Une Rupture Difficile
Je mappelle David, j'ai 50 ans je suis marié et je vis à une heure de Paris. Je vie ma bisexualité depuis plus de 20 ans, j'ai une double vie qui est mon jardin secret.
J'ai rencontré ma femme dans le milieu professionnel et ce fut le coup de foudre . A cette époque je me cherchais et refoulais mon homosexualité par peur du regard des autres et de ma famille bien sur.
J'ai toujours était attiré par les mecs ,lorsque je me masturbais c'était toujours avec l'image d'un mec dans ma tête. Au collège on m'appelait la tapette alors que je n'étais pas particulièrement maniéré, mais plutôt car je n'étais ni foot, ni sport tout court.
Je ne me suis jamais confié à quiconque de peur que l'on me trahisse. J'ai commencé à toucher du mâle quand je travaillais sur Paris au milieu des années 90. C'est à dire vers 30 ans. J'habitais prés du Bois de Vincennes, et j'allais faire un footing ou m'y promener régulièrement, et me suis retrouvé dans un coin de drague pour mecs. J'ai d'abord pratiqué la masturbation, et me suis fait sucer, avant de passer à plus corsé en tant qu'actif.
Depuis 6 ans je suis revenu en province et je vie ma sexualité en allant dans les saunas à une heure d'ici ou à la piscine, dans les bois ou les toilettes publiques ou je fais des rencontres sans lendemain qui me conviennent. Fin Janvier j'ai rencontré un mec de 42 ans dans un bois. Le look jean, baskets une casquette vissée sur le front,
1,65 pour 60 kilos environ, le crane rasé, une petite gueule d'ange à faire craquer.
Il m'a proposé une fellation qui était fort agréable, jamais je dois l'avouer on ne m'a si bien sucé. Sa bonne bouche de suceuse m'a prodigué un bien fou dans ce petit bois, lieu de rencontres homo de la région de Chartres. Je suis néanmoins resté sur ma faim car après avoir déversé mon foutre dans sa bouche comme il le souhaitait nous nous sommes séparés sans que je ne vois son sexe.
Le plus incroyable est que nous nous sommes revus la semaine suivante au même endroit et à partir de là, j'ai vécue une extraordinaire aventure.
Le moment que je préfère est avant de lui baisser son boxer, je maccroupis pour venir lui bouffer la pine au travers du tissu. Cela l'excite un max et il est prêt à tout.
Par contre il aspire sans cesse du popers et cela fait qu'il bande moins.
Nous nous allongeons ensuite pour nous mettre en 69. Je laisse aller un doigt fureteur dans son petit trou dans lequel j'introduis ma langue pour le titiller. Jean-michel n'ai pas en reste, il me prodigue un bien fou avec sa bouche. Je ne pensais pas possible de vivre cela un jour avec quiconque. C'est trop bon, je narrête pas de pousser des petits gémissements, car je suis très expressif. C'est le pied total. Je n'aurais jamais pensé pouvoir bander pendant deux heures de façon permanente sans gicler.
A chaque rendez-vous nous réinventons le cama-sutra. Je répète que je n'ai jamais fait de telles positions avec personne. De la brouette, à la toupie Japonaise et plein d'autres choses, je lemboîte et le déboîte pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Lui est passif comme vous l'avez compris, il ne se lasse pas de caresser mes poils abondants sur tout mon corps. Il me rend fou et plus dure est la chute, car depuis maintenant un mois je n'ai plus de nouvelles. Il ne répond plus au téléphone, je n'ai eu aucune explication ce qui est encore plus dur à admettre. Je me morfonds en pensant chaque jour et chaque nuit à lui et à son superbe corps et au plaisir que nous avons pris ensemble. Je suis malheureux comme tout et ne peux même pas me confier à qui que ce soit. Que les hommes sont cruels. Pourquoi ?
Je pense ne pas avoir mérité cela. Ceci dit je ne voyais pas comment j'allais pouvoir gérer sur le long terme une telle aventure.
Je me dit avec le recul que cela devenait de la folie, j'étais de plus en plus passionné, peut être est ce cela qui lui a fait peur ? Je m'interroge encore en me disant que cela doit être sa façon de fonctionner et que lorsqu'il se lasse d'une queue il passe à une autre. En tout cas je suis heureux d'avoir vécue cette aventure intense qui a duré quatre mois. Je ne pourrais plus jamais oublier comme nous nous sommes aimés. Cela a un goût d'inachevé encore plus cruel.
Je me promets de ne plus jamais remettre le couvert avec un mec, la rupture n'en ai que plus amère. Pour oublier je multiplie les rendez-vous baise. La semaine dernière je me suis tapé trois mecs au sauna d'Orléans le même jour en l'espace de deux heures.
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