De Retour Du Travail

Elle l'attend.
La porte va s'ouvrir d'une minute à l'autre, elle entend ses pas dans l'escalier. Le voir ainsi habillé, en costume, la rend folle. Encore plus quand elle elle est nue.
Elle aime être à genoux pour lui, à lui. Peut-être qu'il caressera son visage avant d'embrasser son front?
Peut-être qu'il vérifiera sa chatte et remarquera combien elle est humide... Juste pour l'humilier. C'est bien la seule chose qu'elle n'arrive pas à contrôler.
En toute logique il va juste rentrer, ouvrir son pantalon et lui baiser la bouche. Comme ça. Elle le connaît par coeur.
La clef tourne dans la serrure.

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Je vais la voir. Sur le chemin du retour du travail je n'ai pas arrêté d'y penser, pas du tout concentré sur ce que Luc disait. Rien à battre.
Si Dieu m'avait dit un jour que j'aurai cette chance de rencontrer cette fille si...ouais elle est juste parfaite pour moi.
Rien que quand tu regardes ses yeux qui me regardent il y a une lumière qui brille à l'intérieur...
Comme quand je l'ai frappé dans sa salle de bain, dans le miroir j'ai vu son regard, ses yeux pour moi, rien que pour moi.
J'en ai mal à la bite de l'imaginer comme ça. A moi, rien qu'à moi. J'ai tellement envie de lui baiser sa gorge et de la voir pleurer.
Je lui dirais jamais que ça m'excite de l'entendre s'... C'est totalement malsain mais je m'en fou. Je l'aime tellement quand je fais ça.
Je l'aime tellement tout court. Il faut que je fasse attention. Si je lui baise sa bouche maintenant je vais lui éjaculer dedans en moins de deux.
Non pas que l'idée de la voir avec plein de mon sperme sur elle ne soit pas tentante mais je lui ai promis que ça durerait. Il faut que j'arrête. Maintenant. Et que je me reprenne.
Tous ses trous y passeront ce soir, j'adore cette phrase, elle est mon objet, sexuel, rien qu'à moi.
La clef tourne dans la serrure.

Je la vois, je ne peux pas m'empêcher de lui sourire comme un gamin.


- Ma chérie tu es tellement belle...
Je la vois sourire timidement et me murmurer un merci. Elle est gênée! Pourquoi ça m'excite autant qu'elle soit gênée?
Je la vois nue et fragile devant moi, à genoux, totalement soumise. J'ai tellement envie de la caresser, de l'embrasser, de la baiser... De la baiser...
Je ne me rends pas trop compte de ce que je fais mais à peine j'ai posé au sol mes sacs que j'ai mis son visage contre mon pantalon, contre ma queue pour être exact, elle palpite tellement dans mon caleçon que s'en est douloureux...
Je la vois qui frotte son visage contre elle... Comment fait-elle pour savoir exactement quoi faire à chaque moment? Je ne suis vraiment pas doué pour ça moi!
Elle m'agrippe les fesses avec ses mains pour m'approcher encore plus d'elle... Je ne vais pas tenir. Clairement.
- Garde tes mains derrière le dos!
Elle obéît instantanément. Ça me fascine presque. Je me décolle d'elle à contrecœur. J'ai réussi! Je vois son étonnement et une sorte de micro peur dans son visage de ne pas avoir fait ce qu'il fallait.
Ce n'est pas vrai bien sur mais je la punirai pour ça tout à l'heure. Mais ce que j'aime vraiment voir derrière tout cela, ce sont des yeux agrandis par l'excitation et la tension qui s'installe car je la surprends, elle ne sait pas ce qui va se passer.
- Ne bouge pas.
Je ramasse mes affaires et je vais les ranger. Je lui ai promis de garder mon costume mais je vais enlever mes chaussures et prendre une douche rapide.
Cela calme mon excitation un temps. Pourtant je pense à elle qui m'attend là-bas, sans doute perdue et excitée à la fois. Je me rhabille tout en restant pieds nus, ce qui me facilitera la tâche quand je vais la baiser.
Et je choisis d'aller me chercher un verre de jus. Je le pose sur la table et je reviens vers elle, derrière elle qui est face à la porte.
- Penche toi en avant et soulève bien ton cul.
Elle s'exécute, sans un mot.
Je sens qu'elle tremble légèrement quand je passe un doigt sur sa chatte. Mouillée. Totalement. Je pourrais enfoncer ma bite direct elle ne sentirait rien je suis sûr.
Ma queue en question a un sursaut dans mon pantalon. Je ne peux pas m'empêcher de l'humilier un peu plus...
- Tu es une vraie salope, je t'ai laissé garder la porte comme une chienne, je t'ai à peine toucher que tu es trempée comme une pute! Qu'est-ce que je vais faire de toi?
Je l'entends gémir en sursautant. Je prend ses cheveux et je la tire en arrière pour qu'elle se remette à genoux. Puis je me place devant elle en faisant le tour et je commence à dénouer la cravate, la violette, sa préférée, je l'enlève et lui passe autour du cou.
Et je tire, le nœud se resserre de plus en plus et...Cela...m'excite... Je la tire doucement par ma cravate, sa nouvelle laisse. Elle avance docilement jusqu'au canapé où je m'assois, savourant de l'avoir à mes pieds pendant que je bois mon verre que j'ai récupéré sur la table.
J'ai bientôt fini mon verre, en me forçant pour ne pas la baiser de force à même le sol. J'ouvre mon pantalon et je sors ma bite, dans le verre je laisse tomber quelques gouttes de mon liquide devant ses yeux ahuris avant de lui tendre.
- Bois. N'en perds pas une seule goutte sinon tu seras punies. J'espère que ça te plait, parce que je vais t'humilier jusqu'au bout.
Elle prend le verre et s'apprête à boire. Je lui mets une claque, légère, je veux juste la choquer un peu plus.
- Remercie moi de te donner à boire.
- Merci.
- Tu vas me remercier pour tout ce que je te fais. D'ailleurs tu vas être punies de ne pas l'avoir fait spontanément. Maintenant remercie moi de t'avoir frappé la joue pour te rappeler à l'ordre.
J'adore voir dans ses yeux cette panique et cette excitation, j'adore voir son corps trembler d'humiliation...
- Merci de m'avoir rappeler à l'ordre.
- Maintenant bois. Prends ton temps, je veux voir ton humiliation durer.

Je la vois boire, elle est magnifique. Humiliée et magnifique.
- Tu es très belle. Pose le verre et vient me voir.
Je la tire avec la cravate et je l'embrasse, enfin! En tenant fermement son visage comme j'aime. Je la fais monter sur le canapé sur mes genoux mais dos à moi en lui imposant de s'allonger la tête contre le bas de mes jambes. J'ai une vue imprenable sur sa chatte et son cul.
Je ne me prive pas de commentaires bien salaces.
- Tu as une chatte de pute, elle est trempée! Je vais la défoncer très bientôt et tu vas beaucoup crier. T'aimes ça salope hein?
-Ouiiii...
Je l'entends gémir en me répondant tandis que je passe juste mon doigt sur son intimité. J'écarte ensuite ses fesses pour commenter son trou.
Elle s'agite tellement elle est mal à l'aise. Ca m'excite encore plus. Je peux tout faire de cette femme et je vais l'enculer très profondément tout à l'heure d'ailleurs.
Les images violentes de ce moment parasitent un instant mon esprit avant que je me reprenne.
Je lui claque un peu les fesses avant de la relever et de la remettre par terre. Je la traine avec la cravate dans le couloir et je la met debout en la plaquant contre le mur.
Je lui ordonne de ne pas bouger. Puis j'enfonce mon doigt au fond de sa chatte, la faisant hoqueter de plaisir.
- Tu es mon objet, je te fais ce que je veux. Maintenant je vais te faire jouir, très fort puis ensuite je vais te frapper, tellement que tu n'en as même pas idée. C'est comme ça, c'est moi qui décide. Je veux t'humilier, t'humilier sous mes doigts tout en maltraitant ton corps.
Elle n'arrête pas de gémir, ça me rend dingue. J'agite mon doigt, je la pénètre avec, tout en lui tenant la gorge et en l'embrassant.
Ses jambes tremblent et son bassin remue sous mes doigts. Elle est magnifique comme ça, totalement dominée, totalement abandonnée à moi.
Je me demande pourquoi je n'ai pas fais ça avant, pourquoi je n'ai pas admiré ce spectacle plus souvent, celui de la femme que j'aime aux seins tendus s'agitant à mon rythme, totalement hypnotisé par mon pouvoir, par ma domination, par mon amour.

Je lui murmure des phrases toutes plus salaces les unes que les autres. Je lui dis aussi que je l'aime, qu'elle est la femme de ma vie.
A ce moment là, elle jouit d'un orgasme fulgurant. Je plaque ma main sur sa bouche dans un geste habituel, je fais bien. Elle est agitée de soubresauts violents et ses jambes ne la tiennent plus.
Je la ratt in extremis en la câlinant dans mes bras. Je lui dis qu'elle a été parfaite, sublime et que je l'aime. Je la vois tellement hagarde et ailleurs.
Je ne pensais pas que ça serait aussi dur pour moi, car pour le moment elle ne m'a pas touché mais c'est très bon, très très bon à voir.
Je l'emmène sous la douche et je lui lave le corps, je vois un sourire de bonheur ne pas quitter ses lèvres.
Si c'est comme ça que je dois aimer ma femme je signe tout de suite. Mon but c'est de l'exciter, doucement mais fermement. Tranquillement je reprends les rênes et je la caresse de plus en plus violemment.
Je lèche et mord ses seins, je frappe sa chatte et son cul doucement puis fort. C'est comme si j'avais fait cela toute ma vie, plus ses fessés rougissent plus j'ai du mal à retenir mes coups.
Elle ne bronche pas, elle semble être ailleurs, seuls ses petits cris et ses gémissements résonnent dans la cabine de douche. Je pourrais lui dire de se taire, elle le ferait je suis sûr, mais l'entendre ainsi, la voir ainsi, me rend dingue.
Ses ongles griffent le carrelage du mur tandis qu'elle cambre à l'extrême son cul pour moi... Elle en redemande encore...la salope...
J'ai du mal à l'appeler comme cela à ce moment précis car la vision que j'ai est d'une violence plus érotique que pornographique.
Ses longs cheveux ruissellent sur son dos et sur sa poitrine, je vois ses jambes fléchir à nouveau. Ceci me décide à sortir de ma transe.
Pour finir je la plaque contre le mur de la douche. Ses seins sont écrasés et j'adore l'idée. Je lui met un doigt dans son petit trou, réclamant ma domination.
- Prête à continuer?
- Oui.
- Tant mieux Parce que tu dois être punies.
Je la fais sortir de la douche, je la sèche et je lui remet la cravate autour du cou avant de la tirer vers le canapé où je la penche sur l'accoudoir.
Je la laisse attendre ainsi et je vais mettre une pizza au four. Et là je recommence à la frapper, de plus en plus fort tout en l'emmenant dans différent endroits de l'appartement pour le faire.
Le lit,le fauteuil,le mur... Plus son cul devient rouge, plus ça m'excite. Je la remet à genoux au sol et je vais me rhabiller. J'ai un fantasme à réaliser, mon costume en fait parti.
Je sors ensuite la pizza du four et je la coupe en deux. Puis je prépare deux assiettes. Je me mets à table après avoir traîné ma chienne à mes pieds et avoir sortit ma bite qui n'en peut plus.
"Chéri, j'aimerai que tu me domines dans ta tenue de travail..." C'est ce qu'elle m'a demandé une semaine plus tôt, et bien j'espère qu'elle est servie.
D'ailleurs elle va être servie dans tous les sens du terme!
- Commence par me lécher les couilles et uniquement les couilles, je voudrais manger un peu alors applique toi.
C'est divinement bon et c'est de la . J'ai à peine commencé de manger qu'elle me suce et je ne peux m'empêcher de lui baiser la bouche, toute idée de manger cette pizza s'est envolé de ma tête.
Je l'entends s' en bas, je me recule pour la voir. Je ne me retiens plus tellement je la baise fort, je la vois pleurer et je m'en moque.
Je sens que je vais jouir et je me retire de sa bouche, regardant son visage et passant mon pouce entre ses lèvres entrouvertes... Mon sperme gicle sur son visage et coule dans sa bouche ouverte.
Le spectacle est magnifique. Je la relève et la traine en laisse jusqu'à sa chaise en lui demandant de s'assoir et de garder ses mains dans le dos, de ne surtout pas toucher son visage.
Mon sperme coule à loisir sur ses joues, son menton et maintenant son cou. Maintenant que mon excitation es redescendue il faut que je fasse attention à ce qu'elle remonte assez vite tout en me donnant du temps.
Je vais l'enculer ce soir, avec mon sperme sur son si joli visage. Elle s'en souviendra longtemps. Je prends tout mon temps pour la détailler puis je referme mon pantalon tout en lui donnant l'ordre de manger sa pizza ainsi.
Je la vois hésiter maintenant que je ne suis plus autant excité, mais je ne montre aucun signe de faiblesse. Elle mange et moi aussi, nous parlons de sexe, de ce que je vais lui faire, jusqu'au dessert.
Mon excitation remonte à vu d'œil en la voyant manger sa pizza au sperme. Les assiettes finies, je lui demande de se remettre à genoux alors que je suis dans le canapé.
J'att mon portable et répond à quelques mails du boulot rapidement pendant qu'elle suce doucement ma bite qui reprend de la vigueur.
Cette fois mon sperme sur son visage m'excite complètement même si une partie a disparue depuis. Elle ne le sait pas encore mais je vais l'enculer ici, sur ce canapé.
Peut être à quatre pattes, peut être penchée sur l'accoudoir. En attendant je lui demande de me dire que je vais l'enculer et qu'elle va aimer ça.
Elle me supplie presque, c'est décidé dès aujourd'hui elle devra obligatoirement me supplier avant que je l'encule.
Ca me rend dingue quand elle le dit, surtout quand je l'ai rencontré ce n'était même pas envisageable pour elle de le prononcer... Alors le faire... Mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai peut-être une prochaine fois.
Car pour finir je le fais, je l'encule comme jamais! Je n'ai pas vraiment de mal à me glisser dans son petit trou, lubrifié à souhait par sa propre excitation de pute.
Je l'encule. Profondément et fort comme elle me le demande, sa langue sort de sa bouche et ses yeux sont vagues. Cela dure longtemps et j'aime ça.
Je finis par me vider au fond de son cul pendant qu'elle jouit très fort et je m'écroule sur elle ma bite encore dedans.
Je lui fais un énorme câlin tellement elle a été parfaite avant de la nettoyer ainsi que son visage.
J'aime la femme la plus belle du monde et elle m'est soumise. Totalement.

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