Une Belle Rousse

Je sors d’un aventure amoureuse plutôt ennuyeuse. Au début elle se laissait baiser sans problème et petit à petit elle échappait pour je ne sais quel bonhomme moche, à mon goût. En y réfléchissant je pense que la seule chose qu’elle réussissait bien était les fellations et encore, sans avaler. Après tout, basta, tant mieux, qu’elle aille sucer l’autre, j’en trouverai une plus sexy, quoi que l’autre l’était pas mal.
Je ne cherche même plus personne. Mais voilà, monsieur hasard existe. En me garant j’ai un tout petit pépin avec une conductrice qui éclate en sanglot: le voiture n’est pas à elle. Je la console comme je peux. Je la fait monter dans ma voiture, avec le froid c’est plus prudent. Comment arriver à la consoler, surtout qu’elle est un beau brin de fille rousse, habillée très court: je sois la moitié de ses cuisses. Je la fais tourner vers moi, je l’encourage à surmonter ce petit moment d’énervement. Je la prend par les épaules, elle pleure encore plus. Je lui essuie le visage qui enfin reprend quelques couleurs. Plus je la regarde, plus je la trouve jolie. Elle ferait bien dans ma collection. Enfin elle me regarde droit dans le yeux:
- Vous au moins vous êtes chic.
- En quoi je suis chic ?
- Vous ne m’en voulez pas pour cet accident.
- Mais qui diable vous en voudrez ?
- Mon ex petit ami, il m’a larguée pour une pouffiasse et j’ai pris sa voiture.
- Laissez le faire, je vous protège.
- Merci, j’en avait besoin.
- C’est bien beau tout ça, où allons nous.
- Chez vous !!!!
Comme ça chez moi, il n’y a as marqué « chien perdus ». La donzelle est jolie, pleine de charme et belle à voir, et pourquoi pas après tout.
Je le conduit chez moi: une véritable tornade, elle fait comme chez elle, elle entre dans la première pièce venue, ouvre les tiroirs, les placards, elle inspecte tout pour finalement dire
- C’est bien rangé chez vous, j’aimerai y rester.
- Et pourquoi donc ?
- Vous êtes quelqu’un de bien, vous ne m’avez même pas à vous embrasser.


- Je ne force jamais les filles à m’embrasser.
- C’est dommage, j’aurai dit oui.
Puisqu’elle le prend comme ça elle va recevoir mes lèvres sur les siennes. Ce qui ne manque pas. Sa langue part aussitôt à la recherche de la mienne. En plus elle se colle contre moi. Elle a pris mon cou à deux mains et force surtout pour ne pas me lâcher. Je ne sais absolument pas où elle veut en venir. Si ça ne dépendait que de moi je la prendrai dans la chambre. C’est pourquoi je laisse aller mes mains sur ses fesses. A tant qui être je soulève le bas de la robe pour caresser son arrière train. Je pensais qu’elle allait protester, au contraire, elle tend ses fesses vers mes mains. J’ai ses deux globes. Je descends le plus possible. J’arrive à l’endroit où toute fille convenable aurai sa culotte: je ne trouve rien. Tant mieux, je continu mon exploration et arrive juste à hauteur de son anus. J’attend une réaction négative qui ne vient pas. Je ne retiens plus ma phalange qui entre un peu dans son intimité. Elle sent bien que je bande, elle sait parfaitement comment tout va finir.
- Attention je ne suis vierge de nulle part, même pas ma bouche.
- Enchanter de le savoir, je men doutais un peu sauf pour la bouche, je ne savais pas;
Je n’ai pas fini ma phrase qu’elle est accroupie à mes pied, sort ma bite, la lèche de bas en haut avant de la prendre en entier. Elle fait une fellation qui m’emmène vers le seul endroit possible: un bel orgasme. Comme je ne la connais pas plus que ça, je ne lui dit rien. Elle sent venir ma jouissance, ses lèvres se serrent encore plus. Je crache mon sperme en plusieurs giclées. Elle attend la dernière pour se relever la bouche pleine de foutre. Elle se met bien en face de moi et à toutes petites gorgées elle me boit.
- C’était drôlement excitant de te sucer: tu veux me le faire aussi ? Elle retrousse sa robe pour me présenter son sexe rasé: ses jambes sont écartées je peux moi aussi lui lécher le clitoris qui n’attendait que ça.
Elle a le bas de corps penché vers ma bouche. Pendant que je la suce, elle enlève sa robe pour paraitre nue. Des petit seins bien durs avec des aréoles brunes. Je la sens partir elle aussi. Si elle a pu boire ma semence , je ne peux avoir qu’une minuscule partie de sa cyprine.
Nous venons de jouir, alors, la suite peut attendre. Elle continue la visite de l’appartement: elle marche sur la pointe des pieds.
- C’est agréable chez toi, comme ta langue, viens me sucer encore.
Sans ajouter quoi que ce soit, elle est déjà allongée sur le lit, les jambes bien couvertes.
- Et puis ne reste pas habillé; je suis nue et je n’ai pas honte de me montrer.
Elle s’est invitée chez moi, m’a presque violé et encore me donne des ordres.
Franchement la voir ainsi, le sexe offert comme pour un sacrifice païen me donne une sérieuse envie de la sucer. Je suis nu: elle regarde ma queue qu’elle connait déjà:
- Elle me plait bien ta bite; tu me la mettra devant et derrière. J’aime par derrière: je peux me branler en même temps, c’est bon et j’aime baiser.
Avant d’aller m’installer entre ses jambes je retourne là où tout est parti: sa bouche où j‘y trouve la saveur de mon sperme. Cette fois la baiser est normal, pas comme celui d’une sangsue. Je caresses ses petits seins bien durs avant d’aller là où elle m’espère: son sexe. Je ne prend pas son clitoris auquel j’ai déjà donné du plaisir: je lui lèches les lèvres intimes, m’arrête sur son vagin. Ma langue y entre le plus possible. Je cherche son point G que je trouve assez facilement. Je ne quitte plus cet endroit pour la faire jouir en rafale. Mon nez n’est qu’à trois centimètre de son anus; je le colle dessus. C’est la première fois que je me trouve avec un cul juste sous mon nez. L’odeur n’en ai pas désagréable.
Elle miaule come une chatte qu’on caresse. Je reviens pose ma langue sur le clitoris et lui mets la moitié d’un doigt dans le cul. Je le fait coulisser lentement. Quand j’estime l’avoir assez faite jouir, je vais entre ses jambes:
- Je vais te la mettre au con.

- Oui, je la veux là, mais c’est moi qui la rentrerai.
- Si tu y tiens.
Je suis donc sur elle, ma bite bien tendue. Elle la prend à pleine main pour dire
- C’est beau une queue qui va entrer dans mon con.
Sans plus d’hésitation elle mène la queue juste à l’endroit qu’elle a choisit Maintenant je vais et viens dans sa gaine chaude et mouillé. Son vagin est des plus agréable à pénétrer. Je la sens jouir deux ou trois fois quand elle me demande de sortir d’elle. Je me demande bien pourquoi, moi qui me sentais bien en elle. Elle se tourne se mets en levrette et;
- Mets moi la au cul.
- Je suis toujours près à sodomiser un beau cul.
Le sien l’est particulièrement. Elle a bien enduite son conduit de sa cyprine. J’entre d’abord un puis trois doigts avant de pose le bout de ma pine sur son cul. Je m’attendais à une certaine résistance: il n’en ei rien, elle s’est faite sodomiser certainement avant de se la faire mettre devant. Je suis peine dedans qu’elle commence à jouir. Elle ne commence à se branler le clitoris que quand je suis au fond d’elle. Ses orgasmes deviennent continus. Elle ne me demande pas d’arrêter ou de sortir de ses tripes. Ce n’est que quand je jouis encore que je sors d’elle.
Nous en sommes aux confidence; tout à l’heure, ce n’était pas vrai, personne ne l’a largué, elle avait envie de baiser. Elle me dit aussi ce que je pensais: elle s’est faite enculer avant par un jeune de son âge: elle voulait rester vierge. Son désir n’a pas duré, elle a eu son premier amant véritable vers 18 ans. Elle aime se masturber souvent, même si elle a quelqu’un comme maintenant: elle me le montre, en se caressant à la fois le clitoris et en se mettant deux doigts dans le cul.
Nos amours ont duré, le temps de deux ans, jusqu’au jour où elle a changé de camp, elle est avec une autre femme.

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