Chaleurs D'Été Et Rut Bestial
Un soir dété la température narrive pas à descendre, il fait trop chaud dans lappartement pour trouver le sommeil, aussi optons nous pour une promenade au clair de lune
Lorsque je parle de forte température il ne sagit pas seulement de celle du thermomètre, il y a aussi celle de nos corps, jai senti que Marion désirait autant que moi faire lamour mais dans le sauna de notre chambre impossible de tenir une minute sans dégouliner de la tête aux pieds, mais où aller ?
Il y a bien ce petit square pas loin de chez nous, a cette heure il doit être désert, cest là que légèrement vêtus, main dans la main nous nous dirigeons
Il y a des bancs exposés a la lumière, dautres moins, celui là caché sous les arbres ferait bien laffaire
Marion assied le dos contre moi ainsi elle peut mettre ses deux pieds sur le banc, les genoux repliés, cette position nest pas anodine, sa robe retombe sur le haut de ses cuisses les découvrant totalement
- Tu es très excitante ainsi chérie
- Je fais prendre lair à ma minette, elle a tellement chaud !
- Chaud comment ? je peux toucher ?
- Tu es sûr quil ny a personne ?
- Certain !
Elle laisse ma main passer sous sa cuisse menant directement au sanctuaire qui effectivement est brulant pour les deux raisons que jai citées plus haut, lhumidité qui passe au travers du bombé de son string nest pas dût uniquement a la chaleur
De caresser ce tulle tendu où mes doigts dessinent la forme des lèvres suffit à me filer la trique, elle tressaille lorsque jeffleure son clito, écartant davantage les genoux elle laisse tomber sa tête sur mon épaule, signe dun abandon total
- Te vais te caresser mon amour
- Tu es vraiment sûr quil nya personne ?
- Ecoute les grillons chanter, sil y avait quelquun aux aguets ils nous préviendraient en arrentant de striduler
- Ah bon
je te fais confiance mon amour
Cette fois jai le champ libre, mes doigts crochètent le bord du string pour découvrir totalement la vulve bouillonnante, mon index et mon majeur la fendent de haut en bas, ils glissent facilement sur la mouille avant de sattarder sur le clito décapuchonné
- Tu me fais du bien julien
.
- Jespère bien !
- Jaimerais te rendre la pareille
- Je vais ouvrir mon pantalon pour te faciliter la besogne
- Je vais ôter ma culotte, les élastiques me gênent
- Si tu fais un demi-tour, tu peux me sucer et je peux te branler
- Caresser est plus poétique que branler chéri !
- Alors je vais câliner ta choupinette !
- Cest mieux !
Affairée à me sucer elle pousse de petits gémissements lors de mes effleurements précis, joccupe mon autre main à mettre ses seins nus a lair libre, je fais rouler ses tétons tendus sous ma paume, trop excitée par mes attouchements elle délaisse de plus en plus ma queue, autant passer a autre chose
- Tu veux que je te prenne chérie ?
- Ici ? comment ?
- Je suggère que tu viennes sur moi, ce sera plus confortable pout toi
- Oh oui ! baiser dans un endroit public, jadore cette sensation dinterdit !
Je mallonge, Marion menjambe et positionne sa chatte pour senfiler sur mon sexe en béton, une fois assise sur mon bas ventre elle sétend sur moi, cest à peine si nous bougeons, pas besoin de grands coups de reins trop fatigants par cette chaleur, la seule contraction de nos sexes suffisent à nous amener vers lorgasme, nous baisons tendrement a la pépère !
Soudain les grillons se taisent... ce nest pas dût a notre accouplement silencieux, Marion trop partie, ne sest aperçue de rien, je pousse ma tête sur le coté pour observer les environs, une branche vient de craquer juste derrière nous, c'est-à-dire jutes derrière ma femme qi semmanche sur moi
Pourquoi priver un amateur de belles fesses qui, de plus, sont enfilées par un beau membre ? ! Alors je relève totalement la robe sur ses reins et je la prends par les hanches et loblige à se décoller de moi sans que ma queue ne séchappe de son ventre afin quil voit tout
Il est là
je laperçois prés de larbre, a moins de dix mètres, Marion ondule sur moi, elle voudrait sexhiber quelle nen ferait pas plus !
- Chéri ?
- Oui mon amour ?
- Les grillons ne chantent plus
- Alors cest surement que nous somment épiés
- Idiot !
- Que ferais tu si un homme nous regardait ?
- Je men fout ! je suis trop bien pour arrêter maintenant
- Tu as raison, continue à tenfoncer sur ma queue, finit-toi
Est-elle vraiment dupe ? Il me semble quelle met plus dardeur à se besogner sur moi, des gémissements de plaisir sortent de sa bouche comme pour se donner en spectacle
- Imagine que cest un autre mec que moi qui est sur ce banc
- Tu veux dire que je serais après baiser avec un inconnu en ce moment ?
- Imagine
que ressens-tu ?
- Il a une grosse bite, elle mélargit toute la chatte
- Enfonce toi bien, jouit sur ses couilles
- Oooooooohhhhh chéri !!! je PAAAAAAARRRRRRRRRS
- Chuuuuuuuuut
- Je jouis chéri et nous somment seuls, décharge MAINTENANT !!!!!
- Je viens
TIIIIEEEEENNNNNNNT
- AAAAAAAAAAAAAAAHHHHOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUIIIIIIII !
Mario est retombée sur moi, sans bouger afin que nous reprenions notre souffle, jespère que notre admirateur est partit car ma femme se met debout
- Tient chéri met ma culotte dans ta poche, je rentre sans !
- Tu vas en avoir plein les cuisses ?
- Et après ? ! si il fait meilleur a la maison tu men remets un ptit coup ??
- Avec joie !
- Dit moi julien
il y avait réellement quelquun ?
- Oui
.
- Mais tu me las dit chéri ! étrangement cela ma dopée de savoir quil pouvait voir ma chatte plantée de ta belle queue
- Avec la pénombre il nas pas dût voir nettement ma bite au fond de ton vagin
- Ah ? dommage, et si nous étions restés il se serait approché ?
- Si je lui avais fais signe je pense que oui, tu aurais aimé te faire toucher ?
- Je ne sais pas
nous voici arrivés vient vite me baiser chéri, prend moi fort
Nous navons pas reparlés de cet épisode jusquau jour où
.
- Julien
- Oui Marion ?
- Où pourrions-nous aller pour recommencer ?
- Recommencer quoi ?
- Eh bien
ce que nous avons fais lautre soir
- Aaaahh ça ta bien plus ! Pourquoi pas au même endroit ?
- C'est-à-dire
je voudrais essayer en plein jour, mais sans quil sapproche !
- Pour ma part je ne serais pas contre, mais je respecte ton choix
.si nous allions sur un parking discret ? tu serais en sécurité dans la voiture et ainsi te ferais ce que tu veux, au fait ? que veux-tu faire exactement ?
- Je voudrais me toucher devant un homme qui se masturberait en me regardant
tu me prends pour une pute non ?
- Loin de moi cette idée ! au contraire, tu réaliserais le fantasme le plus fréquent chez lhomme et notamment chez moi !
- Cest vrai ?
- Nous devrions parler plus longuement des fois !
- Quand tu me fais lamour jai envie de te parler de tout ça mais je nose pas
- Tu me parleras lorsque tu vas te branler devant un inconnu, daccord ?
- Daccord ! on y va quand ?
- Cet aprèm ? tu mets les mêmes vêtements que lautre soir
- C'est-à-dire pas grand-chose ! mais je tiens au string, je ne veux pas tout dévoiler dun coup !
- vicieuse !
- Et si personne ne vient ?
- Je te baiserais moi-même !
Je connais un parking prés dune rivière où viennent des pêcheurs, le temps de faire la route jai mis ma femme en condition en caressant sa minette par-dessus sa petite culote qui sest vite imprégnée de ses sécrétions intimes, je choisis une place abritée des regards entre des arbres, une voiture garée là va certainement attirer lattention alors que des places plus accessibles sont disponibles, deux voitures y sont dailleurs stationnées
Je me penche sur Marion pour lembrasser et lui peloter les seins par le haut de la robe ouvert, elle répond presque brutalement a mon baiser, preuve de son excitation, tout en tournant ma langue dans sa bouche je relève sa robe et manipule le siège afin de le mettre quasiment en couchette, elle écarte les cuisses sans tarder au cas où un admirateur se pointerait
Déçus de ne pas voir quelquun sapprocher jallais mettre ma tête entre ses cuisses lorsquune ombre se profile sur la vitre arrière
- Ça va être à toi de jouer chérie, nous avons un spectateur
- Comment est-il ?
- Attend
muuuuuummmmmm, plutôt pas mal, sil enlève son chapeau à la con et ses bottes je dirais même très acceptable !
- Je suis bloquée, je nose plus, il va me prendre pour une moins que rien
- Chausse tes lunettes de soleil elles vont te protéger, je vais mécarter un peu de toi afin que tes gestes soient libres et bien visibles
- Caresse mes seins pour me donner du courage
- Je vais te téter et faire semblant de ne pas lavoir vu, a toi maintenant
Le pied gauche sur le tableau de bord elle pose sa main entre ses cuisses, dehors des bruissements signalent le déplacement de lhomme, sans hésiter il vient carrément prés de la portière gauche
- Il est là.
- Va-y, touche-toi
- Ma culotte est trempée
- Tu me fais bander salope
Marion passe longuement sa paume a plat sur sa motte avant de se décider à en écarter le fond étroit
linconnu à le front posé sur la vitre, a voir les mouvements de son bras je dirais quil se branle lentement, ses yeux vont éjecter des orbites, il se mord la lèvre inférieure, Marion décide de porter lestocade en enfonçant profondément deux doigts dans sa vulve, elles les retirent entrainant un filet de cyprine et débusque son clitoris pour len tartiner
Ceci fait les doigts tournent autour dans le sens contraire des aiguilles dune montre, son dos sarque, sa tête dodeline de droite a gauche, elle ne fait pas semblant, cette cochonne va jouir devant cet homme qui tape a la vitre et me fait signe de baisser la vitre, je lui signifie que ce nest pas possible
- Que veut-il ?
- Que je lui ouvre
- Fait-le
- Comment ?
- Fait-le, il voit ma chatte, je veux voir sa verge
- Mais il va en profiter pour te toucher ?
- Ça te gênerait chéri ?
- Pas du tout, je tai même dit que cétait mon fantasme
- Alors ouvre la vitre
.
Je remets le contact et appuis sur louverture, à la fois excité et un peu jaloux, cest la première fois quelle va voir la queue dun autre homme en érection et aussi certainement se faire toucher
pour corser le spectacle je fait rouler un téton entre mes doigts, chose quelle fait a chaque fois lorsquelle se touche
- Bonjour, merci, madame est très belle, ses seins sont magnifiques, jadore voir une femme se caresser, cest tellement rare
- Chhhhhhuuuuuut, contente-toi de mater
- Je peux caresser son genou ?
- Si cest simplement son genou, daccord
Il passe un bras et sa tête, son souffle est puissant car de lautre main il se branle énergiquement, ce con va décharger sur ma voiture, Marion le laisse tirer sur son genoux, elle est complètement écartelée, son clitoris na jamais été aussi gros et rouge, passant outre mes ordres la main glisse lentement sur la cuisse de ma femme qui soffre sans aucune gêne elle apprécie cette intrusion, au moment où les doigts atteignent le pubis elle ouvre la bouche pour laisser éclater sa jouissance et presse de toute ses forces sur sa chatte qui expulse un jet visqueux droit devant, arrosant mon tableau de bord, au même instant lhomme beugle comme un veau quon égorge, il vient de juter sur ma portière
- Cétait bon, excusez moi je dois partir, pardon pour la portière
Lhomme disparu nous restons médusés comme deux imbéciles ! Marion reste sur sa faim et moi très déçus de ne pas avoir assisté à des ébats qui auraient pus aller très loin, jen suis certain
- Quel imbécile ce type
- Dommage
- Tu aurais été jusquou chérie ?
- Je ne sais pas, je suis tellement excitée que jaurais tout accepté
- Donc, il aurait pu te baiser, hé bien cest moi qui vais men charger ! descendons, nous serons plus a laise
- Jenlève ma culotte ?
- Bien sûr
- Je vais me mettre a genoux le nez dans lherbe, prend moi sans ménagements, je suis bouillante
- Je te laisse libre dimaginer nimporte quel homme dans ta moule
Le cul en lair, moffrant une vue imprenable sur son intimité poisseuse, jenfonce ma queue dun seul coup de rein, elle pousse un rugissement de satisfaction, mais notre tranquillité est de courte durée, je vois notre voyeur discuter avec un homme et un jeune garçon, ils regardent dans notre direction, pas de doute, il raconte son aventure, ils se séparent
non
je ne le crois pas
lhomme et l se dirigent vers nous
doit-je avertir Marion ? Elle va être énervée de stopper une seconde fois son besoin de jouissance
Plus jobserve, plus je trouve que ce gamin a une drôle de démarche
mais cest bien sûr ! ce nest pas un mais un nain !
.
Je nen crois pas mes yeux lorsque je vois la taille de la verge du petit homme, elle parait énorme par rapport a sa taille, il me la montre fièrement en la soupesant dans sa paume, il est clair que de toute façon elle est plus grosse que la mienne et que celle de son pote, il me fait nettement comprendre quil aimerait bien baiser ma compagne, je dois prendre rapidement une décision
- Approche
- A qui parles-tu chéri ?
- A ton futur amant
- QUOI ? QUI ? tu veux me faire baiser ?
- Ce nest pas ce que tu désire au fond de toi-même ? soit honnête ?
- Oui julien, javoue, jaimerais sentir un inconnu en moi, ça ne mempêchera pas de continuer à taimer a la folie
- Comment vois-tu cet homme ? grand ? brun ? bien monté ?
- Peu importe, je veux connaitre linterdit
ceci dit un beau membre ne me conviendrais bien !
- Alors tu vas être satisfaite, ne cherche pas a voir cet amant, celui qui attend que je me retire de ta chatte est exactement comme tu le souhaites, vas-y, prend ma place petit
- Ce nest pas un tout de même ?
- Quand je dis petit cest une façon de parler, tu comprendras quand tu seras enfilée et que vous aurez jouis tous les deux, à présent baise ma femme, elle est prête, sois fier tu es son premier amant
- Merci monsieur
baissez un peu votre postérieur madame, je ne suis pas a la bonne hauteur
- Comment ça pas a la bonne hauteur ???...
- Je suis trop bas
- Je ne comprends rien... Et là ça va mieux ?
- Impec, merci !
Le petit homme arque son gros ventre en avant et repousse les lèvres rougies par lafflux de sang de son orgasme avec son champignon violacé, sans doute surprise par la grosseur de lengin Marion relève la tête pour se retrouver face à un autre gland, celui de lhomme agenouillé devant elle
- Chéri ! Combien sont-ils ?
- Deux
- Et je suppose que je dois sucer ce monsieur pendant que je me fais bourrer par
je ne sais pas qui dailleurs !
- Un nain chérie, un nain
- Un nain ?? avec un aussi gros membre ?
- Hé oui, cest courant chez eux
- Tout de même, deux hommes dun coup ! tu es devenu fou Julien ?
- Ça va nous faire des souvenirs, crois moi nos rapports sexuelles vont se décupler
- Oooooooohhhhh julien ! je suis défoncée par ce nain ! mon dieu, il est énorme et vigoureux
- Avale la queue qui se présente a ta bouche et apprécie, ainsi pénétrée par les deux bouts tu te transforme en cochonne de lait au tourne broche ! tu es belle mon amour quand tu te démène ainsi sur deux bittes, si tu voyais ta chatte éclatée, je suis certain que tu lapprécie plus que la mienne
- Huuuuuummmmmhhhuuuuuummmmmm !
- Elle bave de plaisir votre femme, je lui enfonce jusquaux amygdales !
- Ne la faites pas vomir !
Jamais je nai vu Marion onduler de la croupe avec autant de ferveur, pour ne pas partir a la renverse le petit homme sarque-boute lorsquelle ramène violement son cul sur son ventre rond, cest irréaliste de vois ce drôle de tandem, que dis-je ce drôle de trio ! Ma femme est brouettée davant en arrière, ses seins dansent au gré de laccouplement plutôt énergique
Ses doigts boudinés sont crispés sur les poignées damour tout le temps quil met à décharger en elle, du sperme déborde des lèvres disjointes, simultanément celle quelle suce se déverse dans son palais, elle ne peux quaccepter car il lui maintient la tête rivée a son pubis, là aussi du foutre coule aux commissures de ses lèvres,
Dommage que je nai pas mon caméscope afin dimmortaliser cet instant inoubliable, quand je la baiserais a mon tour je lui raconterais en détails ce que jai mémorisé, elle me dira combien ce membre inattendu lui a fait du bien en lui ramonant sa cramouille, et certainement dans quelques jours me demandera-t-elle quand recommencerons nous et avec qui ???
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