

C : La peur me serre le ventre mais l’excitation est trop grande. Je regarde le voisin, il s’est avancé vers la rambarde, lui aussi est excité. Sam se penche sur moi et m’embrasse longuement, nos langues se mêlent, ses bras m’enlacent. Son assentiment me rassure et me donne la force d’agir. Je prends sa tête entre mes mains et lui indique mon entrejambe. Il n’oppose aucune résistance.
S : Je sais ce qu’elle attend de moi mais je n’hésite pas une seconde. Le voisin n’est pas une menace pour moi et cette séance d’exhibitionnisme réveille des désirs nouveaux en moi. Je sens que nous sommes en train de franchir un cap, de la peur d’être surpris dans nos ébats nous passons à l’excitation de se savoir espionnés.
C : Il embrasse mon minou à travers le tissu, je sens que je n’y tiens plus. Je glisse ma main jusqu’à la ficelle de mon bikini que je détache. Sitôt dégagé il pose de légers baisers sur mon intimité, sa langue vient frétiller mes lèvres. Le voisin est debout maintenant, je ne vois pas en dessous de sa taille mais je devine ses gestes !
S : Je sens son excitation monter, sa main tire mes cheveux, son cœur et son souffle s’accélèrent. Je la pénètre de ma langue, elle décolle ses fesses et engloutit mon visage dans son entrejambe.
C : Son souffle entre mes lèvres me rend folle, il accélère son mouvement et mon corps s’emballe. De ma main libre je masse mes seins. Je sens dans mon bas ventre le plaisir se répandre. Ses doigts viennent s’ajouter à mon plaisir. Je ne peux retenir mes cris de jouissance. Mon corps entier vibre.
S : L’orgasme la submerge, ses cris me transportent dans un état second, plus bestial. Le sang bat mes tempes, mon érection me fait mal et j’ai du mal à calmer mon souffle. Je me redresse et enlève mon short, alors que je me positionne pour la prendre par-dessus, elle m’arrête.
« On peut plus faire marche arrière, il faut sortir le grand jeu ». Tout en parlant elle se lève, enlève ses lunettes et fait face au voisin.

C : Je le regarde directement dans les yeux, il est tellement excité qu’il en baverait presque. J’allonge Sam sur le dos, et l’enfourche face au voisin à qui je réserve la meilleure place pour le spectacle, Sam devra se contenter de mes fesses.
S : Je n’oppose pas de résistance à sa mise en scène, je suis trop excité pour analyser la situation et m’offusquer de son attitude. Elle dirige mon sexe à l’entrée de ses lèvres et s’empale dessus. Elle est tellement mouillée que ma bite glisse d’un coup jusqu’à la garde. Elle force sur les cuisses et ses reins impriment la cadence.
C : Sam me pénètre et m’arrache un premier cri. Mes yeux sont toujours rivés sur le voisin qui se branle avec vigueur. J’ai presque l’impression de lui faire l’amour à lui aussi ! Sam me saisit les fesses avec force et les claque, lui aussi est hors contrôle, seul le plaisir nous anime maintenant.
S : Elle tient encore les rênes un peu plus longtemps avant que je craque, une bestialité nouvelle m’habite, je veux la dominer devant cet inconnu. Je la saisie par la taille et me relève, en un éclair je la décale contre la rambarde. Ses bras s’accrochent à la barre pendant que j’agrippe ses cheveux.
C : Sam m’a surpris, avec vigueur il a renversé la situation. Il se tient derrière moi et me force à redresser la tête vers le voisin. J’écarte mes jambes et cambre mes fesses pour faciliter la pénétration. Il entre avec force et imprime un rythme soutenu. Mes fesses claquent sous les coups. A nouveau le plaisir me submerge, j’ai l’impression de ne plus pouvoir tenir sur mes jambes. Je regarde le voisin lui aussi au bord de l’explosion. J’ai l’impression de hurler à rameuter tout le quartier mais le reste des balcons est toujours vide.
S : Je sens le plaisir monter en moi, les fesses de Clarisses vibrent sous mes coups, ses cris de plaisirs bourdonnent à mes oreilles.
C : Le voisin craque, il relève la tête et son corps semble parcouru d’un spasme. Il vient d’éjaculer.
J’accompagne les coups de Sam, je sens sa verge s’enfoncer en moi comme jamais auparavant. Il me saisit à la gorge et me redresse pour me mordre à l’épaule, la sensation est exquise. Il pousse alors un râle, se retire et je sens deux longs jets chauds me tomber sur les fesses. Il me retourne, et m’embrasse avec passion, nous restons enlacés quelques instants en attendant que nos cœurs se calment. Il me sourit tendrement et je me sens profondément heureuse. Lorsque je me retourne pour jeter un dernier coup d’œil, le voisin a déjà disparu.
S : Nous rentrons, j’ai du mal à faire le point sur la situation. Je n’avais jamais senti un si grand plaisir et pourtant je suis un peu honteux de la situation. Clarisse, elle, est perdue dans ses pensées, mais son visage rayonne.
Le sexe sur le balcon n’est toutefois pas devenu une habitude, pour elle comme pour moi c’était l’occasion de vivre une expérience inédite et nous n’avons pas cherché à reproduire la scène. Par contre j’ai remarqué que Clarisse passe beaucoup plus de temps nue dans l’appartement et que ses séances de bronzages n’incluent plus de maillots…

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