Mes Débuts - Partie 1

Bonjour à toutes et à tous ! J'écris aujourd'hui ma première histoire sur HDS, elle sera sous la forme de trois chapitres et racontera mes débuts dans la fabuleuse discipline qu'est le sexe.

Ayant 23 ans depuis 5 mois, je dois avouer que ma vie sexuelle est particulièrement épanouie... J'ai vu et fait beaucoup de choses. On pourrait croire que je fais partie des filles qui ont perdu leur virginité bientôt, mais bien que je fasse – non sans fierté – légitimement partie des filles que l'on appelle aujourd'hui « salopes », c'est bien loin d'être mon cas : ma première expérience sexuelle remonte à mes dix neuf ans, j'étais en terminale ayant redoublé ma première. Ce n'est pas faut d'avoir eu des occasions au cours de l'année ! Au contraire, je n'ai pas assez de doigts pour les compter. Mais par peur et par manque de confiance en moi, eh bien... Rien ne s'est fait avant ma majorité. Au grand dam de bien des garçons d'ailleurs... J'avais rapidement obtenu la réputation de « la fille qui chauffe mais avec qui il ne se passe rien après » ! Mais bon, je n'avais jamais vraiment chauffé de mec en réalité... J'imagine que mes 1m73 pour un corps tout en jambes, longues et fines surplombées par le résultat de deux ans de squats que mes leggings ne cachaient pas beaucoup, assortis d'un généreux 90C pour 60kg s'en étaient chargés à ma place.

Je suis sortie pendant à peu près un an avec un garçon, dont j'étais d'ailleurs tombée amoureuse. Il était dans mon établissement mais avait 2 ans de plus car il était en BTS, il était donc plutôt expérimenté et espérait bien passer à l'acte... En couple depuis octobre, il a finalement du attendre avril que j'arrête de repousser ses avances. Comme souvent, un après-midi, j'étais allongée sur son ventre, dans son lit, nous nous faisions des câlins... Truc de couple quoi ! Cependant, il faisait particulièrement chaud ce jour-là, et je ne portais que mes sous-vêtements avec un mini-short par dessus.

La vision de mes seins dans ce bikini devait particulièrement lui plaire puisque la bosse de son short était anormalement grosse. Assez timide et pudique, je ne dis rien et me contentai de l'embrasser comme à mon habitude. Je crois qu'au fond, même si je n'étais pas capable de le lui dire, je n'attendais qu'une seule chose... Et par chance, son excitation le rendait téméraire. Ses mains baladeuses, qui s'attardaient la plupart du temps sur mes côtés et mon ventre, s'aventuraient bien plus haut, très près de mes seins.

Il me cherchait du regard, comme en l'attente d'un signe, d'une autorisation, et je crois bien qu'il prit mon sourire comme tel. Ses mais passèrent donc sous le haut de mon soutien-gorge pour m'empoigner fermement les seins.

« Putain ils sont encore mieux au toucher qu'à la vue ! »

Un compliment, certes pas très fin, mais compliment quand même, que j'appréciai grandement : il contribua à retirer le tabou de la situation. Passant ses mains dans mon dos, il défit l’agrafe et m'enleva mon haut pour mieux masser mes seins. Je tremblais de plus en plus, à la fois d'appréhension et de désir, tandis qu'il commençait à m'embrasser les tétons. Subitement, me prenant dans ses bras, il me retourna et m'allongea sur le dos sans que sa bouche quitte ma poitrine. Il avait désormais tout l'espace qu'il lui fallait pour que ses mains se baladent sur mon ventre tout en descendant, lentement mais inexorablement, pour atteindre mon short. Il s'attarda quelques instants juste au dessus puis rentra sa main d'un coup, sans prévenir, dans mon short et dans mon string...

Ma réaction fut immédiate : je me cabrai de plaisir, rejetant ma tête en arrière alors que l'on visitait pour la première fois mon intimité. Il commença par masser mon clitoris, d'abord doucement, puis de plus en plus rapidement, me faisant lâcher de légers gémissements. Cette sensation était incroyable, cette main dans mon short me donnait l'impression de me livrer, de lui appartenir alors qu'il continuait de s'occuper de mes seins et de mes tétons.
L'intérêt de sa bouche a alors commencé à descendre, tandis qu'il me délestait de mon mini-short et de mon string... Jusqu'à atteindre mon clitoris. Il le titilla avec sa langue tout en m'enfonçant un doigt, mon tout premier doigt inconnu. Je pris sa tête entre mes mains, et il se mit à l'ouvrage tel un virtuose : sa langue décrivait des cercles, des va et viens, s'enfonçait puis se retirait pour retourner à mon clito, alors qu'il me fixait avec un regard intense... Une vague de chaleur me submergea alors qu'un frisson me parcourait entièrement, et je commençai à relâcher de la cyprine alors que l'orgasme approchait... Car en effet, il continua ainsi pendant peut-être des dizaines de minutes – j'étais au paradis. Je ne contrôlais plus mes gémissements, je me livrais totalement à l'amour et à l'attirance qui nous unissaient, quand je sentis la vague de plaisir me submerger : c'était lui, mon tout premier orgasme causé par une autre personne (et c'était trèèèès loin d'être le dernier). J'étais agitée de spasmes, me contractant puis décontractant sans me contrôler... Quand j'entendis la porte d'entrée de ma maison s'ouvrir : mes parents étaient rentrés. J'avais eu la chance d'avoir pu jouir avant qu'ils arrivent et nous nous rhabillâmes à la hâte.

Dans ce tourbillon de sensations, je me rendis compte que lui n'avait pas eu cette chance, et c'est le soir quand il partit et que je racontai tout à ma meilleure amie que celle-ci me fit m'en rendre compte... Il était essentiel que je me ratt au plus vite. C'est à ce moment là que ce produit le déclic : moi, la fille coincée jusqu'à maintenant, n'attendais désormais que la possibilité de faire jouir mon copain.

Nous nous retrouvions le lendemain après-midi au bahut. Il faisait encore une fois très chaud, et je portais un mini-short en jean avec un débardeur blanc, du genre à plutôt bien dévoiler mes formes... Je m'excusai donc de ne pas avoir pu lui rendre ce qu'il m'avait fait et je lui promis de me rattr en mieux à la première occasion.
C'est avec un sourire assez coquin que je lui pris par la main et l'emmenai, sans qu'il comprenne, vers les toilettes des garçons du 4e étage, celles où personne n'allait jamais... En entrant dans une cabine, je dois avouer que je me sentais assez stressée : je n'avais jamais fait cela et la première fois serait... Dans les toilettes du lycée... Mais j'étais tellement excitée ! Je l'embrassai langoureusement et ma main se glissa dans son caleçon sans attendre : nous avions tous les deux cours dans quinze minutes.

Je m'agenouillai, l'objet de mes convoitises était bien là, juste sous mon nez, et... je dois avouer que cette situation n'était pas sans effet sur moi, au contraire. Passant outre mes peurs, je pris donc mon courage à deux mains – et pas que mon courage... Il baissa son pantalon et son caleçon sans attendre, et j'eus sous mon nez une bite déjà assez dure et grosse. Elle était là désormais, à l'air libre : la première queue dont je dus m'occuper. J'étais réellement impressionnée : sa longueur devait avoisiner les 17cm, soit très long pour la petite pucelle telle que je l'étais, mais j'étais également motivée, et je commençai à le branler doucement. A mesure qu'il grossissait, je finis par ne plus pouvoir l'entourer entièrement de ma main. L'adrénaline se mêlait à mon excitation malgré ma peur et je commençai à le branler d'abord lentement puis de plus en plus rapidement, lui arrachant avec une certaine fierté quelques gémissements. Mais je lui avais promis de me rattr et j'en avais diablement envie... Alors je commençai à lui lécher le gland.

J'essayais de le regarder dans les yeux avec mon regard le plus aguicheur le plus souvent possible – et ça semblait avoir un effet sur lui. Je n'avais donc jamais pompé un mec, mais Sofia, ma meilleure amie, m'en avait déjà beaucoup parlé... Et j'en avais terriblement envie : je commençai donc à prendre sa bite dans la bouche, d'abord peu profondément et assez lentement, puis de plus en plus rapidement.
Je compris vite que je devais agrémenter les va-et-viens de coups de langue sur sa queue. En même temps, il fit descendre les bretelles de mon débardeur le long de mes bras, me dégrafa et m'enleva mon soutien-gorge pour pouvoir admirer ma poitrine – et à son expression d'extase il semblait apprécier. Il lança maladroitement mon soutif un peu loin. Mes cheveux commençant à tomber sur mon visage, il me les attrapa en faisant un queue de cheval avec ses mains. Je crois qu'inconsciemment, il se mit à pousser sur mon crâne – et dieu que j'adorais cette sensation de soumission ! Il poussa plus profondément et je me sentis bientôt perdue, ne contrôlant plus rien, pensant même parfois que j'allais m'. Je croyais alors la prendre très profondément, presque jusqu'à la base, mais j'ai compris depuis que je ne la prenais – à l'époque du moins – que jusqu'aux deux tiers. Soudain, il relâcha ma tête et à son regard je compris : ça venait. Sofia m'avait expliqué que couper les mecs dans leur élan pour les finir en les branlant était assez cruel... Et puis vu comment j'étais lancée je n'étais plus à ça près... Je me mis à accélérer plus vite et plus profond que jamais, et il écarquilla les yeux et, bouche bée, il jouit : un jet chaud me heurta le palais tandis qu'il était heurté de spasmes. Quatre autres jets suivirent, me remplissant la bouche : il venait de m'éjaculer dans la bouche !!! Cette sensation de chaleur était vraiment incroyable, par contre, je ne voulais absolument pas avaler ni même sentir le goût la moindre seconde : je me levai pour tout recracher dans le lavabo et me rincer la bouche, lui tournant le dos pendant quelques secondes. Quand je me retournai, il n'étais plus là, et... je ne pouvais plus trouver mon soutien-gorge ! Il avait du l'emporter...

Quant à moi je dus retourner en cours avec mon débardeur directement sur mes seins, on voyait mes tétons pointer à travers ce haut moulant, et on pouvait sûrement apercevoir mes seins en me regardant sur le côté... Mais je me sentais délivrée, d'une peur, d'un poids, et je n'avais que faire de ça : j'étais aux anges.

A la fin de la journée, un garçon de ma classe – plutôt beau, grand et musclé, plutôt un mec à meufs – me prit à part pour me parler...

« Alors on s'amuse dans les toilettes du quatrième étage ? Cochonne, tu étais tellement occupée que tu ne m'as même pas entendu ! Oh et si tu comptais nier, tu peux toujours essayer... J'ai récupéré ton soutien-gorge. »

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