Mes Débuts - Partie 2

Mieux vaut lire le chapitre précédent pour mieux comprendre ce qui m'arrive ! Bonne lecture les coquins ;)

« S'il te plait ne le montre à personne.. Je ferai tout ce que tu veux ! »

Sur le coup, je ne m'étais pas rendue compte du sens que pouvait prendre ce que je venais de dire. Je venais de dire à Thomas, le mec qui m'avait surprise en train de sucer mon copain aux toilettes, et qui avait une preuve, mon soutien-gorge, que je ferais tout ce qu'il voulait... Un sourire sournois et pervers se dessina sur son visage :

« Ooooh oui, tout ce que je veux ? C'est marrant y'a bien un truc dont j'ai particulièrement envie là tout de suite...
-Non, pas ça, je suis en couple je peux pas...
-C'est dommage... Je vais être obligé de raconter à tout le monde ce que j'ai vu, et même de te faire virer du lycée... »

J'avais en réalité fantasmé sur ce mec depuis que j'étais au lycée, et c'était lui qui me faisait chanter maintenant... Eh bien je ne pouvais ni me permettre d'être virée, ni d'avoir une réputation de salope. Alors peut-être que je pourrais prendre du plaisir à subir son chantage, qui sait... Toutefois j'espérais quand même de la clémence de sa part, et je le regardai en faisant une tête de chien battu.

« Bon très bien, je vais voir mes potes, tu sais les meufs qui balancent tout ce qu'elles savent ! »

Bon... Je n'avais pas vraiment le choix... J'étais résignée et puis peut-être que si je me montrais moi aussi entreprenante il serait moins dur et me faire chanter moins sévèrement ? Nous étions à l'entrée d'une petite ruelle à côté du bahut, où personne n'allait jamais. Je collai mon corps au sien en veillant à ce que personne ne nous observe et lui susurrai à l'oreille tout en indiquant la ruelle de la tête :

« T'es pas obligé d'en arriver là, on peut peut-être trouver une solution à notre problème... »

Son sourire s'agrandit subitement : j'avais touché dans le mille.

Me prenant par la main, il m'entraîna dans la ruelle et s'arrêta dans un recoin. Au fond, la seule chose donc j'avais vraiment peur, c'était de perdre ma virginité ici, dans une vulgaire ruelle... Il fallait que je sois vraiment très très persuasive pour éviter ça ! Je le plaquai sans prévenir contre un mur et ma main droite trouva vite son chemin dans son caleçon. Sa bite était déjà bien dure, et tant mieux, ça n'en serait que plus vite fini. Car il fallait que je finisse vite : il devait jouir avant de vouloir me prendre sinon je me ferais déflorer ici...

Me mettant à genou, je lui baissai son short et son caleçon, dévoilant son engin, qui faisait à peu près la même taille que celle de mon copain. Je devais me lancer – même si, pour une petite pucelle comme moi, sucer deux bites dans la même journée était assez bizarre, je me disais que ça me ferait de l'expérience ! Je commençai donc à lui lécher le gland et les couilles – et elles étaient bien grosses et lourdes. Cependant, il semblait bien plus impatient que mon copain, et ne tarda pas à me mettre les mains sur la tête. Dans mon souhait de ne pas le contrarier – et il faut le dire étant de plus en plus excitée – je me laissai faire et pris sa bite en bouche, commençant à lui donner des coups de langue, exactement comme je l'avais fait plus tôt dans la journée. Il me fit alors faire des va et viens en poussant fort sur ma tête pour aller assez profondément. Cependant, mon manque d'expérience faisait que je savais pas très bien faire une gorge profonde, et il décida de me donner un coup de main (ou plus précisément un coup de bite) : il se mit à avancer puis à reculer le bassin, comme s'il me baisait la bouche. J'avais l'impression que ma gorge se remplissait de sa bite, et cette fois j'atteignais quasiment la base ! Pourtant je sentais pouvoir aller plus loin et je prenais tellement de plaisir... C'est ce jour-là que j'ai découvert mes prédispositions à la gorge profonde.

Cette découverte m'apporta une vague de confiance en moi et je le devançai, je fis de moi-même les va-et-viens sans oublier de donner des coups de langue.
Parfois, il se bloquait au fond de ma gorge pendant un petit moment pour tester mes capacités, puis la ressortait de ma bouche : sa bite était alors recouverte de salive. Il la rentrait immédiatement dans ma bouche et recommençait. Ce n'était pas mon copain, il me faisait chanter, mais il était tellement sexy et putain ce que j'aimais être dominée comme ça ! Au bout d'un moment, il sortit et ne sembla pas vouloir rentrer. Je compris : il voulait en arrêter là avec pipe, ce qui voulait dire qu'il voudrait me prendre... Paniquée, je recommençai à le sucer, plus vite et toujours aussi profondément, jusqu'à m'. Ca devait être trop bon parce qu'il n'essaya pas de m'arrêter, poussant des gémissements de plus en plus forts, et finit par reprendre ma tête entre ses mains pour s'enfoncer au plus profond et m'empêcher de me retirer. Je compris alors : des jets chauds heurtaient le fond de ma gorge, et contrairement à mon copain, il avait beaucoup de sperme. Il n'avait pas du se vider les couilles depuis longtemps. Son foutre me dégoulinait dans la gorge, et comme il ne se retirait pas tout en gémissant, je n'avais d'autre choix que d'avaler son sperme. Et finalement... C'était pas mauvais. C'était pas bon non plus, en fait ça n'avait presque pas de goût, juste un petit peu salé... Mais sentir ce liquide chaud couler dans ma gorge, c'était une sensation bien trop bonne et je regrettai de ne pas l'avoir fait à mon copain ! Il finit par se retirer et je pris une grande inspiration, comme si j'avais failli me noyer.

« Putain tu suces vraiment comme une déesse on dirait que t'as fait ça toute ta vie ! »

Le compliment me faisait plaisir finalement ! Moi, la petite pucelle, suçais sûrement mieux que la plupart des filles qui en avaient l'habitude. Je me relevai et, m'essuyant la bouche avec un mouchoir, commençai à partir. Il n'était pas de cet avis. Il me plaqua dos au mur, et sa main entra sans attendre dans mon string.

« Oh tu crois aller où là, tu penses vraiment que je veux m'en arrêter là ? »

J'aurais voulu parler, mais avant d'avoir pu dire le moindre mot il m'enfonça un doigt : j'avais pu ouvrir la bouche mais seul un gémissement de plaisir avait pu en sortir.
Il en profita pour m'embrasser, sa langue visitant ma bouche comme si je lui appartenais. Son pouce jouait avec mon clitoris tandis que deux de ses doigts rentraient dans ma chatte, et je n'étais plus capable de lui refuser quoi que ce soit pour le moment... Une vague de chaleur me prit, et comme s'il l'avait compris, il me retira mon débardeur de sa main libre, laissant au grand air mes seins. Il les observa d'abord, bouche bée : ce qu'il voyait lui faisait sans aucun doute beaaaaucoup d'effet. Il intensifia son jeu de doigts tout en suçant mes tétons, alors que je me cabrais de plaisir contre le mur. Il en voulait le con, et je crois qu'à ce moment-là je commençais à en vouloir tout autant ! Ses doigts entraient et ressortaient de ma chatte tellement vite qu'on pouvait les entendre, avec ma mouille qui devenait abondante sur ses mains. Après une dizaine de minutes à ce rythme effréné, je ressentis à nouveau la vague me submerger : c'était l'orgasme. Je fus secouée de spasmes et de tremblements, libérant encore plus de mouille. Mon short était trempé, on voyait sûrement largement la trace... Mais peu m'importait tant les sensations que je venais de vivre étaient fortes. Je m'affalai contre le mur et il dut me retenir pour que je ne finisse pas le cul au sol.

« Fatiguée ? C'est dommage, j'en ai pas fini avec toi ma petite salope...
-Non attends s'il te plait...
-Tu as oublié mon moyen de pression ? Ca vaut encore, et j'en ai pas du tout fini pour aujourd'hui crois moi. Soit je te prends, soit tout le monde sait. A toi de voir. »

Bon, mes tentatives n'avaient pas marché pour l'empêcher de me baiser ici... J'étais chaude, j'avais envie de lui... Mais je ne pouvais pas m'y résoudre. Je devais négocier.

« Tu sais, je l'ai jamais fait, je veux pas faire ma première fois ici, s'il te plait...
-Je m'en fous complètement de ça, c'est pas vraiment toi qui décides là.
-Bon... Ecoute mes parents sont pas là pendant tout le week end, viens chez moi et on fera tout ce que tu veux faire, c'est promis.

-Tout ce que je veux faire ? Très bien, je retiens. Prépare toi au week end le plus torride de ta vie. Mais on va pas faire ça chez toi, on va faire ça chez moi. Reste ici, je vais chercher ma voiture, on va éviter de sortir tous les deux ensemble de la ruelle. Surtout avec toi dans cet état... »

Il sortit de la ruelle. Voulant me rhabiller, je me rendis compte qu'il avait gardé mon débardeur... Il revint au bout de quelques minutes et klaxonna. Je m'approchai de la voiture. Il avait ouvert la porte passager mais ne s'était pas collé à l'entrée de la ruelle, il y avait bien quelques mètres : je devais les parcourir seins nus sans que personne me voit. Je ne sais par quel miracle je parvins à ne pas être vue mais j'y parvins et je m'assis sur le siège passager. Ainsi j'étais montée dans la voiture de mon maître chanteur qui me promettait, pour mon dépucelage, un week end torride... Et en fait, je n'attendais que ça. J'étais sa petite salope et putain j'aimais ça.

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