Lentement
Son visage était à 20 cm d'un mur blanc. Très clair. Eblouissant même.
A genoux, ou plutôt à califourchon, sur un gros fauteuil, son buste reposait sur le dossier tandis que ses genoux, écartés, calés contre les accoudoirs, s'enfonçaient profondément dans l'assise. Ses mains étaient attachees dans son dos avec des lanières de cuir très légèrement élastiques. Ses jambes étaient maintenues sur le fauteuil par le même genre de liens. L'ensemble était ferme sans être inconfortable - elle se sentait solidement attachée mais elle savait également qu'elle aurait pu, avec un peu d'efforts, se libérer. Mais cela faisait parti du jeu et elle sentait le plaisir monter en elle: elle avait savouré le temps qu'il avait pris pour lui bander les yeux, la guider sur quelques mètres, l'attacher puis le retirer son bandeau. Elle mouillait.
Malgré l'absence de bandeaux, elle ne voyait pas grand chose : ce mur blanc à quelques centimètres, le beau ciel bleu d'été au dessus de son visage et pour le reste, un grand drap blanc tendu à la vertical formait une séparation passant sur son dos, l'empêchant de voir derrière elle, masquant même la moitié de son corps à sa vue. Contrairement à nombre de leurs jeux, elle était habillée, et même presque sagement : une robe à fleur et des sous vêtement blancs très classiques.
Le contact frais du drap sur ses bras, le poids du plis du tissu sur son dos lui rappelait - si l'en était besoin - son incapacité à voir derrière elle. Elle se cambrait à la pensée de savoir le bas de son corps mis en avant de cette manière.
Elle entendit des voix venant de l'intérieur de la maisonnette. À part LUI, un homme, jeune, qui se rapprochait. Elle mouillait encore plus.
Ils discutaient, il le conduisait dans la cours où elle se trouvait. Elle se cambra à nouveau afin de mettre ses formes en avant.
Le jeune homme pénétra dans la cours - elle l'entendit siffler. Il se rapprocha.
Il fit un commentaire sur son cul - elle l'entendit à peine. Ses doigts remontaient lentement sur ses cuisses, entraînant le tissu qui laissait peu à peu ses jambes découvertes. Il continuait, il devait pouvoir maintenant voir sa culotte, il avait maintenant une vue plongeant sur ses fesses : le bas de sa robe, remonté, reposait sur son dos, comme le drap.
Elle savourait ce moment : sa culotte, blanche, sage, masquait son anatomie mais elle imaginait son regard s'attarder sur ces deux globes de chair, sur la courbe de son sexe... Il avait retiré ses mains et devait prendre le temps de la mater. Elle tourna la tête de côté, mais le drap lui cachait toujours la vue : elle distinguait à peine une ombre, immobile derrière elle. Elle se dit un instant qu'il se branlait peut être, mais elle vit à nouveau l'ombre s'approcher, elle sentit des doigts sur ses hanches qui saisissaient l'élastique de sa culotte.
Elle crevait d'envie qu'il lui arrache sa culotte, d'un geste sec, offrant à son regard sa chatte... Mais non, il commença à tirer sur le tissu, lentement ...
La culotte descendait progressivement, elle sentait que la naissance des fesses commençaient à apparaître. Elle se mordait la lèvre d'excitation... Le tissu masquait encore aux deux tiers les deux globes de chairs - il marqua une pause. Elle avait envie de se libérer de ses liens et de se masturber frénétiquement !
Il patientait - ou plutôt il la faisait patientait, il devait être en train de mater son cul avec un sourire narquois !! Elle se cambra au maximum, en espérant susciter une réaction - sans effet immédiat.
Enfin, il repris là où il s'était arreté : la culotte recommença à glisser, elle sentait le tissu sur ses hanches, sur ses fesses. Sa culotte était à présent en haut de ses cuisses et ne cachait plus son anus et sa chatte, impudiques. Il s'arrêta à nouveau.
Elle aurait rêvé de se faire fesser, prendre vigoureusement, se faire enculer, mais là, attendre les fesses à l'air qu'un inconnu daigne la baiser, ça la mettait dans tous ses états ...
Après de longues minutes interminables, elle sentit deux mains saisir ses hanches, lentement mais fermement.
Elle mouillait abondemment et n'eu aucun mal à accueillir ce gros sexe en elle. Du fait de ne rien voir - et de son excitation - elle se concentrait sur une choses : le mouvement de va et viens dans sa chatte trempée. Elle avait du même coup l'impression que ce sexe etait énorme !
Il aimait la faire patienter : il s'arrêtait régulièrement - elle reculait alors son joli cul vigouresement pour être pénétrée à nouveau...
Après quelques temps de ce manège, elle jouit une fois, puis deux. Sa position devenait inconfortable et elle commencait à trembler un peu.
Il finit par éjaculer en longues saccades sur ses fesses. Avant, lentement, de se retirer. Et de partir, d'un pas posé, comme content de lui.
Elle sentait son sperme couler long de ses cuisses. Elle avait envie de recommencer.
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