Léa 2

Un beau jour pendant l'été, je me rendais à une fête organisée par un ami. Comme cet ami avait décidé d'inviter une centaine de personnes, la fête se déroulait dans une salle de fête, par conséquent, j'amenai une tente afin de dormir là bas.

Tout se passait bien, jusqu'à ce que je rencontre par hasard une fille que j'avais déjà vue en vacance : Léa, une belle et grande blonde au corps de déesse. Je l'avais rencontré l'été précédent au cinéma et nous avions eu une formidable partie de jambe en l'air. J'allai la voir, et la saluai, elle sembla contente de me voir, et je vis même briller dans ses yeux une petite lueur coquine... visiblement elle se souvenait de notre dernière rencontre, et n'avait pas que d'innocentes intentions me concernant... Et c'était réciproque ! Elle était vêtue assez simplement, un T-shirt orange et un jean classique, mais cette tenue moulait quand même ses formes.

Pendant toute la soirée, Léa et moi discutions, buvions ensemble, et surtout dansions ensemble, nous collant l'un à l'autre langoureusement. Autant dire qu'à 4 heures du matin lorsque je me glissai dans ma tente, je n'avais pas du tout envie de dormir, j'étais même en feu ! Je finis malgré tout par m'endormir.

Néanmoins, je fus réveillé une demi heure plus tard : quelqu'un venait de s'introduire dans ma tente, et de se coucher derrière moi. Je n'eus pas vraiment le temps de me demander qui c'était : la personne se colla contre moi, je sentis de longs cheveux me chatouiller l'oreille, et de gros seins se caler contre mon dos comme deux gros coussins. La personne me murmura à l'oreille :

"Tu croyais quand même qu'après t'avoir chauffé toute la soirée j'allais te laisser dormir sur la quille ? C'est pas mon genre ! "

C'était Léa ! Un frémissement d'excitation me parcourut, et s'accentua quand la coquine glissa sa main dans mon caleçon et commença à me branler. Elle alla d'abord doucement, avant d'augmenter progressivement le rythme de sa branlette, puis de ralentir à nouveau le rythme, tout cela pour me rendre fou.

Tout en me branlant, elle m'embrassait sensuellement la nuque et murmurait des choses coquines à l'oreille comme : "ta queue est à moi ! Qu'est ce qu'elle est grosse ! Tu kiffes ce que je lui fais ? "

Evidemment j'adorais ça, sa main coulissait le long de mon sexe, allait et venait dans mon caleçon, me faisant frémir de plaisir. Je m'agitais et me "débattais" tant le plaisir était grand, aussi Léa ressérait son étreinte, se collant complètement à moi, et me léchant l'oreille pour me rendre fou, ce qui marchait très bien !

Au bour d'un moment, Léa me retira mon pantalon et mon caleçon, et vint à califourchon sur moi. Elle se pencha vers moi et m'embrassa délicatement, laissant ses cheveux dorés tomber en cascade autour de moi, puis elle se redressa et retira son jean et sa culotte, ne conservant que son T-shirt, avant de lentement s'empaler sur moi.

Un sourire aux lèvres, elle entama des vas et viens, tout en me tenant les épaules pour bien me maintenir en son pouvoir. Le rythme de ses attaques était au début assez lent : elle allait doucement d'avant en arrière, ou de gauche à droite, en regardant fixement, un grand sourire aux lèvres, je compris qu'elle s'échauffait et testait mes réactions. En effet très vite, Léa se mit à augmenter la cadence, allant à un rythme rapide, puis franchement élevé, tout en variant le type de ses attaques : tantôt elle m'infligeait d'amples vas et viens d'avant en arrière, tantôt elle me faisait de petits coups de reins secs allant de gauche à droite, ainsi je ne savais jamais comment elle me baiserait, et à chaque fois pris par surprise et submergé par le plaisir, je lâchai un cri ce qui tirait à Léa un sourire satisfait et provocateur.

Elle me baisait ainsi depuis un quart d'heure lorsque tout à coup n'en pouvant plu, je me redressai vivement : certes la baise qu'elle m'infligeait était délicieuse, mais je ne supportai plus de la voir en T-shirt : je voulais la voir nue ! Je lui arrachai donc son maudit T-shirt, et dans la foulée lui arracha aussi son soutif, profitant enfin de sa belle poitrine (du 90C à vue de nez).
Visiblement lassée de mon T-shirt elle aussi, Léa me le retira avec tout autant de sauvagerie. Enfin nus, nous nous embrassâmes avec passion. Après quoi, je lui embrassai l'épaule, puis descendit sur ses seins que je léchai, puis que j'embrassai à pleine bouche. Léa poussa un léger gémissement de plaisir. Tant que j'y étais, je voulus en profiter pour reprendre le dessus, et fis mine de renverser Léa, mais celle ci ne fut pas d'accord, et me jeta sur le sol de la tente.

Elle reprit ses vas et viens de plus belle, mais cette fois ci plus question de varier les mouvements : elle allait d'avant en arrière à un rythme très élevé. Le plaisir me brouilla la vue, et je me mis à crier très fort, mais cette fois ci je n'étais pas seul à crier : à chacun de ses allers retours, Léa lâchait un gémissement et le plaisir qu'elle s'infligeait déformait magnifiquement ses traits.

"Je vais te finir chéri ! Je vais te faire jouir ! Cria t elle"

"Tu te surestimes ma belle ! Répondis je en la défiant"

C'était vrai : elle avait beau être douée, j'étais suffisament endurant pour tenir encore une bonne heure, et elle n'avait pas l'endurance de Katherine : je voyais bien qu'elle commençait à s'essoufler. Elle poursuivit ses coups de reins, et ils continuaient de m'envoyer au septième ciel, sans pour autant que j'approche de l'orgasme. Je voyais que Léa en était un peu frustrée et cela m'amusa. Pour la provoquer, je lui claquai les fesses ce à quoi elle répondit par une gifle. Elle voulut m'en donner une deuxième, mais je lui attrapai la main la maintenant dans son dos. Elle voulut dégager sa main mais n'y parvint pas, et, pire, je lui attrapai sa deuxième main et lui tins aussi dans le dos. Une lueur d'excitation passa dans le regard de Léa : je compris qu'elle aimait perdre ainsi progressivement le pouvoir. Bien qu'elle soit au dessus, elle ne pouvait pratiquement plus bouger : elle était à ma merci. Je me redressai et tout en la maintenant, je l'embrassai langoureusement.
Après quoi je la renversai et l'étalai sur le dos.

Je vins sur elle, et la tirant vers moi puis la pénétrant d'un coup sec, je la pris en missionaire. Elle lâcha un petit gémissement lorsque mes 20 centimètres entrèrent en elle, et nous nous regardâmes droit dans les yeux : je pouvais y lire toute son excitation à l'idée de ce que j'allais lui faire, à moi de faire en sorte qu'elle ne soit pas déçue ! Je me mis à la baiser comme un fou, comme un mort de faim, comme si ma vie en dépendait. Tantôt je me tenais au dessus d'elle, et tout en lui tenant les mains, je lui assénais de rapides vas et viens, allant et venant en elle à un rythme fou, la baisant avec "violence" et sauvagerie, tantôt je ralentissais un peu le rythme, et tout en me collant à elle je l'embrassai avec passion, tout en lui administrant d'amples et profonds coups de reins, tandis qu'elle m'enlaçait et m'attirait contre elle. Dans ces moments là, le frottement de nos deux peaux nous donnaient des décharges électriques, et Léa me murmurait à l'oreille combien elle kiffait ce que je lui faisais. Dans les moments où je la baisais sauvagement, Léa était ballotée et secouée sous mes assauts, et gémissait de plaisir, tandis que moi je la limais avec force sentant la jouissance monter en moi avec délectation. Je la regardais droit dans les yeux et étais ravi de la voir proche de défaillir de plaisir. Le missionaire était sympa, mais je brûlais de passer à ma position préférée, la levrette, alors lorsque je n'en pus plus d'attendre, je la retournai.

Je la mis à 4 pattes, et lui saisissant les hanches, je reccomençai à la baiser sauvagement, lui administrant de sauvages coups de rein qui lui arrachaient des couinements de plaisir. Je la besognais ainsi durant un bon quart d'heure, la sautant plus sauvagement que jamais, parfois lui caressant les côtes ou les seins (et alors la douceur de mes caresses contrastait avec la violence de mes coups de boutoir) parfois lui claquant d'un coup sec ses jolies fesses ou lui tirant les cheveux, lui arrachant à chaque fois un petit cri de plaisir.
A chacun de mes allers retours, je sentais le plaisir me submerger, et je devais serrer les dents pour le contenir. Toutefois je compris bien vite que je ne pourrai plus tenir bien longtemps, aussi je dis à Léa : "tiens toi prête je vais venir !" et sans plus attendre, j'entamai le sprint final, donnant des coups de reins très puissants tout en lui malmenant le clitoris de ma main histoire d'être sur qu'elle jouisse. La combinaison fut fatale pour Léa qui eut un monstrueux orgamse en même temps que moi.

Epuisés et comblés, nous nous endormîmes au milieu du "champ de bataille". Le lendemain, nous nous séparâmes heureux de cette belle aventure.

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