La Camera Espion (Suite)
Les jours suivants, Chantal est devenue la femme soumise idéale pour un obsédé sexuel que jétais devenu (à cause delle quand même).
Elle a accepté de se soumettre à toutes mes perversions.
Pourtant elle avait toujours été mal à laise dans ce genre de jeu de lexhibition. Elle a su devenir une vraie salope en compagnie de son amant et de ses complices, alors quauparavant, quand il sagit de montrer son cul et ses seins à des inconnus, elle faisait la sainte nitouche, loie blanche.
Maintenant cela mexcitait de la forcer. Il fallait quelle paie son « loyer » auprès de moi. Elle se forçait et plus ce que je lui demandais lui déplaisait plus cela excitait et satisfaisait ma vengeance.
De son côté, assouvir mes désirs les plus fous lui laissait à penser que ma reconquête passait par là. Nous étions unis pour le même objectif. Moi la faire payer sa trahison, elle payer sa dette. Je narrivais pas à laimer et je doutais fort quelle maimât toujours et que ses réelles motivations nétaient qualimentaires. Convaincu je ne me privais pas den faire la femme objet que tout homme espère avoir.
Un jour je lai obligée à rejoindre dans un hôtel un inconnu rencontré sur le net. Je lui avais montré des photos de Chantal très suggestives et le type était devenu fou delle et nattendait que le moment de la sauter.
Pour aller au rendez-vous, je lui ai demandé de shabiller bourgeoise bcbg. Cétait le fantasme du mec. Elle a accepté sans hésiter en ne manquant pas de me faire remarquer combien elle tenait à moi pour accepter ce genre de « contrat » !
Je mamusais à faire semblant de ne pas comprendre. Je ne laimais plus et ses états dâme ne mintéressaient plus.
- Tu nas pas peur quil me fasse du mal ?
- Tu as eu peur toi, de me faire du mal ?
Elle sest mise à pleurer sans que cela mémeuve. Jétais tellement malheureux de lavoir perdue, javais eu tellement de souffrances quelle ne méveillait plus aucune pitié.
Je lai accompagnée en fin daprès midi jusquà lhôtel en lui disant que le type me dirait quand revenir la reprendre. Devant ma froideur, elle se remit à pleurer encore.
- Sèches tes larmes, il va te trouver moche et va refuser de te baiser.
- Parce quil est question de baiser avec lui ?
- Quest-ce que tu crois ? Je tai vue à luvre avec Jacques et Philippe. Tu te conduisais comme une chienne sans aucune pudeur ! Alors maintenant, ne fait pas ta timorée !
Je me penchais sur elle pour ouvrir sa portière et la faire sortir. Elle cru comprendre un moment que je voulais lembrasser. Devant sa méprise, elle pleura de plus belle avant de sortir de lauto pour disparaître dans le tourniquet de lhôtel.
Je passais un SMS à mon complice pour annoncer quelle arrivait.
Cest vers minuit quun message me prévient que je pouvais venir récupérer ma salope.
Elle poireautait dehors sur le trottoir à mattendre, la mine défaite.
- Alors ? Tu as aimé ? Tu as pu assouvir ta libido ?
- Sil te plait, je suis crevée. Rentrons, jai envie de prendre une douche et dormir. Dormir !
- Tu te trompes, tu ne vas pas te laver. Je veux que tu restes souillée toute la nuit.
- Oh non, sil te plait. Si tu savais tout ce quils mont fait subir !
-
Tont fait subir ? Ils étaient plusieurs ?
- Au début non, mais après mavoir prise plusieurs fois, ton copain a appelé le garçon détage. Il ma e à rester nue les cuisses ouvertes sur le lit quand il est entré. Jétais morte de honte. Il était très jeune !
- Raconte, sort ma bite et branle moi pendant que je conduis.
- Oh, oui mon amour, je veux bien te faire plaisir.
Encore une tentative de récupération. Si elle savait combien cétait maintenant inutile.
Je lai tellement aimée ! Je lidolâtrais. Aucune autre femme ne maurait détourné delle.
Je repense aux matins quand, amoureux, je lui préparais son petit déjeuner car elle se levait plus tard alors que jétais parti au bureau.
Une passade, je laurais pardonné, mais une liaison fondée sur le mensonge, jamais. Je lai aimée. Je ne laime plus.
Javoue que comme objet de mes perversions, elle est parfaite. Si belle ! Je ne suis pas très fier dun tel comportement mais je nen ressens aucun scrupule ni remord.
- Il est venu sasseoir sur le lit à mes côtés. Il a demandé au jeune de sapprocher. Il lui a demandé sil me trouvait belle. Timidement il a répondu oui par un simple signe de tête. A moi, il na pas demandé mon avis : « tu peux regarder et même tu pourras toucher ». Ton copain avait répondu à ma place. Il a commencé par me toucher les seins, puis le sexe, en ouvrant bien mes lèvres pour montrer lintérieur de mon intimité. Malgré la honte je me laissais faire. Le jeune avaient les yeux braqués sur ma vulve.
- Tu devais mouiller non ?
- Tu aimerais savoir ?
- Dis-moi, branle moi et ne pose pas de questions.
Des larmes sont alors apparues, je lavais blessée.
- Oui, malgré que je me sente humiliée, je ne pouvais nier que je mouillais. Et dailleurs ton copain sen est aperçu et sest empressé de le faire remarquer au garçon détage. Il la invité à sasseoir sur le lit de lautre côté et lui a dit quil pouvait me toucher, que jétais une salope et que je ne demandais que ça ! Il a hésité puis il a timidement commencé par me toucher les seins, maladroitement. Ton ami regardait en se caressant la queue.
Comme elle me racontait, je ne pouvais nier ni cacher que cela mexcitait. Tout comme quand je la matais en train de se faire baiser par ses amants.
- Continue de raconter.
- Tu veux que je te suce mon amour ?
Elle dit cela entre deux sanglots.
- Non, ta bouche comme tout chez toi est souillé.
Là, javais dépassé un limite. Se redressant sur son siège elle se mit à pleurer de plus belle. Elle tremblait, avait du mal à prendre sa respiration. Je décidais darrêter ce jeu sadique et mexcusais. Il lui fallut plusieurs minutes pour se ressaisir
- Allez, calme toi et fait moi jouir. Continue de me raconter, ça mexcite.
Elle sourit légèrement timidement. Elle était contente de me plaire.
- Le jeune sest vite dévergondé. Il me touchait partout et ton ami se branlait. Moi je prenais de plus en plus de plaisir avec lui. Cest vrai, excuse moi. Il ma embrassé sur la bouche en y mettant toute sa force et envie. Il na pas dû se rendre compte que javais sucé et avalé le foutre de ton ami.
Cest à ce moment que jai explosé dans sa main. Cette confidence spontanée davoir avalé le foutre de cet inconnu ma fait jouir. Elle regardait mon foutre jaillir du bout de ma queue avec un sourire de satisfaction. Elle avait accompli un pas vers ma reconquête.
Cest vrai que cette femme, ma femme encore, est belle et je crois quen cette minute je ne savais plus bien quel était mon sentiment envers elle.
En arrivant chez nous, je lai laissée se doucher. Elle ma rejoint dans notre lit. Elle est venue se blottir contre moi, comme une qui cherche le réconfort. Jaimais son odeur, la douceur de sa peau. Sans le vouloir vraiment je me suis mis à lui caresser les cheveux. Je lentendis me dire tendrement
- Je taime. Je taime.
Jétais à deux doigts de lui répondre moi aussi, mais les images de sa débauche ont brusquement ressurgi dans ma mémoire. Je me détournais delle. Mais comme une femme amoureuse elle resta blottie tout contre moi.
A cette minute jai décidé de pardonner.
Javais remarqué que notre boulanger avait les yeux qui brillaient quand Chantal était avec moi dans la boulangerie. Je me suis mis à fantasmer sur ce que pouvait bien savoir ce brave homme.
Jimaginais que ce salaud de Philippe ou même Jacques avait très bien pu se vanter de sauter ma femme. Elle était certainement la plus belle de ses clientes. A cette évocation je me suis senti triste de lavoir perdue. Ou presque quand je voyais tous les efforts quelle développait pour ma reconquête. Mais un doute persistera toujours. Est-elle sincère ? Le restera-t-elle ?
Je suis venu le voir un jour.
- Vous êtes seul dans votre boutique ?
- Oui. Mon employée est malade et ma femme est en course. A moi de faire de la présence ! Et vous, votre épouse nest pas avec vous ?
- Elle est aussi à faire les magasins !
Jessayais de voir si un signe dans son comportement pouvait me confirmer mon soupçon. Rien.
Je décidais de foncer :
- Vous connaissez Philippe du club de tennis et son ami Jacques ?
Cette fois le coup aboutit. Le brave homme se met à rougir, troublé de toute évidence.
Le type est vraiment troublé. Il ne sait quoi répondre. Il est brusquement sauvé par lentrée dune cliente.
- Servez Madame lui dis-je, ne voulant pas lâcher ma proie.
Une fois la cliente partie je reviens à la charge.
- Je vois à votre trouble que vous devez savoir quelque chose du comportement de ces personnes, non ?
- Ne vous méprenez pas. Je ne sais pas de quoi vous voulez parler, sauf que votre question supposait que vous aviez un soupçons dont jignore la nature. Pour ma part je ne sais rien, même si je connais bien ces deux personnes.
Cette plus aucun doute, cette avalanche de justifications véreuses accusent notre homme.
- Vous savez, je suis un mari à lesprit large. Ma femme est belle et souvent elle est courtisée et moi comme témoin je men trouve très souvent fier et même parfois complice.
Le boulanger est vraiment soulagé dentendre mes propos. Il se détend et se lâche.
- Je peux vous faire une confidence ?
- Faites, je vous en prie !
- Votre épouse est superbe. Cest ma plus jolie cliente !
- Oui, cest vrai. Vous nêtes pas le premier à me le dire. Il faut dire quelle sait bien se mettre en valeur !
Ce dialogue commençait à mexciter. Et sil était au courant que ma Chantal était une salope qui me trompait ? Quil avait devant lui le cocu du quartier ? Je crus lire sur son visage comme un sourire révélateur.
- Jespère que je ne vous froisse pas ! Votre femme est si délicate et respectable et respectée.
Pourquoi cette précision ? Je veux en savoir plus.
- Respectable ? Elle ne la pas toujours été malheureusement. Mais excusez-moi, je ne sais pas pourquoi je vous fais toutes ces confidences. Jespère que je peux compter sur votre discrétion.
- Ne vous inquiétez pas, je suis pour la solidarité entre hommes. Et je tiens encore plus à lhonorabilité de mon commerce.
- Je vous remercie.
Je voulus lui régler mon pain et sortis mon portefeuille pour louvrir faisant semblant de rien. Je sais que deux photos de Chantal sont bien visibles.
Je lui expose les images bien devant lui. Il mate. Je saisis son regard :
- Elle est belle non ?
Je lui présente ostensiblement les deux photos.
- Certainement, répond-il quelque peu déstabilisé.
- Il faut vous avouer que jaime bien les regards des hommes sur elle.
Alors je prends dans ma sacoche dautres photos de Chantal nue dans des positions sans équivoque que javais prises pour venir le voir. Il mate et je le vois qui rougit encore.
- Vous avez raison daimer montrer votre épouse. Elle est splendide me dit-il en me les redonnant.
Je lui réglais mes achats et je rentrais chez nous pour me masturber et jouir tellement cette séance mavait excité.
Je me rendis compte à nouveau que jétais follement amoureux de ma femme.
Je me souviens dune autre fois où je lui ai demandé de satisfaire mon fantasme de candauliste.
Nous étions à faire nos courses dans une grande surface. Cétait lheure du déjeuner, il ny avait pas beaucoup de monde. Javais remarqué quun homme seul poussait un chariot avec peu de choses dedans. Je lai remarqué une autre fois derrière nous. Surtout jai surpris un regard sur les jambes de Chantal qui portant alors une mini robe dété courte qui en outre laissait ses épaules nues.
Je lui avais fait mettre cette robe car je prenais beaucoup de plaisir de voir le regard cupide des hommes sur elle. Pour compléter sa tenue sexy elle portait des sandales lacées qui affinaient ses longues jambes. Elle était superbe et jétais fou de fierté davoir à mes côté cette femme superbe.
Je marrangeais un moment à la laisser seule pour espionner mon voyeur et me conforter sur ses intentions. Je ne disais rien à Chantal, je voulais aussi la tester. Elle déambulait le long des allées sans rien remarquer. Lhomme la suivait. Je me surpris à bander. Comme elle passait devant un rayonnage de sous vêtements, lhomme sapprochât très près delle. Je vis soudain Chantal tourner la tête vers lui, surprise. Je compris quil venait de lui adresser la parole. Puis un sourire safficha sur le visage de Chantal, mais elle repris sa course. Lhomme se mit à la suivre.
Je décidais de la rejoindre.
- Ça va ?
- Oui. Tu as vue le type qui me suit ?
- Non.
Je jouais les menteurs pour une nouvelle fois tester sa franchise.
- Il ma adressée la parole même. Il voulait savoir si jacceptais quil me paie des sous vêtements et aller les essayer avec lui.
- Hummm, tu aurais dû accepter.
- Ho, no. Il est vieux moche et pas net sur lui.
On jette un il à sa recherche. On ne le voit pas. Il réapparaît soudain aux détours dune allée. Il nest plus seul, un autre homme laccompagne. Tous les deux jettent un regard vers nous sans aucune gêne. Ils échangent des paroles et appuient des illades sur les charmes de Chantal.
- Tu vas les écouter et faire ce quils te demandent.
- Quoi ? Mais tu es fou ! Je ne veux pas !
- Tu as déjà oublié ta promesse ?
Ses yeux se chargent soudain de larmes. Elle contient un sanglot.
- Ecoute, je te laisse seule. Tu vas bien voir ce quils te demandent ! Tu refuseras si cela test trop difficile. Retourne au rayon lingerie et attend.
Elle me fait un sourire de lassitude, mais elle semble contente de ma compassion. Je ne peux mempêcher de penser que je suis un salaud. Même après ce quelle ma fait vivre, je ne peux pas devenir ce que je ne suis pas.
Je méloigne mais reste à distance mais hors de vue des deux bonshommes.
Comme je le pensais, ils la rejoignent immédiatement et sans prendre de précaution le premier qui lui avait adressé la parole laborde. Chantal cette fois lui sourit sans hésiter, comme pour lui signifier quelle nest plus dans le même état desprit que tout à lheure. Le second ne se gêne pas pour la détailler. Chantal tout sourire ne le décourage pas, au contraire je crois. Je la sens à laise et je ne peux mempêcher à nouveau de penser aux scènes de partouze auxquelles jai assisté. Ma femme est belle, très belle et en même temps elle a appris à se faire désirer. Je repense plus précisément à son effeuillage pour allumer Philippe avant de se laisser baiser. Lérection ne me quitte pas.
Chantal tourne autour des étalages de soutien gorges et de petites culottes. Elle en choisit plusieurs, les plus sexy et les plus osés.
Elle charge son chariot sous le regard concupiscent des deux vieux cochons. Elle se dirige alors vers les cabines dessayage suivie de près des deux hommes. Elle choisit la cabine la plus reculée. Il ny a personne.
Les cabines sont fermées comme dhabitude par un lourd rideau.
Chantal abandonne son chariot, prend les vêtements et entre dans la cabine. Comme de bien entendu elle sarrange pour que le rideau reste un peu ouvert.
Je me place de telle manière de ne rien manquer du spectacle. Les deux hommes me cachent un peu la vue car ils se sont postés pratiquement contre le rideau. Lun deux jette un regard alentour et rassuré dêtre seuls, il ouvre entièrement le rideau.
Chantal fait face à la glace. Lentement elle dépose soutiens gorges et slips sur un petit banc.
Elle passe ses mains dans son dos pour faire glisser la fermeture éclair de sa robe et découvrir son dos nu confirmant quelle ne porte pas de soutien gorge. Elle dégage ses épaules et fait glisser sa robe qui tombe à ses pieds. Dans le miroir, superbes, apparaissent ses seins fermes et dressés dont la pointe au centre de ses aréoles sont superbes.
Chantal superbe ne semble pas sintéresser à ce qui se passe derrière. Elle se saisit dun soutien gorge noir à fines dentelles, passe les fines bretelles sur ses épaules et lagrafe dans son dos. Deux doigts pour ajuster le fin tissu à sa peau. Quelle grâce, quelle délicatesse dans ces gestes !
La tension devient plus lourde quand elle fait glisser son slip le long de ses cuisses. Ses fesses aux rondeurs parfaites se découvrent. Les voyeurs sont immobiles subjugués par ce quils découvrent. Mon épouse passe maintenant un mini string ficèle dont elle ajuste la ficelle entre ses deux globes pour la faire disparaître. Elle choisit alors de se tourner face aux voyeurs à qui elle délivre un sourire plein de signification. Un des deux hommes a pris son portable et prend plein de clichés. Chantal se plie volontiers à cette séance photo, sans imaginer que peut-être ces images vont faire la joie des voyeurs sur internet.
Elle se met à onduler des hanches pour exciter ses deux vieux cochons. Elle se tourne à nouveau et cambre ses reins pour faire rebondir ses fesses entièrement dévoilées. Elle prend appui de ses deux mains contre la glace au fond de la cabine, se penche, écarte ses jambes pour souvrir le sexe en écartant ses grandes lèvres. La ficelle du string parcourt sa raie culière.
Un des deux hommes sapproche, avance la main et la plonge entre les deux cuisses ouvertes. Chantal a un sursaut mais elle laisse les doigts lui dégager le string et fouiller le vagin. Les doigts ressortent chargés de cyprine.
Doù je suis je vois son dos à peine couvert de ses longs cheveux.
Quelle est belle. Je redeviens amoureux de cette salope ! Il faut que je me ressaisisse.
Soudain derrière moi je sens une présence. Un vendeur assiste à la séance ! Depuis quand ? En tous cas il se doit obligé de se manifester en se raclant la gorge.
A ce signal, les deux hommes séloignent. Chantal referme le rideau.
Deux minutes après elle me rejoint tout sourire. Elle remarque tout de suite ma bosse au niveau de ma bite.
- Tu es content mon amour. Jai fait comme tu voulais ?
- OUI, je te retrouve salope.
- Mon amour ; je voudrais tant que tu maimes à nouveau.
- Ce sera difficile !
Je me souviens que ce jour là jai failli avoir la faiblesse de lui montrer mes sentiments renaissants.
Maintenant, je devais me rendre à lévidence, cette femme, ma femme, cette salope qui mavait cocufié, humilié, ridiculisé : je laimais encore et je décidais de la garder.
Les deux autres allaient payer.
Je voulais la récupérer.
Je devais alors massurer de sa fidélité et me conforter quelle ne voyait plus celui dont elle mavait avoué quelle laimait.
Jallais lui tendre un piège. Avec la complicité bien involontaire innocente dune amie
- Chantal est venue te voir samedi dernier ?
- Non, pas du tout.
- Cest Jacques qui me la dit.
- Jacques sest trompé.
- Il voulait voir Chantal et il ma dit quelle était chez toi.
- Je nai vu ni Jacques ni Chantal. Mais André était là et moi je me suis absentée. Il la peut-être reçue. Je lui demanderai ce soir.
Cet André est un bon copain de Jacques et je suis sûr que ce salaud a dû se vanter de sauter ma femme. Il va sans doutes lui parler que Chantal a cherché à le voir et peut-être va-t-il la contacter pour en avoir le cur net et surtout se rassurer quelle ne cherche pas à se venger de lavoir larguée si brutalement.
Deux jours se passent sans que je remarque quoi que ce soit dans son comportement. Mais je la sais si forte pour dissimuler ses sentiments que je me méfie.
(à suivre)
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