Pour Son Plaisir (3)


3 – La séance d’épilation

Jacques me libéra de mes liens, il me rendit mon boxer et je rentrais chez moi, très excité après cette séance. A partir de ce moment, nos rencontres furent de plus en plus fréquentes. Finalement les vacances qui avaient démarré ennuyeuses se poursuivaient plutôt bien.
A chaque fois que j’arrivais chez lui c’était le même rituel : un prétexte pour une fessée à laquelle je prenais goût, puis il me laissait le sucer jusqu’à l’éjaculation. J’aimais le goût de son sperme. Jacques me rendait fou de lui. Je voulais être de plus en plus souvent avec lui. Il était à la fois protecteur, et me corrigeait au moindre manquement. Pour le voir, je devais toujours me raser le sexe et le cul, venir en short sans rien dessous et me présenter chez lui, les mains croisées dans le dos. Il admirait alors ma bite bandée sous le short et avant que je n’entre chez lui, il me baissait le short. Durant plusieurs semaines, ce fut ce rituel. J’ai appris à mieux le connaître et lui aussi. C’était un homme d’affaires chef d’entreprise. Il me conseillait de m’inscrire en commerce international pour que je puisse intégrer l’une de ses filiales. J’allais me diriger vers des études de langue, parlant déjà l’anglais, l’allemand et l’espagnol et un peu l’arabe. J’ai finalement suivi ses conseils et je me suis inscrit dans une école de commerce qu’il m’avait recommandée. Il a même payé l’inscription et un cours particulier de portugais.
Chaque semaine je le voyais. J’étais impatient. Il prenait connaissance de mon avancement dans mes études et tout était prétexte à une fessée ! L’hiver approchant, le short fut remplacé par un jogging assez large.
Puis un samedi, alors que je me présentais comme d’habitude, il me reçut sans me déculotter.
- Aujourd’hui, je voudrais que tu sois épilé complètement aux jambes et sur le torse. Je vais t’emmener dans un institut. Tiens mets-çà !
Il me tendit des vêtements : un sweat, un jean, un mini slip qui me rentrait dans les fesses.

Je gardais mes baskets. Nous nous rendîmes assez loin, dans une ville voisine, où il avait pris rendez-vous. Il avait l’air connu dans cet endroit. Une dame me demanda de la suivre. Elle demanda de me déshabiller et me tendit un string pour « les soins ». Je me changeai dans une cabine et je m’allongeai sur le dos sur une table qu’on m’avait indiquée. Ce fut un garçon, Ludo, qui vint à ma rencontre et qui, calmement, m’expliqua ce qu’il allait faire. Ludo m’annonça que ce serait sans doute douloureux. Il commença par les jambes. C’était horrible !!!! Jamais je n’avais eu mal comme ça. Les larmes me venaient aux yeux mais je m’efforçais de ne pas crier. Juste quelques souffles. Jacques est arrivé dans la pièce en expliquant à Ludo qu’il pouvait y allait franchement, que j’étais solide. Après les jambes, ce fut les cuisses puis l’entre jambes : encore plus douloureux. Puis le torse, sans doute le plus supportable. Enfin, quand je fus sur le ventre, la continua, côté face…
Avant que je ne me rhabille, Jacques me caressa sans aucune honte devant Ludo, qui rangeait son matériel.
- Pas mal Ludo, tu as fait du bon boulot
- Merci Monsieur Jacques. Toujours un plaisir pour moi…
Je ne devais donc pas être le premier qu’il amenait dans ce salon…
De retour chez lui, il me demanda de me déshabiller, ce que je fis. Comme au salon, il me caressa, me flatta sur mes attributs
- J’aime bien ta bite, dommage que tu ne sois pas circoncis…
- En voilà une idée ?
- Tu sais que c’est plus hygiénique
- Je pensais que c’était religieux, non ?
- Non, pas seulement. Tu seras vraiment clean sans poil et la bite circoncise !
- Mais… Je ne crois pas que ça se fasse comme ça, ici sur le coin d’une table !
Il se mit à rire
- Mais non idiot, tu feras ça en clinique ! C’est quelques jours sans te tripoter… c’est tout
- Je ne sais pas trop... J’aime pas trop les médecins et tout et tout… Et puis j’ai l’habitude comme ça
- Bien sûr, mais tu verras, tu te sentiras plus propre, plus sensible…
- Je peux réfléchir ?
- Pas longtemps alors, sinon, on passe à autre chose !
- Qu’est-ce que ça veut dire ?
- Ça veut dire que je t’aime bien, même mieux que bien… mais je peux te laisser pour un autre garçon !
Je l’embrassais, mais il me repoussa, sans violence
- Réfléchis assez vite.
J’aimerais que tu deviennes tout à moi, ce sera ma marque personnelle.
J’étais mitigé. D’un côté le perdre, de l’autre me faire charcuter la zigounette… Et puis comment présenter ça à mes parents ? oui je sais, je suis majeur, mais je vis toujours chez eux ! En rentrant chez moi, ce jour-là, je me posais plein de questions. Le soir, je m’admirais dans la glace, sans poils ! Je ressemblais à un petit garçon mais j’avais une décision à prendre…
La visite suivante chez Jacques se déroula comme à l’habitude, mais après la fessée, un peu plus brutale que les fois précédentes, il me demanda de m’installer sur une chaise, à table, nu. Là il me montra un papier. Il m’expliqua :
- Voilà, Cédric, je veux devenir ton maître, ton tuteur, ton père… appelle ça comme tu veux. Mais, si tu es d’accord, tu devras m’obéir en tous points. Ce contrat précise différentes clauses que tu accepteras sans conditions si tu veux revenir ici. La première est que tu m’appartiendras. Je pourrais faire de toi ce que bon me semble, tout en préservant ta sécurité et ta santé, bien entendu. Je te laisse lire les autres
Ce « contrat » prévoyait différentes choses : je devais me faire circoncire, je devrais répondre à toutes ses demandes quand bon lui semblerait, il pourrait même m’emmener sans préavis dans des endroits qu’il aurait choisis, etc, etc…
Je lui posais quelques questions, du genre « mais mes études ?, mes parents ? je peux pas me libérer comme ça »
- Je te garantis ta liberté durant la semaine, tu pourras suivre tes études, voir tes parents, mais le mieux serait de vivre ici ! Tu pourras avoir des copains mais pas de rencontres le week end. Week end et vacances, c’est pour moi !
En lisant les différents termes du contrat, je bandais ! ça m’excitait drôlement d’appartenir à un homme.
- Je vois que ça te fait de l’effet. Je te laisse réfléchir quelques jours. Si tu reviens ici dans moins de trois jours, c’est avec le contrat signé.
Et sur ce, il me ramène nu à la porte, me met sur le palier en me tendant mes affaires et le contrat.

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