Leslie Rf12

Leslie RF12 – Rêves et fantasmes
Il était une fois… Promenade dans le petit bois

Parfois, les rêves sont si proches de la réalité que nous croyons vivre cette réalité…
Manifestation inconsciente d’un fantasme, nous vivons dans ces rêves une véritable aventure, qui ne s’arrête qu’à la sortie de notre sommeil, nous laissant une légère frustration que ce ne soit pas dans la vie réelle d’avoir vécu cet instant…

« C’est l’été, à bord de me voiture je file dans la campagne et m’approche de ce petit bois, que je connais si bien et où je vis les aventures les plus folles. Quelque chose me dit qu’aujourd’hui, cela va être spécial, certainement très physique, mais cela ne me dérange pas car je suis excitée et avide de sexe…
Arrivée, après une centaine de mètres sur un chemin de terre, je gare ma voiture sur le petit parking, coincé entre la route et la rivière, parking qui ressemble plus à un espace de terre à l’herbe courte, qu’un parking au sens du terme.
Juste en bordure de ce petit bois pas très fréquenté, sauf par les connaisseurs car d’ailleurs, il n’est même pas aménagé, mais suffisamment grande et surtout à certains endroits bien touffu pour y accueillir les visiteurs initiés et habitués.

Je descends de voiture et m’enfonce aussitôt dans ce petit bois, heureuse que la terre soit dure, car avec mes talons-aiguilles, ce ne serait pas du tout évident !
Après quelques minutes dans l’allée principale, je bifurque dans un petit sentier nettement plus étroit, puis un autre, pour arriver dans une petite clairière, c’est là que je vais me lancer à une petite exhibition…
En marchant vers la petite clairière, j’ai senti que j’étais regardée et j’ai remarqué la silhouette d’au moins trois personnes, certainement à l’affût d’une belle qui viendrait faire un petit spectacle et pourquoi pas accepterait de les branler, de les sucer et qui sait voir même aller jusqu’à la pénétration intime.

Je suis habillée très légèrement, d’une mini robe courte rouge très sexy, au très profond décolleté plongeant, laissant entrevoir ma poitrine nue et au dos nu s’arrêtant à la naissance de ma raie des fesses, froncer sur les côtés en partie basse par des lacets cette robe est sexy à souhait. Sans rien dessous la robe, juste mon rosebud planté dans mes fesses et avec juste mes chaussures à hauts-talons, et j’ai mon petit sac, style baise en ville, contenant le nécessaire d’usage et laissant suffisamment de place pour ma robe.
Avant d’aller déambuler dans le sous-bois sous les regards, j’enlève ma robe et la range en la glissant dans le sac et me voici nue sous le regard des personnes présentes qui ne peuvent ignorer mon statut de transsexuelle.
Cela ne dit pas déranger ceux qui sont là, tout le monde ait que cet endroit sert de lieu pour s’exhiber et se rencontrer brièvement et ce tous sexe confondus, hétéros bisexuels et homosexuels des deux sexes y viennent pour la même raison.

Connaissant bien l’endroit, je ne peux pas me perdre, à droite le sentier finit en cul de sac au bord de la rivière, derrière moi je retourne au parking, un des deux autres sentiers même à la lisière du bois, où une clôture empêche l’accès et le dernier s’enfonce dans la partie sombre du bois, là où tout est possible….
En me dandinant comme je peux sur mes douze centimètres, j’essaie de m’éloigner de la petite clairière, ne doutant pas un instant que je vais être suivie et peut-être abordée par le plus intrépide des hommes présents.
Nue, seulement perchée sur de hauts talons improbables, je dois paraître plutôt déplacée dans cette végétation. Je me demande ce que diraient des promeneurs si je tombais nez à nez avec eux ; mais ce n’est pas vraiment pour faire une ballade mais plus pour y faire une exhibition et voir plus...
Plongée dans mes pensées, je m’enfonce vers la partie la plus sombre du bois, espérant être suivie…

Le vent doux caresse mon corps et la caresses du sous-bois sur ma peau me donne le frisson, et de ce fait mon sexe commence à bander, juste un petit développement de ce membre qui gonfle légèrement.
Je m’arrête de temps en temps, pour que ceux ou celles qui me matent profitent de mon corps, personne n’est dupe, je sais que je suis mater et eux savent que je suis là pour être mater, alors je m’exhibe, me penchant de temps en temps pour ramasser une feuille sur le sol, exposant ainsi mes fesses et mon petit trou, où le rosebud doit être visible de ceux, qui bien situés, peuvent en profiter.

Ainsi je vais un moment, avant de trouver un petit coin sympa… »

A suivre…