Pascale

La soirée s’étire: les hôtes ne sont pas très amusants pas plus que les invités. Je commence à m’ennuyer. La seule façon de « m’amuser » est de bavarder avec une rousse flamboyante ( à savoir si c’est naturel). Elle me semble très madame  « j’aime des choses: je ne veux surtout pas les dire » . A dire vrai elle m’intrigue beaucoup. Au fil de notre conversation, je pense que je me faisais pas mal d’idées fausses sur elle. Elle, c’est Pascale: elle a 25 ans. Presque trop jeune pour moi à 45 ans.
Je ne sais si c’est la boisson, elle commence à plaisanter, surtout sur le dos de nos hôtes. Elle en a plein le dos, moi aussi. Nous partons ensemble. Elle veut appeler un taxi pour rentrer chez elle. Je suis en voiture, même si elle habite à l’opposé, je me propose pour la conduire. Je me trompe souvent dans l’itinéraire. Ce n’est pas tout à fait de ma faute, Pascale ne fait que me rencontrer des bricoles qui me font perdre le fil de ma conduite, en plus elle confond souvent la droite et la gauche.
Enfin je m’arrête juste devant son immeuble. Elle descend. J’attendais qu’elle me demande de monter avec elle et……..elle le fait. D’accord ce n’est pas une beauté parfaite. Par contre son corps me plait bien. A mon âge j’en ai vu pas mal comme elle. J’ai eu des surprises agréables souvent. J’espère que cette fois aussi ce sera pas mal.
Elle me fait assoir sur un fauteuil tout seul dans un séjour qui n’en porte que le nom. Si, il y a un téléviseur moderne, grand écran et un divan posté devant lui. Elle disparait un moment pour revenir avec deux verres et une bouteille de muscat bien fraiche. Elle verse la boisson, nous trinquons et buvons.
J’allais lui dire adieu quand elle me demande si je suis timide?
Moi timide ?
- Je le pensais, puisque vous alliez partir sans me faire des propositions particulières.
- Je n’aime pas les refus et je pense que
- Taratata, qui vous a dit que je refuserai: vous m’êtes sympa.

Alors pour une fois qu’un homme me plait vous alliez partir.
Pascale vient vers moi, colle sa bouche sur la mienne. J’en suis surpris, rien ni dans mon attitude ni dans la sienne laissait penser qu’elle me voulait quoique ce soit.
Elle veut, très bien, dans ce cas moi aussi: je suis ouvert à ce genre de proposition.
Je réponds à ce baiser. Sa langue a le gout du muscat. Je la tiens dans mes bras: un aux épaules, l’autre aux hanches. Elle aussi me tiens par le cou. Elle vient le plus près possible de mon: je sens son corps depuis le torse jusqu’au pubis.
- J’ai envie, me dit-elle.
- Moi aussi.
- J’ai envie de ta bouche en bas !
Peu de femme m’ont faite ce genre de demande au point où nous en sommes. Plus tard, pendant les avances des mains sur leur chatte, c’est normal. Mais avant.
Je la déshabille lentement. Il va, seule, s’allonger sur le divan. Sans pudeur elle commence à se masturber. Pascale y prend grandement son plaisir, surtout en me regardant. Quand je suis nu elle inspecte ma bite qui doit lui plaire. Il faut dire que je bande fortement. Je m’assois à ses cotés en remplaçant sa main par la mienne. Elle se laisse faire un moment avant de réitérer sa demande:
- Suce moi.
- Déjà, tu ne veux que ça ?
- C’est pour commencer, après tu fera de moi ce que tu veux. J’aimerai aussi que JE te baise.
Je la laisse délirer et je pose ma bouche sur sa bouche d’en bas. Je ne m’attarde nulle part: je cherche simplement les endroits d’où peut venir un orgasme. J’en trouve plusieurs. Alors je commence par le plus simple: je lèche le clitoris longuement jusqu’à ce qu’elle se torde de plaisir. De là je vais sur son rectum, ma langue passe sur lui plusieurs fois. Je le sens s’ouvrir: je peux entrer dans son cul. Elle me demande de ne plus en partir; elle jouit plusieurs fois. Je ne pensais pas, en l’amenant lui faire ce que je fais.
Le seul ennui est que je bande: j’ai envie de jouir.
- Je vais de baiser maintenant.
- Non, c’est moi qui baise, pas toi. Vient te coucher à ma place.
Elle le veux, après tout que ce soit moi ou elle qui baise, j’en ai rien à foutre.
Elle me laisse bien m’installer, monte sur moi comme une cavalière, Se couche complètement pour m’embrasser. Sa langue seule est dans ma bouche. Je sens ma bite contre son bas ventre. Pascale se relève pour me prendre la bite. Elle baisse la tête pour bien la voir, baisse mon prépuce à fond vers les couilles, elle semble ne vouloir que mon nœud. Elle le place bien à l’entrée de sa chatte et se baisse lentement. Je ressent enfin le plaisir d’être dans son ventre. Elle assure les vas et vient: en gros elle me branle avec son vagin. Elle s’arête souvent pour se toucher le clitoris. Quand elle reprend c’est pour dire que c’est bon qu’elle aime se baiser. Ce qu’elle fait n’a qu’un seul objectif pour elle jouir. Elle ne s’en prive pas. En règle générales j’adore sentir une femme jouir autour de ma queue. Avec elle s’est très différent: je sens trop qu’elle est égoïste, elle ne baise uniquement que pour elle.
D’ailleurs elle se relève quand il lui semble qu’elle a assez jouit. Je suis devenu un simple gode.
Je comprend avec elle la différence entre baiser et être baisé. Je vais lui donner une petite leçon. Je la bouscule un peu. Je la mets sur le ventre. Je ne demande rien, j’agis. Je lui mets d’office ma pine sur le cul. Elle a compris ce que je vais faire. Elle se débat, elle ne gagnera pas, si elle gagnera une bite au cul.
J’ai heureusement la bite bien mouillée, je ne risque pas de lui faire trop mal. Je mets d’abord la pine vers son vagin, sur son cul ensuite.
Je reste immobile un bon moment. Lentement très lentement j’entre dans son antre du bas. Elle commence à hurler que je lui fait mal: elle fait des manières, puisque des que mon gland passe son sphincter, elle ne dit plus rien. Elle commence à bien apprécier quand mes couilles sont contre ses fesses. Je reste au fond de son ventre un bon moment sans bouger. Elle me fait une très bonne surprise quand elle commence à bouger pour les allers et venues.
- Mets moi en levrette.
Seule demande depuis le début de la sodomie. Je sorts ma bite du cul, elle se met seule en levrette, je reviens tranquillement dans le cul. Elle fait plus que l’accepter, elle me guide. Quand j’entre à peine dans son ventre je la vois baisser la tête sur le divan, elle porte un main sur son clitoris et ajoute les deux plaisirs. Elle jouit encore: deux plaisirs différents mêlés: elle est au paradis.
Je me laisse aller à un bon orgasme. Tout le sperme que j’avais en réserve y passe.
Il faut croire que le traitement que je lui ai fait lui a plut:
- Quand est-ce que te me la remet au cul.
- Quand tu sera avec une autre fille.
- Tu aimes baiser en trio?
- Pourquoi pas, et toi ?
- Moi, ça dépends de l’autre fille.
- Et si c’est un homme ?
- Je ne sais pas je n’ai jamais eu deux bites une au cul et l’autre dans la chatte.
Finalement je l’ai totalement décoincée.
A titre documentaire: c’est une vrai rousse.