Hypocondriaque ?? Non, Chaudasse? Certainement !
- Salut Hervé
- Salut Noé, ça va ?
- Boff, moi oui mais Andréa couci-couça
- Mais encore ?
- Figure-toi quelle sest mise en tête quelle a un cancer du sein !
- Ah ? il ne faut pas rigoler avec ça, elle a des nodules ?
- Quest-ce cest ?
- Des nodules ? cest des grosseurs au milieu du sein, elle devrait consulter
- Il nen est pas question, elle a peur dun diagnostique positif
- Tu devrais la raisonner
- Tu es notre meilleur ami Hervé, de plus tu es pharmacien, donc tu as certaines notions de médecine ? pourquoi ne viendrais tu pas a la maison un de ces soirs ?
- Je veux bien lui parler
- Tu pourrais la décider à palper sa poitrine ? fait par toi çà ne me rendrais pas jaloux, au contraire, en ce moment je la taquine pour quelle sexhibe
- Ça change tout
tu voudrais joindre lagréable a lutile !
- Cest un peu ça !
- Tu veux que je passe quand ?
- Disons vendredi soir à lapéro ?
Andréa est une femme de la trentaine, très bien faite, je nai jamais vu ses seins mais je les suppose assez volumineux et très fermes et de la forme que jaime le plus : en poires ! Si par le biais dun diagnostic je peux les toucher ce nest que du bonheur !
Je me suis donc rendu à leur domicile, visiblement Andréa nétait pas au courant de ma venue, mais jai lhabitude, tout comme eux, de faire des surprises, une fois installés au salon Noé a amené la conversation sur une voisine qui subit un cancer, de nos jours ce genre de maladie fleurie a chaque coins de rue, jai profité se cela pour poser la question fatidique
- Tu te fais suivre pour le cancer du sein Andréa ?
- Je suis trop jeune voyons ! ça prend à la cinquantaine !
- Tu as tord
- Tu vois chérie je narrête pas de te le dire !
- Je nose pas aller chez le toubib
- Ça ne sert a rien de se voiler la face, as-tu des grosseurs anormales ?
- Je ne sais pas
- Pas de glandes dans le cou ou sous les bras ?
- Je ne sais pas.
- Tu devrais regarder Hervé
- Tu veux que je montre mes nichons à ton copain ?
- Ce soir ce nest pas mon copain, mais quelquun qui sy connaît
La jeune femme réfléchit, les deux apéros quelle a pris laide à surmonter son appréhension, son regard change déclat, il se fait langoureux, ses joues rosissent, elle se lève
- Je suis prête, tu peux palper ma poitrine devant mon mari, ne te gêne pas Hervé
- Je vais être le plus discret possible Andréa, je vais rester dans ton dos ainsi je ne verrais pas tes seins
Je suis aussi troublé quelle, si troublé que ma verge a un sursaut, je dois me maitriser pour ne pas bander carrément ! Placé derrière elle pour quelle nai pas a supporter mon regard elle lève légèrement les bras, face a son mari qui avale sa salive avec difficulté, je prends un sein entre mes deux mains pour le serrer, ils sont de la forme et aussi durs que je limaginais, mais ce que redoutais se confirme
jadresse un clin dil a son mari qui a mis ses mains devant sa braguette, moi-même essaie de ne pas coller a la femme qui ne manquerait pas de découvrir lérection triomphante qui cest révélée
- Cest impossible de texaminer avec ton corsage et de plus par-dessus un soutien-gorge
- Ah bon ??
- Enlève tout le haut chérie
- Tout ?
- Tout Andréa, sinon je ne peux rien déceler
- Bien
Toujours face a son mari qui a de plus en plus de problèmes pour respirer, la femme se dénude, chez elle aussi sa respiration cest accélérée, jadore les marques rouges que le sou vêtement a laissé, sa voix est devenue plus rauque, je vais manuvrer afin de faire durer la séance !
- Voilà cest quand tu veux Hervé
- Je vais commencer par vérifier ton cou et tes aisselles
Jeffleure sa peau du bout des doigts lui arrachant des frissons qui lui font dresser le duvet des bras
- Hervé ! arrête ! ça me fait des choses !
- Ça texcite chérie ? laisse faire le professionnel
- Oui mais si tu savais comme je suis mal a laise a présent
- Tu mouille ?
- Noé enfin !soit discret !
- Pardon pour ce désagrément ! Je reviens sur tes seins
lève tes bras
- Finalement ce nest pas si déplaisant que ça.
- Respire normalement, détend toi, ce nest pas désagréable ?
- Jeeee
. Heeeeeuuuu, non
tu trouve quelque chose ?
- Presse les bien Hervé, elle adore ça !
- NOE !
- Ben quoi ? si tu te voyais, tes cuisses glissent lune sur lautre, à croire que tu as envie de faire pipi
- Ce nest pas si éloigné que ça
- Je ne vois rien danormal à ta poitrine,
- Tu es sûr ?
- Je refais une dernière vérification
Son mari me fait un signe discret, cette fois cest du véritable pelotage, je fais rouler les tétons entre mes doigts en resserrant les seins lun sur lautre, et, vu le calibre je me dis que ma queue serrait a laise entre les deux ! Soudain Noé sapproche delle et la prend par la taille
- Aide moi à la soutenir, ses yeux sont révulsés, je crois quelle va tourner de lil
- Non, ne tinquiète pas chéri, je vais bien, même très biiiiiiiieeeeeennnnnn !
Elle ne peut plus ignorer lérection qui pèse sur ses fesses, elle ne cherche pas a éviter ce contact très résistant, elle se frotte dessus, elle embrasse son mari qui traficote la taille de sa jupe qui se libère, je mécarte juste une seconde afin quelle glisse a ses chevilles, discrètement jouvre ma braguette et sort difficilement la bête qui, a présent bat entre ses cuisses
- Soyez rassurés, tu nas rien aux seins !
- Chéri
- Oui Andréa ?
- Hervé
- Quoi Hervé ?
- Il a sorti sa verge, je la sens entre mes cuisses
- Tu pourrais peut être le remercier ?
- Comment ?
Andréa sous limpulsion de son mari fait demi-tour, jai ses seins gonflés de désir sous les yeux, je ne peux résister a lenvie de me pencher pour prendre un téton rouge et dardé en bouche, la femme ravie presse ma tête sur sa poitrine, je passe dun nichon a lautre heureux comme un qui vient de trouver un nouveau jouet, au moment où je vais tenter une approche entre ses cuisses la femme de nouveau manipulée par Noé se laisse glisser vers le sol, une main att ma queue, de là a sa bouche il ny a quun pas qui est vite franchit , a mon tour de faire aller et venir sa tête sur ma hampe
Noé me regarde prendre du plaisir, a mon avis il est très heureux de découvrir sa femme aussi docile et décidée, discrètement je lui demande si elle avale, un mouvement de tête me le confirme, je donne donc de minis coups de reins comme je le ferais dans un vagin peu profond, je sens ma sauce monter, je me dois den avertir ma consommatrice
- Andréa ? Je vais jouir, je ne ten voudrais pas si tu refuse daller jusquau bout
Les deux mains serrent ma bite et mes bourses afin que je ne puisse pas lui retirer son sucre dorge, je mépanche longuement dans sa gorge en poussant un grognement sourd, elle se relève triomphante et souriante en essuyant sa bouche dun revers de main, au passage je remarque que son string rouge est trempé
- Merci Andréa cétait formidable
- Cétait bon pour moi aussi Hervé !
- Tu es rassurée sur ton soi-disant cancer ?
- Je nai rien aux seins, mais qui vous dit que je nai rien à lutérus ?
- Tu crois ?? tu as toujours quelque chose qui ne va pas ma pauvre femme !
- Je sais ce que je dis, parfois jai des chaleurs qui font couler ma minette
- Comment le vérifier ?
- Je ne vois quune solution Hervé, dans un premier temps tu la doigte
- Et ensuite ?
- Nous verrons bien,
- Si nous allions dans la chambre ? je ne vais pas rester debout pour cette intervention ?
- Tu as une torche Noé ?
- Pour quoi faire ?
- Examiner le fond de son vagin pardi !
- Mais tu nas pas de spéculum ?
- Je vais étirer tes lèvres avec mes doigts, Noé braqueras la lampe là où je lui indiquerais
- Je suis partant, allonge toi comme le demande Hervé chérie
- Comment ?
- Ôte la serpillère odorante que tu as entre les jambes et remonte tes genoux a la hauteur de ta poitrine
écarte toi bien
ta chatte est déjà bien craquée dit donc
- Attendez ! vous êtes a poil et moi le mari suis encore habillé, il y a quelque chose qui ne va pas ! regarde moi ça, tu viens juste de décharger et tu rebande déjà !
- Cest la faute a ta femme mon vieux
- Alors ? ça vient ? je ne vais pas garder cette position humiliante éternellement !
- Humiliante ? mon cul ! tu bave de convoitise devant la queue de notre copain !
- Cest simplement médical
Accroupis a coté delle jécarte les poils agglomérés par la mouille et me sers de mes deux index pour tirer ses lèvres vers lextérieur, elle na pu retenir un tressaillement accompagné dun soupir de satisfaction, une bouffée darôme de femme en chaleur me titille les narines, je me retiens pour ne pas me pencher sur cette vulve en effervescence et y fourrer ma langue
- Éclaire bien dans le trou Noé
- Cest bien rouge non ?
- Oui mais ça ne prouve rien, ça peut être provoqué par bien dautres choses
- Comme ?
- Lenvie de faire lamour par exemple ?
- Cest vrai Andréa ?
- Baaaahhh
oui, peut être ? nous verrons cela quand Hervé sera parti mon chéri
- Tu as raison
- Alors ? que voyez-vous ?
- Si tu savais comme cest beau, nest-ce pas Hervé ?
- Cest le paradis
.
- Je vais enfoncer mon doigt pour tâter lutérus, mais avec tout ce liquide ont ne voit pas grand-chose
- Ça dégouline carrément le long des parois
- Il faut aspirer cette sauce
- Mais comment ?
- Arrêtez de réfléchir et aspirez-moi avec la bouche que diable, vous êtes des hommes ou bien quoi ?
- Tu veux le faire Hervé ?
- Pour sa santé je vais me sacrifier
Sans plus hésiter je maffale entre ses cuisses quelle tient toujours bloquées sur ses seins, ma bouche se ventouse a son abricot, jaspire bruyamment ce nectar, la source a lair de sêtre tarie, jenfonce un doigt dans ce marécage brulant, Noé se penche a mon oreille pour me susurrer deux mots
baise-la
- Quoi ?
- Tu as bien compris, pour bien faire il aurait fallut une échographie, après tout un gland est plus délicat quun doigt pour éprouver la sensibilité de cet organe
- Bien sûr mais pourquoi ne le fait tu pas toi-même ?
- Demande-lui qui elle préfère
Je me redresse la bite a la main, Andréa me regarde les yeux énamourés, elle a compris que je vais mintroduire en elle, ses genoux souvrent au maximum en appuis sur les mains javance mon bassin face a cette fissure qui recommence à suinter, la femme ouvre grand la bouche lorsque mon dard la perfore jusquaux couilles, son mari lui tient la main
- Ton utérus te fait mal mon amour ?
- Nullement chéri, au contraire, mon point G est a la fête, cest la première queue après la tienne qui visite mon vagin, elle est boooooooonnnnnnnnne !
- Baise-la à fond Hervé elle adore être secouée
- Accroche toi a mon cou Andréa je vais te faire voyager
Les seins de la femme ballotent en tous sens, ma queue allonge sa gaine vaginale, elle hurle, pas de douleur mais de bonheur, mes couilles sont arrosées de cyprine, a mon tour de lui arroser lintérieur, je la bloque sur moi car en pleine jouissance mon nud devient douloureux, Noé qui se masturbait en nous regardant baiser lui décharge sur la poitrine
- Tu es complètement rassurée sur létat de ton vagin ?
- Oui apparemment il va bien
mais mon colon ?
- Fout-toi a quatre pattes salope, Hervé va te sodomiser !
- Au point où nous en somment je suggère quelle tenfourche et je la prends par derrière ?
- Cest ça que tu veux ? être prise en double ?
- Oui chéri, je veux que ce soir tous mes trous soient visités
- Tu nas jamais eu de symptômes soit disant cancéreux ?
- Non, je veux être baisée cest tout ! et cela test bénéfique, je nai jamais vue ta bite aussi grosse !
Impossible de résister devant cette chatte éclatée par la queue de son mari et cet anus qui palpite en attendant dêtre comblé, Andréa na pas cessé de jouir tout le temps que nos deux verges se soient côtoyées en alternances dans ses trous débordant de foutre, depuis elle a un moral à toute épreuve
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