Mon Italienne
Je suis fatigué et je pars passer quelques jours là bas, le plus loin possible. Je suis à Zarzis, un grand oasis du sud tunisien. Cest sans doute lhiver et je ne vais pas tomber sur une grande foule: jen sort. Quand jarrive il est tard; jai juste le temps de manger un morceau. On a beau être au sud, le désert est très froid la nuit. Je vais donc me coucher avec un regret jai juste aperçu avant de monter une fille de mon âge, soit la quarantaine, Je regrette de ne pas avoir eu la présence desprit de lui adresser le parole. En attenant je suis sur le point de me coucher quand je pense à elle: jai un fantasme qui me fait bander. Il me semble que si demain je la vois à nouveau, je tacherai de la lever.
En attendant je suis la bite bien raide; il faut absolument que je me fasse jouir. Je maperçois quil y a une douche dans la chambre: plutôt que faire aller et venir ma main sur ma pine, je vais me faire jouir avec le jet. Je me dirige vers la douche, je me vois dans un miroir, jai une gaule denfer. Je fais couler leau pour quelle soit le plus chaude possible. Je fait couler leau dabord sur ma tête pour être totalement trempé. Je prend le jet, le fait couler depuis ma poitrine jusquà mon pubis: Je vois ma queue se gonfler encore plus. Je fais aller le jet de la base de ma bite jusquau bout du gland. Jai ainsi limpression de baiser. Quand je sens arriver lorgasme, jarrête tout pour recommencer encore. Je mets dans ces conditions un peu plus dune demi heure pour éjaculer. Je messuie comme il faut, surtout entre les fesses qui retiennent pas mal dhumidité. Habituellement je débande à cet instant et là, je ne sais pourquoi, je me remet à bander. Cette fois je me couche, je prend ma pine dans ma main et je fait la méthode classique aller et retour de la main sur la queue. Jéjacule et enfin je débande pour de bon
La nuit passe tranquille. Je vais prendre le petit déjeuner et je vois à nouveau cette femme seule.
Véro, un diminutif est italienne. Elle accepte que nous déjeunions ensemble. Elle est venue comme moi, pour être au calme. Mais entre calme et calme plat il y a une grande différence. La différence est que nous bavardons. Arrive linstant de vérité: nous parlons sexe. Elle aussi se sent isolée et hier soir, en pensant à moi, elle sest donné satisfaction. Ceci dit sans le moindre confusion. Je suis bien obligé de lui avouer que moi aussi il a fallut que je me masturbe en pensant à elle. Il sen suit une conversation uniquement basée sur nos goûts et nos façons de nous masturber et de faire lamour. Je lui ai pris la main. Elle me laisse faire et quand je lui demande de venir dans ma chambre, elle ne dit rien, elle se lève pour me suivre. Dès lentrée mes lèvres et celles de Véro sont soudées. Nos langues font déjà lamour. Je la déshabille lentement, dabord son t-shirt moulant, ensuite son petit soutien gorge et pour finir jenlève en bloc et le string et la jupe. Elle se tourne devant moi pour que je la vois bien en entier. Elle nest pas baisable, je ne connais aucun mot pour décrire ce quelle est, peut être un ange du paradis dEros. Elle me déshabille aussi avec une façon rapide: je crois que le seule chose qui lintéresse est ma pine. Avant que jai pu lui faire quoique ce soit, elle me pousse sur lit, les jambes encore pendantes et se précipite pour manger mon sexe. Car cest bien ce quelle fait: elle fait descendre mon prépuce avec ses lèvres, le lèche rapidement le gland pour me prendre jusquau bout. Je sens sa langue au passage et surtout ses lèvres. Sa tête fait une série de vas et vient qui memmène au bord de lexplosion
..
Nous sommes enfin couchés normalement. Jai un bras sous sa tête, mon autre main se contente de lui caresser un sein et son téton qui durci vite.
Elle ne me demande rien; sa main va caresser ma pine non pas pour me branler pour me faire jouir. On dirai quelle flatte un petit animal familier.
Il manque le seul endroit dont on na pas parlé: je vais lui caresser lanus. Je leffleure simplement: elle ouvre ses fesses. Jai de la besogne devant moi. Je veux lenjamber pour aller la baiser: pas encore: il faut que je la suce en la faisant bien jouir. Jétais avec elle pour ça. Elle écarte bien les cuisses, pose un oreiller sur un autre pour me vois faire. Je ne sais par où commencer: elle me le dit franchement. Elle veux que jentre ma langue dans son vagin. Je trouve que sa cyprine est excellente. Ma langue entre le plus possible dans cet endroit chaud et humide. Je la fais aller et venir: quand je sens son orgasme, je sort de là pour aller mettre la langue là où il ne faudrait pas: son petit trou. Je le trouve agréable avec ses rides bien disposées tout autour. Je la lèche à peine: elle force pour que jentre dans son cul. Je dois y mettre en gros la moitié ce qui est suffisant pour quelle jouisse encore. Enfin jai gardé pour la fin ce que je préfère dans un sexe féminin: son clitoris. Je commence par le lécher avant de le sucer comme si cétait une petite bite. Elle jouit.
A son tour de me faire jouir: jaurai voulu la baiser sur lheure. Elle se refuse encore cette fois pour me reprendre dans sa bouche. Cette fois elle narrêtera pas. Je ne sais pas exactement ce quelle fait: elle memmène deux fois au pour de lextase et deux fois je ne jouis pas, sauf la dernière fois où il me semble monter au paradis.
Elle ma mis totalement hors service: je me trompais: Elle vient fait un numéros, destiné à réveiller un mort: elle est sur ma poitrine, les jambes bien ouvertes: je sens sa cyprine couler sur moi. Elle se doigte dune main et se caresse le clitoris de lautre. Bien évidemment je bande à nouveau. Elle le sait bien la garce. Maintenant ce quelle veut enfin correspond à ce que je veux, mais encore à sa façon. Elle reste sur moi, sempale sur ma bite quelle a mit dans son sexe. Elle commence les mouvements qui la porte vers encore une jouissance.
Enfin elle se met normalement sur le lit, membrasse et se mouille le cul. Ceci fait elle est en levrette, ses fesses bien écartées:
- Encules moi.
Je force un peu pour la lui mettre: je naurai même pas du: jentre facilement dans ce cul habitué à être sodomisé. Cest drôlement agréable dêtre dans un tel cul accueillant surtout quand je sens toutes ses jouissances. Je jouis une dernière fois là dans le fond de son anus.
Nous étions si bien que nous nous sommes fait porté à manger tout en restant nus. Quand la serveuse arrive elle a pu voir un couple senvoyer en lair. Que pouvaient-ils faire, les propriétaire de lhôtel ? Rien.
Notre court séjour sest admirablement bien passé tant pour elle aussi pour moi, surtout pour elle je crois, puisque nous nous téléphonons régulièrement pour nous raconter nos baises. Internet à mis à notre portée des relations encore plus hot : elle me montre en direct ses masturbations qui entrainent les miennes.
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