19. Une Tranche De Vie 20

Samedi 26 septembre 1981 – Suite
Donc en voiture, direction la maison de ma cavalière.
Véro : « Tu voulais une nuit complète avec moi, … tu dois être content, … Je m’attendais à une manifestation de joie, plus intense, … c’est le fait d’apprendre que AL est la maitresse de B, qui te chagrines, … »
Moi : « Non, … (je ne pouvais pas lui dire que je le savais et pour cause) … je m’en doutais, mais, … je ne sais pas, … »
Véro : Ayant légèrement incliné le dos du siège et s’étendant : « Moi, … je suis contente, … je vais être à toi, … complètement, … on va avoir la nuit à nous, … »
Comme, elle était pratiquement allongée, volontairement ou on, sa jupe s’était ouverte sur ses jambes, quelle avait légèrement écartées. J’en profitais pour poser ma main sur sa cuisse et remonter vers sa grotte d’amour.
Véro : « Arrêtes, … mets tes mains sur le volant … on va avoir un accident, … et puis ça m’excite inutilement, … tu ne peux pas aller plus loin, … »
Moi : « Bon, … bon, … Tu n’as pas manqué de toupet, … » »
Véro : « D’accord, … mais c’était la seule façon de t’avoir, pour la nuit, … et les autres n’ont rien dit, … alors soirée nuisette, porte-jarretelles ou robe du soir, suggestive, … spéciale Véro, … »
Pendant cet échange, nous avions atteint le parking de la maison. Je tentais vainement de d’embrasser Véro avant de descendre de voiture, mais elle était déjà descendue. Nous entrâmes dans la salle de séjour, salon et je réussissais à attr Véro. Elle mit ses bras autour de mon cou et : « Embrasses moi, … serres moi fort, … » Ce que je fis et mes lèvres entamèrent une descente dans son cou avec comme objectif son décolleté, pendant que mes descendaient le long de son buste. Arrivé dans son cou, un tendre baiser de ma part et elle s’éloigna : « Doucement, … attends, …tu es trop pressé, … installes toi, … prends un verre, … tout est prêt … et je vais m’absenter pour me faire belle pour toi, … alors robe du soir, … quand je l’ai fait faire, j’ai pensé à toi, … » et elle partit vers la partie privée de la maison.


Effectivement sur la table du salon, un plateau deux verres, deux bouteilles de scotch, dont mon préféré. C’était à se demander si elle n’avait pas préparé son coup, …
Après m’être servi un verre, je m’installais confortablement dans le sofa.
Le temps parait toujours long quand on attend surtout une jolie femme. Enfin elle arriva, ses cheveux blonds, détachés, lui tombant sur les épaules, légèrement maquillée et surtout vêtue d’un corsage, au décolleté affolant, fait d’un tissu noir arachnéen, laissant apercevoir, non voir, ses seins et d’une jupe droite, longue, noire.
Moi : « Wouah, … ça valait le coup d’attendre et la beauté apparut, … si tu vas à la réception de l’ambassade dans cette tenue, c’est l’émeute assurée, … »
Véro : « Elle te plait, … à une réception je mets en dessous un sous corsage blanc, … »
Moi : « Même, … mais cette jupe droite, … elle mets tes formes, … tes fesses en valeur,… mais ne me semble pas pratique, … »
Véro : « Tu aurais des idées coquines, … »
Moi : « Oui, … même très coquines, … »
Véro : « Attends tu vas voir, … «
et se penchant, alors je remarquais un bouton de chaque coté de la jupe au niveau du dessous des genoux qu‘elle défit, cela lui dégagé les jambes et la jupe s’ouvrit de chaque coté avec un … « et comme ça, … ce n’est pas mieux, … » fit-elle en se déplaçant.
Moi : « Très nettement … »
Véro : « Mais, … tu vas apprécier, … » et prenant ce pan de tissu elle tira dessus, le pan de tissu se désolidarisa de l’ensemble de la robe et celle-ci s’ouvrit jusqu’à la ceinture. Elle fit quelques pas, tel un mannequin, et effectivement on pouvait voir ses jambes, … enfin tout jusqu’à la ceinture
Moi : « Ce n’est plus une émeute mais la révolution, … que tu vas déclencher,… »
Véro : « Ne t’inquiètes pas, … cette forme, c’est seulement pour toi, … ça te plait, … » et elle était contre moi. Je l’attirais sur mes genoux, s’en suivit un long et tendre baiser, mais si par la main gauche je la tenais, ma main droite ne restait pas inactive et je passais par l’ouverture de sa robes pour me diriger vers sa grotte d’amour.
Ce qui se fit sans effort, grâce à sa collaboration, les cuisses s’étant ouvertes, pour m’en faciliter l’accès. Arrivé au dessus des bas, je caressais la peau douce de l’intérieur de ses cuisses, mais malgré tout, j’étais gêné par cette masse de tissu que je repoussais à plusieurs reprises, pour enfin lui dire : « Tu devrais trouver une combine pour enlever cette espèce de tablier. Aussitôt elle se leva me disant : « J’y ai pensé, … regardes, … » et défaisant la ceinture de sa jupe elle libéra ainsi ce pan de tissu qui tomba à terre : « C’est ça que tu voulais, … » j’avais sous les yeux, sa robe complètement ouverte sur le devant, sa chatte entourée de tendeurs de son PJ : Alors, … c’est pas mieux comme ça, … tu vois j’avais pensé à toi, … » Voyant cela je lui dis : « Ne bouges pas, … je veux voir ça de plus prés, … » et ayant compris mes intentions, elle s’appuya sur le dos d’un fauteuil et écarta largement les jambes, me donnant ainsi un accès facile à son minou dont je m’empressais de renifler avec plaisir, son odeur de femelle chaude, ouverte légèrement humide et sachant ce que j’allais faire : « Oui, … viens, … lèches moi, … prends moi, … depuis le temps que j’en ai envie, … c’et à toi, … baises moi, comme tu veux … mais promets moi une chose, … »
Au stade où j’en été je lui aurais promis la lune, « Oui, … je t’écoute, …»
Véro : « Je voudrais, … encore une fois, … enfin un soir, … que tu me prennes, … non que tu me baises, … sur le parking, … »
Moi : « Sur le parking, … comme les filles, … qui attendent le client, … »
Véro : « Oui, … ça m’excite, … et le mieux c’est que tu me le dises avant, … que j’y pense, … que je me prépare, … j’aimerais encore une fois, …»
Moi : « Tu es complètement folle, … mais j’adore tes grains de folie, … c’est d’accord la prochaine fois que cela sera possible, … »
Humant la douce odeur de sa chatte je n’allais pas refuser ses folies, la sachant prête à tout. Je m’empressais de poser mes lèvres sur ses grosses lèvres, gonflées, les petites me tentant aussi.
Sans hésiter ma langue s’insinua, avec facilité, entre ses grosses lèvres, ce qui entraina aussitôt un OOOHH de satisfaction et un bassin qui s’avança encore, deux doigts suivirent ma langue et commencèrent à la masturber d’abord gentiment et en fonction de ses soupirs de plus en plus vite : « Ouiiii, … encore, … continues, … j’aime quand tu me prends avec tes doigts, … regardes je m’ouvre, … « Effectivement elle avait encore écarté les cuisses et plantées un peu plus sur mes doigts. Elle coulait comme une fontaine, et je pensais que ça aller être le moment de remplacer mes doigts par ma bite, mais je réagis trop tard, car commençant à retirer mes doigts : « Non, … restes, … je sens que ça vient, … continues je vais jouir, … OUIIIIIIII, … encore, …OOOHHHH, … OUIIIIIII … » et ses cuisses se refermèrent sur ma main alors qu’elle était secouée de plusieurs spasme assez brutaux, pour enfin se laisser glisser sur le sol. Les yeux fermés, elle s’appuya sur le fauteuil, et enfin se « réveillant : « Viens que je veux gouter à tes lèvres, … sentir le goût de mon plaisir, … du plaisir que tu m’as donné, … » et ses lèvres vinrent au contact des miennes, pour un léger baiser et se fut sa langue qui me lécha les lèvres pour enfin prendre mes doigts et les sucer.
Véro : « Maintenant, il va falloir que je m’occupe de toi, … assieds toi sur le fauteuil, … enlèves ton pantalon, … et je m’occupe de toi, … » enfin se levant, elle se défit de sa jupe et s’accroupissant entre mes jambes, j’avais la queue à l’air et la voyant : « Hum, … t’as une belle queue, … il faut que je m’en occupe, … tu vas éclater, … » et elle se mit à me caresser du bout des doigts, c’était excitant, puis se penchant elle se mit à me lécher le gland et le titiller avec le bout de la langue pour enfin le prendre en bouche et commencer à me pomper, ce qu’elle faisait avec art et il ne fallu pas longtemps pour faire monter la pression et que lui dise de cesser sinon je ne pourrais me retenir : « Tu m’as gouter, … je veux te gouter, … je veux que tu prennes ma bouche, … tu auras le reste également, … oui, … » et je me vidais d’un seul coup.
Elle me regarda, ouvrit la bouche, elle était pleine de sperme et l’avala d’un seul coup avec un joli sourire. Puis se levant, elle me dit : « Viens, … on va se coucher, … la nuit n’est pas finie,… »
Je la suivis alors qu’on se dirigeait vers la chambre d’amis qui était prête à nous recevoir, elle n’avait gardé que son PJ ses bas et ses escarpins, ce qui lui faisait remuer son joli de façon excitante, je me collais derrière elle et lui prenais les seins : « Ne t’inquiète pas, … tu auras tout, … je te veux, … je serais entièrement à toi, … on couchera dans la chambre d’amis, … elle est toujours préparée en cas de besoin, … » et partit d’un grand éclat de rire. Arrivé dans la chambre, elle quitta ses escarpins et se laissa tomber sur le lit, bras et jambes écartées : « Viens, … on se repose, … et je serais à toi, … viens, … contre moi, … » et enlacés on s’endormis.
Dans le courant de la nuit, faisant un rêve érotique, je me réveillais bandant dur, en fait c’était Véro qui voulant me réveiller en douceur c’était mise à me caresser la tige et à la lécher, le résultat était une réussite. Me voyant réveillé : « Tu as le sommeil lourd, … mais la queue rapide,… viens, … tu es en forme, … moi aussi, … j’ai un manque dans mon entrejambe, … viens prends moi, … » Tout ça fit que je me réveillais, je l’attirais vers moi et nos bouches se collèrent l’une à l’autre, enfin se mettant sur le dos elle dit : « Viens, … je t’attends, … prends moi, … je veux te sentir sur moi, … dans moi, … j’aime quand tu es sur moi, … quand je te prends, … et que tu es dur, … je vais te guider dans moi, … c’est bon, … oui, … j’aime te sentir me pénétrer, …» et doucement elle me guida en elle, je la pénétrais aisément tellement elle était ouverte, chaude, trempée, … et elle repris : « Ouiiii, … je te veux, … dis moi que t’aimes me prendre, … me baiser, … ouiiii, … c’est bon, … continues, … » A chaque coup de rein elle se cambrait encore plus offerte, je m’activais au mieux en accélérant le rythme, mais il fallait que je la baise bien et qu’elle parte rapidement car je en pourrais tenir à ce rythme très longtemps et effectivement, alors que je déchargeais dans son fourreau elle partit : « OOOOHHH, … OUIIIII, … continues, … baise moi fort, … défonces moi la chatte, … OUIIIIIII, … je jouiIiiiiiiis, … » Elle eut un spasme brutale, ses jambes se refermèrent sus mes reins, ses ongles s’enfoncèrent dans mes épaules, et elle fut secouée de nouveau pas des contraction des ses muscles abdominaux comme ceux de ses cuisses. Alors que je voulais rouler sur le coté, elle me retint : »Non, … restes encore, …j’aime t’avoir sur moi, … entre mes cuisses, … sentir ton odeur, après l’amour, … c’est bon, … » enfin elle me laissa glisser à coté d’elle et se retournant : « Prends moi dans tes bras, … que je me calme,… » Et de nouveau elle s’endormit.
Heureusement le réveil sonna à 7,00 heures, alors que Véro râlait, je m’empressais de me lever er d’aller à la douche, j’avais pratiquement terminée qu’elle arriva : « Ne me regardes pas je suis horrible quand je le lèves, .. ; t’as fini va-t’en, … » Ce que m’empressais de faire. Connaissant la maison, j’allais à la cuisien et mettez le café en route, qui fut prêt quand elle arriva de s’être fait une beauté : « Enfin, … je suis plus présentable, … OH, … merci pour le café, …» Elle alla préparer des toasts. Et les moments du café furent rapides et relativement silencieux, …Il était pratiquement 9,00 heures, nous avions le temps, mais il fallait partir,… Dans la voiture, en conduisant, je mis ma main sur sa cuisse, mais il y eut : « Fais attention, … laisses tes mains sur le volant, … » Enfin nous étions arrivés sur le parking de la boite de nuit et nous étions en avance. J’attirais Véro vers moi, qui là se laissa faire et après un agréable baiser, j’entrepris de remonter de s cuisse vers sa grotte d’amour, mais elle m’arrêta : « Ce n’est plus le moment si ils arrivent, … mais, cette nuit, tu n’as pas fini, … »
Moi : « Fini quoi, … j’avais espéré plus, … »
Là, j’étais mal parti : « Je pense que nous avons bien profité du temps, … tu sais ce que tue es, … »
Véro : « Oui, … une salope, … mais qui m’a excité, … qui m’a emmené sur le parking, … pour me baiser, … comme un des filles, … »
Moi : « Oui, … mais qui est gourmande de sexe, … même très gourmande, … »
Véro : « C’est des reproches, … »
Moi : « Non, … des constations, … mais effectivement, … on peut dire qu’il a manqué quelque chose, … et je suis prêt à essayer de rattr, … je te propose, … le cabin cruiser, … »
Véro : « Enfin une bonne idée, … » et glissant un main dans mon short, commença à me caresser la tige
Moi : « Si tu continues, … tu vas devoir finir, …
Véro : « Les voilà, … séance terminée, … on se revoit quand, … »
Moi : « Le cabin cruiser si possible,… »
Et elle descendit pour rejoindre le 4x4 de son mari, alors que AL descendait et venait me rejoindre.

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