La Bonne Du Cure (4)
En arrivant au presbytère, le curé a lair dêtre content de me retrouver.
Est-ce moi ou mon petit trou qui est son centre dintérêt ?
Je retrouve ma chambre austère, et je range au fond de mon armoire mes outils de travail belge et hollandais.
Jusqu'à maintenant jai toujours laissé les clefs sur mes portes, à partir de ce soir, je dois tous fermer.
Pendant le repas, je retrouve les habitudes depuis que je suis arrivé avec mon frère.
Nous remercions ce repas que nous prenons.
Après ce que jai vécu depuis quelques jours, je minterroge sur certaines choses évidentes avant.
Je vais me coucher, pour la première fois je ferme ma porte à clef.
Vers 22 heures la clenche bouge. Je fais la sourde oreille et je dors rapidement étant assez fatigué du voyage et surtout de nos nuits.
Le lendemain, le curé évite de parler de ma porte fermée.
Je rejoins Léa au café du village. Jai mis des affaires jeunes sans être provocante et jai évité mes affaires de femmes libres.
Nous nous asseyons à lintérieur dans un coin tranquille.
Jai hâte dentendre la proposition que Léa doit me faire.
À Gand, Tonio ma proposé de venir dans sa boîte travailler régulièrement.
Tu étais monté avec ton dernier client. Nous avons accepté sachant que tu dirais oui.
Nous irons la dernière semaine de chaque mois du vendredi soir au jeudi suivant.
Nous aimons travailler dans sa boîte et nous ferons un maximum dargent chaque semaine.
Jai bien entendu. « Nous avons accepté. Nous aimons travailler
»
Je suis encore piégée, mais comment lui refuser, elle a amené tellement de piments à ma vie austère.
Pour aller là-bas, je viens davoir mon permis, nous allons investir dans une voiture avec largent gagné à faire les putes. Si les gens nous interrogent, comment nous avons fait, cest avec les économies que tu as faite ces dernières années.
Demain, nous irons tinscrire à lauto-école. Ton permis ne nous coûtera pas un sou.
Es-tu daccord ?
Tu as toujours raison, mon cur.
Ce soir, je te propose de régler tes comptes avec ton curé.
Elle élabore le scénario que nous allons suivre, son idée est excellente.
Après avoir réglé tous nos problèmes pour ce jour, nous nous levons sous le regard denvie des quelques hommes présents. Pour la première fois, ils sintéressent à ces deux filles dont lune était transparente à leurs yeux avant ce jour.
Nous quittons le café et nous nous séparons après un dernier baisé presque chaste.
Il est vingt-deux heures quand je me couche. Le repas au presbytère a été sinistre, nous avons regardé fixement nos assiettes sans parler.
Je suis en train de lire lorsquil entre, contrairement à hier la porte est restée débloquée.
Je comprends sans quil le dise ce quil veut et comment il le veut.
Flegmatique, je pose mon livre et positionne en levrette pour quil puisse satisfaire son envie.
Ses affaires terminées, il quitte ma chambre sans avoir prononcé le moindre mot.
Léa sort de mon armoire où je lai cachée lorsquelle est arrivée en entrant par la porte-fenêtre.
À la main elle a un appareil photoélectronique, elle a tout photographié de ce que le curé a fait à ma petite rosette.
Elle repart. Elle a du travail à faire avant demain soir.
Le lendemain Léa vient me chercher.
Tout est prêt pour ce soir, tu mouvriras vers vingt et une heures que lon ait le temps de tous préparer.
Jai hâte dy être, on va rigoler.
Viens, on est attendu à lauto-école.
Léa a mis sa tenue la plus provocante. Elle a voulu que je sois nue sous mon imper noir.
Environ 300 mètres entre le presbytère et lauto-école.
Ces deux jolies filles qui traversent le village, bourrées de bigotes, qui vont se montrer à la messe du dimanche, se remarquent car rare par chez nous.
De plus lorsque lune dentre elles est la bonne du curé, les messes basses vont bon train au café, et dans la supérette.
Devant la quincaillerie, le patron nous regarde avec insistance et entre précipitamment à lappel de Viviane étonnée et interrogative en voyant nos tenues.
Lorsque nous arrivons, je connais celui qui nous reçoit, je le voyais tous les jours lorsque jallais acheter mes allumettes. Il faisait partie des hommes qui prenaient lapéro et qui jamais ne me voyait
Nous sommes dans son bureau. Léa nous présente.
Elvis !
Oui, ma maman était fan.
Justine à qui tu vas obtenir le permis de conduire dans les délais les plus courts.
Combien ?
15 jours !
Jai eu du mal pour toi en un mois alors quinze jours, cest impossible !
Elle me fait comprendre dun regard de la suivre dans ses audaces. Elle sassoit sur le bord du bureau. Sa mini remonte, Elvis a devant ses yeux la chatte de Léa.
Dans le même mouvement, jouvre mon imper. Jamais il me serait venu à lidée dêtre capable dun tel geste.
Linfluence maléfique de Léa a encore frappé, mais je dois dire que jaime de plus en plus être provocante, voire exhibitionniste.
Elle me demanderait de faire toutes les boutiques du village une à une en ouvrant limperméable, je le ferais sans hésitation.
Pour mon permis, tu as eu droit à une nuit torride avec moi.
Pour celui de Justine en quinze jours, tu auras un week-end avec deux jolies femmes déchaînées dans ton lit.
Je vais faire mon possible. Je peux avoir un acompte.
Il avance sa main vers la cuisse de Léa qui se relève.
Dans quinze jours !
Je referme, mon imper frustré, jaurais aimé quil me caresse la chatte qui est en feu et dégoulinante de cyprine.
Nous nous dirigeons vers le café. Nous aimons nos provocations, nous entrons et allons-nous installer à notre table qui est libre.
Elle a lavantage de nous permettre de tout voir.
Il faut que tous comprennent que cette table est devenue la table des putes.
Dun coup nous apercevons le curé qui entre, il se rend au bar où le patron lui sert un petit blanc sans, lui demande ce quil désire consommer.
Il doit être un client journalier.
Il nous aperçoit dans la glace qui nous fait face, il tourne la tête, mais nous sentons que la conversation est différente de celle quils auraient eue en notre absence.
Avant quil sen aille, nous nous levons en leur envoyons un grand au revoir à demain.
Léa me quitte et me donne rendez-vous pour ce soir comme la veille.
Lorsquelle arrive rapidement, nous mettons en place ce quelle a imaginé.
Dès que nous sommes prêtes, nous nous mettons nue sur le lit.
Jéteins la lumière. Au bout de cinq minutes linaction la gagne et je sens sa bouche chercher mon bas-ventre.
Il y a tellement longtemps quelle est venue soccuper de mon intimité que, sans attendre jécarte les cuisses pour quelle atteigne mon bouton.
Cest dans cette position que nous trouve le curé qui vient dentrer. Javais la poire des lampes de chevet dans ma main. Jai failli rater lopération sous le plaisir que Léa avait déclenché en me suçant le bouton.
Jallais lâcher la poire pour lui prendre la tête et lappuyer sur ma vulve lorsquil arrive.
Mon cher curé lorsquil entre a devant les yeux deux tableaux qui doivent le paniquer.
Le premier, deux filles nues dont lune broute la chatte de lautre.
Le deuxième, sur les murs des dizaines de photos format A4. Toutes le représentent en train de menfoncer son dard dans ma rosette.
Joli travail de Léa qui a tiré tous ces clichés. Elle a investi en cartouche dencre et a fait chauffer son imprimante.
Le premier réflexe de mon curé est de fuir.
Arrête, viens ici de suite sinon
Il a le temps dentendre ce début de menace. Il sarrête net.
Ces photos seront envoyées à larchevêché et seront toutes placardées sur les différents magasins du village le matin prochain.
Retourne-toi !
Apprêt une légère hésitation, il sexécute.
Enlève ta soutane et viens entre nous !
Pour la première fois, je vois le curé entièrement nu. Il est pourvu comme un homme normalement constitué.
Je me frotte les yeux, il bande. Il nous présente même un beau morceau. Depuis que Léa ma fait démarrer dans le métier en trois jours, je peux dire que jen ai vu un paquet, mais elle fera partie des tops de ma collection !
Léa, elle aussi est fascinée par la bite qui savance vers nous. La manière dont elle passe sa langue sur ses lèvres démontre lenvie quelle a davaler notre curé.
Monte sur le lit et vient entre nous.
Je jouis de donner des ordres à un homme, pendant notre escapade, ce sont les clients qui nous commandaient.
Suce, mets-toi en levrette, je vais tenculer, tu as bien joui.
La bite sur pied qui est devant nous sexécute.
Léa, suce-le !
Je suis contente, pour la première fois Léa, me laise diriger le jeu.
Stéphane, penche-toi et mange-moi la chatte ?
Insiste sur mon clitoris, tu verras, il est très sensible.
Stéphane, son prénom est Stéphane et cest la première fois que je lappelle par son prénom.
Jai limpression que cela raccourcit les distances entre nous.
Jarrête de lui poser des questions pour quil se concentre sur la petite bille que jai découverte et qui démarre très bien mon plaisir.
Lorsquil menculait, était-ce une posture due à ces années de séminaire à vivre entre hommes.
La façon quil a de me sucer aussi bien la chatte peut me faire penser quil fait cela bien souvent !
Tout ce que je sais, cest que dans son cas, il a une technique naturelle quil pourrait apprendre à bien des hommes.
Stéphane, change de chatte, vient brouter la mienne !
Léa a repris la direction du jeu, elle arrive difficilement à se passer dêtre la directrice de mes ébats.
Jai limpression dêtre son jouet. Je dois reconnaître que jadore la manière dont elle joue avec moi. Jai tellement perdu de temps dans ma vie. Grâce à elle jespère le rattr.
Stéphane me quitte et se tourne de lautre côté pour exécuter lordre quil a reçu.
Tu aimes me sucer.
Pour la première fois, jentends la voix de celui qui ma baisé presque tous les soirs.
Oui !
Justine as-tu aimée ?
Oh oui !
Sympa, jai eu droit à « oh
oui ! »
Tu veux me prendre la chatte.
Jai dit cette phrase avant que Léa ne la dise.
Il se place pour que je puisse menfiler sur lui tout en suçant mon amie.
Oui, quelle senfonce sur ma queue, je la lui donne.
Je me soulève, prends lalignement et menfonce son vit jusquau plus profond de ma grotte.
Il est drôle de constater que pour nous les avaleuses de bites, il y a un degré dans la réaction de notre corps qui se fait pénétrer.
Il y a la pénétration pendant le travail.
Elle pourrait nous faire du bien mais comme il faut expédier le client le plus vite possible pour en faire monter un autre, nous atteignons rarement lorgasme.
Celle, pour faire plaisir à un homme sans amour, mais avec qui une petite partie de baise entre amis permet dentretenir nos organes en état de marche et davoir de belles jouissances.
Celle que nous offrons à celui qui nous aime et qui a su enlever notre cur avant de prendre le reste pour la vie.
Après réflexion, la pénétration de Stéphane appartient à aucune de ces trois catégories, je peux donc prendre mon temps avec lui.
Je pense que la baise que nous pratiquons avec Léa est la pénétration par vengeance envers un homme qui na eu aucune considération pour son prochain, plutôt sa prochaine.
En attendant, ma chatte est aux anges du pieu qui la laboure. Je monte et surtout aime descendre dessus. Elle est si belle quelle atteint mon utérus. Je me sens bien rempli, Stéphane commence même à prendre des initiatives. Il me prend les seins, je parle bien de seins
s.e.i.n.s.
Ne nous, méprenons pas
Il me les prend, et les caresses.
Jai limpression quil lui faut apprendre les moments où un peu de violence entraînant de la douleur maîtrisée nous plait, me plait. Je lui prends les mains, les serre et les tire pour quils les maltraitent un peu.
Cest un bon élève, il me saisit les mamelons, les pinces et les pétries jusquà ce quun frisson passe dans tout mon corps.
Dans le même temps, ma chatte éclate de plaisir.
À moi, viens me prendre, jai envie.
Je me dégage et laisse notre homme se placer derrière Léa qui vient de se mettre en levrette. Aucun scrupule ne lhabite, seul son plaisir lintéresse.
Léa, comme à son habitude, arrive rapidement à lorgasme.
Mon dieu que cest bon, jaime vos chattes !
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