Marie N'Est Pas Une Sainte
Rappel : Nous avons fait sensation à la fin de notre première année de licence mais lété est arrivé et nous avons coupé le contact avec la promo. Fraîchement installés dans notre nouvel appartement, nous nous sommes également aventurés à lexhibitionnisme avec un voisin. Notre couple ne sen trouve que ren et cest avec beaucoup de confiance que nous retrouvons les bancs de luniversité.
S : Jétais un peu stressé à lidée de recroiser les regards inquisiteurs de mes camarades de promo, je pensais, de nouveau, avoir à subir les approches incessantes des autres mecs autour de Clarisse. Mais finalement lété et les soirées de fin dannée, où Clarisse a déjà repoussé un bon nombre de candidats, ont découragé la majorité des prétendants. Mieux encore, les étudiants viennent vers nous avec plus de facilités, comme si cette histoire avait déjà brisé la glace ! Des attitudes nouvelles me sont également réservées. Pour les autres garçons, aussi stupide que cela puisse paraître, jai gagné en estime et, certaines étudiantes, mapprochent aussi différemment. Une en particulier joue avec mes émotions. Elle sappelle Marie. Elle a un physique de danseuse, grande, mince, les jambes musclées. Elle na pas beaucoup de formes mais elle compense par une attitude féline terriblement sexy. En cours elle se place maintenant à côté de moi, je la regarde jouer avec ses longs cheveux blonds, quand elle me surprend elle me lance toujours un grand sourire et ses yeux bleus rieurs pétillent.
C : Lagitation autour de nous sest énormément calmée, mais il est évident que les garçons font plus attention à moi. Sam est dans le même cas, sauf que lui ce sont les filles qui minaudent. Je ne suis pas jalouse mais certaines ménervent, les attitudes de petites filles, les rires pouffés et leurs attitudes mielleuses envers moi alors que je connais parfaitement leurs intentions. Sam les repousse toutes, toutes sauf une : Marie. Elle nest pas comme les autres, elle est belle et sexy, mais pas dans le genre vulgaire.
« Salut ! Tes la copine à Sam non ? Je hoche la tête et elle reprend. Il est en cours avec moi, on sentend bien.
- Je sais, il ma parlé de toi. Elle me sourit.
- Moi aussi jai entendu parler de vous, je suis une bonne amie à François. »
Elle me glisse un clin dil et disparait en me disant un « à plus ». Ses intentions me laissent perplexe mais elle a attisé ma curiosité.
S : Clarisse me pose de plus en plus de questions sur Marie et dans le même temps cette dernière se rapproche de plus en plus. Une après-midi en particulier ma marqué. Habillé dans une petite robe dété, elle se place, comme à son habitude, à côté de moi à une table double dans un coin au fond de la salle. Le cours nest franchement pas intéressant et ma voisine narrête pas de me parler. Elle est penché vers moi, jai une vue parfaite sur sa petite poitrine, ce qui me permet de voir quelle ne porte pas de soutien-gorge. Sa main effleure souvent mon bras et elle se penche plusieurs fois pour me murmurer à loreille une blague ou une petite histoire. Je sens alors son pied contre ma jambe, elle a tombé ses chaussures et se frotte nonchalamment. Ma verge se dresse mais elle continue à parler lair de rien. Le cours se termine et elle range ses affaires, elle se tourne sur sa chaise, face à moi et écarte ses jambes pour placer son sac. Jai une très belle vue sur sa petite culotte et aucun doute, elle la fait exprès.
C : Sam me raconte son après-midi, étrangement je ne ressens pas de colère mais un peu dexcitation. Lui aussi est retourné, à peine rentré il me saute dessus et me fait lamour. Dans la soirée je reçois un texto de François, lui qui ne cétait pas manifesté depuis la rentrée. Après quelques banalités, il me rappelle linvitation que je navais pas honorée après quil nous est surpris. Il minvite donc de nouveau pour demain, vendredi, et ajoute :
« Il y a aussi une autre invitée qui est très impatiente de nous voir, vous lui avez fait une forte impression ».
S : Je ne sais pas vraiment dans quoi on sengage. Marie me fait perdre la tête et François craque pour Clarisse dès le premier jour. Mais Clarisse semble très excitée par la situation. Le jour j on se prépare chez nous. Je remarque quelle hésite, plus encore que dhabitude, pour choisir une tenue.
C : Jopte pour une jupe noire assez sexy, un top sans bretelle blanc et une veste en tailleur. Mes dessous sont simples, un soutien-gorge sans bretelle noir et un tanga en dentelle. Le résultat final me plaît, je suis sexy mais pas vulgaire. Sam est un peu tendu, moi non plus je ne sais pas où cette soirée va nous mener mais je me sens plus tranquille. On arrive assez tard chez François, nous sommes visiblement les derniers. Je repère très vite Marie qui se précipité sur Sam, je suis étonnée de la voir en simple jean et débardeur mais même ainsi elle dégage quelque chose de très sensuel.
S : Je suis clairement en terrain ennemi, toute la bande des amis de François est réunie, je ne connais bien que Marie avec qui je pense la grande partie de la soirée. Clarisse navigue de petits groupes en petits groupes, elle est très sollicitée et on la sert régulièrement.
C : Je sens que lalcool fait son effet mais je tente de garder le contrôle. Je me décide pour aller aux toilettes et Marie maccompagne.
« Tu à lair bien joyeuse !
- Oui jai un peu trop bu.
- Vous allez par pouvoir rentrer dans cet état, restez dormir ici avec Sam, ya que vous, moi et François »
La soirée se précise tout un coup, ses yeux bleus brillent de malice. Jouvre la porte de la salle de bain et elle entre à ma suite. Elle se pose sur le rebord de la baignoire et ne me lâche pas des yeux. Je relève ma jupe et fait mon affaire. Je constate quil ny a plus de papiers, elle me dit quelle a des mouchoirs. Elle se lève et se place face à moi, lentement elle se pense et vient essuyer mes lèvres avec son mouchoir.
S : Clarisse se précipite vers moi, elle me murmure à loreille la scène des toilettes, jobserve Marie qui me lance un grand sourire.
« Elle veut un plan à 3 !
- Et tes partante ?
- Oui, elle mexcite cette fille.
- Et François ? Il va vouloir participer lui aussi !
- Tu es contre ?
- Jai un peu de mal oui.
- Mais par contre avec un autre fille pas de problème ! »
Elle prend lair faussement énervé. Elle membrasse tendrement et sa main se pose sur ma verge. Je sens quelle a très envie de ce plan à trois, et après tout pourquoi pas, cest le fantasme de tous les mecs !
C : La soirée se termine et lappartement se vide. Il ne reste plus que François et Marie et cette dernière passe à lattaque. Elle vient sur le bord du canapé et pose ses mains sur le torse de Sam. Elle tourne la tête vers moi, voyant que je ne fais rien pour len empêcher elle embrasse mon mec. Elle se penche ensuite vers moi et membrasse à son tour. Je me lève et entraine Marie vers la chambre damis, Sam nous imite et François aussi mais je repousse ce dernier à la porte.
« Désolé, une autre fois peut-être
- Bande denfoirés ! Cest mon appart ! »
On se met à rire avant que je ferme la porte à clefs.
S : Les deux filles sinstallent sur le lit, je sais que Clarisse est très excitée, très vite elle se débarrasse de ses vêtements et déshabille à son tour Marie. Les deux sembrassent langoureusement, Marie glisse la première sa main vers lintimité de Clarisse. En position sur leurs genoux, elles sembrassent et se masturbent mutuellement. Les cheveux bonds de Marie se mêlent aux cheveux noirs de Clarisse. Je suis comme dans un rêve, il me faut un peu de temps avant de moi-même me mettre nu. Je me rapproche du lit, le sexe déjà dressé. Clarisse sen saisit, ses doigts portent lhumidité de Marie.
C : La scène parait irréelle, nous sommes tous les trois nus et je tends le sexe de mon homme à une fille que je connais à peine. Alors quelle est occupée avec la verge de Sam je me glisse dans son dos, je leffleure à peine que déjà elle se cambre. Je glisse mes doigts dans son vagin pendant que mon autre main navigue de ses seins à son clitoris. Jai limpression dêtre un mec qui possède une femme. Avec mes reins jimprime la cadence, ses gémissements se changent en petits cris étouffés par le pénis de Sam. Elle mouille comme une folle. Jaccélère et elle craque. Elle lâche Sam pour se redresser, son corps entier vibre. Je me place sur le dos et relève les jambes.
S : Je vois la position de Clarisse et comprend ses intentions, je retourne Marie pour lui présenter le vagin de ma copine. Elle noppose aucune résistance et se met immédiatement à lécher et doigter. Les fesses de Marie sont bien dressées devant moi, je ne peux plus me retenir de la prendre. Jenfile une capote et glisse un dernier regard à Clarisse qui me sourit et hoche la tête. Je pénètre facilement Marie, elle est tellement excitée que de la cyprine coule tout le long de ses cuisses. Je menfonce jusquà la garde.
C : Sam la pénétré. Elle a de plus en plus de mal à continuer son cunni. Je me repositionne et lembrasse avidement, je sens ma cyprine sur ses lèvres. Ma main va à la rencontre de son clitoris que je masse.
S : La tension est trop grande, il faut que je change de position. Je me retire et mallonge sur le lit où Marie vient menfourcher. Ses mouvements me font un effet incroyable, elle est diablement douée. Je la sens vibrer au-dessus de moi, ses ongles senfoncent sur mon torse. Elle se retire alors et menlève mon préservatif, Clarisse la remplace.
C : Sam sest redressé, nos visages sont proches, je vois lexcitation et lanimalité au fond de ses yeux. Marie sest placée derrière moi, ses seins frottent mon dos, mon vagin humide caresse mes fesses. Avec ses mains elle menserre, elle vient malaxer mes seins et masser mon clitoris. Jexplose très vite en un long orgasme qui secoue tout mon corps, Sam ne tarde pas longtemps avant de venir lui aussi.
S : La tension retombée et après quelques rires nous nous sommes enlacés et le sommeil nous a gagné. Au réveil Marie nétait déjà plus là, elle nous a juste envoyé un texto pour nous remercier et nous inviter à recommencer dès quon le voulait. Nous sommes nous aussi partis comme des voleurs pour ne pas croiser François, je jubilais de lavoir ainsi coiffé au poteau.
C : François ma littéralement harcelé par sms pour crier sa frustration, le pauvre enrage encore. Jétais sur un petit nuage, cette nouvelle expérience soulevait en moi de nouvelles attentes que javais hâte dassouvir.
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