Leslie Rf11

Leslie RF11 – Rêves et fantasmes.
Les jumeaux, qu’elle nuit avec Laure

« Je ne sais pas depuis combien de temps il s’activait dans mon cul, vingt, peut-être trente minutes, ou même plus, mais tout ce que je sais c’est qu’à chaque coup de reins alors qu’il s’enfonçait en moi, il me faisait hurler…

Peu de temps auparavant, nous étions avec Laure en boîte, histoire de se changer les idées d’une semaine harassante et profiter de la soirée en espérant secrètement de faire une rencontre.
Cela faisait une heure que nous nous dansions au milieu de la piste de danse, en prenant des pauses pour se rafraichir avec un gin-coca pour moi et un vodka-orange pour Laure, nous en étions à notre deuxième tournée quand Laure s’approchant de moi, me dit :
- Tu as remarqué les deux hommes dans le coin, ils n’arrêtent pas de nous regarder ?
- Oui je les ai vus, ce doit être des jumeaux !
- Pas mal les mecs, hein ?
- Oui, tu veux les allumer ?
- Pourquoi pas, on finirait la soirée à quatre, ça peut-être sympa.

Les deux hommes en question se ressemblaient beaucoup, ce qui me faisait dire que ce devait être des jumeaux. Les deux avaient les cheveux noirs et les portaient tous les deux courts.
Nous avons dansé avec Laure, tendrement enlacées pour les provoquer, ils ne cessaient de nous regarder en se faisant des commentaires, lentement nous nous sommes rapprochées de leur table, pour qu’ils nous observent de plus près.
Je les regardais du coin de l’œil en essayant de ne pas me faire repérer, en essayant de trouver le détail qui pouvait les différenciés, en fait il était exactement identique sauf que l’un deux avait une petite cicatrice au coin de l’œil gauche.

Il ne fallut pas très longtemps pour que celui à la cicatrice ne se lève et vienne vers nous pour nous dire :
- Salut les filles ! Vous avez besoin de compagnie ? Nous demande celui à la cicatrice.
Laure le regarda, tout en continuant de se lover contre moi dans le slow langoureux, puis répondit :
- Vous pensez être de bonne compagnie ?
- Venez à notre table, boire un verre et vous verrez.


- Nous vous suivons…
Arrivées près de leur table, il fit les présentations :
- Lui c’est Vincent, moi c’est Marc.
- Elle, c’est Leslie et moi c’est Laure.
Marc commanda une nouvelle tournée et la discussion s’engagea, ou bout d’un instant la conversation devant plus intime, Laure leur a dit que nous vivions ensemble et ils s’étonnèrent que deux lesbiennes se laissent draguer par des mecs, mais Laure les rassura en leur disant que nous étions bisexuelles.
Eux aussi se mirent aux confidences :
- Oui, Marc et moi sommes jumeaux dit Vincent, nous avons fait les mêmes études et avons créés notre boite où nous travaillons ensemble et en plus nous vivons ensemble dans un grand appartement.
- Vous êtes toujours ensemble, dit Laure, toute votre vie vous partagez chaque instant même les soirées en boite.
- Nous partageons tout, rajouta Marc, même les filles !
Ensuite nous avons dansé, Laure avec Vincent, moi avec Marc, nous avons bu aussi et je me suis allée dans le bras de Marc lors d’un slow, alors qu’il m’embrassait dans le cou avant de me prendre les lèvres, excitée comme j’étais, je me suis collée à lui…
Il ne fallut pas longtemps à Marc pour s’apercevoir que je n’étais pas tout à fait une femme au vrai sens du terme, me pressant contre lui il me demanda dans l’oreille :
- Tu n’es pas une femme, t’es une trans ?
- Oui, et j’espère que cela ne te pose pas de problème ?
- T’inquiètes, avec Vincent nous sommes bi à l’occasion.
Nous avons continué de danser, et de son côté Laure avait l’air de bien accrocher avec Vincent, avant de partir nous avons été avec Laure nous refaire une beauté, et c’est là qu’elle m’a dit :
- Ma chérie, Vincent a une de ces gaules, ça doit être impressionnant !
- Marc sait pour moi et je pense qu’il va en parler à son frère.
- Oui c’est possible, on va avec eux ou on se tire discrètement ?
- Allons avec eux, dis-je, il y a bien longtemps que nous n’avons fait une folie.

En les retrouvant, à la façon dont Vincent m’a regardé, j’ai su que Marc lui avait parlé, nous avons quitté l’établissement et ils nous ont emmenés chez eux, puis une fois installée nous avons reformé les couples, Vincent avec Laure et Marc près de moi.
Puis Vincent prit la parole :
- Waouh, ce qu’il fait chaud ici !
Il retira son chandail, imité aussitôt par son frère, c’est vrai qu’il faisait chaud dans l’appartement
Je remarquais à cet instant que nous ne les laissions pas indifférents, car si j’avais remarqué la bosse qui déformait le pantalon de Marc, je venais de prendre conscience de celle qui déformait celui de Vincent, et un frisson me parcourra l’échine…

Marc s’en aperçu et me caressa les seins, faisant aussitôt darder les pointes de mes seins, au travers du fin tissu de mon chemisier, je me suis mise à respirer bruyamment mais laissais Marc me mettre le buste nu devant eux et tandis que Marc s’occupait de ma poitrine, Vincent se mit à s’occuper de l’entrecuisse de Laure.
Les jumeaux commençaient à s’occuper de nous et apparemment Vincent savait y faire, car tandis qu’il léchait la chatte de Laure, celle-ci feulait en disant :
- Humm ! Oh oui ! C’est bon.
Il ne fallut pas très longtemps pour nous retrouver tous les quatre nus, et effectivement je pu constater que Vincent était bien membré, si Marc en avait une longue et normalement épaisse, celle de son frère était aussi longue mais d’une épaisseur imposante.
Marc, me donna sa queue à sucer, ce que je me mis à faire avec application, caressant la base de son gland avec ma langue tout en douceur, puis la hampe sur toute la longueur, avant de le prendre finalement dans ma bouche.
- Oh oui ma belle, continue comme ça, dit Marc, c’est bon.
Puis se tournant vers son frère, il demanda :
- Vincent dit-moi, elle est bonne la petite chatte de Laure ?
- Délicieuse, dit Vincent, tu devrais essayer.
- T’inquiètes nous avons le temps et nous allons les baiser toute la nuit, par contre il va falloir que je prépare bien la petite Leslie !
- Pas de problème frangin !

Avant que Marc ne s’exécute, la langue experte de Vincent vint prendre la place sur la chatte de Laure et lui fouilla la chatte dans les moindres recoins de son intimité dardant sa langue au fond de son con, la rapprochant un peu plus près de l’extase mais arrêtant avant qu’elle ne jouisse.

Quelques minutes après, il se redressa et vint frotter sa queue sur son clitoris, la faisant hurler, Laure aime cette caresse :
- Oh oui ! Oui, j’aime ça Vincent, ta queue sur ma chatte et mon clito…
- Dis-moi Laure, t’aimerais que je te l’enfonce au fond de ta jolie chatte ?
- Il est énorme ton membre tu vas bien me remplir, oh oui baise moi !
- Supplie-moi de te baiser ! Dit Vincent.
- Oh oui ! Baise-moi, je t’en supplie.
Il se positionna à l’entrée de son con et il s’enfonça en elle d’un seul coup de rein, lui arrachant un cri de plaisir et de contentement.
- Oh oui, ta chatte est douce et serrée à souhait, c’est un vrai délice… Après je vais bien m’occuper de Leslie !
Marc dut lire la peur dans mes yeux car il rajouta :
- Tu ne vas pas te défiler petite salope ! Tu nous as dit qu’on pouvait faire de toi tout ce qu’on voulait…
De son côté Vincent redoubla d’ardeur sentant que Laure allait bientôt jouir, caressant du même coup son petit bouton d’amour au rythme de ses mouvements ce qui ne manqua pas de la faire jouir. De ce fait, elle se laissa prendre à leur jeu en disant :
- Oh oui, Vincent ! Baise-moi, défonce ma chatte, c’est bon, je vais jouir !
Le corps de Laure fut secoué de spasmes et un long jet de mouille s’échappa de sa chatte.

Marc n’avait pas perdu son temps, après m’avoir doigté l’anus, il me sodomisait en levrette.
- File-moi la place alors, ordonna Vincent.
Marc se retira et Vincent prit sa place, il m’enduisit la rondelle avec douceur de lubrifiant et la massant pour la rendre plus souple, même si Marc avait déjà préparé le passage, la grosseur du membre de Vincent me faisait frissonner…
Lorsqu’il vit que j’étais réceptive à ses caresses, il fit lentement pénétrer le bout de son gland et il se tint immobile quelques secondes, le temps que mon corps s’habitue à cette intrusion, puis il se retira avant de l’enfoncer à nouveau me faisant ressentir de nouvelles sensations très agréables.
Il continua quelques minutes ainsi en jouant juste avec son gland à l’orée de ma rondelle, jusqu’à ce qu’il me juge prête.
Son gland vint alors se placer au centre de ma rondelle une fois encore et il poussa doucement contre mon œillet, me tenant fermement les hanches. La douleur était atroce, je le sentais progresser lentement en moi. Je voulus m’arracher à cette intrusion envahissante mais Vincent me tenait solidement et me dit :
- Laisses-toi aller, ça va tout seul.
Comme de fait, la douleur disparue une fois le gland passé, il put donc s’enfoncer jusqu’à ce que je sente ses couilles venir buter contre les miennes. Il se retira presque entièrement avant de s’enfoncer de nouveau me faisant ressentir un plaisir intense.
Vincent prit mes gémissements pour une invitation à accélérer jusqu’à m’enculer dans les règles de l’art. Il m’assena une claque sur les fesses, bien dosée, qui me fit gémir de plus belle en disant :
- J’aime ton cul salope, il est super serré !

Marc, de son côté sodomisait Laure, qui en levrette gémissait en continu…
- Ah oui, ce qu’elle est bonne ta queue, dit Laure.
- Laure, si tu savais… Je vais….
Ces mots dits, je laissais l’orgasme m’emporter et prononçais des paroles incohérentes avant de m’effondrer.
Les jumeaux continuèrent encore dans nos culs avant de jouir à leur tour mais, ne se retirèrent pas, et doucement, ils recommencèrent à nous enculer, chaque coup de rein nous approchait de plus en plus d’une nouvelle extase que nous finîmes par atteindre tous les deux au même moment au bout d’un très long moment… »

Quand je me suis réveillée, j’étais en sueur avec le sexe dur, Laure près de moi dormait sur le côté me tournant le dos, doucement je me suis rapprochée d’elle et j’ai placé mon sexe à l’entrée de sa chatte et je l’ai pénétré lentement.
Elle s’est réveillée et m’a dit :
- Toi t’as encore rêvé…

A suivre…

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