19. Une Tranche De Vie 20
Samedi 26 septembre 1981 Suite
Donc en voiture, direction la maison de ma cavalière.
Véro : « Tu voulais une nuit complète avec moi,
tu dois être content,
Je mattendais à une manifestation de joie, plus intense,
cest le fait dapprendre que AL est la maitresse de B, qui te chagrines,
»
Moi : « Non,
(je ne pouvais pas lui dire que je le savais et pour cause)
je men doutais, mais,
je ne sais pas,
»
Véro : Ayant légèrement incliné le dos du siège et sétendant : « Moi,
je suis contente,
je vais être à toi,
complètement,
on va avoir la nuit à nous,
»
Comme, elle était pratiquement allongée, volontairement ou on, sa jupe sétait ouverte sur ses jambes, quelle avait légèrement écartées. Jen profitais pour poser ma main sur sa cuisse et remonter vers sa grotte damour.
Véro : « Arrêtes,
mets tes mains sur le volant
on va avoir un accident,
et puis ça mexcite inutilement,
tu ne peux pas aller plus loin,
»
Moi : « Bon,
bon,
Tu nas pas manqué de toupet,
» »
Véro : « Daccord,
mais cétait la seule façon de tavoir, pour la nuit,
et les autres nont rien dit,
alors soirée nuisette, porte-jarretelles ou robe du soir, suggestive,
spéciale Véro,
»
Pendant cet échange, nous avions atteint le parking de la maison. Je tentais vainement de dembrasser Véro avant de descendre de voiture, mais elle était déjà descendue. Nous entrâmes dans la salle de séjour, salon et je réussissais à attr Véro. Elle mit ses bras autour de mon cou et : « Embrasses moi,
serres moi fort,
» Ce que je fis et mes lèvres entamèrent une descente dans son cou avec comme objectif son décolleté, pendant que mes descendaient le long de son buste. Arrivé dans son cou, un tendre baiser de ma part et elle séloigna : « Doucement,
attends,
tu es trop pressé,
installes toi,
prends un verre,
tout est prêt
et je vais mabsenter pour me faire belle pour toi,
alors robe du soir,
quand je lai fait faire, jai pensé à toi,
» et elle partit vers la partie privée de la maison.
Effectivement sur la table du salon, un plateau deux verres, deux bouteilles de scotch, dont mon préféré. Cétait à se demander si elle navait pas préparé son coup,
Après mêtre servi un verre, je minstallais confortablement dans le sofa.
Le temps parait toujours long quand on attend surtout une jolie femme. Enfin elle arriva, ses cheveux blonds, détachés, lui tombant sur les épaules, légèrement maquillée et surtout vêtue dun corsage, au décolleté affolant, fait dun tissu noir arachnéen, laissant apercevoir, non voir, ses seins et dune jupe droite, longue, noire.
Moi : « Wouah,
ça valait le coup dattendre et la beauté apparut,
si tu vas à la réception de lambassade dans cette tenue, cest lémeute assurée,
»
Véro : « Elle te plait,
à une réception je mets en dessous un sous corsage blanc,
»
Moi : « Même,
mais cette jupe droite,
elle mets tes formes,
tes fesses en valeur,
mais ne me semble pas pratique,
»
Véro : « Tu aurais des idées coquines,
»
Moi : « Oui,
même très coquines,
»
Véro : « Attends tu vas voir,
«
et se penchant, alors je remarquais un bouton de chaque coté de la jupe au niveau du dessous des genoux quelle défit, cela lui dégagé les jambes et la jupe souvrit de chaque coté avec un
« et comme ça,
ce nest pas mieux,
» fit-elle en se déplaçant.
Moi : « Très nettement
»
Véro : « Mais,
tu vas apprécier,
» et prenant ce pan de tissu elle tira dessus, le pan de tissu se désolidarisa de lensemble de la robe et celle-ci souvrit jusquà la ceinture. Elle fit quelques pas, tel un mannequin, et effectivement on pouvait voir ses jambes,
enfin tout jusquà la ceinture
Moi : « Ce nest plus une émeute mais la révolution,
que tu vas déclencher,
»
Véro : « Ne tinquiètes pas,
cette forme, cest seulement pour toi,
ça te plait,
» et elle était contre moi. Je lattirais sur mes genoux, sen suivit un long et tendre baiser, mais si par la main gauche je la tenais, ma main droite ne restait pas inactive et je passais par louverture de sa robes pour me diriger vers sa grotte damour.
Au stade où jen été je lui aurais promis la lune, « Oui,
je técoute,
»
Véro : « Je voudrais,
encore une fois,
enfin un soir,
que tu me prennes,
non que tu me baises,
sur le parking,
»
Moi : « Sur le parking,
comme les filles,
qui attendent le client,
»
Véro : « Oui,
ça mexcite,
et le mieux cest que tu me le dises avant,
que jy pense,
que je me prépare,
jaimerais encore une fois,
»
Moi : « Tu es complètement folle,
mais jadore tes grains de folie,
cest daccord la prochaine fois que cela sera possible,
»
Humant la douce odeur de sa chatte je nallais pas refuser ses folies, la sachant prête à tout. Je mempressais de poser mes lèvres sur ses grosses lèvres, gonflées, les petites me tentant aussi.
Véro : « Maintenant, il va falloir que je moccupe de toi,
assieds toi sur le fauteuil,
enlèves ton pantalon,
et je moccupe de toi,
» enfin se levant, elle se défit de sa jupe et saccroupissant entre mes jambes, javais la queue à lair et la voyant : « Hum,
tas une belle queue,
il faut que je men occupe,
tu vas éclater,
» et elle se mit à me caresser du bout des doigts, cétait excitant, puis se penchant elle se mit à me lécher le gland et le titiller avec le bout de la langue pour enfin le prendre en bouche et commencer à me pomper, ce quelle faisait avec art et il ne fallu pas longtemps pour faire monter la pression et que lui dise de cesser sinon je ne pourrais me retenir : « Tu mas gouter,
je veux te gouter,
je veux que tu prennes ma bouche,
tu auras le reste également,
oui,
» et je me vidais dun seul coup.
Je la suivis alors quon se dirigeait vers la chambre damis qui était prête à nous recevoir, elle navait gardé que son PJ ses bas et ses escarpins, ce qui lui faisait remuer son joli de façon excitante, je me collais derrière elle et lui prenais les seins : « Ne tinquiète pas,
tu auras tout,
je te veux,
je serais entièrement à toi,
on couchera dans la chambre damis,
elle est toujours préparée en cas de besoin,
» et partit dun grand éclat de rire. Arrivé dans la chambre, elle quitta ses escarpins et se laissa tomber sur le lit, bras et jambes écartées : « Viens,
on se repose,
et je serais à toi,
viens,
contre moi,
» et enlacés on sendormis.
Dans le courant de la nuit, faisant un rêve érotique, je me réveillais bandant dur, en fait cétait Véro qui voulant me réveiller en douceur cétait mise à me caresser la tige et à la lécher, le résultat était une réussite. Me voyant réveillé : « Tu as le sommeil lourd,
mais la queue rapide,
viens,
tu es en forme,
moi aussi,
jai un manque dans mon entrejambe,
viens prends moi,
» Tout ça fit que je me réveillais, je lattirais vers moi et nos bouches se collèrent lune à lautre, enfin se mettant sur le dos elle dit : « Viens,
je tattends,
prends moi,
je veux te sentir sur moi,
dans moi,
jaime quand tu es sur moi,
quand je te prends,
et que tu es dur,
je vais te guider dans moi,
cest bon,
oui,
jaime te sentir me pénétrer,
» et doucement elle me guida en elle, je la pénétrais aisément tellement elle était ouverte, chaude, trempée,
et elle repris : « Ouiiii,
je te veux,
dis moi que taimes me prendre,
me baiser,
ouiiii,
cest bon,
continues,
» A chaque coup de rein elle se cambrait encore plus offerte, je mactivais au mieux en accélérant le rythme, mais il fallait que je la baise bien et quelle parte rapidement car je en pourrais tenir à ce rythme très longtemps et effectivement, alors que je déchargeais dans son fourreau elle partit : « OOOOHHH,
OUIIIII,
continues,
baise moi fort,
défonces moi la chatte,
OUIIIIIII,
je jouiIiiiiiiis,
» Elle eut un spasme brutale, ses jambes se refermèrent sus mes reins, ses ongles senfoncèrent dans mes épaules, et elle fut secouée de nouveau pas des contraction des ses muscles abdominaux comme ceux de ses cuisses. Alors que je voulais rouler sur le coté, elle me retint : »Non,
restes encore,
jaime tavoir sur moi,
entre mes cuisses,
sentir ton odeur, après lamour,
cest bon,
» enfin elle me laissa glisser à coté delle et se retournant : « Prends moi dans tes bras,
que je me calme,
» Et de nouveau elle sendormit.
Heureusement le réveil sonna à 7,00 heures, alors que Véro râlait, je mempressais de me lever er daller à la douche, javais pratiquement terminée quelle arriva : « Ne me regardes pas je suis horrible quand je le lèves, .. ; tas fini va-ten,
» Ce que mempressais de faire. Connaissant la maison, jallais à la cuisien et mettez le café en route, qui fut prêt quand elle arriva de sêtre fait une beauté : « Enfin,
je suis plus présentable,
OH,
merci pour le café,
» Elle alla préparer des toasts. Et les moments du café furent rapides et relativement silencieux,
Il était pratiquement 9,00 heures, nous avions le temps, mais il fallait partir,
Dans la voiture, en conduisant, je mis ma main sur sa cuisse, mais il y eut : « Fais attention,
laisses tes mains sur le volant,
» Enfin nous étions arrivés sur le parking de la boite de nuit et nous étions en avance. Jattirais Véro vers moi, qui là se laissa faire et après un agréable baiser, jentrepris de remonter de s cuisse vers sa grotte damour, mais elle marrêta : « Ce nest plus le moment si ils arrivent,
mais, cette nuit, tu nas pas fini,
»
Moi : « Fini quoi,
javais espéré plus,
»
Là, jétais mal parti : « Je pense que nous avons bien profité du temps,
tu sais ce que tue es,
»
Véro : « Oui,
une salope,
mais qui ma excité,
qui ma emmené sur le parking,
pour me baiser,
comme un des filles,
»
Moi : « Oui,
mais qui est gourmande de sexe,
même très gourmande,
»
Véro : « Cest des reproches,
»
Moi : « Non,
des constations,
mais effectivement,
on peut dire quil a manqué quelque chose,
et je suis prêt à essayer de rattr,
je te propose,
le cabin cruiser,
»
Véro : « Enfin une bonne idée,
» et glissant un main dans mon short, commença à me caresser la tige
Moi : « Si tu continues,
tu vas devoir finir,
Véro : « Les voilà,
séance terminée,
on se revoit quand,
»
Moi : « Le cabin cruiser si possible,
»
Et elle descendit pour rejoindre le 4x4 de son mari, alors que AL descendait et venait me rejoindre.
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