Une Première Plutôt Hype

Lui, il est bien. La fille vient tout juste de quitter l’appart. Il reste debout dans sa pleinitude, sa tasse de café à la main. Les muscles de son ventre petit à petit se relâchent.
Il sent entre ses fesses couler ses humeurs mêlées à la crème glycéro-vaselineuse.
Il y passe la main, les doigts et l'endroit est tapissé du fluide glissant.
Cette copine est partie tôt à son boulot mais elle a laissé souvenir, sacré bon souvenir.

Étonnante découverte d’un jeu sexuel nouveau qu'il n'imaginait pas ou à peine et qu’en tous cas, il n'avait jusqu’alors jamais expérimenté.

La copine en question, ça faisait quoi une quinzaine qu'il l'avait amenée chez lui pour la première fois et depuis elle avait passé pratiquement une nuit sur deux avec lui et ils avaient chaque fois longuement et tendrement fait l'amour avant de s'endormir dans les bras l'un de l'autre, d'un sommeil réparateur jusqu'au matin.

Mais ce soir-là, pendant qu'ils dînaient dans le petit resto à prix fixe où il avait ses habitudes, en bas de chez lui, elle lui a dit en se penchant par dessus la table, aujourd'hui je suis indisposée.
Elle a ajouté, il n'y a pas que la baise dans la vie, non ? Et puis on peut s'amuser aussi avant de s'endormir l'un contre l'autre.
Mais c'est sûr que si je ne m'éclate pas, ce serait sympa que toi aussi tu t'abstiennes.

Après leurs douches elle est arrivée en culotte et s'est glissée dans le lit contre lui, encore un peu humide, mal séchée.
Lui se sentait frustré de voir la chose qui l'intéressait ainsi emballée, surtout que la dite culotte n'avait rien d'un string émoustillant. C'était une grande culotte épaisse, opaque, blanche qui emboîtait les fesses bas, chastement. Enfin, il trouvait qu'elle était quand même bien attirante avec cette touffe devant qui gonflait l'étoffe et derrière ces jolies fesses rebondies qui tendaient les élastiques.

Il avait connu des femmes que cette période de leur cycle rendait très amoureuses, presque affamées de sexe.

Mais manifestement ce n'était pas le cas de cette fille-là.
Nature différente…

Néanmoins, elle a entrepris de le caresser doucement des doigts, des paumes, de la bouche. Elle mordillait ses tétons en les aspirant, elle mordait carrément ses épaules et ses mains passaient partout, sur ses cuisses sur son ventre.

Elle lui dit, surtout calme toi si tu veux profiter de ma bouche. Ma bouche est petite et ta bite bien grosse. Alors fais effort de volonté si tu veux que je puisse te prendre entre mes lèvres contre mon palais à ma glotte et plus loin encore. Ne bande pas.

Lui bandait comme un âne et se voyait difficilement s'apaiser par simple autosuggestion.
Mais elle a su attendre, simplement blottie la tête à son épaule, que le bitos ait repris allure normale, standard.

Elle a dit maintenant tiens-toi et s'est tue, elle avait la bouche pleine de lui. Le gland décapuchonné était au creux derrière les lèvres derrière les dents et elle est restée ainsi longtemps, le pressant de la langue contre son palais.
Lui faisait efforts de décontraction pour rester souple et modeste et ne pas l'.

Quand elle a entrepris la caresse fellatrice, aspirant la tige au fin fond de sa gorge et déglutissant en rythme lent, il a pensé jamais je ne saurai me maîtriser. Mais elle tenait ses hanches, agenouillée entre ses cuisses et de la pression de ses mains l'exhortait à rester calme.
Il a empaumé les fesses emballées dans la grande culotte Sloggi et s'est ef de retenir les flots de sang qui descendaient à sa bite pour la faire gonfler.

Elle a senti, tôt, la montée du plaisir, frémissement de la tige arquée, suintement du méat contre ses amygdales. Elle a interrompu la caresse en relevant la tête de dessus le ventre tendu, abdominaux contractés, du garçon.

Elle a ri, elle a dit, n'espère pas ce soir gicler dans ma gorge, n'espère pas gicler du tout. Ce soir cette nuit, c'est abstinence pour tous les deux, mais tu sais, c'est super bon quand même.


Lui, rendait la monnaie en caressant sa taille ses épaules, en suçant ses aréoles roses et le petit téton tendre. Il s'aventurait en haut des cuisses, des deux paumes, mais avait renoncé à aller plus haut, à toucher l'étoffe blanche comme barrière sacrée, à glisser ses doigts sous l'élastique. Il respectait.

Elle a sorti son buste hors du lit, s'est penchée pour attr son sac à main et en a sorti une fiole. Il suivait ses gestes, intrigué, dans l'obscure clarté de la chambre ouverte sur les lumières de la ville.

Elle lui dit, fais moi confiance, laisse aller. Viens, assied toi sur le polochon adossé au mur et laisse moi faire. Elle avait posé sa fiole prés d'elle et, à genoux devant lui, elle passait ses deux mains sur l'intérieur des cuisses, lui soulevant les roupes, et ainsi plusieurs fois de suite. Lui, se concentrait, zen, pour ne pas bander. Il avait ouvert ses cuisses en position de Lotus, pour mieux se décontracter.

Elle a ouvert la fiole et a fait gicler sur le bout de ses doigts une noix de gel clair. Et puis elle est venue à lui, badigeonnant doucement d'une main la porte étroite tout en relevant le sac à couilles de l'autre.
Il fut surpris par le geste mais aussi par la fraîcheur de l'onction.

Elle restait ainsi immobile à genoux devant le garçon, la main en coque entre ses cuisses et le charnu de l'auriculaire posé, juste posé sur le soleil fermé.
De son bras libre, elle l'a pris par les épaules et ses lèvres sont venues aux siennes pour un baiser.

Elle a chuchoté à son oreille, viens, pousse, laisse aller.

Et le lent sésame a doucement accepté la première phalange du petit doigt puis très vite celui-ci tout entier, comme aspiré par le muscle annulaire entre-ouvert.
Leur baiser était devenu plus violent, plus sensuel, plus sexuel.
Moins tendre.

Ils sont restés longtemps ainsi, puis elle a voulu se libérer et là encore le mouvement a été lent, comme si le ventre se refusait à laisser repartir son visiteur.

Puis, d'un coup, le doigt est ressorti, poussé par le muscle puissant resserré en réflexe.

De sa main, encore mouillée de gel, elle a caressé le paquet, barbouillant le scrotum contracté.
Elle ne parlait pas, lui non plus.
Elle est revenue à sa fiole et à nouveau a déposé sur les extrémités des trois doigts de sa main droite une belle giclée de produit.

Lui savait ce qui allait advenir. Il était consentant et a ouvert un peu plus les cuisses et a avancé un peu plus le bassin.
Elle a passé repassé les doigts pour bien badigeonner en poussant du charnu pour faire pénétrer le produit au centre.

Elle s'est penchée un peu en arrière pour le regarder et a présenté l'annulaire, là encore juste posé, léger, sans volonté affichée, que de saluer.
Les yeux de la fille étaient plantés dans ceux du garçon et elle guettait la complicité, la connivence. Le désir de partage.

Le mouvement a été le même, de longue décontraction et de pénétration du doigt de l'une dans le ventre de l'autre. Et le sourire de chacun l'un à l'autre pour dire, on est ensemble et on découvre des choses.
Enfin, c'est surtout le garçon qui se sentait initié à des sensations nouvelles. La fille, elle avait plutôt attitude d'initiatrice. Mais c'était sympa quand même.

L'annulaire emplissait le long sphincter et on sentait qu'il y était à son affaire. Le gel lubrifiant onctueux rendait les mouvements faciles. La main allait et venait faisant coulisser le doigt dans le fourreau étroit.
Étonnamment il ne bandait pas mais regardait, alangui, la fille. Il pensait mon plaisir est étrange, il n'est pas vraiment d'excitation sexuelle mais juste de bien-être sous la caresse.

Elle n'a pas accéléré le rythme mais au contraire a assagi le mouvement, ressortant facilement le doigt de la cavité et massant doucement la rondelle devenue souple, molle, accueillante, profonde. Après long temps de caresses du sacrum au scrotum, le long de la raie velue et du fin périnée en passant, chaque fois, sur l'anus dégorgeant, elle a posé sa tête sur l'épaule du garçon et a dit, voilà, c'est maintenant.


Il était étonné, elle a dit, va ne dis rien et viens-t-en t'abandonner.
Il a fallu qu'il mette le nez dans le polochon, à quatre pattes, les fesses levées. Elle était derrière et a vidé le flacon de gel sur le haut de sa raie. Le liquide épais a coulé vers son cul cambré. Après tant d'exercice l'anneau était, sinon ouvert du moins bien entrebâillé. Elle y a poussé de ses doigts le gel pour l'y faire entrer.

Le garçon cambrait, levait, pour mieux recevoir et mieux se faire emplir. Aussi il se décontractait et poussait pour encore plus s'ouvrir.

Elle est restée coite et, à genoux derrière lui, elle a envoyé sa main, son doigt, le majeur au plein fond de son intimité. Concave charnu côté ventre en bas, convexe côté fesses, en haut.
Après un tour de visite conviviale aux multiples villosités, le charnu du grand doigt s'est appuyé sur le dur derrière la bite, par l'intérieur. Prostate. Ne savait pas, le garçon, que cette caresse procurait un tel plaisir, fulgurant, inoubliable.
La fille, elle, le savait et prenait son pied à passer repasser sur le dur de la glande en forçant l'appui pour faire monter le plaisir.

Plaisir étrange et rare. Mais peu sexuel, ce plaisir-là ne le faisait pas bander.

Elle est venue et revenue et lui cambrait haut les reins pour mieux la recevoir.

Elle a dit, maintenant le moment est venu de me prendre blottie dans tes bras et de dormir. Mais auparavant je vais te faire un cadeau.
Et à nouveau elle a extrait son buste du lit pour quérir dans son sac une pochette.
De cette pochette elle a extrait une quille de bois. Une quille avec un corps allongé rond et une grosse boule en guise de tête.

Elle a dit, avec cet outil dans les tripes, quand tu marches, t'as la boule qui pousse là où il faut et t'en peux plus de bonheur.
Pourquoi, crois-tu que tous ces mecs font du jogging ?

Elle a posé la quille sur la table de nuit et ils se sont endormis dans les bras l'un de l'autre du sommeil du juste.



Au matin, il a fait le café et dressé la table avec les biscottes le beurre et la confiture. Quand elle est partie, elle l'a bisé du coin des lèvres. Lui prendrait son job plus tard.

Il reste debout, le regard flou, l'esprit concentré sur lui-même et le bien-être de l'après.

Il s'accroupit et y passe la main. Sa rondelle est ouverte et dégorge d'humeurs gluantes. Il y met un doigt, facilement, il y met l'index en suivant. Son fion se fait accueillant, s'ouvre, pousse.
Il s'inonde. Il ne sait si ces gluances fluides viennent de lui ou bien sont venues d'ailleurs.

Il visite des deux doigts son intimité. Il pense, l'endroit est sympa.

Il pense, faudrait aussi que l'on apprécie le scrotum strié par dessus. Sa main le flatte, remontant sous lui les viscosités et la caresse fait bon effet. Surtout sur les peaux fines entre deux.

Il empaume le paquet, assagi, et voudrait tout recommencer.

Sa copine est partie mais il sait qu'il n'a besoin de personne pour vivre à nouveau son nirvâna sans aide extérieure.

Il s'assied. Il est nu sauf un tee-shirt. Il passe ses doigts à sa bouche et y dépose un gros glaviot de salive claire. Sa main file entre ses jambes et barbouille ses fesses, cuisses levées, hautes.

Ses doigts découvrent l'orifice anal palpitant et l'un d'entre eux le visite, profondément.
Ses humeurs mêlées à sa salive font bon accueil au majeur inquisiteur.
Le doigt visite l'ampoule rectale et caresse les villosités tout du tour. Le doigt, la main viennent retour au visage qui hume, renifle. C'est bon, enfin ça va, rien à redire les odeurs de cul sont douces et chaleureuses.

Il est content et pense que ce pourrait être ainsi tous les matins. Suffirait d'avoir cette copine chez lui chaque nuit. Faut voir...

Son doigt est plongé en lui, fait corps avec lui et il pense tout va bien, reste ainsi et profite.
Il pense à la quille sur la table de nuit. Il s'interroge sur le sens dans lequel l'enfiler, la boule, énorme, d'abord ou bien au contraire enfiler en premier la partie effilée ?
Il décide que la boule qui fait tête sera la dernière à entrer et fera office de verrou pour éviter que la quille ne ressorte, impromptue.

Son fion l'avale, elle disparaît facilement en lui procurant un plaisir nouveau d’intimité de lui-même avec lui-même. Mais la boule de la quille coince et reste bloquée. Alors de sa main il pèse dessus. Le plaisir est puissant, il sent ses chairs s’ouvrir et accepter cette tête large ronde grosse qui le distend. Et puis qui passe lentement le long couloir de son sphincter. Quand elle est passée la tension retombe et il se sent bien. Il pense ressortira-t-elle un jour, pourra-t-elle ressortir ?

Il s'assied, l'objet en lui fait présence. Il passe ses doigts sur ses fesses mouillées, glissantes. Il pense, si maintenant on veut m'enculer, on trouvera place prise. Et son cul s'ouvre à cette idée, à cette pensée.
La vie est opportunités multiples et il se dit, mon doigt s'immisce dans les viscosités de mon cul en faisant moultes félicités.
Il pense, ce serait sympa que plein d'amis y viennent aussi décharger au fond de moi leur trop plein d'amitié.
Son cul, ses intérieurs, vibrent de l’objet de bois qu’il y a introduit.

Il passe sa main à sa bouche et crache puissamment et s’enduit le scrotum de salive;
Et ses doigts descendent au cul et le majeur entre à nouveau profondément

Il remonte la main à son nez et se rassure, l’odeur est bonne et il bande.

Alors il prend sa tige à deux mains et la branle doucement. Ses paumes gluantes caressent le gland nu en aller-retours tirant la peau du prépuce très en arrière. Très vite le méat crache et il se sent vivre, exister dans le matin.

Il continue ses mouvements enduisant la colonne de chair tendue du liquide doux et chaud qui rajoute encore plus d'onctuosité à la caresse. La tige reste tendue malgré l'apaisement. Sa main gauche reste crispée sur l'extrémité qui continue de hoqueter en dégorgeant le jus laiteux. Sa main droite empaume les couilles serrées dans leur sac contracté et il serre encore plus fort.

Le bout du majeur vient glisser sur le périnée et s'appuyer sur la rondelle close. Il reste ainsi sans bouger. Puis il sent le sphincter s'ouvrir doucement et avaler la première phalange.
Le doigt rencontre l'objet de bois, le touche, en découvre les contours puis le pousse plus haut plus loin plus profond.
La quille aux formes arrondies monte en lui et il la sent, présente, vivante, qui l'emplit.

La main revient à la tige et en serre la base en remontant pour extraire les dernières gouttes de l'urètre. La tige s'est assouplie et le gland est presque douloureux.
Il passe à la douche, s'habille et file à son boulot. Il a oublié l'objet de bois qui l'habite. Celui-ci est haut en lui et il ne le sent plus, ni en marchant ni en s'asseyant.

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