Retour D'Un Week-End À Madrid (3)

Vraiment bandante cette scène, j’ai l’impression de ne pas avoir baisé depuis des lustres, ma queue commence à marquer l’arrêt, elle se raidit sans même n’avoir besoin de la toucher. Je les regarde, les admire dans cette position. Un bref instant un rayon de lumière vient m’aveugler, en levant la tête, j’aperçois au-dessus du couple un homme en train de mâter la scène comme moi, à la différence que lui est difforme, je n’aime pas porter des jugements physiques sur les gens, mais là c’en est trop. Sans pourvoir lui donner un âge, il est petit et gras, très gras même, un énorme ventre bedonnant, poilu comme un singe, un visage presque disparu enveloppé par un double menton, une barbe qui n’avait pas dû voir un rasoir depuis très longtemps, des lunettes d’un autre siècle, et une queue à peine visible d’où je me trouve, il ne bande pas, enfin j’espère pour lui, quand il porte une de ses mains au-dessus de ses yeux pour masquer la réverbération, je devine une alliance à son annulaire. Quand je reviens sur le couple, mes yeux croisent le regard du mec en train de se faire sucer. Je ne suis pas gêné pour autant et continue à mâter, il me fait un petit signe de la tête comme pour me dire d’attendre, puis il relève son copain le retourne et le fait assoir sur sa bite. Le gugusse d’en haut d’en perd pas une miette, il se branle en regardant cette sodomie. Il ne tarde pas à jouir. Quand il me voit, il remonte son short et tourne les talons, sans doute honteux d’avoir été pris en flagrant délit. Cela ne perturbe pas les deux protagonistes, au contraire, ils prennent leur pied. Après quelques minutes, le petit jeune se lève, se tourne et se met à genoux, sans doute pour nettoyer la queue qu’il venait de se prendre. La scène terminée, je retourne m’assoir avec un barreau entre les jambes sur ma serviette et me tourne afin de cacher cette érection. Le jeune couple revient et j’entends des brides de conversation, « C’est lui ? », « Oui ». « Il est vieux, non ! ».

« Plus vieux que nous c’est sûr, mais il est pas mal ». « Y’a longtemps qu’on n’a pas fait un plan à trois ! ». « S’il est d’accord, pourquoi pas ! ». Un plan à trois avec ces deux jeunes, je suis preneur, j’attends de voir comment ils vont m’aborder. Je fais semblant de ne rien avoir entendu et je reste allongé au soleil, il ne faut pas plus de cinq minutes pour que je sente une présente à côté de moi. « Monsieur ! Vous auriez du feu s’il vous plait ? ». L’approche classique par excellence. C’est le plus jeune des deux qui m’aborde. Je lui tends mon briquet, en allumant sa cigarette, il fait exprès de perdre l’équilibre et vient appuyer sa main sur mon dos. « Je suis désolé ! ». « Ce n’est pas grave, pas d’inquiétude ». « Nous allons prendre l’apéro, vous voulez vous joindre à nous ? « Avec plaisir, à la seule condition c’est que l’on se tutoie ». Il sourit. Je les rejoins, ma bite n’est plus au garde à vous, pour le moment. Je tends la main en disant « Seb, enchanté et merci pour l’invitation ! ». « Pas de quoi ! Moi c’est Anthony, mon copain Loïc ». Ils ont tout prévu, ils ont une glacière avec l’apéro complet, alcool, chips, cacahuètes, verres et glaçons. Nous sommes tous les trois assis en tailleur, à ma gauche Loïc, le plus jeune et à ma droite Anthony, l’ambiance est très bonne, nous rigolons, un moment très sympathique. Après deux verres et le soleil, les esprits se chauffent un peu, chacun leur tour, ils posent une main sur mes cuisses et les caressent lentement puis il remonte en parfaite harmonie sur l’intérieur et viennent toucher mes couilles simultanément. Je sens mon entre jambe mouillé par la chaleur et peut-être aussi par l’excitation. Ma queue se dresse lentement et je prends une grande inspiration pour ne pas leur sauter dessus comme un mort de faim. Ils continuent à m’exciter en s’embrassant à quelques millimètres de mes lèvres. La sueur perle sur mes tempes, j’ai les yeux fermés, je savoure cet instant. « Ça t’a excité de nous voir tout à l’heure, tu aurais aimé être à la place de qui ? Loïc ou de moi ? ».
« Loïc ! ». La scène est surréaliste, j’ai l’impression d’être dans un film. Ils me prennent par la main et m’entraîne dans le petit bosquet.
Anthony est très entreprenant et ne me laisse pas le temps de reprendre mes esprits, à peine derrière le bosquet, il se jette sur ma bouche et mordille mes lèvres d’une façon très sensuelle, ses mains sont de chaque côté de mon visage, je ne peux pas bouger, il a une force de cheval portant il n’a pas l’air d’être aussi musclé que cela. Il est plus petit que moi, rasé de près, ce qui est rare, Quand il stoppe ses baisers, je peux l’admirer de près, des yeux noisette avec des cils recourbés, ce qui lui donne un regard intense, un petit diamant est accroché à son oreille, c’est le seul artifice qu’il s’est autorisé. Pendant ce temps Loïc frotte sa bite sur mes fesses, il est obligé de se mettre sur la pointe des pieds, alors pour lui rendre la tâche plus facile, je plie légèrement les genoux, ses mains sont sur mon torse et il caresse langoureusement mes tétons. C’est à cet instant qu’Anthony assis sur sa grosse pierre, me prend la tête et m’invite à le sucer, c’est un délice, elle est belle, épaisse comme je l’aime, je comprends que Loïc aime ce la prendre dans le cul, penché de la sorte, Loïc a un accès direct à mon cul, j’aimerai tant qu’il me prenne pendant que je gobe la queue d’Anthony. Une langue, un doigt, c’est ce qu’il me propose. C’est déjà bien, j’adore être comme une petite pute à disposition. Mais ce n’est pas l’endroit pour être dans des conditions optimales pour un plan à trois. Anthony me propose d’arrêter. « Nous avons tous les trois envie de plus, ce soir avec Loïc, nous recevons des amis pour un barbecue, si tu veux venir, on finira la nuit à trois ». Je n’ai rien de prévu pour ce soir, j’accepte volontiers, on échange nos tél, on passe encore un très long moment à discuter sur la plage en alternant bains de soleil et baignade. Ils ne sont pas avares d’attouchements à chaque fois qu’ils le peuvent. Je ne suis pas en reste et les embrasse, les caresse, et je profite au maximum d’avoir deux corps aussi sympa à explorer.
Notre manège n’a pas échappé à quelques curieux et je suis sûr que certains ont dû jouir de nous vois ainsi. Fin d’après-midi et nous prenons le chemin du retour.
Je suis impatient de me rendre chez eux, voir leur intérieur et les découvrir encore plus. Quand j’arrive dans mon petit appartement, je suis excité de cette journée, de cette rencontre, je suis tellement content que j’ai complètement zappé mon voyage gagné. Je n’ai toujours pas pris ma décision. Une bonne douche, je me prépare, je choisis parmi mes habits, un ensemble blanc du Nil, pantalon, sous-vêtements et chemise blanche, tongs noire. Une tenue décontractée et je prends ma voiture, direction Aubagne près de Marseille. Je rentre directement par un petit portail laissé ouvert, je découvre le jardin pas très grand avec une petite piscine, la maison est sur un étage dans une résidence assez chic, Il y a déjà pas mal de monde, environ une vingtaine de personnes, en majorité des mecs. Je vois Anthony et Loïc afférer à préparer cocktails et grillades, je me présente à l’ensemble des invités, ils sont de tout âge de 20 à 60 ans, c’est très hétéroclite. Quand Loïc me voit, il vient vers moi et m’embrasse sur la bouche, je suis surpris, les invités le sont moins. Petit moment de gêne, mais je reprends le contrôle. « Qu’est-ce que tu veux boire ? », je réponds un Whisky-coca, on ne change pas une équipe gagnante, et je me fonds dans cette charmante soirée, très douce, accompagné d’une bonne musique. Tout se passe très bien, en fin de soirée, les invités prennent congés de leurs hôtes. Nous voilà tous les trois, encore quelques verres, puis les esprits échauffés par l’alcool, nous pouvons passés à des choses plus intimes et plus sexuelles. Premiers instants d’un trio fraichement associés, baisers, caresses et découverte des corps encore assez inconnus. Lentement Anthony me déshabille, Loïc n’a eu besoin de personne pour se dévêtir, il est nu comme un ver sur la terrasse extérieur. A l’abri des regards indiscrets, je suis maintenant allongé sur la pelouse qui entoure la piscine, une bouche sur ma bite et une bite dans ma bouche, Loïc me suce comme on l’a rarement fait et je me délecte de la belle queue d’Anthony.
L’air est très doux et la lune éclaire le jardin d’une lumière divine. Ils se connaissent et sont complices, je ne suis que leur jouet de la soirée. « Messieurs, faîtes ce que vous voulez, je suis à votre entière disposition », c’est ce que je pense intérieurement. L’humidité que dégage la pelouse me fait un bien fou, toujours la queue d’Anthony dans ma bouche, Loïc a relevé mes jambes et s’occupe à présent de ma rondelle, pour donner plus de confort à Loïc, Anthony me tient les chevilles, il me bouffe le cul avec beaucoup de savoir-faire pour un mec aussi jeune, une fois mouillé à l’excès, il y rentre un doigt et vient titiller ma prostate, il introduit un deuxième doigt et commencer à me dilater.
Anthony se met en position du 69, enfournant sa bite jusqu’à son maximum dans ma bouche et ma gorge, ses bras maintiennent à présent mes cuisses et avale goulument ma bite, puis la partage avec Loïc. Deux bouches sur ma queue, deux doigts dans le cul et une belle bite qui m’étouffe à chaque fois qu’Anthony donne un coup de rein, ce spectacle de l’extérieur doit être hyper excitant. Mes mains libres prennent les tétons d’Anthony pour un terrain de jeu, je les pince de plus en plus fort, si fort que j’ai dû aller trop loin. Il se lève d’un bond, me bascule avec violence sur le côté, « Tu veux jouer à ce petit jeu, tu vas être servi », la phrase à peine terminé qu’il rentre d’un seul coup sa bite gonflée dans mon cul, je pousse un cri que l’on a dû entendre de très loin, il me pilonne comme un forcené, Loïc reste stoïque devant cette rage. Mes demandes d’y aller moins fort restent vaines et il continue de plus en plus fort, j’ai l’impression que mon cul va exploser, il finit par s’arrêter, le trou béant, il vient me mettre sa bite dans ma bouche et jouit, « Avale petite salope ! ».
Docile je m’exécute et bois toute cette semence. Il devient alors tout doux et s’excuse de cette sauvagerie. Je ne sais pas si je dois rester ou m’enfuir. « Je suis désolé Seb, quand tu as pincé aussi fort, j’ai vu rouge, je voulais te faire aussi mal que la douleur que j’ai ressenti, je m’aperçois que je peux devenir une vraie bête sauvage dans des situations poussées à l’extrême». Loïc ne dit rien, je pense qu’il est aussi surpris que moi. Anthony entre dans la maison, «C’est la première fois que je le vois comme ça, je pense que l’on va s’arrêter là pour ce soir, il vaut mieux que tu rentres chez toi ». J’ai envie de m’excuser mais le mal est fait. Une fin de soirée très spéciale. Je suis déçu quand j’arrive chez moi, de rage, je supprime le numéro de ces deux gars. Il a été tellement fort que je ne sens plus mon cul, je pense que les prochains jours seront sans sodomie.
Un rêve étrange me réveille en sursaut, les draps trempés de sueur, le souffle court. Je me remémore ce rêve, dans un lieu immense et blanc, je suis habillé avec un costume bleu nuit et j’attends, je ne vois personne et en une fraction de seconde, Felipe apparaît vêtu d’un costume blanc, suivi par tous mes amis de Madrid, il a un bouquet à la main, il se dirige vers moi et quand je me retourne il y a une table et un homme debout qui sourit, c’est José, il ouvre les bras est dit « Felipe et Sébastien vous êtes mariés ». Je suis perturbé par ces images, je crois que je commence à débloquer grave. C’est peut-être un signe !!
Quand je décide d’appeler le numéro sur Paris pour les modalités de mon voyage, la matinée est déjà bien entamée. « Bonjour ! Je suis Sébastien Laigret, vous m’avez envoyé un mail pour me dire que j’avais gagné à votre jeu concours ». « Bonjour Monsieur Laigret, je vous passe le service concerné ». Un opérateur me donne toutes les informations, voyage pour deux personnes à Marrakech dans un Riad au centre de la Médina pour 7 jours et 6 nuits au départ de Paris ou d’une ville de province. Ils me font parvenir les documents par courrier dans les prochains jours.

C’est décidé, je vais proposer à Felipe de partir avec moi, ça va faire de la peine à Jérôme, je pense qu’il comprendra ma décision. J’ai encore quelques jours de vacances avant de reprendre mon boulot, comme une envie de « chier », je prends un billet d’avion, je repars à Madrid, j’ai envie de revoir Felipe, de le serrer contre moi.
Ma valise prête, direction l’aéroport, destination Madrid. Je ne préviens pas Felipe, ce sera la surprise du jour.
A suivre….

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