Pour Son Plaisir (2)
2 lappartement
Jai pensé pendant ces trois jours à ce que je devais faire. Mais intérieurement, ma décision était prise : jirai au rendez-vous !
A 19 ans, chez mes parents, jétais assez libre. Je pouvais entrer et sortir comme bon me semblait, il me suffisait de dire où jallais. Mon physique plaisait assez aux filles, mais les filles ne mintéressaient pas. Châtain, plutôt clair, aux yeux bleus, tirant un peu sur le vert, la natation de ma jeunesse mavait musclé mais je nen faisais pas étalage. Discret, et même plutôt timide, le déménagement de la famille mavait éloigné de mes copains et surtout de mon cousin. Mon visage rond, était resté même si la moustache et la barbe nécessitaient un rasage quotidien désormais.
Et cest en me rasant, ce mercredi matin, que je pensais à ce qui allait arriver laprès-midi. Je pris grand soin à me raser le visage, mais aussi le pubis. Certes, ça navait pas beaucoup poussé depuis 3 jours, mais ça picotait et cétait plutôt désagréable. Rasé, cétait plus frais et ma bite paraissait plus imposante. Elle était assez épaisse mais plutôt courte, à mon goût
Celle de Jacques, pour le peu que jen avais vu était plus imposante en longueur, mais moins épaisse que la mienne.
En fin daprès-midi, je me dirigeais donc vers la piscine. Mon cur battait très fort. Quand jentrais dans leau, je me sentais un peu gêné, sans doute le fait de navoir plus de poils sous le slip. Jacques nétait pas encore arrivé. Je faisais donc quelques longueurs, ce qui me détendit.
Une bonne demi-heure passa et il entra dans le bassin et se dirigea vers moi. Il me mit la main au paquet, à lintérieur du slip tout en me parlant de choses et dautres.
- Je vois que tu as bien soigné mon petit jouet
Jeus un moment de recul, mais pour ne pas me retrouver entièrement nu dans la piscine, je ne bronchais pas. Nous avons nagé encore un moment, puis il ma demandé de le suivre. Nous sommes allés dans les vestiaires où il ma interdit daccéder à la cabine et de mettre une serviette autour de la taille.
- Eh petit, quest-ce qui tarrive ? La fatigue ?
- Non, juste glissé
- Moi cest Jacques et toi ?
Cest vrai quil ne connaissait pas encore mon nom
- Cédric
Il maida à me relever et en profita pour toucher ma bite qui ne tarda pas à se mettre au garde à vous. Durant ma chute, il en avait profité pour cacher mon boxer que je ne trouvais plus. Jétais de plus en plus mal à laise, la queue au garde à vous, la serviette essayant de cacher le mieux possible cette érection. Je remis mon short sans le boxer. La situation semblait plaire à Jacques qui complimenta mon entre jambes.
- Tu sembles plus à laise dans ce short
Effectivement, un short blanc, assez large ne pouvait que mettre mes attributs à laise. Cest là que je vis mon boxer, dans son sac. Il ferma rapidement son sac et à loreille minvita à le suivre.
Lexcitation ne me fit pas débander et cest le sac devant moi que je sortis de la piscine pour rejoindre celui qui devenait mon maître malgré moi.
- Tu me rends mon boxer ?
- Pas tout de suite
jai une surprise pour toi
- Je nen veux pas, je veux juste mon boxer et rentrer chez moi
- Pas si vite
Tu aimes cette situation ! ça se voit, alors arrête de faire le petit garçon capricieux, sinon je te corrige, moi.
- Mes parents mattendent
- Cest pas vrai, je suis sûr que tu mens et pour ça, tu auras droit à une autre surprise. Ne discutes pas, suis moi, tu ne crains rien.
Cette fois je ne bandais plus, mais marcher sans être maintenu, cétait la première fois. Lair passait sous la jambe de mon short et cétait finalement plutôt agréable. Jai suivi Jacques jusquà sa voiture. Il me fit monter et nous sommes allés dans un appartement. Sans doute le sien
Dans lascenseur, il me demanda juste de me présenter. Les banalités, mon âge, si javais des frères et des surs, depuis combien de temps jétais ici
unique je nétais dans la région que depuis le déménagement de mes parents, ça faisait 3 mois. Je navais pas encore lié damitié, sans doute ma timidité
Arrivé au 7ème et dernier étage, il minvita à rentrer chez lui. Plutôt bel appartement, le séjour était spacieux. Il y avait un grand canapé et un plus petit, une table basse et un téléviseur. Au fond de la pièce, il y avait une table et 4 chaises. Il me fit asseoir et sapprocha de moi.
- Tu vois, je ne te veux que du bien ! Si tu es daccord, on va samuser tous les deux, et si ça te plait, on pourra se voir ici, quand tu veux. Tu pourras même rester la nuit quand tu voudras. Je taime bien Cédric, même si on ne se connaît pas encore beaucoup. Mais on apprendra à se connaître.
Cest quoi cet amusement ? je ne connaissais pas plus que ça cet homme qui jusque-là ne mavait fait que forcer la main et mavait laisser seul aux alentours dune ville que je connaissais à peine. Il mavait ridiculisé à la piscine
Mais bon, je me rappelais aussi quil suçait drôlement bien.
Perdu dans mes pensées, je ne maperçus pas quil enlevait mes chaussures et mes chaussettes. Puis ce fut le tee-shirt et enfin le short, dernier rempart vers ma nudité.
- Tiens, mets-ça ! Et il me tendit un jock-strap.
Jen avais porté une fois lorsque je faisais des arts martiaux. On avait bien rigolé avec les mecs tous en jock strap dans le vestiaire. Mais ici la situation nétait plus la même. Jenfilais lobjet et ma bite se remit à bander. Il me regarda longuement et me dit que javais droit à ma deuxième surprise.
Et là, il me renversa sur ses genoux et me fessa pendant au moins dix minutes. Jessayais tant bien que mal à me protéger mais il y allait de toutes ses forces. Je sentais mes fesses chauffer, je lui demander darrêter mais rien ne larrêtait. Il frappait dune main et mimmobilisait de lautre. Javais les larmes aux yeux mais ma fierté minterdisait de pleurer.
- Si tu narrêtes pas de gigoter, je narrête pas de te fesser !
Le message était clair, mais les réflexes mobligeaient à réagir à chaque fois que sa main me claquait. Je pris une grande respiration pour essayer de me contrôler. Et il sarrêta enfin. Jessayais de récupérer mes affaires pour men aller, mais il mempêcha. Je restais debout, une chaussette à la main en me frottant les fesses.
- Tu as lair malin comme ça ! Reste tranquille.
Il rassembla mes affaires et les emmena dans une autre pièce. Je voulus le suivre, mais il me poussa sur le canapé. La chaleur de mes fesses et le froid du cuir me laissa sans voix, ce qui lui laissa le temps de revenir, certes rapidement.
Il se mit à me caresser en me murmurant à loreille que je lavais mérité parce que je navais pas été sage en lui racontant des mensonges. Il me suça les seins tout en me caressant la bite. Cétait vraiment délicieux. Je me laissais faire sans broncher cette fois. Jusquau moment où il essaya dintroduire un doigt dans mon anus. Je poussais un petit râle qui le fit réagir :
- Tu as la rondelle inexplorée mon gaillard ? je vais men occuper
- Heu, je ne suis pas sûr de vouloir ça
- Mais je ne te demande pas ton avis, tu verras, tu vas en redemander.
Il mallongea sur le canapé, retira le jock et leva mes jambes. Et cest sa langue qui parcourut en premier mon cul.
- Je vois que tu ne tes pas rasé la rondelle, vilain garçon
Pourtant, javais dit, sans poil ! cela mérite une correction !
- Mais, je croyais que cétait seulement la bite. Laissez-moi partir maintenant
Je me débattis mais ne réussis pas à me dégager.
Il avala tout mon sperme que jenvoyais par rafale. Cette fois, je navais pas été aussi rapide et il semblait satisfait.
- Alors Cédric, tu as aimé ? Tu vois cette fessée nétait que lapéritif
Maintenant tu es mieux, nest-ce-pas ?
Je tendis mes lèvres vers les siennes. Il avait le goût de mon sperme dans la bouche et membrassa goulument.
- Et toi, tu ne te déshabilles pas ? je pourrais te sucer moi aussi
- Non, pas tout de suite, gourmand ! tu auras le dessert quand tu le mériteras. Viens suis-moi.
Il memmena dans une chambre où mes affaires avaient été jetées sur le sol. Il y a avait là un lit avec des barreaux. Je remarquais des crochets sur les murs et un placard près de la porte. Il ouvrit le placard et en sortit une sorte de chaîne avec des bracelets en cuir. Il voulut me mettre ces bracelets
- Non, là on narrête tout de suite
Je ne veux pas faire ça
- Tinquiètes pas, je vais pas te
- Là jen sais trop rien maintenant !
Il se mit à rire, ce qui me déstabilisa et il en profita pour mattacher un poignet au lit. Il put ensuite aisément attacher lautre poignet. Jétais maintenant attaché aux deux mains, avec une chaîne. Il me fil allonger sur le lit, les mains en lair et attacha la chaîne aux barreaux du lit. Il mattacha ensuite chaque pied au lit également. Jétais maintenant à sa merci, jambes écartées, bite offerte, mains entravées.
- Tu vois comme tu es bien maintenant. Je vais te prendre en photo
- Non, je veux pas ! Vous navez pas le droit
- Mais je men fous ! je vais te prendre en photo.
Je me débattais, mais ça ne servait à rien. Il prit un appareil et fit des photos. Jessayais que mon visage napparaisse pas mais je crois que cétait inutile.
Quand les photos furent prises, il revint sur moi et me sortit sa bite quil me mit dans la bouche. Elle était bonne, un goût un peu amer mais cette fois jappréciais le contact. Pour la première fois javais une bite dans la bouche !
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