La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 449)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°442 -
Monsieur le Marquis dEvans vient de laisser Sir Senav en compagnie de sa soumise Dosile quil a, quelques minutes plus tôt, recouverte de bougie fondue colorée, dessinant sur le corps de la belle plantureuse excitée ce que le Châtelain a comparé à une toile impressionniste avec les multiples taches bariolées ou coulures de cire. Tandis que le Noble séloigne pour continuer à faire le tour de ses invités, le Dominant a commencé à détacher sa Dosile, si docile, car il se doute que ses muscles maintenus en tension par les liens dans une position contraignante, et ce pendant un assez long moment, ont dû commencer à devenir plus quendoloris. Il avait vu que sa soumise, qui est malgré tout habituée à supporter les exigences du Maître, avait commencé à se mordre les lèvres pour endurer, nosant ni se plaindre, ni parler avant dy avoir été invité, et il ne souhaite pas aller au-delà de ce qui peut lui être supportable physiquement.
Après avoir détaché les jambes et les bras de Dosile, Sir Senav, Maître adulé par son esclave, lui fait plier un peu plus les jambes vers lavant pour la courber. Il dégrafe la ceinture de son pantalon, dont il ouvre la braguette, puis baisse légèrement son boxer doù sort immédiatement avec force un membre déjà bien gonflé qui ne demande quà trouver un fourreau soyeux pour venir se lover et y jouir de plaisir. Dune main délicate, il retire la cire qui se trouve sur la chatte glabre de lesclave qui frémit encore de la jouissance quelle vient de savourer, et dont le plaisir redouble lorsquelle sent les doigts du Dominant venir se faufiler entre ses lèvres intimes quil cherche à nettoyer ne voulant pas prendre le risque de la pénétrer alors quelle est encore pleine de bougie qui pourrait sinfiltrer plus profondément dans le vagin et provoquer une infection. Sir Senav sactive car il est depuis plusieurs minutes très excité à lidée de prendre possession de son esclave après avoir pris le temps de léchauffer sensuellement avec deux godes vibrants dans les deux orifices anal et vaginal et lui avoir réchauffé tout le corps quil enduisait de cire tiède.
- Ma docile Dosile, tu as bien joui tout à lheure parce que je lai bien voulu, pour le plaisir de te voir te tendre et te tordre de plaisirs dans tes liens, mais cest à mon tour maintenant
et rien ne dit que je te laisserai encore grimper au septième ciel, alors tâche de retenir et de toffrir à moi pour mon seul plaisir. Tu mas bien entendu ?
- Oui, Maître Adulé, je vous ai parfaitement entendu. Je vous appartiens et mes plaisirs ne sont que ceux que vous autorisez. Je le sais bien. Ce sera toujours quand vous le voudrez et vous le déciderez pour moi. Cela ne change pas !
- Je sais bien que tu le sais depuis ces nombreuses années passées à mes pieds. Je sais bien que cela na pas changé et que cela nest pas prêt de changer entre nous, car je pense que ni moi, ni toi dailleurs, navons envie que cela change dans notre relation. Mais jaime bien tentendre me dire encore et encore que ton corps mappartient et que tes plaisirs de dépendent que de mon bon vouloir de Dominant qui a tous les pouvoirs sur toi que tu mas consentis de ton plein grè.
Tandis quil parle, Sir Senav approche son gland turgescent de la caverne onctueuse quil pénètre avec une grande facilité. Il se penche sur le corps de son amante-soumise pour pouvoir la ramoner encore plus profondément, tandis quelle enlace son buste musclé de ses jambes pour soffrir encore plus et ne faire plus quun seul corps ondulant au rythme imposé par le Dominant, qui à chaque coup de butoir vient pourfendre celle qui se met à haleter comme une petite chienne avec des « ah, ah, ah » de plus en plus forts qui trahissent son excitation grandissante. Dosile pour endiguer une nouvelle montée de plaisirs dans son corps devenu si sensible et si réactif, se concentre sur le plaisir phallique du Maître auquel elle appartient et qui est en train de la besogner, contractant ses muscles internes sur la queue raide qui sengouffre avec de plus en plus de vigueur bestiale. Sir Senav att les jambes de sa soumise et les relève pour pouvoir les poser sur ses épaules car la position dite de lenclume lui permet de la pénétrer plus en profondeur et de marquer ainsi son emprise de mâle phallique sur sa soumise réceptacle qui souvre et soffre encore plus au Dominant-Mâle qui a pris possession de son corps et à lHomme-Amant qui a pris possession de son cur.
Dosile a bien du mal à retenir le plaisir qui la déborde et ceci dautant plus quelle sent que Sir Senav est proche à son tour de linstant suprême où il va pouvoir éjaculer et libérer sa chaude semence. Elle veut pourtant tenir bon et lui offrir ce quil exige delle lorsquil ne lautorise pas à jouir, à la fois pour marquer son pouvoir de Dominant, mais également pour quelle apprenne dans un vrai don de soi à se concentrer sur le plaisir de lAutre au lieu de se laisser emporter en égoïste par son propre plaisir physique non contrôlé. Cest donc dans un grand râle de mâle en rut que Sir Senav déverse dans lantre damour de sa belle esclave son précieux nectar par de grands coups profonds et puissants. Dosile est presque en transe tremblant de tout son corps se contractant tant quelle peut pour ne pas hurler en libérant une nouvelle fois sa jouissance, ce que le Maître Adulé na pas autorisé cette fois. Elle sent son corps frustré physiquement davoir été sollicité ardemment sans pouvoir en libérer la tension qui la à nouveau envahi, mais dun autre côté, elle se sent dans une vraie plénitude desprit de savoir quelle a respecté les ordres de celui qui est devenu pour elle toute sa vie. Sir Senav a gardé sa queue qui commence déjà à se ramollir encore enfouie dans la vulve de celle quil vient de baiser voluptueusement. Il sest carrément laisser choir sur le ventre arrondi de sa soumise le temps de reprendre ses esprits et de profiter de ce moment dapaisement qui suit lorgasme. Il se penche encore plus sur Dosile, lui défait le bandeau quelle avait sur les yeux, lui sourit tendrement et lembrasse à pleine bouche, faisant pénétrer maintenant sa langue entre les lèvres de sa soumise, tandis quil retire doucement son sexe de ses autres lèvres plus intimes.
- Ma Dosile chérie, jaime te savoir à moi, toute à moi, jouissant dun simple « maintenant » quand je le décide pour toi et ne pouvant te libérer dans lacmé de lorgasme si telle est ma volonté de Dominant qui à tous pouvoirs sur toi, car telle est aussi ta volonté desclave-soumise à mes pieds.
Après un temps de pause et quelques soupirs de pure extase, lHomme ré-joui continue.
- Es-tu heureuse ?
- Oui, bien sûr, Maître Adulé. En doutez-vous ? Je suis très heureuse de pouvoir depuis bientôt 10 ans être à vous, être à la fois votre esclave-soumise et votre épouse. Il ny a pas eu un seul jour de cette dernière décennie où jai regretté mon choix de désirer vous appartenir et partager votre vie. La seule chose que je pourrai regretter, cest le destin nait pas permis à nos routes de se croiser plus tôt et que je nai pu devenir la mère de vos s si vous laviez également désiré.
Sir Senav sourit largement à sa bien-aimée la regardant dans les yeux tandis quil lui caresse le visage.
- Tu sais à quel point, jai besoin de te savoir heureuse à mes pieds, même si jai cet impérieux besoin de te Maîtriser et de marquer ma Dominance de toutes les manières possibles. Je voulais juste dans ma question te demander si tu étais heureuse même lorsque je ne te donne pas lautorisation de jouir en même temps que moi, comme ce fut le cas à linstant.
- Maître Adulé, vous savez bien que votre plaisir passe avant le mien, car le mien découle avant tout du plaisir que vous prenez et en particulier de celui que je peux vous offrir. Mon corps certes a des basiques réactions charnelles humaines, et il aurait bien réclamé un orgasme pour libérer la tension qui avait envahi mon bas-ventre tandis que vous me ramoniez tout à votre aise profondément. Mais mon esprit en osmose avec vous a ressenti une autre forme de plaisir plus intellectuel et moins charnel, de savoir que je restais concentrée sur vos gestes, vos pénétrations, votre respiration, votre jouissance tout autant que sur mes obligations desclave-soumise D/s qui ne cherche quà vous obéir et vous satisfaire, car là est son bonheur.
Se penchant à nouveau pour lembrasser voluptueusement et presque la dévorer de ce baiser langoureux, il lui sourit tendrement, ce qui exprime encore mieux son ravissement de Maître Dominant.
- Je tadore ma Dosile, tu es une merveilleuse soumise et je suis très fier de toi. Je crois quil est temps pour nous deux de regagner notre chambre pour le peu qui nous reste à passer de la nuit. Tu as surtout besoin de te débarrasser de toute cette cire que jai « peinte » ton corps et tant pis pour la toile de « Maître » impressionniste que je vais sacrifier, jai à la place mon étoile pour un Maître impressionné.
Sir Venas fait signe à la chienne-femelle N°10MDE qui était restée pendant tout ce temps-là sur le côté, immobile et à genoux, pour quelle sapproche et vienne sans tarder lui nettoyer la queue encore maculée de foutre et de cyprine mêlés. Une fois le vit redevenu propre, il range son attribut phallique apaisé à lintérieur et referme sa braguette, tandis quil demande à la chienne N°10MDE daider Dosile à se débarrasser de toutes les traces de cire qui sont collées sur tout son corps. Très galamment, le Dominant séloigne pour aller vers le bar chercher deux coupes de champagne pour son épouse et lui-même, lair réjoui davoir si bien joui, et désireux de soffrir quelques dernières bulles avant de monter ensemble se coucher dans les bras lun de lautre en couple redevenu presque vanille.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis dEvans a aperçu sa soumise Holly MDE, qui est agenouillée dans une attitude humble avec la tête baissée et les mains posées sur les cuisses paumes ouvertes vers le haut, attendant patiemment de recevoir le premier ordre qui lui sera donné par Walter qui la enjointe de sinstaller là prête à servir à nouveau jusquà ce que lun des invités ou le Maître en personne ne vienne la solliciter. Le Châtelain se rappelle que, juste à la fin du repas (voir les 5ème et 7ème chapitres), il avait autorisé sa soumise à se reposer un peu après sa double prestation à la fois au moment du gâteau doù elle avait jailli seulement parée de jolies petites fleurs bleues accrochées à chacun de ses tétons ainsi quà ses lèvres intimes, mais surtout après sêtre faite enculée brillamment par le castrat qui avait fait la démonstration de ses rares talents phalliques, qui furent pour une fois éjaculatoires tant le petit cul de la chienne Holly MDE à quatre pattes qui sétait ouvert et offert à ses assauts lui avait fait de leffet, sans oublier cependant les plaisirs masochistes des coups de paddle en cuir donnés concomitamment par Walter sur ordre du Châtelain qui regardait la scène de sodomie couplé dune scène D/s avec grand intérêt. Le Noble interpelle Sa chienne, qui gardant les yeux baissés dans sa position de soumission na pas aperçu le Maître Vénéré qui sapproche. Elle sursaute en reconnaissant la voix de Monsieur le Marquis dEvans en personne, se permettant de lever légèrement les yeux, car elle ne sait pas si le « Ma chienne » sadresse à elle ou à lune de ses surs de soumission, et ne voulant pas risquer un impair de bouger sans raison ou ne de pas réagir si lordre la concernait.
- Ma chienne, Holly MDE, approche ici. A mes pieds ! Tout de suite !
Remuant les fesses comme si elle frétillait déjà à lidée de pouvoir approcher à nouveau de près le Maître lors de cette merveilleuse soirée, la soumise savance avec grâce à quatre pattes. Arrivée aux pieds du Dominant à qui elle appartient dorénavant corps et âme, elle sincline respectueusement pour déposer un baiser sur chaque chaussure de cuir noir du Maître Vénéré.
- Ne tavais-je pas autorisée à aller un peu te reposer, Ma belle Holly MDE.
- Oui, Maître Vénéré. Cest ce que jai fait juste après avoir reçu Votre ordre. Je Vous remercie sincèrement, Maître Vénéré, de ce temps que Vous avez accordé à Votre soumise pour quelle puisse se reposer un peu après une sodomie qui mavait exténuée car Votre castrat sen est donné à cur joie, alors même que bien dautres esclaves du cheptel nauront pas lopportunité de souffler une seule minute de toute la soirée. Monsieur Walter a estimé quune heure serait suffisante pour que mon cul enflammé se remette et il ma permis de mallonger à même le sol dans le couloir qui mène à son bureau et devant sa porte où il a dû venir me rechercher au bout du temps qui métait imparti, enfin je le pense ainsi, puisque je nai pas de moyen de connaître lheure et de mesurer le temps qui passe.
- STOP ! (dune voix lourde et grave)
.. Et bien, et bien
. Est-ce que ce sont des manières de soumise ou plus précisément de pie dautant jacasser. Un simple « Oui, Maître Vénéré » aurait suffi, avec bien entendu les remerciements indispensables pour tout ce qui tes accordé par Le Maître au moment précis où je te donnais la parole. Libre à Moi, et à Moi seul, de décider si je voulais en savoir plus en te posant les questions adéquates.
Le Noble a fortement haussé le ton tandis quil réprimandait sa soumise bavarde qui comprends un peu tard quelle est partie dans des explications totalement inutiles et qui allaient bien au-delà de la question posée. Mais elle est tellement excitée de se trouver à nouveau en présence du Maître Vénéré quelle en a presque oublié les bonnes manières et son dressage avec leuphorie de la nuitée orgiaque qui nest plus à cette heure-là du petit matin que râles lascifs de plaisirs D/s et charnels. Le Châtelain a attrapé dans un premier temps les lèvres de sa soumise MDE quil pince fortement pour lui faire comprendre quil exige le silence absolu. Relâchant son emprise, il att des deux mains les tétons de Holly MDE quIL fait rouler dans ses doigts avec vigueur avant de les pincer également très fortement. La chienne-soumise serre les lèvres pour ne laisser sortir aucun son mais ne peut sempêcher de grimacer avec la pression qui malmène ses mamelons, qui ont déjà été bien sollicités et meurtris en début de soirée, lorsquelle avait été contrainte de porter deux grandes et lourdes fleurs sur chaque sein en guise de « costume » de scène pour sa sortie époustouflante du gâteau danniversaire. Le Marquis dEvans pas trop mécontent de voir que sa soumise fait attention cette fois à garder les lèvres closes malgré la douleur quelle ne peut que ressentir, mais aussi lexcitation qui en résulte et se propage presque comme une onde électrique qui se déplace des deux seins fermes et très érogènes en direction du bas-ventre de la chienne qui shumidifie aussi sec. Le Noble dun ton froid, presque glacial, comme à chaque fois quil édicte une punition, ajoute tout en maintenant une pression constante sur les tétons de Sa chienne qui sont devenus de plus en plus durs et sensibles.
- Si tu crois que Jai du temps à perdre, et aussi le désir, de savoir tous les menus détails sans importance de tout ce que vont vivre chacun des nombreux esclaves mâles et femelles qui sont réunis ce soir avec comme seule envie de me satisfaire et de me faire honneur, tous les uns et les unes plus que les autres. Je me dois avant tout à Mes invités qui sont venus me voir pour me souhaiter Mon anniversaire. Pour te punir et te rappeler que les esclaves nont pas le droit à la parole, sauf lorsque je les y autorise ou les interroge, tu porteras demain un anneau écarte-lèvres du lever jusquau coucher. Tu ne pourras donc te restaurer que le soir, cela fait aussi partie de la punition que jimpose.
Le Marquis dEvans relâche la poitrine de Son esclave-femelle en même temps quil termine sa phrase. Holly MDE, honteuse de sêtre fait sermonner et davoir courroucé Le Maître, sans attendre et sans décoller les lèvres quelle tient hermétiquement closes, se courbe à nouveau et baise respectueusement les deux pieds du Maître Vénéré, restant par la suite prosternée le front posé contre le sol, en attendant quelle soit autorisée à se redresser. Sans plus lui adresser la parole, le Châtelain se penche sur Sa soumise, att le collier de métal gravé aux initiales MDE qui lui enserre le cou et accroche, à lun des trois anneaux qui y sont pendus, le bout dune laisse de cuir, quil vient dattr sur une desserte à proximité. Ne sintéressant pas plus que cela à Son petit animal de compagnie humain qui na dautre choix et dautre envie en bonne chienne-soumise que de le suivre à quatre pattes docilement comme le ferait tout autant un vrai animal canin bien dressé, Le Maître des Lieux décide de poursuivre son périple à travers la masse de Ses invités réunis pour la plupart dans le Grand Hall de réception transformé pour la nuitée orgiaque en immense donjon D/s, en ayant la dragonne de la laisse enfilée autour de son poignet
(A suivre
)
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