Concert Pour Copain Cocu

Histoire hors-série / Fantasme

On a enfin nos tickets pour le festival ! Clarisse n’est pas très motivée pour y aller mais elle ne peut pas me le refuser ce coup-ci.
Elle s’habille simplement pour cette chaude soirée d’été. Je la regarde dans l’embrasure de la porte. Elle est en sous-vêtements, un string noir et un soutien-gorge noir, ses longues jambes musclées me font craquer. Elle enfile une jupe, ses chaussures, un débardeur. Sa longue tresse de cheveux tombe sur son épaule, ses yeux verts rieurs me scrutent :
« Arrête un peu de me mater pervers et va t’habiller »
Il n’y a pas que nous que le festival a attiré, une foule immense se presse en cette chaude fin d’après-midi. La scène est à ciel ouvert, en plein milieux d’un champ. On se presse pour être dans les premiers rangs mais on doit se résigner à n’être qu’à une quinzaine de mètres de la scène, légèrement excentrés. Le premier groupe passe, bien mais sans plus. L’ambiance se réchauffe de plus en plus. Clarisse se propose pour aller chercher les boissons. Elle ne revient que de longues minutes plus tard, les bras chargés de bières.
« Plus jamais j’y retourne, des gars ont pas arrêté de me peloter !
- T’avais assez d’argent pour payer tout ça ?
- Hahaha j’ai rien payé, un de mes peloteurs s’est proposé pour la note, j’ai juste chargé un peu plus l’addition.
- Le mec te caresse et tu le rembarres même pas ?
- Jaloux ?
- Un peu oui ».
On s’enfile les bières, la nuit est bel et bien tombée et l’ambiance commence à être survoltée. Le groupe de rock dont je suis fan enchaine les morceaux. Un peu partout des filles se dressent sur les épaules des mecs pour montrer leurs seins. Clarisse s’agite à côté de moi, je me retourne et je vois qu’elle vient d’enlever son soutif qu’elle range dans son sac.
« Fais-moi monter »
Je me baisse pour qu’elle puisse monter sur mes épaules. Elle remonte sa jupe à la limite pour pouvoir se tenir avant de commencer son ascension.

Son t-shirt me passe devant les yeux, je sais alors qu’elle est seins nus. Elle hurle depuis son perchoir et s’agite dans tous les sens. Une des caméras sur scène la remarque et je la vois clairement dans l’écran géant. Elle s’aperçoit elle aussi, elle masse ses seins et les lèchent les yeux rivés sur l’objectif. La caméra reste plus longtemps que la moyenne sur cette fille délurée puis repasse sur le groupe. J’en profite pour faire descendre Clarisse.
« Mais t’es folle !
- Ca va, je sais que ça t’excite ! »
Je comprends alors qu’elle est dans un état second, je lui rends son t-shirt qu’elle enfile avec difficulté puis elle se remet à danser à côté de moi. Une nouvelle chanson s’enchaine. J’ai la nette impression d’être de plus en plus comprimé dans la foule. Clarisse me prend la main :
« Quelqu’un se colle un peu trop !
- Tu le cherches aussi !
- C’est qui ?
- Un mec, quarantaine d’année
- Wahouh il sait ce qu’il veut celui-là ! »
Je me retourne pour contempler la scène. Ses mains font le tour de la taille de Clarisse, son sexe est posé sur le cul de ma copine et il danse. Je suis partagé entre la jalousie et l’excitation. Clarisse joue de la situation, elle danse langoureusement, cambre ses fesses qu’elle remue contre l’engin du vieux.
« Arrête ça il va finir par en vouloir plus…
- Et alors ? Ça t’excite toi aussi, avoue-le »
Je ne dis rien mais elle prend ça pour un oui. Voyant qu’il n’y a aucune résistance de Clarisse ou de ma part, l’homme passe une main sous le débardeur de Clarisse. Je vois très clairement sa main masser le sein de ma copine. Son autre main relève le devant de sa jupe, j’aperçois ses doigts se frotter à travers le tissu. Clarisse commence à frémir. Après quelques minutes de ce massage Clarisse repousse l’homme, elle a enfin repris ses esprits ! Mais je déchante vite, elle fait passer ses mains sous sa jupe et enlève son string qui tombe sur ses pieds.
« Tu le ramasses s’il te plait ? »
Je suis vaincu, je me baisse et m’exécute. Quand elle relève la jambe pour me faciliter la tâche je remarque clairement que son intimité est déjà inondée. L’homme ne perd pas son temps. Ses doigts reviennent à la charge et se concentrent cette fois sur les fesses et le vagin de ma chérie. La main de Clarisse, elle aussi, entre en action. Je la vois masser l’entrejambe de l’homme où, déjà, une énorme bosse apparait. Celui-ci la pénètre de ses doigts, la jupe est maintenant complétement remontée, l’intimité de Clarisse est exposée à la vue de tous. Je jette des coups d’œil dans tous les sens, plusieurs gars se sont mis en cercle pour profiter du spectacle. Clarisse mouille comme une folle, son corps vibre et elle commence à pousser des cris que la musique couvre. L’homme s’arrête et se penche à l’oreille de Clarisse pour lui murmurer quelque chose, elle se mord la lèvre et se retourne vers moi puis ayant fait son choix elle suit le vieux qui l’entraine dans la foule. Quelques-uns des mecs du cercle suivent, je suis abasourdi mais je me décide à suivre à mon tour au bout de quelques secondes. Mais j’ai trop attendu et j’ai déjà perdu Clarisse des yeux. Je sors de la foule et cherche dans tous les sens. Au bout de quelques minutes qui me semblent être des heures j’aperçois cinq types en cercle. Je m’approche la peur au ventre et découvre Clarisse agenouillée et complétement nue. Le vieux a son pantalon baissé et Clarisse lui suce vigoureusement la bite. Elle enfonce l’engin jusqu’au fond de sa gorge, des larmes coulent le long de ses joues. J’essaye de forcer le cercle mais un mec me retient :
« Calme toi mon gars, cette petite pute a dit qu’on y passerait tous, pas besoin de se presser »
Clarisse tend son bras vers un autre mec qu’elle attire à elle, elle commence à le branler lentement. Le vieux sort son sexe de la bouche de Clarisse et se finit en se branlant. Il décharge sa semence sur le visage de Clarisse avant d’essuyer son sexe sur ses lèvres. Un autre mec s’avance et prend sa place, la danse se poursuit, elle branle et suce à tour de rôle ou bien en même temps les quatre autres types qui eux aussi se déchargent sur son visage, dans ses cheveux, sur ses seins et même un dans son dos.
Une fois soulagés, les types s’en vont, seul le vieux reste. Il aide Clarisse à se relever, prend ses vêtements sous un bras et entraine Clarisse vers le parking de l’autre. Je suis tel un robot. Il fait entrer Clarisse dans une voiture avant de se retourner vers moi :
« Désolé mon gars mais toi tu vas pas plus loin, je te ramène ta copine dès qu’on aura fini. Elle sera peut-être un peu fatiguée mais je te garantis qu’il ne lui arrivera aucun mal, que du plaisir.
- T’inquiètes pas Sam, Philippe va s’occuper de moi.
- Ouais si ça peut te rassurer garde ton portable sur toi, on t’enverra des nouvelles »
Il monte côté conducteur et démarre. Je n’ai même pas réagit. Je suis incapable de penser clairement, mon sexe bandé me fait mal, autant que ma frustration et ma honte. Je rentre moi aussi chez moi. Mon portable vibre, un message de Clarisse, une photo. Ce n’est pas elle qui l’a prise, non elle, c’est le modèle. Elle est debout dans un salon, le vieux se tient derrière elle et l’a prend en levrette. Quelques minutes défilent et une nouvelle photo apparait. Cette fois c’est dans une chambre qu’elle se trouve, sur un lit et de dos, en fait ce n’est que ses fesses que je peux voir et l’énorme bite noire qui la pénètre dans le cul. Quelques minutes et cette fois une vidéo. C’est Clarisse qui tient le portable, elle regarde fixement l’objectif malgré les secousses qui l’a font trembler. Elle jouit comme une salope, le sperme, des gars de tout à l’heure, a séché et laissé des traces blanches sur son visage. Elle bascule le portable vers sa chatte, elle est agenouillée sur la bite du black qui la secoue avec violence, la caméra change de main, elle passe dans le dos de Clarisse. Une bite blanche prend son cul, elle se fait claquer les fesses et jouit comme une salope. Elle est en train de se faire prendre par deux inconnus pendant que je suis seul à l’appart. Honteux mais excité je me branle en remettant la vidéo et je viens rapidement. Malgré mes efforts pour ne pas m’endormir la fatigue est la plus forte. La clef dans la serrure me réveille, la lumière s’allume et Clarisse entre dans la chambre, elle est toujours nue, ses vêtements ont été confisqués, elle a donc traversé la rue et l’immeuble entièrement nue, heureusement à cette heure-ci personne pour la remarquer. Du sperme séché et humide macule son corps, de son vagin et de son anus coule encore sa cyprine et sûrement un lubrifiant. Elle pose son sac et se jette sur moi, je bande déjà. Elle m’enfourche de suite, la pénétration est facilitée par toute cette mouille qui coule de sa chatte. Partout où je pose mes mains je sens du sperme ou de la sueur, elle ne m’embrasse pas et je comprends pourquoi, les coins de sa bouche sont maculés de taches blanches. Elle me dit qu’on lui a ordonné de ne pas se laver pour que je puisse voir à quel point c’est une salope. Je viens rapidement en elle. Elle bascule sur le côté et s’endors presque aussitôt. J’en profite pour regarder son portable, je retrouve les photos qu’elle m’a envoyé et bien d’autres qui retracent son parcours de la soirée.
Le lendemain, après avoir pris une douche et changer les draps, elle me fait le récit de sa soirée sans aucune gêne :
« Philippe m’a conduite jusqu’à chez lui sans que je puisse remettre mes vêtements. Une fois dans l’appartement il a demandé s’il pouvait inviter son voisin, un ami à lui. J’ai accepté. Un grand black est venu. Ils m’ont dit que j’étais leur chose et qu’ils seraient mes maîtres pour la soirée. J’ai accepté. Je les ai sucé (photo a l’appui qu’elle me montre devant les yeux), le vieux qui avait déjà eu son content s’est vite retiré pour me branler le petit trou, en disant que ce soir il voulait m’enculer. Il a tendu le portable à son ami et m’a prise en levrette tout en me pénétrant l’anus avec son pouce (nouvelle photo). J’ai joui une première fois. Il s’est retiré et m’a tendu à son ami qui m’a basculé sur le canapé et relevé les jambes. Il a commencé à me pilonner avec force (nouvelle photo), j’ai cru que j’allais mourir, jamais je n’avais pris une bite aussi grosse. Philippe en a profité pour me malaxer et pincer les seins. A force je me suis habitué à la violence des coups et je me suis laissé emporter pour jouir une nouvelle fois. Lui aussi s’est retiré mais pour m’éjaculer sur le corps, son premier jet a atteint mon visage, les autres sont venus mourir sur mes seins et sur ma chatte (nouvelle photo). Après ça ils m’ont entrainé dans la chambre pour me prendre tous les deux. Je les ai sucés en même temps, le black a vite récupéré et m’a tourné vers le lit, mon visage enfoncé dans les draps et le cul relevé vers lui. J’ai senti son gland forcer mon petit trou, il a craché sur mon anus pour faciliter la pénétration. J’ai hurlé à chaque centimètre. Quand ses boules sont enfin venues taper contre mon corps, il s’est retiré doucement pour s’enfoncer de nouveau. Mes larmes ont fait place au plaisir et il a graduellement accéléré le rythme (photo). Il a fini par se retirer en disant que j’étais trop serré pour lui et qu’il ne pouvait pas me défoncer correctement. Il s’est alors allongé sur le lit et m’a ordonné de m’empaler sur sa bite. Philippe s’est glissé derrière et a pénétré mon cul. Le chemin avait déjà été creusé donc il s’est enfoncé rapidement et a pu se déchainer. C’est là qu’on a pris la vidéo. Les deux se sont calés sur un rythme diaboliquement et m’ont réellement défoncé. Philippe est venu le premier et j’ai senti son sperme couler dans mon dos. Le black lui m’a fait continuer à chevaucher sa bite avant de me faire me redresser pour qu’il puisse venir sur mon visage et mes seins. Après ça j’ai dû lécher leurs bites pour les nettoyer. Ils m’ont alors interdit de me rhabiller ou de me laver ».
Son récit m’a scié, alors que je me remets de mes émotions elle se jette sur moi pour une autre folle partie. Elle me demande si je lui en veux ? Bien sûr que non, de toute façon tout ceci n’est qu’un fantasme…