Aline

Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec une femme que j’ai connue dans un site de rencontre sur Internet. On échange des courriers depuis maintenant 4 semaines et nous avons décidé, d’un commun accord de nous rencontrer. Nous ne nous sommes jamais vus, même pas un échange de photos, nous voulions avoir la surprise lors de notre rencontre. On s’est donné rendez-vous sur la place d’un village à mi-chemin de nos habitations respectives, je sais qu’elle a une Twingo rouge, elle sait que j’ai une 208 grise.
J’arrive au lieu de rendez-vous un quart d’heure en avance, et j’aperçois une Twingo rouge garée sur la place. A l’intérieur, une femme semble attendre : je cherche une place et passe à proximité de sa voiture, je vois qu’elle tourne les yeux vers moi. Vais-je lui plaire ? et elle va-t-elle être à mon goût ? J’arrête mon moteur et descends de ma voiture, je prends le bouquet de fleurs que j’ai acheté au passage chez un fleuriste. Elle sort de son véhicule et attend que je la rejoigne.
-Je pense que tu es Aline ? Elle me sourit.
-Et toi tu dois être Bruno ? On s’observe quelques instants, je suis un peu ému, car c’est une femme comme je les aime, plantureuse, mais pas obèse, très bien habillée, le visage très peu maquillé et une belle chevelure brune. Elle continue de sourire et se laisse observer.
- Alors je te plais ?
- Tu es exactement comme je t’imaginais. Et moi, je ne te déçois pas trop ?
- Non pas du tout, tu es très « présentable ».
Nous avions beaucoup discuté dans notre échange de mails, de nos goûts, de nos idées et de notre conception de la vie. Je sais qu’elle est mariée, comme moi, et que son mari la trompe depuis de nombreuses années et n’a plus de relations avec elle depuis qu’elle a pris du poids. De mon côté, ma femme a tendance elle aussi à me délaisser : la routine du mariage. Aline m’a rapidement dit qu’elle avait besoin d’une relation avec un homme qui lui prouverait qu’elle pouvait encore plaire, malgré ses 52 ans, j’en ai 56 et moi aussi, j’ai l’impression que personne ne s’intéresse à moi.

Je lui offre le bouquet de fleurs que je lui ai apporté.
-Merci. Ca fait plus de 10 ans qu’un homme ne m’a pas offert de fleurs, c’est très gentil de ta part.
-Il fait beau, je t’emmène faire un tour dans la campagne ?
-Si tu veux.
Elle prend place à mes côtés dans ma voiture. La place où l’on est garé est déserte.
-Depuis le temps que je te promets dans mes courriers de te donner tous les baisers dont tu manques tant, m’autorises-tu à ce que je t’embrasse ?
Elle ne me répond pas et approche ses lèvres des miennes. Sa bouche s’entrouvre et je colle mes lèvres sur les siennes. Tout de suite, je sens son petit bout de langue qui cherche la mienne, elle embrasse merveilleusement bien. Je lui rends son baiser et ma main vient lui caresser le cou, elle se colle un peu plus à moi, et je sens une main qui s’infiltre sous ma chemise et me caresse le torse. Dans mon slip, c’est fête ! je sens mon sexe gonfler. A mon tour, je glisse ma main entre deux boutons de son corsage, et je lui caresse doucement le ventre. Ma main remonte vers sa poitrine et je découvre un soutien gorge bien rempli. Après quelques instants, je m’écarte d’elle.
-On ne va pas rester là, on essaie de trouver un endroit plus discret ?
-Oui, vas-y !
Après avoir parcouru quelques kilomètres, on arrive à l’orée d’une forêt, je trouve un petit chemin dans lequel je m’engage et me gare. Je l’invite à sortir de la voiture, je me saisis d’une couverture que j’ai toujours dans le coffre et je lui prends la main pour la conduire à travers les arbres, dans un endroit où personne ne peut nous voir. J’étale la couverture et je lui demande de s’allonger dessus.
-Là, on ne sera pas dérangés.
Nos baisers reprennent, mais cette fois nos mains deviennent beaucoup plus indiscrètes. Je peux faire sauter les boutons de son corsage et poser mes mains sur ses deux globes encore encagés dans son soutien gorge. Ses doigts me caressent la poitrine et le ventre. Quand je sens qu’elle descend vers ma ceinture, je l’aide afin qu’elle puisse la déboucler sans résistance. Maintenant elle s’attaque à l’élastique de mon slip, elle a bien remarqué que je n’étais pas insensible à ses charmes, et je bande très fort. Je passe une main sous sa jupe, elle ne porte pas de bas, ni de collants ; je caresse doucement l’intérieur de ses cuisses, elle les écarte et me laisse le chemin libre vers sa culotte, j’effleure du bout des doigts le tissu blanc et la fine dentelle qui le décore : elle se met à osciller doucement vers ma main. Pendant ce temps elle a saisi mon membre et baisse mon slip afin de le dégager. Ses doigts caressent délicatement mes bourses pleines, puis remontent vers le gland, dans un mouvement de va et vient très agréable. Je me redresse afin de lui enlever son soutien gorge et sa culotte, elle se laisse faire. Je retire mon pantalon et mon slip.
Elle a une poitrine magnifique, ses seins sont pleins, encore très fermes malgré leur volume, et les larges aréoles brun foncé donnent envie de les sucer ; ce que je fais immédiatement. Je sens ses pointes s’ériger sous mes lèvres. J’embrasse ses seins, dessus, dessous, et son ventre rebondi. Elle s’abandonne complètement à mes baisers. Je me mets à genou et plonge ma tête entre ses cuisses, c’est chaud, c’est humide. Je commence à embrasser son sexe entièrement épilé, d’abord les grosses lèvres, qui s’écartent sous ma bouche et je découvre son intimité et son clitoris tendu, assez volumineux, comme je les aime, je ne résiste pas à le prendre en bouche et à le sucer. La réaction d’Aline ne se fait pas attendre, elle commence à avoir des mouvements désordonnés, elle se met à gémir doucement. Elle se déplace et sa bouche vient envelopper mon membre pendant que je continue à la sucer. Comme c’est bon de sentir sa bouche chaude sur ma queue, sa langue sur mon gland : ça fait longtemps que ma femme ne me fait plus ça, d’ailleurs elle n’a jamais aimé me le faire. Au bout de quelques minutes, je me relève et me place sur elle. Elle écarte en grand les cuisses afin que je puisse m’introduire. Mon sexe rentre sans difficultés dans sa grotte d’amour. Je commence à la besogner lentement, à la fois pour faire monter son plaisir et pour calmer un peu le mien. Très rapidement elle se met à pousser des petits cris de plaisir, et part dans un premier orgasme qui la fait se tordre sous moi. Je fais une pause afin qu’elle reprenne ses esprits et je la retourne de façon à ce qu’elle me chevauche. A genou au dessus de moi elle s’empale sur mon membre et se soulève pour mieux retomber dessus. Une dizaine de va et vient et elle part dans un nouvel orgasme qui la fait accélérer et qui me fait décharger en elle.
On reste comme ça quelques secondes afin de récupérer, puis on se relève et on tombe dans les bras l’un de l’autre. Nos bouches se retrouvent, nos langues se rencontrent à nouveau dans un long baiser.
Il est temps de repartir.