La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 443)
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°439 -
Lorsque compelled MDE fut redressé, il eut du mal à tenir debout, tant il était éreinté, courbaturé, les muscles totalement engourdis. Mais celui qui soccupait de lui, continua à le malmener. Il lui ôtait sa camisole, sa cagoule, ses bouchons aux oreilles, ses fers aux pieds, sans la moindre prévention seul son bandeau sur les yeux et sa cage de chasteté lui furent laissés. compelled MDE sentait la transpiration, une odeur désagréable quil naimait guère
lui si soucieux habituellement de son hygiène corporelle ! Il fut attrapé par la taille, puis soulevé et posé sur une robuste épaule tel un sac de pomme de terre puis transporté dans une autre cellule. Cette impression de nêtre quun sac à patates quon charriait à loisir lhumilia mais lexcita aussi, il fallait bien quil se lavoue à lui-même
Sa satanée queue cherchait désespérément à sévader de cette foutue cage de chasteté. On le posa debout à même le sol, on lui ordonna de tendre les bras à lhorizontal, de ne plus bouger. Des cordes lui attachèrent les mains entre-elles. On lui fit écarter les jambes, on lui attacha chaque cheville avec un lien dont lextrémité était nouée à des anneaux métalliques rivés solidement au sol. compelled MDE sentit quun autre lien sentourait autour du haut de chacune de ses cuisses. Ce cordage lui maintenait son entre jambes très ouvertes. On lui attrapa les mains liées, et on glissa le cordage enserrant ses poignets dans un crochet fixé à un palan
Lesclave-soumis fut ainsi soulevé et tiré un peu vers lavant, lui imposant cette suspension dans le vide avec une belle cambrure de ses reins.
Des mains rugueuses glissèrent sur son corps offerts, le caressèrent, le palpèrent. Des doigts effleurèrent son anus à disposition, douce caresse qui ne laissa pas insensible compelled MDE. Au contact de ce doigt, le chien-soumis nespéra quune seule chose, être pris, être enculé, fusse-t-il sauvagement, il avait besoin dune queue, nimporte laquelle, une queue ferme, dure, épaisse, longue.
- A quatre pattes le chien, sur le tapis près du lit !
Immédiatement compelled MDE reconnut la voix du Maître. Il fut très surpris, tremblant comme paniqué il sexécuta. Le Maître était resté confortablement installé dans le lit, il sétirait tranquillement, baillait généreusement.
- Je técoute, salope !
Compelled MDE resta silencieux, ne comprenant pas lordre fixé.
- As- tu réfléchi pendant ta séquestration, comme je te lavais ordonné ?
- Oui Maître, à maintes reprises Maître !
- Alors je técoute Mon chien, raconte-moi tout ce quil sest passé dans ta petite tête de cabot.
Et compelled MDE narra toutes ses réflexions intimes (voir épisode 9) avec moult détails. Il le fit avec concentration et précision, répondant de temps à autre à des interrogations du Maître, (le Maître voulant surement sassurer dune bonne interprétation et compréhension des dires de son esclave campé à quatre pattes devant lui). Sûr de la volonté de Son chien à vouloir sépanouir en vivant son esclavage comme soumis MDE en a toujours rêvé au Château, le Maître conclut la conversation en lançant un nouvel ordre.
- En levrette salope.
compelled MDE prit la posture dans linstant, le téton toujours en feu, posa son front au sol, cambra ses reins, écarta les cuisses et tendit son cul en lair. Le Maître se leva tranquillement sans faire cas de ce misérable esclave prosterné devant lui, il quitta la pièce. Les secondes ségrenèrent
le soumis resta dans cette position dattente immobile un bon moment sans bouger ainsi le cul bien exposé. Le Maître revint peu après, une main glissa sur la raie du chien, un doigt sarrêta sur son trou, une noix de lubrifiant y était sommairement appliquée.
- Cambre-toi bien, chienne
et montre au moins que tu sais offrir ton cul !
Le chien avait à peine eut le temps dajuster la posture quil sentit le membre du Maître le pénétrer. Il ne put réprimer un gémissement en se contractant un peu. Lintroduction ne bricola guère et se fit avec sureté, dun seul mouvement ! Le Maître navait que faire des jérémiades de son esclave, il se retira lentement puis lattrapa par le haut des cuisses pour mieux ré-enfourner son gros sexe épais et raide jusquà la garde, puis resta un moment immobile en coït anal, son pubis collé sur le cul de Son chien, juste le temps pour que celui-ci de reprendre son souffle et tente de se détendre.
- Allons, tu ne sais donc pas ce que bien te cambrer veut dire ?... je vais te faire comprendre salope !
Le mouvement reprit, presquanarchique, tantôt extraordinairement rapide, tantôt puissant et profond
violent, imprévisible. En sintensifiant, les coups de butoirs réduisaient le bassin de compelled MDE en punching-ball, chaque fois rejeté au moment où il atterrissait sur le pubis du Maître : Les reins de lesclave étaient bien obligés cette fois-ci de se plier à lexacte volonté du Maître. Le chien peina à retrouver sa respiration et gémit doucement, sentant ce sexe dur aller et venir en lui, le défoncer bien à fond. Excité, compelled MDE se sentit subitement chienne, salope, objet
. Jamais il navait reçu une telle injonction de total assujettissement. La puissance, la chaude puissance du Maître le pénétrait au fond de ses entrailles, voilà la seule chose que le Maître voulait imprimer dans les chairs intimes de Son soumis MDE. Il lenculait sauvagement, compelled MDE excité comme un diable encagé, prenait un plaisir immense à simaginer nêtre quun trou
Tout en continuant à le labourer copieusement et généreusement, le Maître linterrogea :
- Sais-tu au moins ce pourquoi est fait ton petit trou de salope ?
- A prendre des queues, Maître
- Ma queue ne te suffit-elle pas ? (Le Maître jouait à entrer lentement et sortir complètement son membre)
- Si, Maître
je suis votre salope !
- Voilà ce que jaime entendre !
et heureux de lêtre, jespère
- Oui Maître, je suis heureux dêtre votre salope
sil vous plait, je vous en supplie, Maître, continuez !
- Alors ouvre ton cul mieux que ça
fais jouer ton trou avec subtilité, chienne
Une queue ça sinvite à aller plus profond et ça se retient délicatement quand elle menace de se retirer ! Bon sang, un vrai bon cul doit savoir montrer son plaisir !
Compelled MDE se sentait ivre, sans plus de force
mais complètement dans laddiction, il avait envie de cette sodomie, il avait besoin dune queue en lui, mais celle du Maître, afin de se sentir chienne, Sa chienne ! De se sentir Lui appartenir, de nêtre que Son jouet sexuel, Sa chose, bref dêtre pleinement sous Son joug à nêtre plus quun trou de plaisir charnel
- Ouiii Maître, jadore, jen désire encore, sil vous plait
Par pitié ! (Vaine imploration, les mouvements sarrêtèrent, hélas)
- Allez, relève-toi maintenant
Mets-toi à plat ventre sur le lit, tout en gardant ma queue bien en toi, je ne voudrais pas ten priver même une seule minute : laimes-tu cette queue
Ma Noble queue
petite pute ?
- Oh Ouiiii Maître, merci Maître
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!