Le Bal-Trap

Je suis consciente d'avoir exagéré , cherché la misère se soir là, mais voila , à chacun ses fantasmes !

Depuis l'adolescence, les vieux vicieux m'ont toujours fait frissonné! Combien de films je me suis fait me mettant en scène avec de vieux cochons baveux aux mains galeuse et l'allure lourde .,,,

Ho certes, j'avoue avoir eu quelques relations avec des hommes bien plus vieux que moi mais jamais je n'ai atteins le sommet du palsiir comme je peu l’atteindre dans mes films !!!!

Alors , oui ! En cette fin de weekend chargé... Je me suis sentis pousser des ailes !
Il faut dire que nous étions sortis dés le vendredi .... Jusques 3h du matin pour nous lever par obligation vers 7 heure . Nous avions enchaînés par une soirée entres amis le samedi soir, soirée bien arrosée de laquelle nous étions rentrés vers 4 heure du matin.
Le dimanche s'annonçait un peu plus calme avec un passage sur une manifestation sportive en début d'après midi suivit de se fameux ball-trap ou nous devions juste passer prendre un verre avec des amis qui étaient de service bénévolement pour l'association organisant cette manifestation.

Le weekend se terminait là et pas trop tard mon mari reprenant la route vers vingt heures pour son job.

J'étais loin de penser a se vieux fantasme dont je vous parlais en début de récit. Le weekend me faisait le plus grand bien, sortir, voir des amis, rire et boire un verre ensemble était divertissant. De plus un soleil de plomb nous avait accompagnés durant ces trois jours et j'en portais les stigmates sur ma peau.

Nous sommes rentrés de la fête du sport vers 17h faisant un crochet par la maison le soleil se cachant un peu, j'avais quelques petits frissons avec ce petit vent qui se levait. Le temps de me changer pour une petite jupe bien moulante et une paire de collant chair , les boots à talons remplaçant les claquettes et une petite laine par dessus le teeshirt échancré j'étais prête .

Nous nous sommes accordés quelques minutes de calme bien agréable avant de repartir une fois de plus partager le verre de l'amitié entres amis ...

Je crois que c'est durant cette pose que je me suis mise à y penser ! C'est vrai que depuis deux ans maintenant nous passons prendre un verre par sympathie pour nos amis mais pour ma part, ce n'est pas le genre d'endroit qui me branche !
Les détonations de fusils me faisant sursauter, tous ces types équipés comme des chasseurs ...
L'alcool qui coule à flot sur un bar improvisé dans une vielle grange au milieu de nul part ... Oui pas trop mon trip ! Le seul point positif la dedans restant tous ces types au regard ludique me reluquant du haut en bas comme s'ils n'avaient jamais vue une femme en jupe courte ... Bon , j'admet , ce n'est peut être pas la tenue idéale pour se genre d'endroit . En même temps lorsque j'y ai pensé j'ai demandé à mon époux si cela ne faisait pas trop court lui proposant même de me changer une nouvelle fois ... Il a rit en me disant que j'étais parfaite !!!

Un grand frisson m'a parcourut en avançant vers la grange qui sert de repère le temps de ce weekend ...
Enroulée dans ma petite laine je suis mon mari sur se petit chemin de terre battue ... Tête baissée je prend garde à ne pas me tordre une cheville mais sens déjà des tonnes de regards sur moi .,,,

Nous avons rejoins nos amis saluant la vingtaine de personne prenant un verre pour la plupart sur des tables de fortunes le reste , quelques hommes au bar sirotant déjà l'apéritif grognant a voix haute des mots que je ne comprenait pas le moins du monde !

Une petite ballade sur ce qu'ils appellent des pas de tires ... Des ballots de paille en guise de barrières ... Bref, tout était d'une époque révolue mais vue le petit village de 400 âmes , retiré de 10 kilomètres de la première ville digne de se nom, il ne pouvait en être autrement ...

De retour dans la grange , un calme plat lorsque nous avons rejoins une table .
.. Étais je la raison de se blanc soudain ? J'osais à peine relever les yeux pour le vérifier !

Nos amis sont de sacré fêtards et très vite je me suis détendu ... Enfin, après quelques verres de rosé à peine frai !!! Quelques blagues de Pierre le compagnon de Sabine ... Je relevais enfin la tête et sortais de ma timidité exagérée. Sabine ... Ha la la Sabine ... toujours en route à blaguer ! Elle connait tous le monde dans le village, normal me direz vous puis ce qu'elle y est née et y a toujours vécu. Nous sortons parfois tous les deux de la grange et nous baladons en fumant notre cigarette et chacun des individus qu'elle croise la connait et discute un peu. A peine reprenons-nous notre chemin qu’elle me dit à sa façon quel genre de type vient de nous saluer ! Elle me présente comme sa copine de toujours et parfois ajoute ou plutôt demande : elle n'est pas jolie ma copine ?
Je ne cesse de lui tirer le bras en ronchonnant lui demandant d'arrêter ! Nous rions comme des folles toutes les deux ... Voila qui me décoince encore d'avantage d'autant qu'elle me raconte que celui là se tape la femme de celui ci ou la boulangère du village .... Celui ci est un vrai pervers ... J'en passe et des meilleurs ...

De retour à la grange nous rions toutes deux alors que mon mari est au bar son ami ayant dut reprendre le service ... L'heure de l'apéritif attirant de nouveaux visiteurs ... C'est l'occasion pour beaucoup de sortir et papoter un peu.

Après dix minutes à table à déconner et réclamer un petit rosé de plus, c'est moi qui me suis levé pour me rendre au bar prendre nos collations ! Loin de mes habitudes je l'avoue mais voila ... Quelques peu grisé par l'alcool mais aussi par l'énervement transmissible de Sabine .... Je me sentais pousser des ailes et bien que taquiné par quelques hommes au bar je restais impassible me permettant même de les fixer le sourire aux lèvres ! Je les allumais pour être honnête!
Les tournées d'apéritifs se sont cumulées et je passais à l'eau sentant que j'atteignais mes limites.


L'heure passait et mon homme qui devait rejoindre son équipe sur un chantier à l'étranger revenait vers moi me signifiant qu'il était l'heure ...
Moi qui attendait la cuisson des pizzas qui embaumaient depuis quelques minutes la grange ... Pour me caler l'estomac et faire passer un peu l'alcool ingurgité !

C'était sans compter sur Sabine qui de suite est intervenue me demandant de rester, suppliant mon homme de me laisser manger avec eux ....
Quelques minutes de mise au point et mon mari partait seul, Sabine lui ayant promis de me ramener un peu plus tard ... Oups quelle chance ! Rire c'est vrai que l'on s'amusait bien et riaient a en perdre haleine .... De plus je dois dire que je me sentais la reine sous les pluies de compliments que je recevais certes de drôles de personnages mais bon , des hommes du genre gros dur vieillissant.... Cela me plaisait et même me troublait !

Image amusante, j'ai accompagné mon mari jusques la voiture un peu triste qu'il nous quitte ... Le temps que la voiture s'éloigne et c'est Sabine qui me sautait dans les bras heureuse de passer la soirée ensemble ....

Sabine, comme si elle craignait mon mari m'a alors présenté à des tas de gens sommes tout très sympa ... J'étais plus attentif et remarquais vite les regards lourds de certains ... Et pour ne rien cacher, quel plaisir de me tortiller les fesses devant eux, devant ces regards baveux d'envie de me paluches les fesses !

Sous l'influence de Sabine je me remettais au rosé pour passer une bonne soirée comme elle le disait ... Sauf que l'alcool et moi ne font pas très bon ménage!! Ho je n'ai pas ce que l'on appelle l'alcool mauvais mais plutôt .. L'alcool inhibe !!! Je me lâche , ris , plaisante et parle avec qui veut bien ....

Le bar , les pizzas, le coup de feu a eu lieux bien tard et c'est Pierre qui a demandé de l'aide à Sabine ....
Je me suis retrouvé seule au beau milieux de tous ces hommes à discuter avec certains qui s'interrogeaient sur ma présence ici .
.. Un verre de rosé à la main en attendant que ma pauvre copine soit un peu moins submergé par le travail ...

Guai comme je l'étais les plaisanteries allaient bon train et je riais à tous ... Je me régalais comme une gamine a fixer ceux qui me matait ... A me pencher pour écouter car dans l immense pièce la résonance se fait forte provoquant un brouhaha indescriptible . Plusieurs types me parlait mais un seul retenait mon attention et pour cause , c'était le seul a regarder ouvertement dans mon décolleté lorsque je prêtais l'oreille .

Amusé par se vieux cochon d'une bonne soixantaine d'année qui me complimentait sans cesse je prenais plaisir a le voir baver sur moi ... Ajoutons a cela qu'en réponse a son interrogation concernant mon mari , je lui répondais qu'il était partis bosser , vous comprendrez mieux qu'il se délectait de ma compagnie ...

J'ai dus m'enfiler deux rosés supplémentaires , gracieusement offert par se vieux cochon... Je dis cochon mais c'est loin d'être usurpé! La peau fripée , rougis par , je suppose le vin ou l'alcool ... Ses grosses mains galeuses , peu être plus galeuse que dans mon fantasme ... Ses grosses joues bouffies se terminant sur son menton par deux rides creusées à la verticale de ses coins de lèvres ... Là ou du reste entre deux gorgées de bière il passait le revers de la main essuyant sa bave ... La bière qui soit dit en passant était surement à l'origine de cette bedaine que son vieux pull
Des années soixante ne couvrait qu'au trois quart . Le tableau était pitoyable , pourtant je frissonnais lorsque son regard cherchait a me mater vicieusement ...

Alors , oui .... Au beau milieu de cette foule lorsqu'il m'a parlé de hutte , je n'ai pas compris ... Lorsqu'il m'a proposé de voir la sienne ... J'ai cherchée Sabine du regard ... Se gros vicieux avait un tel regard que je me sentais fondre instant de panique , une boule de feu me traversait les entrailles ... Tout de même , se vieux cochon ...

J'ai pensé un instant qu'au pire il me materait et me pincerait les fesses ...après tout , il était si proche des petits films que je me suis tans fais, n'était ce pas l'occasion?
Sabine débordée faisait des allers retours entre les frigidaires et le bar et vue la foule s'agglutinant devant se dernier cela n'était pas prêt de s'arrêter.

J'ai dus déglutir plusieurs fois avant de lui demandé si c'était loin! Le nez planté entre mes seins sa réponse m'a encouragé .,.
- du tout à trois minutes derrière, par le petit chemin !!!
- bah , pourquoi pas je fumerais ma cigarette en même temps ...
Je peu vous dire que je n'étais pas bien en répondant cela , mes regards vers Sabine étaient comme un appel aux secoure!
Certes une telle situation ressemblait a mes fantasmes les plus chaud , l'individu également mais tout de même ! M'isoler ainsi avec se vieux cochon qui n'avait cessé de me manger des yeux , était ce bien prudent ? Mon cœur battait la chamade, mes tempes bourdonnaient ... J'étais irrémédiablement attiré par la situation Complètement hors du temps .

Je sortais recroisant les pans de mon petit gilet , il devait être 21 heure et la fraîcheur se faisait sentir , j'avançais vers le petit chemin tout en me préparant une cigarette . L'homme passait devant moi tout en me disant que l'endroit était super calme ... Je lui emboîtais le pas regardant la plupart du temps ou je mettais les pieds de peur de chuter . Relativement propre, le chemin très étroit n'était en fait qu'une petite allée à même la terre tracée par les multiples passages au travers des herbes hautes.
Devant moi, le type prenait quelques mètres l'avance puis stoppait pour m'attendre tout en me regardant alors que doucement j'entendais les piaillements de la grange s'éloigner. Plus j’avançais, plus le calme apparaissait et plus je me demandais se que je faisais là . Pourtant, irrémédiablement, j'avançais tout en me demandant ce qui allait se passer ....Me rassurant comme je le pouvais , je me disais : rien sans doute , arrête de te faire des films ma grande , se type me matte certes mais voila , il est sympa et me propose juste de découvrir sa hutte . Nous échangions quelques mots sur le chemin , je répondais à ses questions tout en avancent doucement . Il à plaisanté en me disant que ment ce n'était pas pratique en tenues pareil dans ces chemins . Je ricanais lui disant que je n'avais pas prévue de visiter des lieux ...C'est vrai qu'en petite jupe moulante sur mes bottes à talons je n'en menais pas large avançant d'un pas incertain .

Il n'avait pas mentis , trois ou quatre minutes plus tard , nous prenions une petite entrée discrète sur notre gauche pour déboucher sur une petite maisonnette ou cabane devrais je dire . Retiré de tout , l'endroit était très calme et plutôt jolie . Le toit en herbe , on devinait à peine qu'une cabane pouvait exister là dessous . Mon guide sortait un gros trousseau de clefs de sa poche se mettant à ouvrir plusieurs verrous ...La porte grinçait à l'ouverture tandis qu'il se mettait de coté m'invitant à entrer . Une odeur spéciale que je ne suis pas prête d'oublier m'a envahit les narines , odeur d'humidité je pense . Trois marches donnaient accès à une pièce exiguë munie du stricte nécessaire... Une petite table des années 70 comme nous avons tous connue chez nos grands parents en formica aux pieds chromés .... Une gazinière datant je suppose de la même époque et d'une armoire de rangement .... Une petite ouverture dans la cloison bien basse donnait accés à ce qu'il me présentait comme une salle de tire .... Décidément , ils tirent toujours dans nos campagnes .
Lorsqu'il à ouvert une petite trappe j'avoue avoir été surprise du spectacle , nous étions en fait à hauteur d'un superbe plan d'eau et la vue était captivante . J'y avançais du reste pour admirer le panorama .

L'air frai s’engouffrait par la trappe et je respirais à plein poumon comme pour reprendre un peu mes esprits . Je n'ai cependant pas trop eu le temps de les reprendre .... Appuyée , les coudes sur une tablette face à cette trappe , je sentais le souffle du mec dans ma nuque .... Puis sa main sur le derrière de ma jambe ne se gênant pas pour remonter vers mes fesses .... J'ai tentée de reculer tout en lui demandant ce qu'il faisait mais son ventre m'a pressé contre cette même tablette et vue le poids de cet homme et l'étroitesse du lieu je ne pouvais lui échapper ....

Collé à mes fesses , sa respiration forte , il me soufflait a l'oreille que je le faisais bander ... Je tendais les bras tentant tout de même de le repousser mais il était bien trop fort pour réussir dans ma manœuvre, Par dépit ou pour la forme , je tentais de la main de repousser la sienne qui s’initiait
sous ma jupe me retroussant sans gêne tout en grognant qu'une jolie nana comme moi aussi allumeuse devait aussi savoir donner du plaisir .... Plus je me débattais , plus je m'offrais à lui finissant par me coincer les jambes écartées , il me fourrait un doigt puissant emmenant sur son passage string et collant .

Paralysé , chacun des muscles de mon corps tétanisés, je fermais les yeux tandis que son énorme doigt me forçait le minou ! Je me sentais écrasé par son ventre dominant ... L'odeur amer de sueur m'envahissait les narines ... Ses grondements , sa respiration haletante, yeux clos je passais du fantasme à la réalité prise en main par un vieux cochon ... Le rêve devenait réalité !

J'ai due cessé de lui résister et cela a mit mon gros vicieux en confiance ! Ses grosses paluches me palpaient de partout passant de mes fesses à mes seins qu il prenait a pleine main malaxant avec force tout en grognant . Je ne bougeais pas , me contentant de gémir sous son emprise partagé à se moment là entre dégoût et envie ....

Il était quelques part répugnant physiquement mais aussi dans son comportement a grogner renifler et me lécher la nuque de sa langue épaisse ... Je gémissais tout en me tordant , me cambrant littéralement levé du sol par ses gestes puissants .

Il m'a alors pris avec autorité par le bras me tirant comme une vielle couverture vers la petite pièce à l'entrée ... Grognant ... Viens ma belle petite salope je vais t'en donner!
Il m'a littéralement jeté à plat ventre sur la table . Sans jamais lâcher prise , il m'a retroussé la jupe sur les hanches alors que je tentais vainement de me débattre quelques peu ... A trois reprises il m'a administré une bonne fessée de sa lourde main ... Me grognant dessus comme si j'étais sa chienne ...
- laisse toi faire petite traînée , je vais te calmer ... Ton cul me rend fou , je vais te bouffer ...

Pendant ces propos il se battait avec mon collant tentant de le descendre en vain .. Cela ne l'a pas freiné bien longtemps puis ce qu'en quelques seconde il déchirait mon collant comme une feuille de papier dégagent mon entre jambes de toute protection ...
Ventre sur la table , cette fois ses gros doigts râpeux prenaient possession de ma chatte qui ne trompait pas de mon état ... Il s'en exclamait de suite me trouvant bien humide pour une dame sage ...
Ses mots me traversent encore l'esprit ... Lorsqu'il a cessé sa pression sur mon dos se redressant , il m'a saisit les hanches me tirant sur le bord de table , je m'attendais à cet instant précis à sentir son gland prendre la place de ses doigts .... Il mangeait ses mots mais je comprenais bien ses dires tout en me positionnant sur le bord de table ...
- donne moi ton jolie cul petite salope !!!

Sans réaction je le laissais me positionner comme il l'entendait ... Holala .... Ses doigts ont terminés de lapider mon collant pas assez arraché à son gout ... Ses pouces sur mes lobes de cuisses m'ont écarté la vulve et d'un coup sa langue bouillante est venue me lécher la raie entière ... Une fois , puis deux ... Une troisième qui me faisait me redresser sur les mains tout en me cambrant cherchant même a ouvrir d'avantage les cuisses ...

Il n'était pas dupe et remarquait vite que je prenais plaisir a subir cette langue chaude et épaisse sur mon intimité ...
Je cherchais désespérément un point d'appuis du pied gauche ! Mon compère avait tout compris saisissant une chaise qu'il glissait à ma porté . S'en était trop , je ne pouvais jouer les filles offusquée plus longtemps !

Cette langue puissante m'arrachait de long râles de plaisir et j'en redemandait ... Je posais le pied sur cette chaise et me redressais sortant les fesses et m'ouvrant à sa langue baveuse ... Très vite il comprit que j'étais enfin a sa merci !

- oui petite vicieuse donne moi tes fesses que je te les bouffe !

A genoux derrière moi il reprenait ses coups de langue puissant me dévorant l'abricot comme rarement un homme l'avait fait ! Ses pouces m'encartaient encore d'avantage et cette langue explorant ma raie , me fouillant la vulve , s'initiant même sur le bord de mon anus me faisait perdre la tête. Je me cambrais à en avoir mal au dos et main droite sur la table , je m'écartais la fesses gauche de la main libre grognant de me manger la chatte ..

Comme fou il se ruait sur mes fesses tantôt ses doigts, tantôt sa langue entraient en mon entre ... Il haletait comme un chien derrière moi qualifiant mon cul de bien des mots . Le bruits de ses doigts entrant au plus profond de moi , se bruit de mouille , il me limait littéralement de ses gros doigts râpeux de pervers et j'adorais cela , je gémissais de bonheur le suppliant de continuer !
L'instant était magique , je vivais mon fantasme ultime et en profitais un max ondulant des fesses comme jamais et réclamant d'avantage et plus fort ! Je n'étais plus moi même !!!
J'ai à peine remarqué qu'il c'était redressé derrière moi , ses doigts me limaient toujours c'est le bruit de son ceinturon qui m'a fait comprendre que je n'y échapperais pas ! Ceci dit dans l'état qui était le mien , je n'en attendais pas moins !

Son gland chaud sur mes fesses , ses râles qui reprenaient de plus belle , je posais les deux pieds au sol et les coudes sur la table cambrant les fesses attendant mon heure qui ne c'est pas fait attendre ! Avec furie , il m'a fourré comme un sauvage .,, je criais sous ses coups de reins , mon vieux pervers était bien plus dur que je ne pouvais l'imaginer ... Deux orgasmes m'ont traversés les entrailles dans des hurlements indescriptible ... Je m'accrochais les mains sur les bords opposés de la table qui a avancé d'au moins deux bon mètres . Mes pieds quittaient la terre ferme lorsqu'il se déchaînait sur moi .,,

J'étais littéralement vidé après cet assaut furieux et comme si cela ne suffisait pas
Mon bougre de vicieux m'a retourné sur la table me levant les jambes sur ses épaules pour remettre cela . La vue de son visage tuméfié , grimaçant dans l'effort , tous cela combiné a l'assaut de sa queue qui coulissait en moi m'a entraîné dans un nouvel élan ...
Le teeshirt levé , la poitrine à l'air je me massais les seins au rythme de ses assauts ... Les jambes maintenue en l'air par ses mains puissantes son ventre claquait sur mes fesses poussant la table jusques le mur sur lequel elle claquait à chacun de ses coups de butoir ... Un troisième orgasme tout aussi puissant que les précédant me terrassait tandis que ses grognements me laissaient penser qu'il allait se laisser aller en moi
Une furie sans limite ! Le type c'est retiré et en deux coups de poignets c'est libéré de sa semence en criant , grognant que j'étais bonne ... Deux saccades de sperme sont venues me percuter le menton , les seins , j'en avais partout...

Enfin il se relâchait me reposant les jambes au sol et cherchant son souffle ! J'essayais moi aussi de me remettre de se moment de folie aussi surprenant qu'inattendu !

Un temps de récupération , le temps de l'essuyer au mieux , de corriger ma tenue ta tentant désespérément de cacher mon collant déchiqueté que j'ai du reste enlevé pour ne pas attirer l'attention .... Le type me voyant chercher a me recoiffer comme je le pouvais m'a sortit un vieux rétroviseur de voiture pour m'aider . Il m'a remercié en me disant qu'il y avait bien longtemps qu'il n'avait prit autant de plaisir ... Nous sommes sortis de notre cachette et nous avons rejoins nos amis respectives ... J'étais comblé mais usé par cette relation intense! Le monde c'était quelques peu dispersé et j'espérais que mes amis n'avaient pas remarqué mon absence ...

J'ai repris un verre avec Sabine a qui j'ai demandé de me ramener , moins de trente minutes plus tard nous partions toute les deux saluant pierre et croisant du regard cet homme avec qui j'avais baisé mais dont je ne connaissais même pas le nom .

Dans la voiture , sur la route Sabine m'a demandé ou était mon collant ... Gêné , j'ai prétendu un petit accident intime ... Elle a rit aux éclats en me rétorquant que je ne lui ferais pas à l'envers .., pour elle cet accident se prénommait Paul !

J'ai ris à mon tour rougissant certainement ...
Là . Sabine m'a répondu que je ne devais pas avoir honte ! C'est un sacré numéro se Paul et un très bon coup !!!

Moi qui la prenait pour une fille sérieuse , je lui avouais avoir visité sa hutte et j'apprenais que Paul l'avait dépucelé il y a longtemps et que parfois elle même passait lui rendre visite dans sa hutte

La salope ... Elle était toute aussi salope que moi !!!

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