Qu'il Attende !

J'ai toujours refusé de me donner. Ma main me suffit. Mais il devient insistant en me menaçant de me laisser seule.
Je l'aime trop. Ce soir je vais m'offrir à lui. Il m'a souvent dit que je n'étais pas sa première. Tant mieux, je ne veux pas faire les frais d'un puceau. Le seul ennui est que je voulais rester vierge jusqu'au mariage. J'ai beaucoup réfléchi : demain je serais encore vierge. Nous devons faire un repas de « noce » dans le meilleur restaurant. Il n'arrête pas de me dire qu'il me veux que sa queue serait bien en moi, bref, qu'il veut me baiser.
Je fais celle qui accepte, qui joue même l'impatiente. Il voulait que nous couchions chez lui. Je refuse catégoriquement. Chez moi, pas ailleurs.
Il accepte finalement.
Nous sommes nus, je regarde sa bite qui bande. Je l'ai déjà eu dans les mains quand je le branle, mais là c'est spécial.
Je joue la surprise quand il me couche sur le lit, qu'il vient sur moi. Il vient sur moi, sa pine est dure sur mon ventre. J'arrive à le faire tourner. J'ai sa bite juste à porter de ma bouche. Je le prend en bouche, avec les lèvres je fais descende le prépuce pour lécher directement le gland. Je trouve son goût agréable, le petit jus qui coule est un peu salé mais bon. J'ai envie de le sucer à fond, le faire jouir directement dans ma bouche. Je pourrais le faire avec sa langue sur mon sexe, jouir rien qu'avec cette langue qui me ramone la bouche.
Il me caresse partout, c'est très agréable. Sa bouche aspire mes seins. Je le laisse faire. Il la descend sur le ventre et le pubis. Il veut me lécher le sexe. Je suis bien d'accord : ce ne serait pas le premier à me faire jouir ainsi. Je ne suis pas une cruche mais vierge je suis, vierge je veux rester.
Dès qu'il vient sur moi je sens la grosseur de sa queue. Elle me donne envie, mais j'ai décidé d'attendre un peu. Il ne va pas mourir de patienter au moins jusqu'aux fiançailles.
Il insiste tellement que je ne sais plus que faire, à moins que.

...
Je l'autorise à mettre sa pine entre mes jambes. Il va vouloir me la mettre. Je suis d'accord. Il est tellement étonné qu'il débande en partie.
Il se met sur moi, près à me la mettre. Je le sens sur moi, je ne le veux pas en moi, enfin pas là où il voudrais. Je prend sa bite dans la main. Je la dirige vers ma fourche. En lui même il doit jubiler.
Elle est bien dure, bien grosse. Ma main en fait à peine le tour. Que je vais avoir mal quand il entrera. Mais ce ne sera qu'une courte fois.
Il s’appesantit sur moi. C'est un peu lourd, mais je l'aime tant.
La différence est minime, il ne s'apercevra de rien avant de pénétrer. Je le tiens bien en main. Je le dirige vers moi.Il pensait me baiser : il va m'enculer.
Je le pose sur mon cul. Je sais que cette fois je vais avoir très mal. Je serre les dents d'avance. J'ouvre mes fesses et mon anus le plus possible. Il ne se rend compte de rien. Il force bien peu pour me la mettre. Mais comme c'est la première fois, il acceptera.
Je sens son gland transpercer l'anus. C'est à peine douloureux. Il est entré, il le la mise presque en entier. Je sens un nouveau plaisir dans mon cul. C'est agréable de se faire niquer ainsi. Il continue, il me la mise, mais pas où il voulait.
Le résultat immédiat de ma ruse est que je le sens jouir dans mon cul. Il reste ainsi en moi un petit moment. Il débande doucement. Le principal est que mon cul m'a donné un plaisir très fort tel que je ne le pensais pas.
J'ai tenu bon, jusqu'à nos fiançailles : je lui ai avoué qu'il ne faisait que me sodomiser. Quand il m'a baisé la première fois, j'ai joui trop vite à mon gré.Il a tenu à me la mettre par derrière pour le second round.